Retrouvailles De Gouines
Ce photographe a du talent, beaucoup de talent. Chaque épreuve affichée montre des nus féminins, seule ou à plusieurs, les femmes sont magnifiquement représentées. Le galeriste en plus a su bien présenté dans un ordre montant lérotisme sous jacent. Les invités du vernissage sont bluffés. Il me semble reconnaitre une amie parmi les modèles: je lai perdu de vue il doit y avoir une petite dizaine dannée. Je cherche lauteur, layant trouvé je lui demande sil sait où réside ma copine Michèle, celle qui orne en grand la dernière salle.
Il cherche pas mal de temps avant de répondre quil ne sen souvient pas. Comme je suis une femme il accepte que Je lui téléphone demain, si javais été un homme la réponse aurait était un refus. Et pourtant sil savait qui je suis
..
Jattends le lendemain matin, vers midi, le coup de fil. Jai ladresse et chose précieuse son n° de portable. Daprès lui elle est toujours en France en ce moment: elle est très demandée comme modèle un peu partout dans le monde: cest dans son genre une vedette parce quelle accepte de poser même nue, dans des positions scabreuses que beaucoup refusent. Ensuite elle sait comment poser, rapidement. Elle vaut de largent.
Jessaie son portable, presque aussitôt, jentends sa voix reconnaissable entre mille.
- Oui, Allo, Michèle à lappareil.
- Salut Michèle, cest Gilette, tu te souviens ?
- Mon Dieu, Gilette où es tu ?
- Ici, chez moi en ville.
- Tu es libre ce soir, nous pourrions nous retrouver chez *****, le restaurateur, vers 21 heures.
- Avec plaisir.
Je suis satisfaite de savoir que ce soir nous allons raconter nos souvenirs anciens et peut-être reprendre une liaison interrompue je ne sais même plus pourquoi, une dispute sans importance montée en épingle. Je vais en profiter pour me faire belle, si on peut dire; je me maquille à peine. Je me déshabille totalement: jexamine mon corps: je nai pas trop changée, sauf peut être un poil de plus à la taille.
Il me tarde tant de la revoir. Jai en tête des souvenirs qui mexcitent. Sans même y penser je me touche le pubis et de là je descends sur ma chatte. Je sais ce que je fais: je me couche en face du miroir pour voir ma chatte qui se mouille et ma main surtout ma main qui sans que je demande quelque chose caresse dabord le bouton avant de descendre dans mon vagin. Les deux doigts que jy ai mit font ce à quoi ils sont destinés. Je me doigte longtemps en ralentissent pour faire durer le plaisir quand je nen peux plus, je vais de plus en pus vite et enfin je jouis.
Je suis folle davoir fait ça: je suis obligée de ma laver à fond: le bidet est toujours utile dans ce cas.
Je vais mhabiller avec léternelle question que se posent les femmes, quest-ce que je vais mettre. Ca, à non, ça, je lai trop mis ou alors cet ensemble: je lai acheté sur un coup de tête. Finalement je met un robe toute simple. Je vais partir quand je maperçois que jai oublié mes sous vêtements. Tant pie, même si Michèle le voit ça restera entre nous.
La voilà à droite, au fond de la salle à manger. Elle na pas changée, toujours belles, sexy, avec un brin de maturité. Elle se lève, nous nous embrassons sur les joues.
Bien sur les souvenirs défilent. Les plats et le vin aussi:
- Tu as toujours bon appétit.
- Et toi la descente toujours en pente.
- Tu sais dans la vie que je mène les satisfaction minimes ont de la valeur: un bon vin ne me fait as peur. En plus je ne grossit pas. Comme toi à ce que je vois.
- Oh, moi je me contente de peu.
- Tu sais que je regrette encore notre séparation. Pourquoi au fait ?
Nous éclatons de rire. Nous ne savons même pas le pourquoi de notre brusque séparation.
- Ce nétait pas sexuel, je men souviendrai, ajoute Michèle.
Elle me prend la main, me la serre. Je comprends quelle aussi est prête à revenir en arrière. Nous croisons nos doigts, même si le gens dà coté nous regardent.
Nous payons, nous levons précipitamment, prenons un taxi. Elle donne son adresse. Nous sommes sages pendant toute la durée du parcours. Par contre chez elle cest différent.
Nous avons presque 10 ans à rattr. Elle est la plus rapide quand elle prend ma bouche. Nos langues renouent facilement leur bataille. Nous sommes tellement serrées que mes seins sécrasent contre les siens. Je me demande si elle porte seulement un soutien gorge. Je nen ai pas; je nen suis pas responsable si on veut. Je profite de ce baiser pour aller sur son dos. Que de souvenirs remontent, ma main caresse tout le dos, je ne trouve pas de traces dun soutif. Elle me tient par la taille, sa prise favorite. Je me souvient de la suite; elle va venir sur ma poitrine. Si javais joué, jaurai gagné. Sa caresse est encore meilleure que ce que jai comme souvenirs.
Jai trop envie delle, je soulève sa jupe pour aller lui taquiner le clitoris.
Elle me laisse faire: je passe ma main entre ses cuisses: elle les écarte en assentiment. Je monte lentement pour arriver vers ses trésors cachés. Je les trouve vite sous un string de rien du tout que jécarte. Je commence la caresser: je suis gênée par la présence de ce string; je le fait glisser jusquà ses pieds quelle lève. Je reviens vite là où jétais. Enfin je retrouve la douceur de son sexe, mon index, celui quelle préférait caresse longuement son petit bouton. Elle frémit, sappuie à moi. Elle ne va pas tarder à crier sa jouissance. Cest-ce qui se passe.
Le suite de dépend plus que delle: elle me prend par la main pour me mener dans la chambre.
Je jette un coup dil rapide, je vois sur la table de nuit un magnifique gode: elle na pas perdu cette habitude de se baiser seule. Nous nous mettons nues très vite, nous sommes allongées rapidement. Cette fois, comme avant nous nous caressons les seins, le ventre, le visage pour nous retrouver entre nos jambes. Nous nous branlons mutuellement. Comme avant nous savons attendre lautre pour jouir.
Il nous tarde de faire un 69. Nous retrouvons nos odeurs intimes perdues depuis trop longtemps. Nos langues retrouvent vite leurs habitudes sur le sexe de lautre.
Elle passe sa langue dabord sur mes lèvres intimes de haut en bas, puis les pénètre un peu pour revenir vers le haut. Elle me lèche le clitoris longuement sans trop appuyer, pile comme jaime. Elle sait que je vais jouir ainsi.
Moi je commence comme elle et pourtant je ne lui suce pas le bouton, je préfère de loin son anus. Je le lèche longuement avant que ma langue aille dans son cul. Je la fait pénétrer pour la faire ressortir. Pour ces retrouvailles nous respectons nos anciennes règles. Nous en ajoutons de nouvelles que nous avons trouvées de droite et de gauche pendant notre séparation: nous nétions pas des nones, nous avons eu dautres amantes.
Nous restons en 69 plusieurs fois pour jouir de plus en plus, comme avant. Elle pend le gode, le pose sur mon cul: jai un peu peur, il y a longtemps que je ne me suis pas faite enculer. Je le lui dit: elle agit avec moi comme si jétais vierge de ce coté. Elle me mouille à fond lanus, lécarte à deux doigts dabord puis trois; quand elle estime que je suis assez ouverte elle entre ce monstrueux engin. Je le sens passer le sphincter sans dommage: je suis totalement détendue et confiante; Elle me suce en même temps. Je ressent la jouissance de mon cul. Elle me fit tourner sur le dos, jai toujours le gode planté dans le cul. Jai encore envie, alors sans rien demander je continu moi-même à menculer. Je vais à lallure qui me convient et je jouis encore. Elle retire le gode de mon corps, se couche à mes pieds, son cul bien visible: elle aussi de sodomise devant moi. Je vois ses yeux se fermer. Jen profite pour aller près delle pour la branler pendant quelle se fait du bien de lautre coté. Je pose ma bouche sur la sienne, ma langue est au fond de sa cavité buccale.
Nous sommes en sueur, nous nen pouvons plus. Nous décidons de ne plus parler de notre séparation, ni de nos liaisons intermédiaire.
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