Deux Pestes Moins Une...

Les deux pestes m’ont laissé épuisé, repus. Mais les voir trimbaler leurs charmes sous mes yeux, quotidiennement, que c’est dur à supporter. Et surtout faire semblant, devant leurs amis, de ne pas avoir eu cette séance de baise avec elles !

Un jour, au cours d’une conversation avec leur groupe d’ados…

« Dis, avec ta voix grave, raconte-nous encore une histoire qui fout la trouille… »

La petite Marisha, aux formes de nymphette, au visage angélique, du haut de ses 19 ans et de son nombril qui se balade sous mes yeux gourmands vient de me provoquer…serait-elle prête pour l’acte deux… ?

Une envie dingue de la peloter, là, au vu de tous, de passer mes pognes sur ce corps presque neuf, mes doigts dans cette petite culotte trempée j’en suis sur…pour y avoir déjà mis mon nez… !

Son visage est si innocent, rehaussé pourtant d’une pointe de rouge sur les lèvres…

Je vois bien cette bouche boudeuse approcher de ma bite en furie…et moi de forcer ces lèvres pour que mon dard entre dans la bouche de la donzelle…Je vois presque ma queue coulisser entre ses lèvres et ses yeux qui se lèveraient pour me regarder et quêter une approbation de son action, chercher dans mon regard la confirmation de la qualité de son pompage…

Ah ma cochonne…. et ma bouche qui boufferait cette vulve à peine poilue…et pleine de senteurs d’adolescente en même temps que de moiteurs de femme naissante…
Je fantasme, je fantasme et elle est là, un vague sourire à mon intention, et tous les ados autour…C’est pas pour toi, vieux salaud cette belle nourriture…se disent-ils surement ! Enfin…elle a bien voulu une fois…pourquoi pas deux ?

Demain, elles veulent venir me voir, elle et sa copine Sabine. Comment je fais pour au moins me frotter contre ce petit corps de rêve ? Faute de pouvoir espérer sodomiser ces fesses parfaites…qui me font bander depuis que je les regarde comme celles d’une femme et plus comme celles de la gamine que je croisais dans le village !

Je vais réfléchir, c’est sur… ! Le mieux c’est déjà qu’il y ait du monde, peu de lumière et que la belle soit contre moi.

Je saurai me rapprocher et tester ces courbes et galbes princiers. J’imagine sa cuisse contre la mienne, son regard de biche apeurée qui accepte et apprécie le contact poilu de ma jambe contre la sienne … et ma main qui se pose sur sa cuisse…et qui ne se retire pas…
Et l’autre qui me regarde pour me supplier de ne pas continuer…et mes doigts qui sous la jupe parviennent à la culotte…et le majeur qui parcourt le sillon humide…et elle qui se mord la lèvre pour ne pas crier…je sais, j’ai beaucoup d’imagination.

Et le lendemain, toute une bande d’ado envahit ma demeure…Sympa, joyeux. Bon…

- attend, Marisha, je veux te montrer autre chose…

Le ton autoritaire et les ados s’éclipsent alors que ma bichette –comme prise par les pleins phares- ne bouge pas…Sabine s’approche de sa copine mais elle lui fait signe de partir. Si c’est pas un feu vert ça y ressemble !!

Je l’attire sur mes genoux, approche son visage du mien…Mes lèvres sont sur les siennes, ma langue pousse et ouvre la bouche qui accepte volontiers le baiser.
Ma bouche fouille la sienne, mes mains sont sous le t-shirt, pelotant deux petits seins en forme de poire…Ma main droite passe dans son dos, malaxe une fesse ferme et bien ronde, ma main gauche redescend en laissant le petit sein au bout dressé. Déjà, je glisse le long de la jupe, le contact de cette peau si ferme, si douce me fait bander comme un cerf…je sais que ma queue va pouvoir s’activer dans cette chatoune cachée à quelques centimètres…je remonte sous la jupette, mes doigts pétrissent cette cuisse de danseuse, le string est là, ne cachant rien de la vulve moite…
Mes caresses sont précises, le petit clitoris est gonflé, vibrant sous mes impulsions…sa bouche et la mienne ou nos langues se croisent sont pleines de nos salives mêlées, mon index se promène le long de ce sillon à explorer, elle chavire, elle est à moi. J’en veux plus, je veux son sexe sous ma bouche, je veux la pénétrer, je la veux toute à moi…

Je la pose sur le bureau, les jambes sont écartées par mes mains avides et je plaque ma bouche sur la vulve à travers l’étoffe du string…Bien, le string, pensé-je…
Vite, le tissu est repoussé sur le coté et vite, ma langue parcourt les lèvres brulantes et douces, glissant savamment entre celles-ci pour provoquer une avancée du bassin de la donzelle…
Je bois, lape, mordille cette cramouille first class…Les mains de la petite sont posées sur ma tête et appuient, ne me laissant aucun doute de l’accord vers d’autres découvertes.

Je la parcoure de haut en bas, du mont de vénus et sa toison si légère jusqu’au petit trou qui ne se fâche pas trop d’être débusqué par ma langue chaude et indiscrète…quel bonheur… ! Et la séance dure, entrecoupée des petits cris de la biche qui jouit de temps à autre… et puis l’envie devient trop forte,ma caille, je veux te posséder…

Je descends le string le long des jambes, pour mieux gober le festin et j’écartèle littéralement la princesse…ma main défait le short, ma queue est là, tremblante de désir…
Oh ma divine, tes yeux éperdus, ton jus qui coule à profusion, ta volonté de participer à cette fête de ton cul, de nos culs…quel bonheur de pouvoir te bouffer la chatte…de pouvoir te lécher le trou du cul…si mignon, et que j’envisage de pilonner bientôt à grands coups de bite…tu risques de la sentir passer un peu mais baste ! mon chibre entre tes fesses si petiotes, si parfaites…
Occupons-nous d’investir la cramouille…

Je place mon dard en position et pousse…Hooooooooouuuuuuuu quelle entrée dans ce fourreau étroit… ! ma main plaquée sur la bouche a empêché le cri de sortir…je peux commencer à limer cette chatte débutante…bien à fond, bien lentement…Toi, tu vas en prendre pour un bon bout de temps, ma salope…

Il me faut bien de la concentration pour ne pas cracher mon sperme tout de suite…Mais, le jeu en vaut la chandelle…jamais plus je ne pourrai me taper une si belle ta, consentante, fabuleuse…

Marisha…mes 56 ans pilonnent tes 19 printemps et ta moule épouse ma queue et aspire celle-ci à chaque fois que je te pénètre intensément et semble me retenir lorsque je ressors pour mieux te défoncer…ma belle, merci de ce cadeau divin, cette pureté, ce ventre plat et presque imberbe qui reçoit mes hommages répétés…j’aime le bruit de clapotis de ma bite qui s’ébat dans ta chatte trempée…j’aime tes soupirs de femelle défaillante devant la virilité qui la foule, qui la fouille…
Tu étais faite pour recevoir cette queue ou une autre et c’est la mienne qui se trouve enserrée dans cet étui divin…
Le lobe de tes oreilles a pris ce ton cramoisi qui témoigne de l’émoi de ton bas-ventre…je guette le plaisir qui viendrait de ma bite amoureuse, j’attends que les parois de ton vagin saccadent sous l’orgasme qui te secouera…
Et le voilà le départ vers le 7e ciel, les voilà les halètements de la femme comblée par une queue qui la remplit…les deux jambes dressées en équerre attendent les coups de boutoir, je balance des grands coups de queue qui meurtrissent le sexe de la minette, elle geint, sa petite poitrine tente de se relever, son ventre vient chercher ma bite qui sait quelquefois se faire attendre…
Une séance de cul grandiose…la plus belle de ma vie peut-être car prise auprès d’un sacré morceau de fille, destiné à d’autres qu’à mon vieux ventre, ma queue, surprise de ce cadeau royal, est à la hauteur et continue vaillamment de défoncer la minette de la demoiselle…
Je remonte les gambettes pour qu’elle viennent de part et d’autres des épaules de l’adolescente, la cramouille est encore plus exposée et je m’enfonce de quelques millimètres supplémentaires…au grand plaisir de ma Mistinguett qui prend son pied coup sur coup deux fois de suite…
J’ai aussi, au contact de mes couilles le sillon de son petit anus, blotti la dessous, qui ne connaît pas le sort que je lui réserve…
Mes mains partent en exploration sous ma queue qui ralentit et je peux constater la fermeté de ces deux globes parfaits…les petites fesses sont dans mes mains et je les pétris sans ménagement, ma bite se contente de limer doucement la fente étroite.

Mon pouce se rapproche de la raie, atteignant bientôt la rondelle à peine perceptible, Titillements, appuis plus ou moins s…pas de refus catégorique de la part de la propriétaire de la bague actuellement vierge…
C’est mon index, aux dimensions plus modestes qui entreprend le premier de passer dans le ce troufignon mignon…Le jus de la foufoune est suffisant pour assurer une entrée de la première phalange hyper-simple.
J’habitue alors le petit anus à accepter cette entrée insolite. Mouvements circulaires ou piston, la rondelle est soumise à des traitements qu’elle ignorait il y a peu. La donzelle ne fait pas la différence entre les sensations intenses qui lui montent du ventre et maintenant de son trou du cul…Elle continue de jouir en me donnant son joli corps tout neuf (enfin presque !) à consommer…et je consomme !!!
Je retire ma bite et regarde ce trou du cul, envahi par deux phalanges de mon index…et tout ce jus qui dégouline de la chatte juvénile. Je retourne boire toute cette féminité et mon index est bientôt remplacé par le pouce dans sa rondelle malmenée. Ma langue lèche le pourtour du pouce, Marisha s’émerveille en petits gémissements, son petit ventre de ta ondule toujours, l’instant de la sodomisation est arrivé. Je pointe ma queue tout près, retire mon pouce et pousse. La tête de ma bite est entrée. Je suis serré comme jamais, je lutte pour ne pas lui lâcher la purée. Puis, je commence à bouger, lentement, La petiote est bien un peu grimaçante mais je ne suis même pas sur qu’elle comprenne que c’est bien son anus qui ramasse les coups de bite qui viennent de moi…
Je contemple le spectacle, une gamine de 19 ans, là, jambes à l’équerre, narines palpitantes, ma queue fichée au fond de son anus, et moi qui la tiens par les chevilles et qui lime le petit derrière si mignon…je l’interpelle
- Tu aimes ça, Marisha.. ?
- Hummm !
- Moi aussi j’aime pistonner ton trou du cul

La demoiselle me regarde un peu effrayée et vient de comprendre que le monsieur est au fond de son derrière…et qu’il l’encule comme on dit en banlieue et ailleurs …et qu’elle ne déteste pas…

Ma main gauche, magnanime, vient caresser son clitoris pour l’emmener à nouveau vers les sommets du plaisir…je ne voudrais plus m’arrêter, je voudrais pouvoir crier le plaisir de cette sodomie, le plaisir d’enculer une poulette aux formes si parfaites, une mijaurée très BCBG qui est là, attendant chaque poussée dans son cul comme elle attend la bénédiction du dimanche matin…
Je vais lui envoyer ma giclée de sperme dans la bouche et sur son visage de nymphette… pouvoir fixer dans ma mémoire cette figure maculée de sperme pour que, à chaque rencontre, je puisse me rappeler ce moment divin…

J’accélère le rythme, provoquant les rugissements de la belle , et sentant l’explosion arriver, je me retire et lui crache la camelote sur la bouche qui s’ouvre par réflexe, et sur la figure d’ange…
Le résultat est saisissant, elle ne réalise pas ce qui lui est arrivé, j’approche ma queue encore tendue vers sa bouche et lui ordonne
- Suce !

La belle enfourne mon sexe et nettoie l’objet palpitant.
Que sa bouche est chaude, comme elle semble aimer avoir en elle cette queue qui l’a tant comblée…

Je suis là, heureux, à me demander vers quels autres fantasmes je pourrai l’amener, et combien de fois je pourrai chevaucher cette pouliche de choix ?
Je sens ma bite, heureuse surprise, reprendre de la vigueur, je vais pouvoir recommencer tout de suite…Ce qui est pris est pris….

L’instant d’après, je suis à nouveau dans la chatte accueillante et je recommence la cavalcade effrénée. Là, je peux y aller à fond, ma première éjaculation m’enlève le risque de partir prématurément…Je vais te bourrer comme tu n’es pas prête de pouvoir recommencer, chérie…Je la pistonne comme un salaud, à grands coups et la gamine chiale et se pâme simultanément, c’est une dégelée qu’elle ramasse. Ce soir, tu vas avoir du mal à marcher, je te promets.
Et bourre et bourre et ratatam… ! Je meurtris les chairs par mes coups violents, tout son corps bouge et ses petits seins aussi, je veux les voir, dénudant sans ménagement la petite poitrine aux aréoles à peine renflées…je malaxe la taille de guêpe, pétris les cuisses somptueuses, suce les doigts de pied, force la bouche à accueillir mon pouce plein de sperme et cyprine mêlés, serre ce cou si gracile…
Je veux l’enculer à nouveau, mais en regardant ses fesses. Je la retourne et l’appuie sur le bureau, ses fesses sont là, magnifiques, je les écarte, admire un instant l’anus tuméfié et Han !: je l’encule à fond ! La belle a hurlé. Je peux alors pistonner lentement le cul magnifique, jouant avec mes mains de ses fesses, tantôt serrant ma queue au maximum entre celles-ci, tantôt les écartant pour profiter du spectacle de ma bite s’enfonçant lentement dans le cul entre les fesses adolescentes…Monstrueuse excroissance de son cul, ma queue va et vient, entre et sort, quel pied. Et je fesse à pleine main ces deux globes rougis, et elle serre les fesses à chaque fois, délicieuse pression sur ma bite…Je la tire délicatement par les cheveux, rejetant sa tête en arrière…Elle me voit dans la vitre de la bibliothèque, se voit, à la merci de ce vieil ami qui semblait si paternel…et qui l’encule et la baise pour son plus grand plaisir…
J’entre lentement, jusqu’au fond, et poursuis mon élan lorsque je suis plaqué contre ses fesses, remontant pour décoller Marisha qui se retrouve empalée au bout de ma bite, ses pieds ne touchant plus le sol…et je recule, la déposant avant de me retirer jusqu’à la limite du gland, meilleur passage peut-être car le plus riche en sensation, je me contrôle, pas question d’éjaculer, je veux la limer et la limer et la limer…
- tu es bonne, ma douce
- n’arrête pas, je veux que ça ne finisse jamais… Trop bon !
- l’amour c’est aussi ça, la douleur et le bonheur, apprends à jouir de toutes les sensations…ne pense qu’à ma queue qui te laboure, et à tes sens qui apprécient…
- c’est bon…
- j’aime quand tu serres les fesses autour de mon gland quand je suis presqu’en dehors de toi…
- moi aussi, j’ose à peine…
- là ! c’est ça, oui, tu as compris, c’est bon…
- le bureau est bien dur…
- attends, je vais m’asseoir et tu seras sur moi…
J’att la belle sous le ventre, la plaquant contre moi et je m’assois, elle est sur mes genoux, ses jambes pendent de chaque côté et je peux la caresser parcourant le ventre, les seins que je maltraite un peu ou caresse, et ma main vient lui caresser le clitoris. Aussitôt, la poupée réagit et je sens venir un orgasme qui la laisse pantoise, comblée. Je la remonte contre moi, pour la décoller de quelques centimètres et je peux aller et venir à ma guise entre ses reins. J’en profite pour accélérer comme un fou et je l’entends psalmodier comme éperdue…A ce rythme, je me doute bien que la conclusion va venir mais, la fatigue et l’envie de cracher mon foutre au fond des tripes de la coquine sont plus fortes que ma volonté de faire durer éternellement la sodomisation…Après deux minutes de pistonnage à fond la caisse, je lâche la purée dans un grognement animal, la broyant entre mes bras. Elle se pâme une dernière fois devant cette émotion surhumaine et nous nous retrouvons apaisés, vidés d’énergie avec un sentiment de plénitude totale…je la caresse doucement, je sens la sueur qui a recouvert ce corps désormais adulte et qui n’oubliera jamais, j’espère bien, le passage de ma queue.
Je lui tourne la tête et ma langue force le passage pour explorer, impudique, sa bouche grande ouverte…un baiser bien baveux ou nos salives se mélangent longuement.
Curieuse envie de salir cette beauté, pour bien marquer ma possession ? Ma domination ? alors que je ne suis qu’amour devant cette perfection innocente…
- il faudra revenir demain, Marisha, j’ai trop envie de recommencer encore et encore…
- je passerai en vélo, tu me feras signe et je viendrai…
En vélo…je me demande si le cul de la belle acceptera le régime de la selle demain…tu verras bien pensé-je… !
- Amène Sabine si tu crois que…

La suite selon vos demandes, comme d’hab…

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