9 Jours Tranquilles À Antibes. 12e Et Dernier Chapitre
(Pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents). Pour Henri cest son dernier jour de vacances à Antibes. Décidément, les antiboises ne sont anti-baise.
En chemin je marrête pour acheter du Champagne frais, de la Vodka et quelques délices à grignoter.
Mon téléphone sonne. Cest Coralie (la fille boutonneuse). Je lui réponds. Elle mannonce quelle a suivi mes conseils à la lettre :
-« Lanimateur du camping dont je tavais parlé ma présenté un de ses potes. Un beau garçon dune vingtaine dannée qui sappelle François. Il est super sympa. Je suis sortie avec lui. Il ma amené dans sa chambre et nous avons baisé. Il était très doué et jai eu un orgasme merveilleux. Après je lai sucé. Et après jai accepté une sodomie. Tu sais que je naime pas trop ça, mais il a insisté alors
Lui il a adoré. Il ma dit que jétais super bonne et que jétais faite pour la double pénétration. Jétais vachement contente que ça lui ait plu à ce point. Il ma proposé de faire venir un ami pour me prendre en double. Jai pensé à ce que tu ma dit et jai accepté. Je les vois tout à lheure. Alors tu es content ? »
-« Oui ma chérie, tu tes très bien débrouillée. Limportant dans tout ça cest que tu y prennes du plaisir et je vois que cest le cas. Rappelle-moi pour me raconter la suite. Ce serait encore mieux si tu pouvais appeler quand ils seront en train de te prendre à deux. » Cette dernière remarque nest quune boutade, mais Coralie semble se prendre au jeu.
-« Hi, Hi, Hi ! Tu es fou ! Je vais essayer. Je te rappelle. Bisous. »
Arrivé à mon appart, jai juste le temps de me laver et de me changer. Il est lheure de partir chez Alain.
Jy arrive à 20 heures, comme convenu.
Françoise et Magali sont déjà là. La fête peut commencer. Nous discutons de mon héritage, du travail au magasin, des vacances. Nous buvons, nous mangeons, nous fumons quelques pétards.
Lalcool aidant, nous abordons des sujets plus sexuels.
La conversation arrive sur nos meilleurs souvenirs de sexe.
Cest moi qui commence.
Je parle de la fois ou jai baisé en alternance lanus et la chatte dune fille. Et que celle-ci a adoré ça, et quelle a jouit en hurlant. Je me tourne vers Françoise, elle me jette un regard courroucé. Elle doit avoir peur que Alain devine quelque chose. Il nen est rien.
Alain se lance à son tour. Il nous raconte la fois ou une fille lui a fait « gorge profonde ». Cétait bien évidemment super bon. Il a éjaculé sans prévenir la fille. Elle sest étranglée et elle a vomi sur lui.
Comme meilleur souvenir, il aurait pu trouver mieux
Cest au tour de Françoise. Mais elle refuse de raconter quoi que ce soit sous prétexte quil y a trop de bons souvenirs et quelle ne peut pas choisir.
Alain intervient.
-« Et la fois ou je tai baisée dans la cuisine alors que tes parents étaient dans le salon. Tu te souviens ? Quel pied ! » « Et puis le jour ou je tai acheté un vibro-masseur et que ...»
Françoise le coupe brutalement :
-« Tu ne va pas raconter toute notre vie ? Ça suffit ! »
Cette intervention clos le débat qui sannonçait pourtant passionnant.
Nous décidons daller nous coucher, ce qui veut dire baiser.
Françoise et Alain senferment dans leur chambre.
Magali et moi nous installons sur le clic-clac.
Cette nuit dadieu aurait du être mémorable. Elle fut dune grande banalité.
Magali qui navait plus ses règles a accepté de baiser. Sans grand enthousiasme ni pour elle ni pour moi.
On est interrompu par la sonnerie de mon téléphone (je lavais volontairement laissé allumé au cas ou
). Comme je lespérais, cest Coralie. Je sors du lit pour pouvoir écouter en toute tranquillité.
Je décroche et jentends des bruits bizarres comme des soupirs :
-« AAAAAH, Hummmm, aaaaah
»
Moi : « Coralie, cest toi ? Tout va bien ? »
Coralie : « Henri, je tappelle aaah- comme promis.
Incroyable ! Elle na pas menti, elle est avec deux garçons. Et en pleine séance de baise !
-« Ils mont aaah- dabord baisée à tour de rôle. aaah- Jai adoré. »
Une voix de garçon se fait entendre : « Ta copine est une sacrée salope. Elle a déjà jouit 2 fois ! »
Coralie reprend la parole : « Puis François aaah- ma sodomisée aaah- . Jai bien aimé aussi. »
Une autre voix de garçon : «Son cul est super bon ! Quelle salope ! »
La première voix masculine : « On sen occupe bien de ta copine. Faut pas tinquiéter
»
Coralie : « Arrêtez de parler ! Maintenant je suis aaah- sur Rachid qui pénètre mon vagin aaah- , pendant que François aaah- me prends par derrière. Ouaaah ! Cest très fort ! Cest très bon ! aaah- Cest très bon ! -AAAhii- Moins vite François aaah- sil te plait. Ouaaa-ouaaah. Il faut que je te laisse aaah- , il faut que je te laisse aaaaaaaah !- » Et elle raccroche.
Putain ! Et dire que cest moi qui lai pervertie
-« Cétait qui ? » Me demande Magali.
-« Juste une ex qui me raconte quelle vient dessayer la double pénétration. »
-« Elle manque pas de culot celle-là ! Ça ne te dérange pas ? »
-« Je ne suis pas jaloux. Et jadore quand mes ex me racontent leurs turpitudes. Il faudra que tu fasses pareil toi aussi. »
Je retourne moccuper de Magali, je veux essayer quelque chose de plus jouissif : une sodomie. Mais à nouveau cela savère impossible.
A contre cur il faut que je me contente de son vagin. Après ce que je viens dentendre, cest encore plus insipide que tout à lheure. Pour la faire jouir plus vite et me débarrasser de cette corvée, je frotte son clito avec mes doigts. Elle jouit, enfin.
Et cela se finit, comme lautre soir, par une fellation.
Vers 2 heures du mat je me décide à partir.
Je ne peux pas dire au revoir à Françoise et Alain car ils dorment déjà.
Magali veut que je la ramène chez elle (chez ses parents). Elle nhabite pas très loin, dans une petite maison genre pavillon de banlieue. Le trajet est rapide.
Nous nous disons adieu devant la porte. Magali veut que je reste, elle veut me revoir. Je lui explique que cest impossible. Quil faut quelle trouve de nouveaux amants pour samuser. Que ce serait un gâchis quune fille si jolie ne profite pas de tous ces garçons qui lui tournent autours. Etc
Pour toute réponse Magali saccroupit, elle ouvre mon pantalon, elle extrait ma bite et elle commence une fellation.
Je la laisse faire quelques minutes car la situation est assez excitante. Puis je larrête. Je narriverais pas à éjaculer.
Je laisse mes coordonnées parisiennes à la petite coiffeuse. Ce nest pour quelle vienne me voir, mais plutôt pour quelle mécrive et me raconte ses diverses expériences sexuelles à venir.
Arrivé à mon studio, je mendors immédiatement.
MERCREDI le départ-
A 8 heures, mon réveil sonne.
Bon sang ! Je suis crevé.
Il faut que je termine ma valise. Après il faut que jaille rendre le scooter. Puis rendre les clés à lagence immobilière. Ensuite je dois prendre un car jusquà laéroport de Nice.
Jhésite à envoyer un SMS à toutes mes conquêtes. Le même SMS :
-« Rendez-vous chez moi à 10 heures pour des adieux mémorables. Bisous, Henri »
Jimagine Françoise, Gaëlle, Magali, Sarah, Sylvie, Léa, arrivant en même temps devant ma porte close
Caurait été une fin très cinématographique.
Je nen fais rien.
Je me contente denvoyer des messages dadieu dune grande banalité.
Puis je fais ce qui était prévu.
Dans le car puis à laéroport, je reçois divers messages de réponse. Tous très gentils et très flatteurs pour moi.
Jai même la surprise davoir un SMS de Carine qui dit quelle serait heureuse de me revoir. Youpi !!!
Dans lavion je repense à mon séjour qui sest déroulé idéalement, je sort mon carnet pour me remémorer tous les détails.
A faire ainsi linventaire des filles et des diverses pratiques sexuelles, ça me fait penser à un jeu que nous avions lancé avec des copains.
A 20 ans je métais inscrit à la fac de Jussieu (à Paris). Ce nétait pas les études qui mintéressaient, mais les femelles qui fréquentent ce lieu.
La drague était fructueuse. Mais je nétais pas le seul à en profiter. Beaucoup détudiants étaient ici pour la même chose que moi, et il y avait quelques professeurs qui se servaient aussi.
Avec le temps, jai fais connaissance avec dautres dragueurs. Beaucoup de ces types étaient de vrais cons, égoïstes et jaloux. Mais jai réussi à créer un climat de confiance et dentente avec quelques séducteurs du campus. Il aurait été stupide de se faire concurrence. Je suis devenu ami avec trois dentre eux. Il y avait Alex (un petit brun aux yeux verts), Théo (un grand et beau blond) et Youss (un grand noir).
Nous avons décidé de nous aider mutuellement en nous donnant des conseils et en nous refilant des bons plans ou des bons coups.
Nous avons vite compris quil était plus facile de draguer par paire. 2 garçons qui abordent un groupe de 2 ou 3 filles cest plus sympa et la conversation sengage plus facilement.
Jétais le plus souvent avec Théo. La cafétéria était notre terrain de chasse privilégié.
Une fois le gibier appâté, la conversation était lancée sur des banalités (vie étudiante, cours, bouffe) et nous allions prendre un pot ou manger un morceau. Nous sympathisions en nous rapprochant chacun de lune des filles. La conversation sorientait vers des choses plus personnelles et intimes. Suivant lattitude de létudiante on pouvait soit directement linviter chez nous (sous entendu pour baiser) soit linviter à une sortie dans un bar branché ou pour aller voir un spectacle.
Ça ne marchait pas à tous les coups, loin de là ! Beaucoup de meufs étaient déjà maquées, dautres étaient gouines, dautres (rares) très sages.
Tous les 4, nous nous retrouvions régulièrement. On se racontait nos aventures, nos méthodes, et tous les détails de nos pratiques sexuelles.
Pour rajouter encore du piment à nos jeux, on avait fini par lancer un pari entre nous.
Le vainqueur serait celui qui se serait fait le plus de meufs dans lannée et qui aurait fait les pratiques les plus « hard ».
Pour faire un calcul valable on avait établi un barème :
100 points par fille
+ 10 points si elle suce
+ 30 points si elle avale
+ 50 points si on arrive à la sodomiser
+ 50 points si elle accepte une double pénétration (avec un gode)
+ 100 points pour un fist-fucking (main entière dans le vagin)
Avec ce concours, plus question de partager nos conquêtes, au risque de donner des points à ladversaire. Avant, il nous était arrivé de prendre une fille à deux. Cétait assez facile : tu baise une fille, si elle accepte la sodomie il faut lui suggérer une double pénétration, si elle nest pas hostile, tu fais venir un ami. Cest étonnant comme nombre détudiantes sont tentées par ce genre dexpérience.
Moi, je naime pas beaucoup partager. La nouvelle situation due au concours ne me gênait donc pas.
Pour ce genre de concours, tout le problème consiste à vérifier que les copains nen rajoutent pas sur leurs exploits.
On arrivait parfois à filmer nos ébats, dans ce cas cétait parfait il ny avait pas de contestation possible. Mais cétait pas toujours facile à réaliser. Il fallait une caméra, il ne fallait pas que la fille se rende compte quelle était filmée, il fallait bien voir les pénétrations (est-ce dans la chatte ou dans le cul, est-ce quelle avale ou pas ?), etc.
Moi javais installé dans ma chambre un ingénieux système de 2 caméras bien cachées. Je les mettais en marche dès larrivée de la fille. Quand la baise avait lieu chez moi, il ny avait donc aucune contestation possible. Mon installation était tellement au point que Youss et Théo sen servaient de temps en temps : ils amenaient leurs conquêtes chez moi (lorsque mon appart était libre, bien sur).
Alex quant à lui avait réussi plusieurs fois à faire des petits films avec son portable.
Par contre quand ça se passait chez la fille ou ailleurs, cétait plus coton.
Faute de film, on avait une autre méthode, il suffisait de téléphoner à la copine avec le haut parleur et de lui faire avouer tout ce quon lui avait fait. Si la fille était seule (il ne fallait pas quelle soit à son travail avec des collègues à coté, ni dans le métro, ni encore moins avec ses parents) elle acceptait généralement de faire des commentaires sur la partie de jambes en lair de la veille (ou des heures précédentes).
La conversation pouvait être du genre « ça ta plus quand je tai sodomisé hier soir ? », ou « cétait trop bon quand tu as avalé mon sperme ! ». Il suffisait que la fille confirme et on avait nos points validés.
Bien sur, on avait pensé au risque dune entente. Si le garçon prévient la fille quil faut quelle dise ceci ou cela pour gagner un pari, le jeu est pipé. Aussi nous avions décidé que toute triche en ce domaine serait éliminatoire et le tricheur exclu de la bande.
Nous draguions sur le même terrain de chasse : la fac (et un peu sur internet). Il nous arrivait donc de coucher avec la même fille (pas en même temps). Avec les confidences sur loreiller on pouvait avoir la confirmation de ce quelle avait fait ou non avec ses ex. Même chose lorsquon baisait une fille qui était très amie avec lune des maitresse dun des gars de la bande. Les filles se font entre elles des confidences très intimes et elles nhésitent pas entrer dans les détails les plus croustillants. Nous avions parfois des confessions comme :
-« Ma copine Carine est sortie hier avec ton pote Youss. Quest quil lui a mis ! Elle ma dit quil avait une bite énorme. Ils ont baisé toute la nuit. Il la même sodomisée. » Etc
La triche était donc quasi-impossible.
Lorsque nous baisions une fille et que nous savions quelle avait déjà couché avec lun de nos potes, cela conduisait à des situations cocasses. Ainsi il est arrivé quune fille me dise quelle avait toujours refusé davaler, alors que je savais quelle lavait déjà fait plusieurs fois avec Théo. Cette petite menteuse a été punie. Je lai enculée, chose quelle navait pas faite avec mon copain !
A la fin du concours, après 6 mois, jen étais à 3210 points.
Javais baisé 21 filles différentes : 2100 points.
Toutes mavaient sucé : 210 points.
10 avaient avalé : 300 points.
Jen avais enculé 15 : 750 points.
3 avaient accepté une double : 150 points.
Fist : 0
Navait pas été validée la fois ou jai baisé à son hôtel une touriste étrangère (Australienne) qui était repartie le lendemain.
Autre cas non validé : je navais pas voulu informer mes amis que javais baisé la petite soeur dAlex. Le pauvre, il laurait très mal pris. Lui qui croyait que sa sur était sage et vierge, ce nétait ni lun ni lautre. Je lavais prise par tous les trous ! Le film des 3 séances de baise avec cette fille est toujours bien rangé chez moi. Je lai montré depuis à Théo et Youss, mais jamais à Alex.
Jétais arrivé le second de la compétition.
Cest Youss qui était largement en tète avec 5340 points. Il sétait tapé 29 filles en 6 mois ! En plus, je sais pas comment il faisait mais il les avait toutes enculées (sauf 3). Y compris une fille avec qui jétais sorti peu de temps avant et qui avait catégoriquement refusé. Cétait dautant plus incroyable quil avait une très grosse bite, ça aurait dû poser des problèmes pour rentrer un tel morceau dans un petit trou.
Mais pas de triche. Plusieurs des filles quil avait sautées étaient passées ensuite dans mes bras ou ceux de Théo et Alex et elles avaient confirmées les diverses pratiques sexuelles quelles avaient eu avec Youss.
Une des explications possible cest que les films pornos donnent limage du noir endurant, bien monté, bestial, et qui encule les femmes. Quand une fille couche avec un noir, elle sait donc à quoi sattendre. Probable même quelle serait déçue si il navait pas une grosse queue et si il nessayait pas de la sodomiser.
Comme Youss avait rarement des films comme preuve, il fallait donc quil téléphone aux filles pour quon ait la confirmation, il sy prenait assez bien :
-«Cétait super ce quon a fait hier. Tu es partante pour quon fasse la même chose ce soir ? »
Et on avait souvent des réponses du genre :
-« Oui, cétait vachement bien. Je veux bien venir, mais ce soir pas de sodomie, tu mas fait trop mal hier. »
Ça nous faisait marrer et ça rassurait Alex et Théo : une très grosse bite nest pas toujours un avantage.
Une seule de ses copines avait répondu différemment :
-« Jai adoré, tu baise comme un dieu. Et puis quand tu mas enculée, quel pied ! Cest la première fois que je jouis par le cul, cétait sublime. Jai hâte de recommencer. Rien que dy penser jai des frissons. »
Une fille qui a un orgasme quand on lencule cest très rare. Nous avons eu des doutes, aussi nous avions insisté auprès de Youss pour quil lamène chez moi pour être filmée. Il a accepté. Le film porno ainsi obtenu fut spectaculaire ! Et nous avions la preuve indiscutable sous les yeux avec labourage danus et orgasme anal à la clé. Et pas de simulation possible, les tétons pointus, la transpiration, la respiration accélérée, les halètements, les spasmes et la rougeur des joues : tous ces symptômes indiquaient que cétait pas du chiqué, la fille avait bien jouit par le cul.
Youss a revu plusieurs fois cette fille exceptionnelle. Mais cétait un boudin, elle était grosse et moche. Après quil ait réussi à lui faire un fist-fucking (et de gagner 100 points) il la larguée. Cette connasse la poursuivi pendant plusieurs semaines. Au téléphone ou à la fac elle venait le supplier pour quil revienne soccuper delle. Cétait pathétique. Youss sen est débarrassé en lui présentant un de ses cousins qui était lui aussi gâté par la nature.
Cest Théo qui est arrivé dernier. Il sétait tapé seulement 12 filles en 6 mois. Mais dun autre coté, rester longtemps avec une même fille permettait de lamener à faire des choses plus perverses. 9 sétaient faites enculées. 6 avaient accepté une double pénétration avec gode. Il avait réussi à fister 2 de ses victimes (il faut dire quil a des mains fines). Il en avait, semble-t-il, fisté une autre (cétait dailleurs la plus jeune), mais impossible de lui faire reconnaître au téléphone. Ses points nont donc pas été validés !
En plus, comme il est resté parfois plusieurs semaines avec les mêmes filles, il avait fini par en baiser plusieurs sans préservatif. Comble de la délicatesse, il sétait fait sucer après les avoir enculées (ce que lon nomme dans le jargon Ass-To-Mouth). Mais, pas de chance pour lui, ces diverses perversions nétaient pas comptabilisées dans notre jeu.
Alex navait obtenu que 2400 points. Il faut dire quil ne voulait coucher quavec des blondes, ce qui restreignait son gibier potentiel. Comme il était petit, il se faisait souvent rembarrer.
Heureusement il avait pour lui ses yeux verts et son bagout. Il narrêtait pas de parler et il était très insistant auprès des meufs. Beaucoup en avaient vite marre et lenvoyaient chier. Mais dautres finissaient par céder à ses avances. Cétait sa méthode : le harcèlement.
Il avait sauté 18 filles (toutes blondes) en 6 mois. Il en avait enculé 10. Pas de double. Pas de fist.
Il ny avait rien à gagner à ce concours. Cétait juste pour le fun. Cétait surtout stupide et jai aujourdhui un peu honte dy avoir participé.
Mon avion se pose sur lAéroport dOrly.
Paris me voici ! A moi les petites touristes étrangères.
Mes jours tranquilles à Antibes sont bien terminés. Je vais reprendre la vie trépidante parisienne.
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