Gisèle15
Évidemment, j'avais fait le point et mes interrogations m'avaient amenées à cette conclusion à savoir : le sexe
oui, bien sûr mais entouré de vice et de perversion. En fait je cherchais quelque chose d'un peu compliqué. Quelque chose qui en fait, m'abaisserait, m'avilirait, me contraindrait à la débauche, à la dépravation
. Après tout, j'étais libre de corps et d'esprit, alors pourquoi et au nom de quelle morale me priver de ce qui m'excitait. Qui m'excitait et m'effrayait en même temps, surtout en en n'ayant ni la maîtrise, ni le contrôle et encore moins les limites de ce que l'on me ferait faire
. A ce titre Roger était sûrement le plus chevronné et aussi le plus inquiétant. C'était lui qui m'avait entraîné le plus loin. Mais Fabrice, mon amant actuel était bien lui aussi, surtout avec l'aide de ses comparses aussi libertins que lui. Et puis il m'avait fait des promesses auxquelles je répondrais sans aucun doute maintenant avec empressement. J'allais dès l'avion posé lui annoncer que je serais sa chose. Malheureusement, contrairement à mon attente il n'y avait personne pour m'accueillir à l'aéroport. Je rentrais donc chez moi terriblement déçue et seule. Le lendemain, je repris le travail et le soir j'attendis en vain une manifestation quelconque
en pure perte
. N'y tenant plus, le lendemain je pris mon téléphone et appelais Fabrice. Du moins j'essayais
en vain. Pas de réponse ni de lui, ni de Sébastien, ni de Kévin dont j'avais aussi les numéros. Le quatrième jour, je me décidais et allais directement chez lui pour y trouver porte close et idem chez Sébastien. Reprenant ma voiture, je passais devant leur sex-shop
fermé également. Un petit écriteau indiquait "FERME CHANGEMENT DE PROPRIETAIRE". Tout cela étai vraiment bizarre !
Quelques jours passèrent sans que j'eusse d'autres nouvelles. Toute la bande semblait avoir disparue. Cela ne faisait pas mon affaire moi qui avait décidé de devenir la partenaire de leurs délires sexuels.
Et ce ne fut que le début
.
Une période d'abstinence commençait pour moi. Ce que j'ignorais, c'était que quelques temps plus tard, j'allais renaître de mes cendres et d'une manière complètement inattendue.
Un soir que je vaquais à mes petites occupations ménagères. La sonnette tinta. Le temps d'un éclair je songeais à Fabrice
.
Napoléon espérait Grouchy
ce fut Blücher
.
J'attendais Fabrice
ce fut Roger
sur mon palier riant de ma stupeur.
En une fraction de seconde je ne pensais plus qu'à ÇA !.Pourvu qu'il veuille bien de moi habillée "en civil" et même pas maquillée
. en balbutiant, je le fis entrer et lui proposait quelque chose à boire. Faisant fi des mondanités, il accepta néanmoins un verre à la condition que je me déshabille pour lui servir. Je décidais très vite, trop vite de lui offrir ce verre
et donc de me mettre nue. Il me détailla complaisamment s'attardant sur mes seins dont les tétons commençaient à raidir sous ses yeux scrutateurs. En quelques mots, nous fîmes le point. Ses ennuis avec la polices étaient terminés
quelques relations biens placées, quelques connaissances influentes et hop !... plus de soucis. Donc il était de retour et seul. Seul car d'un commun accord avec Nadine, ils avaient divorcés. Nadine pouvait tranquillement (si l'on peut dire) continuer ses activités ou d'un moins continuer à laisser ses "employeurs" la contraindre à continuer ses activités. Elle lui parla d'un retour au pays pas très lointain, car dans ce type de très vieux métier on aimait la viande fraîche et des filles venues de l'Est n'ayant froid ni aux yeux, ni ailleurs, commençaient à monopoliser l'espace vital. Je lui relatais moi aussi mes aventures et l'évaporation de mes amants. Cela le fit sourire
et bander.
Il me le prouva sur le champ en me fourrant son gros pieu dans les trois orifices qu'il occupa avec fougue tour à tour avant de se vider dans ma bouche gourmande.
Alors que nous étions allongés tout deux et qu'il me caressait presque distraitement els fesses, il me demanda :
"Gisèle, tu aimes toujours le cul, le vrai ?"
A ma réponse positive, il me proposa une chose invraisemblable qui commença par une révélation. Lavé de toutes suspicions qui le menaçaient, il avait organisé sa vengeance. La disparition de mes amants c'était lui. Ils avaient eut brusquement des soucis avec des trafiquants de drogue et ces gens là ne plaisantaient pas. Mes amants avaient du céder à la va vite, à vil prix leur sex-shop et très vite disparaître à l'étranger. Roger était donc en sous mains l'instigateur de ma solitude. Voilà pourquoi il avait sourit à mon récit. Pour en revenir à sa proposition, elle fut simple :
"Veux tu vivre avec moi et pourquoi pas m'épouser ?"
Devant ma stupéfaction il précisa :
"Tu me connais, je suis un vicieux
et donc je ne promet rien d'autre que du vice
de la baise et du vice
."
"Mais
. Mais et mon travail ?"
Il balaya l'objection. Ses revenus (que je considérais toujours comme louche) permettaient de vivre luxueusement à deux. Et puis il ajouta :
"Mais de toute façon, il faut t'attendre à, disons, travailler d'une certaine façon
donc
."
Je savais pertinemment ce qu'il avait fait avec Nadine, d'ailleurs leurs soucis ne venaient-ils pas de là ? Cette chose me terrorisait et
et
m'excitait en même temps même si mon essai dans l'établissement de Nadine en compagnie de Katherina m'avait laissé un souvenir mitigé.
Toujours aussi peut assurée je questionnais :
"Tu
tu pense à me
me
."
"Oui ?"
"Me
me faire
me faire faire la
."
"La pute ? Bien sûr ! Mais pas pour l'argent
pour le vice
. J'ai bien fait faire deux ou trois fois le trottoir Nadine et faite engager au bordel lors de vacances à l'étranger
alors toi, tu penses ! Et puis, il y aura plein d'autres truc dont je ne te parlerais que quand tu m'auras donné ta réponse !"
J'aurais voulu refuser, j'aurais dû refuser
je savais que j'allais dans le mur, que j'allais m'enfoncer dans la dépravation pour une durée sans fin
.
"Si tu accepte, c'est tout, tu entends
TOUT "!
La bêtise du jour
.
J'acceptais
.
"N'ai aucun regret d'avoir accepté de toi-même et en sachant ce qui t'attends, quoique tu ne sais pas encore tout. J'aurais pu t'y contraindre puisque j'ai récupéré, tu penses bien, tous les documents compromettant te concernant que ces petits cons possédaient. J'aurais pu te faire chanter, mais je préfère que tu sois consentante. Voici le programme dans les grandes lignes
."
Complètement déboussolée, par ce que je venais de faire, je l'entendis me dire que mon déménagement, supervisé par ses soins, était pour demain. Il examinerait évidemment d'un il critique et sévère toute ma garde robe (il n'en resta pas grand-chose) puisque je devrais désormais être vêtue (?) selon se goûts (j'étais certaine d'attr rhumes et angines). Un de ces amis médecins me ferait un arrêt de travail pendant lequel je donnerais ma démission pour me consacrer à une vie dissolue de femme entretenue. Pour satisfaire ses envies de voyeur tordu. Il me parla de ses amis à qui il m'offrirait et qui me prendraient seule ou en groupe, aux exhibitions auxquelles je serais exposée, de nos vacances
vraies et fausses
. Les vraies pas de problèmes
farniente, bronzette (nue), et partouzes, vous voyez le genre ! Les fausses (enfin pour moi)
il connaissait, en Europe, sur le pourtour de la Méditerranée, en Afrique, pleins de petits bordels "sympas" ou je serais accueillie à bras ouverts
. Il projetait aussi un peu de me faire faire aussi connaissance avec le bitume et des visites fréquentes dans le sex-shop racheté (justement et fortuitement
) par un de ses amis qui attendait ma venue pour "égayer" ses cabines de cinéma et autre glory hall
.
Voilà mon destin semblait scellé
.
Les choses furent rondement menées puisque dès le lendemain j'emménageais à mon nouveau domicile. Mon déménagement fut laissé à l'initiative de Roger et de ses "amis" qui au nombre de cinq eurent vite fait d'entasser mon mobilier dans une des dépendances de ma nouvelle demeure.
Les jours suivant, je pris mes habitudes sous les directives mon nouveau pygmalion. Je pris l'habitude d'être pratiquement en permanence en petite tenue et au minimum une fois par jour je devais me masturber devant Roger. Bien sûr il me prenait selon ses fantaisies. Il n'était pas le seul d'ailleurs car, à chaque fois qu'un (ou plusieurs) ami (s) venait le visiter
j'y passais
et j'y prenais goût et plaisir. Il prit d'ailleurs un grand nombre de photos et de vidéo. A quelles fin ? Je ne savais pas trop.
Un soir, il m'annonça qu'il allait me présenter à l'un de ses amis un certain Hugo dont il m'avait déjà parlé. Si j'avais bien compris, c'était le nouveau patron du sex-shop de mes anciens amants et aussi un genre de rabatteur pour les soirées spéciales. Le costume fut simple : dim-up résille et talon haut et ce fut tout outre mon habituel ciré noir. Bien entendu il me fallut être outrageusement maquillée, genre vulgaire. Cela ne me posa pas trop de problème je commençais à adorer
. Effectivement, je ne m'étais pas trompée nous prîmes la direction du quartier chaud. Ma présentation aurait donc lieu en public, en "live".
Nous pénétrâmes dans ce lieu de turpide glauque quelques clients étaient là et cessèrent leurs emplettes dès mon entrée. Habitués de ce genre d'endroit, ils pressentaient sûrement qu'il allait se passer quelque chose.
Nous nous dirigeâmes vers le vendeur, plutôt pas mal de sa personne mais cependant avec un regard bizarre de ceux qui vous déshabillent et vous mettent mal à l'aise. Il me présenta et aussitôt il me pria d'ouvrir mon vêtement. Je me fis l'effet d'une jument devant l'examen d'un maquignon. Cet examen sembla positif voire admiratif. Roger lui demanda si je l'inspirais. La réponse d'Hugo fut positive :
"Sans problème ! Je l'imagine avec un plug dans le cul et ça m'excite déjà. Venez voir !".
En voyant en rayon tous les sexes masculins factices, les yeux de Roger brillaient. Je voyais qu'il était particulièrement attiré par ceux de dimensions hors norme. Je fus un peu inquiète, surtout quand Roger m'annonça que "j'allais battre mes records
" Il y en avait de plusieurs tailles et de différentes formes. Il fit semblant d'hésiter devant des modèles plutôt imposants et me demanda si je pensais être capable d'absorber de tels engins. Le vendeur vint nous rejoindre et nous proposa son aide pour le choix. Il finit par ouvrir un tiroir en disant :
"Je crois que j'ai quelque chose qui va parfaitement convenir à Gisèle
"
Interdite, je regardais fixement l'objet.
Cette chose avait un nom "The Challenge" tout un programme. Le cône noir à en écouter Hugo mesurait vingt trois centimètres de haut depuis la base dont dix-huit proprement dédiés à la pénétration avec un diamètre progressif de trente cinq à cent vingt millimètres (pas moins
.). Il continua en précisant que son poids d'un kilo huit cent contribuait à lui conférer sa stabilité rene par une puissante ventouse insérée à sa base. Bref à l'entendre l'engin était fait pour une (ou un) spécialiste de la pénétration anale extrême. Je fus beaucoup gênée de devoir expliquer que c'était mon cas. Hugo proposa immédiatement de l'essayer dans la cabine, donc pratiquement en public. Roger accepta tout de suite, très excitée à l'idée.
Nous nous sommes retrouvés dans une cabine dont le rideau avait été laissé ouvert. Je me posait les jambes écartées, posées sur les accoudoirs, les fesses au bord du siège, offrant à tous une vue complètement dégagée de mon entre cuisse et surtout mon anus. Dans la cabine, comme partout ailleurs dans le magasin, il y avait un petit écran de télé. On voyait une femme se sodomiser elle aussi avec un gode monstrueux.
"Tu n'aimerais le faire ?" demanda Roger.
"Tourner dans un film porno
pourquoi pas !"
"Oui du hard extrême qui serait diffusé ici et pourquoi pas sur le net !"
J'ajoutais après un moment de réflexion
" Ce serait peut être une expérience à tenter
)
Actrice de porno ! Jusqu'où cela irait-il ? Cette corde manquait à mon arc
.
Mais pour l'instant agenouillé entre mes cuisses, Roger s'apprêtait à introduire tout d'abord un plug dans de moindre importance mon anus. Pour faire le passage. Les deux hommes, plus les clients devaient voir ma rondelle s'ouvrir autour du cône tandis qu'il poussait pour me l'introduire. Et d'un coup mon cul digéra le plug. La partie la plus large était passée et mon anneau s'était refermé sur la base. Roger me demanda de le faire aller et venir pour bien le sentir. A chaque fois que je le retirais je sentais les plis de mon illet se distendre autour du plastique. Au bout de quelques minutes, Roger annonça qu'il était temps de passer au modèle supérieur
le monstrueux
. Il posa l'extrémité du plug sur oeillet distendu et poussa tout en exerçant des mouvements tournants. Le début se passa bien jusqu'à environ la moitié, le troisième quart fut plu ardu, mais pour le reste, la base du cône refusait de passer.
"Détends-toi, vas-y, ce n'est qu'un mauvais moment à passer mais après ce sera délicieux ».
Mais j'avais beau faire, mon anus ne pouvait pas s'ouvrir plus. Je pense qu'il avait déjà atteint des dimensions incroyables je vous rappelle mes bouteilles que j'arrivais à insérer mais là
.. Quand il retirait le plug avant de réessayer de l'introduire, je suppose qu'ils voyaient tous mon anus tout boursouflé et distendu. Devant cet échec Roger eut l'idée de demander du renfort. Hugo et les clients purent tous à leur tour saliver ou cracher entre mes fesses. A chaque fois Roger lubrifiait le plug. Avec ce lubrifiant improvisé, il arriva à me l'enfoncer plus loin mais pas intégralement. Les clients assistaient au spectacle et l'encourageaient tout en se branlant. A un moment donné il exerça une pression plus importante sur le plug qui franchit enfin la barrière de l'anus maternel. Je poussais un grand cri au moment où la partie la plus large lui m'éclata le derrière, heureuse d'avoir réussi. Roger entreprit alors de ressortir le plug. Lorsque le plug fut ressorti, je ressentis mon anus grand ouvert, on devait bien en voir l'intérieur. Roger passa l'engin à Hugo qui m'enfila à nouveau le plug dans les entrailles. Le passage était fait et je supportais tant bien que mal les allers-retours mais de plus en plus facilement. Il fallut que je me caresse le clito et j'eus très rapidement un orgasme. A la demande de Roger, Hugo puis les hommes qui se branlaient dans le couloir s'approchèrent de moi et se firent sucer l'un après l'autre et m'éjaculèrent soit dans la bouche pour certains, alors que d'autre visaient mon visage. J'étais exténuée. Je donnais vraiment l'image de la parfaite salope, cuisses grandes ouvertes avec un plug monstrueux enfoncé dans le cul, l'anus distendu et du sperme maculant mes lèvres et mon visage.
Plus tard Hugo me l'offrit et avec un grand sourire, il nous dit qu'il serait ravi de me revoir dans son magasin. Roger le rassura en lui annonçant qu'il n'y avait aucun problème. En rejoignant la voiture, j'eus les compliments de Roger malgré ma démarche bizarre
. à cause du plug qui me remplissait le cul et de la décision de mon amant de le voir rester en place pour le restant de la soirée.
Je revis effectivement Hugo plusieurs fois. Celles ou Roger m'emmenait ou m'envoyais passer un petit après midi au magasin et aussi celles ou il était partie prenante (très prenantes) des soirées un peu particulières dont l'un de ses amis était l'instigateur. Accompagnant Hugo c'est donc ainsi que Roger fit la connaissance de Goran. Il en revint enchanté et
très excité.
Ce Goran c'était son prénom avait racheté un immeuble avec bar tombé en désuétude qu'il avait rénové et transformé en un établissement sui faisait mi bar, mi genre boite de nuit. En fait ni l'un, ni l'autre complètement en vérité. Le bar était en fait un bar très intime et en réalité un lieu habilement transformé en lieu, dit, de rencontres qui se faisaient à l'étage
. Devant le danger d'enfreindre la loi sur le proxénétisme, il avait pensé à autre chose
.
L'autre partie du local avait été aménagé en une sorte de boite de nuit, mais pas celle où l'on danse. La grande pièce avait été aménagée en fait pour y accueillir des ébats collectifs. Goran la louait à des gens qui voulaient organiser des partouzes. Sur la demande d'habitués et en discutant avec Hugo il avait songé à étoffer son activité qui était il faut bien l'avouer très épisodique. Les partouzards ne son pas légions non plus ! Roger avait amené sa pierre à l'édifices et avait pensé que Goran pourrait mettre sur pied des soirées ou une main d'uvre composé uniquement de non professionnelles, en plus de la participation évidente aux partouzes serait amenée à ce produire en show, qu'ils soient hétéros ou lesbiens, ou être les vedettes de gang bang immodérés. Bien sûr Goran "tarifierait" les prestations de ces femmes, recrutées souvent par Hugo auprès de ses clients les plus vicieux qui souhaitaient voir leur amie, femme ou maîtresse enrôlée dans cet établissement. Les clients amateurs de ce genre d'ébats ne manquaient pas et Goran et Hugo pourraient sans conteste en trier un bon nombre pouvant se révéler discret mais très actif sur un plan sexuel.
Naturellement, vu mes "exploits" Hugo avait pensé que je pourrais être une recrue parfaite. A l'évidence, Roger avait été emballé et dans son désir de me pervertir encore un peu plus, il avait trouvé le lieu idéal surtout que ce joli monde avait quelques idées pour rentabiliser le reste de l'immeuble. Comme me l'indiqua Roger :
" C'est à toi que j'ai pensé tout de suite
. Tu te doutes bien
. "
Ben voyons
.
En compagnie de Roger nous nous rendîmes une fois dans son établissement pour qu'il m'essaye. Cette rencontre préalable à mon recrutement fut satisfaisante de son point de vue. Du mien ?....je ne pensais qu'à recommencer tellement j'avais pris de plaisir. Il confirma à Roger que j'allais être une bonne recrue
la première en tous cas
la première du club des cinq
puisqu'il avait quelques idées sur les futures belles de nuit, salopes et autres roulures engagées pour ces petites sauteries. Da l'avis de Roger, conforté par celui d'Hugo, et enfin de Goran j'avais toutes les qualité pour être mise à la disposition de ce dernier. Ce que je pensais de Goran
Assez beau mec
mince mais musculeux, pas mal de charme chez ce ténébreux dont les yeux noirs luisaient d'une lueur indéfinissable qui mettait mal à l'aise (toutes celles qui l'ont croisé pensent la même chose). Il y avait dans son regard dominateur comme un sorte de délectation, promesse de volupté mais aussi de perversité et de vice. Cet air ne me déplaisait pas. Ce qui ne me déplaisait pas non plus et c'est peu de le dire c'était une très belle queue de belle taille, très au dessus de la moyenne élégante et galbée, fière et appétissante. Elle était plus grosse et plus longue encore que celle de Roger. Et de plus quelle vigueur! On pouvait croire qu'il pouvait baiser des heures
un rêve ! Par contre il faut bien dire que parfois il imposait à ses partenaires des pénétrations assez hard (il adorait cela) et lorsqu'il choisissait la petite porte pour s'y satisfaire il n'y allait pas de main morte et nous le sentions passer. Quand je sentais qu'il allait me sodomiser une vague de chaleur menvahissait les reins et ramonait jusqu'à mes seins, le désir semparait de mon être et pour tout dire, la conduite des événements méchappait. Ma volonté était annihilée, lenvie dêtre baisée, enculée s'emparait de moi et commandait mes actes en ces instants.
Il allait ou plutôt j'allais inaugurer ce nouveau type de soirée par un magistral gang-bang. Persuadé de mes facilités d'absorption et de ma nature généreuse, il avait prévu que nous serions treize à table. Comme vous le savez, on s'arrange toujours pour ne pas être ce nombre fatidique réputé porter malheur. Au cas particulier il porterait malheur à la seule femme présente et c'est elle qui se ferait enculer (entre autre) par les douze autres
. Une cène revue et corrigée façon porno
.
Ce fut homérique j'en ressortis dévastée, brisée et épuisée. J'avais jouit un nombre incalculable de fois et m'était évanouie deux fois. Si bien que les dernières pénétrations et intromissions d'objet ou de mains entières dans mes orifices ne me procuraient plus rien. Il serait peut être fastidieux que je vous raconte en détails
surtout
surtout que d'autres attendent pour vous raconter leurs aventures et ce qui les a conduites à faire partie de ce club singulier. Je reprendrais la parole et la plume pour compléter leur récit sans compter que la vicieuse machine interne de Roger c'était remise en route
.
La première à vous relater ses tribulations sera Martine. C'est avec elle que de "poor lonesome salope" je passais à "duo d'enfer".
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!