Dominique
Enfin mon rêve se réalise, depuis le temps que je lattendais.
Je corresponds avec internet avec une copine depuis pas mal de temps. Elle me raconte parfois sa vie amoureuse qui nest pas triste. Cest une femme mariée dans la quarantaine qui aime aussi les filles.
Elle ma donné envie moi aussi de me lancer dans lamour au féminin. Cest vachement dur de trouver une autre fille qui se donne comme ça, sur un simple claquement de doigts, comme on lit dans les histoires de sites connus. Depuis des mois, jen suis réduite à me contenter e mes doigts. Ce nest pas que je naime pas me donner du plaisir dautant plus que mes fantasmes sont toujours avec une autre.
Ces dernières semaines, le patron a engagé une nouvelle employée au magasin. Elle doit avoir à peine 25 ans. Notre différence dâge nest pas réelle puisque jai à peine 30 ans. Quand je lai vue la première fois jai eu un choc, comme la première fois que jai vu celui qui allait devenir mon mari plus tard: il faut se rassurer, jen ai vite divorcé.
Jai eu comme un vertige, je volais légère dans tout ce que je faisais. Que dire alors quand nous nous sommes touchées, sans le faire exprès. Je ne faisais que passer derrière elle quand elle reculait. Jai frôlé ses fesses avec mon ventre et son dos avec mes seins. Jen étais toute chose. En finissant le travail un soir, elle partait avec une de ses camarades: jen étais jalouse. Bref jétais tombée amoureuse delle dont je ne connaissais que le prénom: Dominique. Dans la vie de lentreprise nos rapports étaient normaux, avec des sourires amicaux sans plus de sa part: elle faisait les même sourires aux autres.
Notre première conversation privée a un lieu dans un café, un matin avant daller au travail. Nous pouvions enfin bavarder de tout, même de rien. Presque tous les jours non prenions un petit noir ensemble: de quoi améliorer nos relations. Je ne pouvais pas me déclarer, alors je me racontais comme elle le faisait.
Je nosais pas lui dire que pour moi lhistoire était pratiquement la même, que je me satisfaisais seule. Nous nétions pas les seules dans ce cas. Peu de femmes délaissées parlent ainsi. Pourtant elles doivent être nombreuses sans rien dire.
Une fin de semaine avec un pont assez long, je linvitais à venir à la plage avec moi: nous pourrions manger au restau le soir, partir pour dormir en route et nous baigner. Ma proposition est accueillie avec joie: elle avait trouvé une amie pour la sortir de lambiance morose de la ville.
Nous nous retrouvons au restaurant: je poses des jalons pour lemmener vers moi. Je prend sa main comme me le faisais mon ex: mes références ne sont pas très complètes. Elle me regarde en souriant, et lentement retire sa main. Je me fais encore un cinéma pas possible: si elle a attendu pour retirer sa main cest quelle
.Je nen sais strictement rien.
Nous roulons depuis plus de 2 heures quand je vois un petit hôtel apparaitre. Elle est daccord: nous essayons davoir au moins une chambre. Cest la seule qui reste. Nous la prenons.
Je pense que je vais la voir en petite tenue, peut-être nue, qui sait dans mes bras.
Je mets du temps à me déshabiller lentement en ne me cachant pas du tout: elle prend une douche. Quand elle sort elle est nue.
- Excuses moi, dêtre toute nue, je nai pas autre chose à me mettre.
- Ce nest pas grave, je le suis aussi.
- Jai vu, tu es bien fichue.
- Et toi aussi, en plus tu est sexy.
- Ne me dit pas que tu me cherche ?
- Si justement je te cherche.
- Tu ma trouvée.
Elle vient vers moi. Finalement les choses se passent bien mieux que ce que je croyais. Elle ajoute:
- Tu sais se sera ma première fois avec une fille;
- Moi aussi.
Ainsi en un éclair une simple nudité de sa part et de la mienne font que nous sommes lèvres à lèvres. La suite est que nos langues se caressent en changeant de bouche sans arrêt. Le reste est encore à inventer.
Mon amie sur internet mavait bien expliqué que pour bien faire lamour entre filles il fallait ne pas oublier de caresser sans arrêt, presque jusquà nen plus pouvoir ni une ni lautre.
Caresser je veux bien, mais où et comment. Je nai pas de problème pour donner du plaisir à un homme. A une femme je saurais bien la faire jouir, en la branlant comme je me le fais, mais avant ?
Dominique me demande de faire ne chose toute simple qui mavait échapper: nous coucher dabord. Je me sens totalement idiote. Elle se couche la première. Jai à peine le temps de vois quelle a le pubis rasé. Jen suis confuse, je porte mes poils. Jespère quelle ne men voudra pas.
Je reviens près delle. Ma bouche retourne sur la sienne. Je lui fait poser sa tête sur mon bras. Le reste suit: elle passe aussi un bras sur ma poitrine, sans me toucher les seins. Pourtant si elle savait comme jai envie quelle me pelote.
Je my suis mal prise: si je métais mise sur le ventre, je lembrasserai pareil et mes mains pourraient lui montrer le chemin, je commencerais la première. Je suis encore surprise quand elle prend mon menton dans sa main pour mieux membrasser: sa langue pénètre au fond de ma bouche. Je mouille comme une éponge.
Jen ai assez, il faut que je fasse dautre câlineries. De mon autre bras jarrive enfin sur un sein: je le prend à pleine main, je caresse le mamelon et elle se laisse faire. Je caresse longuement le même sein qui gonfle sous ma main. Il mencourage à descendre ma main sur le ventre plat de Dominique qui se laisse toujours faire. Je caresse son pubis avant de plonger ma main entière sur sa chatte.
Je suis la maitresse du monde: je vais la faire jouir. Elle écarte les jambes, juste ce quil faut pour que ma main aille dans son intimité.
Elle ne sencombre pas de politesse, à son tour, elle me caresse à peine un sein, pour venir aussi sur ma chatte. Jécarte bien les jambes quand sa main est sur mon sexe. Quelle branle bien. Nous jouissons presque ensemble.
Nous arrêtons tout un moment pour nous consacrer aux baisers à faire: ils sont nombreux les endroits à embrasser, des seins aux fesses en passant par le cou et autres endroits que joublie.
Enfin je fais lamour avec une autre fille. Mon amie avait raison, cest plus que bon.
Cest Dominique qui a encore besoin de caresses, elle ne les demande pas, elle les provoque: elle frotte son corps contre le mien. Je mouille encore. Je crois qua ma cyprine doit déborder sur mon anus. Je sens ses seins sur le miens. Jai envie delle: je me retourne pur lui lécher le sexe. Je ne lai jamais fait: on verra comment Dominique réagira. Elle écarte ses jambes pour laisser passer ma tête, Elle la tient comme si elle avait peur que jarrête. Je passe ma langue surtout sur son clitoris,; je laspire également, je le frictionne énergiquement avec juste le bout de la langue.
Elle me surprends quand elle commence à gémir:
- Cest trop bon ce que te me fais, tu vas me faire jouir encore. Continue
Bien sur que je vais continuer, en changeant un peu dendroit, je vais sur son vagin, jy fait pénétrer encore ma langue. Jécarte bien ses lèvres pour découvrir encore son petit trou, tout en bas: il est mignon. Je le caresse un peu avant que mon doigt y entre doucement. Je le ressorts pour le mouiller davantage et le remettre cette fois plus profond. Je ne sais pas si ce que je fais en plus de la normale en est la cause, elle part dans un orgasme monumental qui la fait crier.
Sa langue doit être encore meilleur que la mienne. Si elle gémissait je crois que je commençais à crier de plus en plus fort.
- Que cest bon, continue, baises moi encore. Oui, oui.
Comme tout à lheure nous sommes ensemble au rendez vous des orgasmes. Nous ne nous séparons plus dans cette position. Nous y trouvons trop de plaisir surtout quand elle pose sa langue sur mon petit trou. Elle le lèche come le clitoris, elle me donne encore un de ces plaisirs fous que je commence à adorer. Et que dire quand je sesn la langue pénétrer dans mon cul. Je crois devenir folle.
Pourquoi jai perdu tant de temps sans fille. Pourquoi les premiers émois nétaient pas avec une de me semblable.
- Je taime. Je taime, continues à me baiser, narrêtes pas;
- Moi aussi je taime, baisons encore longtemps, tant pis pour la plage.
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