Suite De Francine Et Andréanne ( Relation Débutante )

J’arrive à mon bureau toute troublée et joyeuse de cette rencontre avec une femme qui s’ignorait. La journée passe rapidement avant que je réalise que je n’ai pas son numéro de téléphone. Je regarde dans sa fiche dans le dossier et j’y trouve celui-ci. Un qui est celui de son bureau et un autre de sa résidence. Je les note dans mon calepin section privilégiée.
J’arrive chez moi en fin d’après midi et je fais quelques ouvrages soit mettre de l’ordre dans ma maison. Je fais un lavage de mes vêtements, la vaisselle qui traînait et en fin je fais un petit feu de foyer pour enlever l’humidité dans la maison car nous sommes près de l’hiver. Je vais prendre une douche et une fois celle-ci terminé je me fais une salade que je déguste. Le téléphone qui est à ma porté, j’appelle Andréanne pour savoir comment c’est déroulé sa journée; bien me dit-elle et nous avons discuté de notre nuit dont elle fût très impressionné de ses réactions me dit-elle.
Je la quittai et je suis allé faire un dodo après 3hrs de téléphonie. Je sais un peu plus sur ce qu’elle est. Mon sommeil est agité et je me réveille tôt avec un drôle de pressentiment. Je vais à mon travail, joyeuse malgré un mauvais « feeling ». Ma journée se déroule bien, beaucoup de clients avec des problèmes que je tente de résoudre avec ceux-ci. Je rentre chez moi avec un mal de tête. Je prends un bon bain chaud pour me détendre. J’aurais bien besoin d’Andréanne pour me faire masser. Je décide de faire un appel à ma nouvelle complice. Pas de réponse. Je reste sur ma faim.
Je m’endors sur mon divan et me réveil en début de nuit et je rejoins mon grand lit. Je continue ma nuit et me lève à 7hrs du matin et je me prépare pour le travail. Une journée, deux jours sans avoir de nouvelles d’Andréanne. Je ne suis pas surprise, car cela m’est déjà arrivé plusieurs fois. Cela fait une semaine que je n’ai pas de nouvelles donc je laisse tomber car dans ma tête je me dis que je ne devais pas l’intéresser.

Je suis déçu.
L’hiver ayant commencé je décide de faire mes activités d’hiver soit Ski, patin, marche. Le travail comble mes journées. Cela fait déjà quelque temps que je n’ai pas vu et aussi avoir eu de ses nouvelles d’Andréanne mais pourquoi je pense à elle mais le pourquoi, je ne sais pas!
Le printemps fait son arrivé et aussi les premières chaleurs. Par ce beau dimanche de mai, je suis à faire un peu de ménage dans mon garage. Je place mes chaussures d’hiver de ma voiture. Une voiture entre dans mon entrée derrière ma voiture. Je ne connais pas cette voiture. Je m’approche et je ne peux l’imaginer! Andréanne! Mais c’est elle mais oui c’est bien elle. Elle quitte sa voiture et s’approche avec une cane qui la supporte. JE SUIS STUPÉFAITE, ÉBERLUÉE, touts les qualificatifs y passent. Mes yeux sont pleins de larmes. Je suis près d’elle et je ne sais que dire. Instinctivement je tends mes bras vers elle, elle les prend et je la serre dans mes bras et nous nous serrons tendrement.
Je lui demande ce qui lui était arrivée. Elle m’explique. J’ai eu un accident et ou un semi-remorque m’a frappée de plein fouet et les médecins (Diane , Pierre, Marc) se sont consultés et ils m’ont mis dans un coma artificiel avant de faire une reconstruction de ma jambe soit 3 opérations. Je suis sortie de l’hôpital il y a 3 semaines et je dois continuer ma ré habilitation avant de pouvoir retourner au travail. Comme je n’ai ni frère et ni sœur, je ne pouvais pas te rejoindre. A mon réveil je ne pouvais pas parler car j’étais intubée. Quand je suis sortie de cet endroit, je me suis rendue chez moi me retrouver mais tu as toujours été dans mes pensées. Je suis passé à ton institution mais tu n’y étais pas. La secrétaire m’a dit que tu étais en congrès et que tu serais de retour le lundi cela se passa il 3 semaine et je t’ai laissé un message de me rappeler.
Tu sais lui dis je, il y a des personnes qui viennent à la succursale pour me voir et qui ne laissent pas de messages.
Ma secrétaire m’a dit que la personne marchait avec une cane pour se soutenir. Je lui dis : tu sais j’avais conclu que tu ne voulais pas pousser plus loin et j’ai déjà vécu cela très souvent. Tu sais me dit-elle une jambe, un poumon perforé, des cotes cassées et un coma, inconsciente arrivée l’hôpital, en faite une fille bien mal en point. Le médecin de l’urgence me reconnue et contacta mon employeur qui lui ne connaissait pas notre relation qui ne faisait que débuter.
Tu dois avoir des cicatrices a plusieurs endroit oui en effet je te les montrerai prochainement. Je l’invitai a entré dans mon chez moi pour que nous jasions à notre aise, ce que nous faisons. il est 15hr30 et je l’installe sur mon grand divan. Nous discutons Le temps passe et nous voila près du souper je lui offre celui- mais elle décline et elle quitte pour son chez soi sans qu’elle me dise de venir la voir.
Le soir je réfléchis à la situation dont elle a du subir et les souffrances atroces qu’elle a endurées. Je rentrai au bouleau le lendemain en ayant une pensée pour Andréanne. La soirée venue je décidai de la contacter pour savoir ce qui s’est passée durant sa journée. Elle me dit que tout cela c’était bien passé. Elle me suggéra que si je voulais passer chez elle un soir, qu’elle me recevrait pour un souper et si je voulais que je pourrais y apporter des vêtements pour le lendemain. Je lui dis d’accord mais je vais y penser lui dis je. Je continuai à communiquer touts les soirs durant 2 semaines avant de me décider à aller chez elle. Je la contactai en pm pour lui annoncer mon arrivée après ma journée.
Comme je n’avais jamais été chez elle je ne savais à quoi m’attendre, mais une chose que je savais, elle aime le bon gout. Je sonnai à sa porte et elle m’ouvrit avec grand sourire. Nous nous embrassâmes. Elle me fit visiter les lieux et me fit déposer mes vêtements apportés pour le lendemain dans son garde robe et me fit une place dans le woken . Elle me dit : se sera ta place….
Je lui souris. Nous sortîmes du Woken et je ne sais pourquoi, je jetai un coup d’œil à son lit qui est très grand Nous allons au salon qui est vaste et aussi une grande vitre ce qui permet de son loft de voir la ville du huitième et dernier étage de voir au loin le fleuve.
Je sents un bon odeur qui vient de la cuisine. Elle se déplace toujours avec sa cane. Elle me dit : attend je reviens une chose oblige. Elle se dirige vers la toilette et revient quelques minutes plus tard. Elle s’est mise à son aise. Elle a passé une chemise et un short sportif un peu évasé ce qui montre ces cicatrices. Une larme perla sur ma joue. Elle la vit. Elle s’approcha et l’embrassa. Nous nous embrassâmes tendrement. Nous prenons notre souper et nous caressons nos mains, nos doigts et nous regardons souvent avec des baisers du regard. Je remarque sur son comptoir une panoplie de médicaments. Elle me dit : il y en avait le double, maintenant j’en ai laissé beaucoup et a chaque semaine il y en une que je laisse sur ordre. Je prévois avoir terminé dans 3 semaines et reprendre le travail, ce qui me manque.
Il est assez tard et nous avons décidé que le dodo est arrivé. Je vais prendre une douche. Je regarde et constate une immense salle de bain. Elle me tend une grande serviette et elle quitte l’endroit. Je me douche et me savonne pour sentir bonne. Je sorts de celle-ci et me dirige dans la chambre. Je crie à Andréanne que la place est disponible. Elle me répond : je prépare le café pour demain et j’y vais. Je m’étends dans le lit et laisse une lumière de chevet allumée. Elle arrive. Je la regarde et son sexe est rasé. Je n’ose pas lui toucher de peur de lui faire mal. Je me tourne vers elle, et je remarque d’énorme cicatrice des petites et des grandes au niveau de sa cuisse des ses hanches de son ventre et elle se retourne et je regarde son dos.
Je tends mon bras et je la rapproche de moi. Elle ne se contacte pas. Je lui caresse son dos meurtri et je lui embrasse le dos et lui lèche ses meurtrissures ma langue longe sa colonne avec des câlins.
Je continue un peu et ma langue lui caresse le début de sa raie. Je remonte la colonne avec des bisous et la reprend dans mes bras et nous nous endormons. Au matin je la sentis blotti contre moi, ses seins qui sont beaux. Je sentis le café qui était prêt. Il était 7hrs30, elle s’étira et me fit un beau sourire et me dit qu’elle était contente que je sois là, nous nous embrassâmes, nous nous regardâmes toutes les deux dans notre nudité. J’espère que je ne t’ai pas fait peur hier soir avec mes cicatrices? Non lui dis je. N’est crainte je m’occuperai de ton corps quand tu seras rétabli! Nous nous levâmes et prirent notre café. Je me préparai pour aller à mon travail et elle me dit que je peux y laisser mes vêtements que je portais la veille et aussi si je voulais en apporter d’autres qu’elle aimerait cela.
Durant la semaine Andréanne est venue chez moi 3 fois et j’ai fait de même. Elle aussi apporta des vêtements de rechange. Cela fait un mois que nous faisons cela et nous aimons bien. Ses médecins lui donnent l’autorisation d’un retour au travail. Elle avise son employeur de son retour dans 2 semaines. Quand elle est chez moi, nous travaillions sur le terrain et prenons du temps pour nous.
En Juillet le 12 c’est sa fête et elle a 36 ans. Je vais la fêter avec d’autres amies de son entourage, nous ferons cela chez moi. Se sera le samedi en fin de pm soit à notre retour d’une sortie entre fille. J’avais pour circonstance invité de ses con-soeurs de travail et aussi de mes con-soeurs dont elle connaissait. Nous étions une vingtaine de femmes à placoter de nos expériences. La soirée terminée, elle me prit la main et me dirigea vers mon garage. Elle ouvrit la porte du coté et alluma la lumière. Il y avait une corde suspendu et parterre un fouet avec 6 lanières. Elle me dit : « je veux que tu me fouettes, je suis à toi et je veux t’appartenir ». Je la regarde et je lui dis « c’est le plus beau cadeau que tu m’offres Andréanne, lui dis je! Je m’approchai d’elle et je l’embrassai. Je lui enlevai son chemisier et enlevai son soutien gorge. Je pris ces deux mains et les insérai dans la corde. Je fis monter ses bras au dessus de sa tête et attachai la corde après un poteau. Je la regardai et je lui dis : « tu as déjà été flagellée » elle me répondit à mon grand étonnement « une fois quand j’avais 12 ans par une amie « me dit-elle. Je passai ma main dans son dos et le caressai. Je remarquai la légèreté du fouet. Je commencai par un puis deux avec certaine force et elle insista pour que cela soit plus fort. Je me rendis jusqu'à dix avec une intervale de 30 secondes entre chaque coup. Je la regardai et je la détachai son dos était rouge mais pas de marques. Je lui demandai de me faire la même chose ce qu’elle me fit. Nous sommes entrées dans la maison en nous tenant par la taille. Il était 2hrs du matin et nous allâmes nous coucher après une bonne douche et nous être bien savonnées.
A suivre








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