Collection Candaulisme. Le Jeune Bourge, La Bourge Et Le Mari Cocu (1/1)
Bonjours Jean-charles, que me vaut ta visite.
Jean-Charles est le fils dun couple de nos amis.
Marie-Anne, sa mère est membre de mon club de bridge.
Je viens de la part de Charles-Antoine, jétais avec lui à Londres et ayant fini mon stage, je reviens poursuivre mes études à Paris.
Il ma dit avoir un livre sur Freud dans sa chambre qui va mêtre utile et ma demandé de passer le chercher.
Mon fils, Charles-Antoine, je lai eu au téléphone hier au soir et il a oublié de me dire que vous passeriez.
Mais entrez, sans problème, surtout que jai eu limpression de le déranger dans un moment intime, entrez.
Oui, à droite dans le salon, je vais nous faire servir un café si ma bonne est encore là.
Elle doit finir à 14 heures, il faut dire quelle est à notre service depuis 7 heures pour le levé de mon mari ou elle lui prépare son petit déjeuner.
Mon fils vous a-t-il dit sil risque de nous ramener une jolie petite Anglaise ?
Je semble vous choquer, je comprends que vous souhaitez rester discret, cest votre copain.
Je mappelle Marie-Charlotte, jai 41 ans, du vague à lâme et si je mécoutais, je sauterais sur ce garçon dune vingtaine dannées comme mon fils.
Lorsquil passe devant moi, il me semble fort appétissant.
Je mexcuse, je suis une invétérée pipelette, je vous pose des questions sans vous donner le temps de répondre.
Aucunement madame, Charles-Antoine, votre fils, étudie très dur, sauf hier.
Il a accepté de se rendre à une soirée où jétais invité et comme je rentrais en France, il métait impossible dy aller.
Je sonne ma bonne qui nous apporte une cafetière avec deux tasses, du lait dans un petit pot et une coupelle de sucre en tout genre.
Quand il est assis sur le canapé, moi dans mon fauteuil les jambes croisées, comme maman ma appris, je vois la bosse que fait son sexe dans son pantalon.
Ce serait indécent quil se promène la bite au vent devant une dame quil rencontre pour la première fois.
Je me prends à rêver que si javais de laudace, je me lèverais, je caresserais sa bosse pour tâter la marchandise à travers le pantalon.
Je déferais la ceinture pour faire glisser, pantalon avec boxer ou slip avant de prendre sa putain de queue pour me la fourrer dans la bouche.
Ces mots grossiers « queue », « fourrer » et « sexe », cest pour casser mon éducation comme toute fille de bonne famille dont je suis le parfait spécimen.
Jai épousé Charles-Henri, le jour de mes vingt ans et depuis il me rend parfaitement heureuse malgré quelques fantasmes dont celui que je viens dexprimer dans ma tête de parler avec des mots orduriers.
Charles-Henri banquier de son état mapporte le bien matériel et du plaisir une fois de temps en temps.
Il est peu porté sur le sexe.
Un fils et une vingtaine dannées de vie tranquille dans ce bel appartement près de la place de létoile.
Pardon, vous mavez dit !
Vous aviez lair dans vos pensées, je vous demandais daller me chercher le livre que je suis venu chercher.
Oui, troisième porte à droite dans le couloir en sortant de ce salon.
Allez-y seul, jaime boire mon café presque tiède à lopposer de vous qui lavez bu bouillant.
Mon dieu, quil est grand, quand il a sonné et que je suis allée ouvrir, quand il est passé près de moi, sa taille mavait paru normale.
Il quitte le salon marchant comme un fauve me faisant une nouvelle fois rêver.
Non, vingt ans de fidélité et de bonne manière, pourquoi les balayer pour un simple moment de plaisir surement éphémère.
Quel jeune homme de bonne famille, vu les bonnes manières quil affiche samouracherait dune vieille bourge de quarante ans et copain de son fils de surcroit.
Cest aller devant une masse demmerde.
Pardon, « emmerde » heureusement que cest dans ma tête, car dans une heure à mon club de bridge je serais virée si jemployais de tels mots.
Le bridge, cest lundi et vendredi le reste du temps, cest lecture avec les livres que jachète chez mon libraire qui maide dans mes choix et qui finit par avoir linconvénient de prendre de la place.
Je lai trouvé, Charles-Antoine a de la chance de posséder autant de livres.
Pourquoi dire à ce garçon que ces livres, cest moi qui les entasse une fois que je les ai lus?
À deux ou trois par semaine, tous lus ou les mettre et surtout cest un budget même si mère ma appris à être économe et que Charles-Henri à la fin du mois reçoit de forts émoluments.
Émoluments car en plus de son salaire, il touche de gros dividende de ses actions boursières.
À ce jeu pour couple riche, il faut reconnaître quil touche sa bille.
Mon Dieu que jaime employer des mots venus du peuple dans ma tête, « toucher sa bille » en fait parti.
« Se caresser le poireau », jai entendu ces mots dans la bouche de Charles-Henri, un soir où javais traîné dans mon bain avant de le rejoindre dans notre lit et quil ma dit.
Dépêchez Marie-Charlotte, jen ai mare de me caresser le poireau !
Cétait dans les premières années de notre mariage et jai failli lui refuser lentrée de ma chatte, mon garage à bite.
Ça recommence, ce jeune homme chamboule mes sens et ma vie, bien quil ait une tenue exemplaire, comment puis-je employer le mot de « chatte » ou de « garage à bite » ?
Au revoir, merci et excusez pour le dérangement.
Nous sommes devant la porte dentrée que je viens douvrir, il passe à me frôler, ma chatte dégouline.
Je sais, jai encore employé le mot de « chatte », mais une chatte est une chatte et une mouille est une mouille.
Mon Dieu que je me dévergonde.
Revenez chercher des livres si vous le désirez, quand vous voulez, ils sont à votre disposition Jean-Charles.
Je ferme la porte sur mes envies me traitant de conne.
Quand il est passé près de moi, sentant son eau de toilette, certainement achetée dans une grande parfumerie des Champs Élysées, ma petite culotte mouille encore plus que tout à lheure.
Je retourne dans mon salon, jai du vague à lâme, je dors oubliant quaujourdhui javais bridge.
Le lendemain 14 heures 30 ça sonne.
Ma bonne vient de partir, jai toujours du vague à lâme ayant passé une nuit affreuse ayant dormi trois heures hier après le passage de Jean-Charles.
Chaque fois que je fermais les yeux de grosses bites, toutes plus grosses les unes que les autres venaient se présenter à ma bouche, et une après lautre, elles refusaient dy entrer.
Jean-Charles, vous ici, déjà ?
Mais vous êtes devenu fou, un garçon si bien élevé hier.
Je suis plaquée contre le mur face à la porte de mon vestibule.
Je voudrais me débattre, mais je coule littéralement.
Ma chatte est en feu.
En un instant, jefface vingt ans, que dis-je, une vie entière de fidélité quand je lembrasse fougueusement sur la bouche, jouant la vierge effarouchée.
« Nous » car cest par fusion quelles se retrouvent comme si elles sétaient manquées depuis des lustres.
Viens.
Séparation le temps daller jusquà ma chambre, baiser le long dun mur un jour je franchirais le pas.
Mon peignoir me quitte en chemin et arrivé à lendroit où je veux me donner à sa jeune fouge, je lui arrache presque ses vêtements.
Nous roulons sur le lit, comment, je lignore, ce que je sais cest que jai enfin sa queue dans ma bouche et que je sens quil écarte les lèvres de ma chatte.
Premier frisson adultérin deuxième une fraction de seconde après.
Combien de temps, dans la fouge de sa jeunesse, mon jeune amant me baise.
Impossible à dire, lorsque jentends.
Tu y viens enfin Marie-Charlotte, je désespérais de te voir baiser par un autre que moi.
Charles-Henri est assis dans le fauteuil que jai mis là trouvant que ça faisait chic un fauteuil dans une chambre.
Il a mon peignoir sur ses genoux.
Jean-Charles, inutile de fuir, continuez à baiser ma salope de femme.
Cest marrant de venir faire un petit bonjour à sa femme en passant devant chez soi.
Jai été étonné de trouver la porte de son logement ouverte et le peignoir de sa femme en chemin dans le couloir menant à votre chambre.
Ça a dû être la précipitation que vous avez dû avoir à venir baiser.
Marie-Charlotte, continuez à sucer notre invité.
Je rêve dès le lendemain de nos épousailles de vous trouver dans cette situation et surtout depuis ma naissance de Charles-Antoine.
Continuez à vous faire plaisir.
Si vous en êtes daccord, surtout toi Jean-Charles, je vous guiderais dans mes fantasmes de faire à ma femme ce que je suis dans limpossibilité de lui faire par timidité.
Jean-Charles regarde, ma salope a compris que je veux me voir la baiser à travers toi.
Elle a recommencé à te pomper.
Dès que tu es prêt et que tu juges quelle mouille assez prend là en levrette.
Juste la chatte pour ce jour, demain ou dans les jours prochain tu la sodomiseras.
Je suis sûr que la chienne qui sommeille en elle se réveillera dès que tu lui défonceras le cul.
Merci mon Dieu, Charles-Henri aime autant que moi les mots orduriers.
Sodomie, cest le mot satanique que jaime entendre même si jai une petite appréhension.
Appréhension qui pourrait être plus grande pendant ces deux mois de vacances que nous nous accordons entre Jean-Charles jeune bourge, Marie-Charlotte bourge et Charles-Antoine cocu heureux au bord de la piscine de notre villa de Juan-les-Pins.
Jean-charles me sodomise à me faire hurler de plaisir les jambes relevées dégageant mon anus.
Sur le transat voisin Charles-Henri nous regarde sastiquant le poireau.
Alors que de lautre côté de notre trio formé pour un long moment, Charles-Antoine suce la verge dHarry.
Non, pas le prince.
Harry rencontré lors de la soirée où il avait remplacé mon amant et avec lequel il a décidé de faire sa vie en Angleterre après leurs vacances près de nous.
Harry capitaine de léquipe dAngleterre de criquet et magnifique noir à la bite démesurée
Je prends énormément de plaisir à me faire sodomiser depuis que Charles-Henri en a donné lautorisation à mon amant.
Par compte, jai mal pour mon fils quand je le vois senfoncer ce pieu noir dans le cul.
Bref, une famille de bourges sachant satisfaire leurs fantasmes les plus intimes.
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