Camille Episode 21
(Quelques heures
ailleurs.)
Voilà un mois que nous sommes rentrés de Genève. Laccident, le pied de Fabien, tout ceci nest plus quun mauvais souvenir.
Je reste en relation avec ma nouvelle amie, Eliane. Nous nous téléphonons très souvent et il nest pas rare que lon se retrouve sur lordi, en cam, pour de petites séances de masturbation.
Bien sur, cest mieux que rien, mais la tenir dans mes bras me manque terriblement.
« Bonjour monsieur Félicien ! Vous ne venez pas au bureau ? »
Je minquiétais un peu de ne pas le voir, et je ne suis pas très contente quil ai attendu onze heures pour me téléphoner.
« Jai tout un tas de chèques à vous faire signer. Vous serez là cet après midi ? »
« Non, et toi non plus. Rejoins-moi à mon domicile à quatorze heures ! »
Je trouve quil a le ton grave. Ca minquiète un peu.
« Tout vas bien ? Vous êtes sur ? »
« Quatorze heures Camille ! Et sois à lheure. »
Il a raccroché sans me donner plus dexplication. Je vais vivre les trois plus longues heures de ma vie.
Je suis à lheure et je sonne à la lourde porte de la maison. Monsieur Félicien mouvre et à son regard, je vois tout de suite que quelque chose ne va pas. Il referme la porte et ne membrasse même pas.
Mon inquiétude est grande.
« Quest ce qui se passe ? »
« Vas dans mon bureau. »
Je pénètre dans le bureau et quelle nest pas ma surprise dy voir Mylène.
« Bonjour ! Ca va ? Quest ce qui se passe ? »
Je mavance vers elle pour lui faire la bise, mais elle détourne la tête.
« Assois-toi ! »
Très inquiète, je minstalle dans le fauteuil face au bureau. Mes beaux parents se placent face à moi, appuyant leurs fesses contre le bureau et restent là, bras croisés.
« Bon sang ! Dites moi ce qui se passe ! On dirait un conseil de famille ! »
Monsieur Félicien, me donne la réponse sans plus attendre.
« Tu ne crois pas si bien dire, Camille.
Mince ! Quest ce quelle a bien pu raconter ? Je me sens glacée et je suis sur que je rougie.
« Je sais tout Camille. Elle ma tout raconté. »
« Ho ! Je suis désolée ! Cest vrais, on a un peu dérapé, mais
»
« Silence Camille ! Il ne sagit pas de tes petits jeux sexuels ! Il sagit de la relation que tu entretiens avec nous. En cachant à lun que tu couchais avec lautre, tu nous as menti, tu nous as trahis. »
Merde ! Je ne sais pas ou ils veulent en venir, mais ils ont lair dêtre très remontés contre moi. En même temps
jarrive à le comprendre. Il me semble que ma vie explose en mille morceaux.
« Bon, cest vrais, je naurais jamais du vous embarquer dans des aventures avec moi. Ce nétait pas malin de ma part et je ne voulais surtout pas vous faire du mal. Mais vous maimez bien, non ? Il y a surement moyen doublier tout ca, de recommencer à zéro, non ? »
« Camille, tu es une reine déchue et aujourdhui tu nas plus la main. Aussi, avec Mylène, nous avons décidé de te punir ! »
« Me punir ? Quest ce que cest que ces conneries ? Vous allez me priver de dessert ? »
« Ton arrogance ne te servira à rien ! Maintenant, tais-toi et suis-nous ! »
Il magrippe par le bras et mextirpe du fauteuil sans ménagement.
Je nen mène pas large et préfère faire profil bas. Je les suis et nous montons en voiture.
Je demanderais bien ou nous allons, mais je préfère obéir à lordre de mon beau-père.
Apres plus dune heure de route, nous nous arrêtons devant une maison isolée.
Cest un type dune quarantaine dannées qui vient nous ouvrir. Pas mal le mec, même si son regard me fait froid dans le dos.
Il serre la main de mes beaux parents mais mignore complètement.
« Mylène. Félicien. Enchanté de vous recevoir. »
Il nous invite à entrer et nous conduit dans son salon.
« Je vous en prie, installez-vous. »
Nous prenons place dans un canapé plutôt confortable.
« Quest ce que tu fais ? Toi, tu te mets debout dans le coin, les mains dans le dos ! »
Sa voix est aussi glacée que son regard. Jen frémis.
Je ne comprends pas très bien son comportement, mais devant le manque de réaction de mes beaux parents, je préfère mexécuter.
Je me place dans le coin quil ma indiqué et je ne bouge plus.
« Je vous sers quelque chose à boire ? »
« Oui, volontiers ! »
Je ne comprends pas très bien. Je nexiste plus. On ne me regarde même pas.
Ils discutent de tas de choses, mais soudain, je sens que cest de moi quon parle.
« Vous pensez que ce sera long ou difficile ? »
« Ben ! Daprès ce que vous men avez dit, je pense pouvoir la briser relativement facilement. Mais parfois ses garces donnent du fil à retordre. »
La briser ? Me briser ? Je crois que je commence à comprendre et ca me fait froid dans le dos.
« Reste pas comme ca, toi ! Remonte ta jupe et ouvre ton chemisier ! »
Je crois que jai tout intérêt à faire ce que lon me dit.
Je porte une jupe droite moulante. Je la remonte le long de mes cuisses, à la limite de mon sexe, puis je déboutonne entièrement mon chemisier.
« Tu te présentera à moi dans cette tenue et dans toutes les circonstances. Tu rajouteras à ta tenue, des bas et des portes jarretelles. »
« Je vois pas pourquoi, je ferais ca ! »
Il se met à hurler.
« Ici, cest moi qui parle ! Fou toi à genoux, mains sur la tête, putain ! »
Merde ! Ce con me terrorise. Je fais ce quil me dit et il reprend sa conversation comme si de rien nétait.
« Ca, vous voyez, ce nest rien. Elles se rebellent toutes toujours un peu. Cest normal, ils leurs faut un peu de temps pour comprendre. »
Comprendre quoi ? Il me prend pour une idiote ou quoi ? Jai bien compris que je vivais là ma première séance de dressage.
Cest donc ca ma punition.
Je ne sais pas ou ils ont vu que ca me punissait. Au contraire, lexpérience mintéresse fortement. Je dirais même que ca mexcite.
« Occupe-toi de mes invités. Mets-les à laise ! Ils seront mieux entièrement nus ! »
Je mavance à genoux, vers mon beau père et déboutonne sa chemise, après lui avoir retiré sa cravate.
Je suis très étonné quil accepte ca. Surtout devant Mylène et un étranger.
Pourtant.
Même elle, semble attendre son tour avec impatience.
Je défais sa ceinture et descend la fermeture éclair de sa braguette. Il est excité. Son sexe tend son slip.
Jai un moment dhésitation, de flottement. Et si ce nétait quune mauvaise blague, destinée à mhumilier, me ridiculiser ?
« Bon ! Alors ! Ce pantalon, tu lui retire aujourdhui ou demain ? Grouille ! »
Je déteste lentendre hurler. Il me fait peur.
Monsieur Félicien se soulève un peu pour me permettre de descendre son pantalon et son sous vêtement.
Je retire ses chaussures et ses chaussettes et pose ses vêtements sur laccoudoir du canapé.
Entièrement nu devant moi, son sexe dressé semble nattendre que ma bouche. Mais ?
« Tu as lintention de laisser ses affaires comme ca ? Non pliées ? Tu as une chaise là ! Lève-toi et range-moi ca comme il faut ! »
Je me remets sur mes jambes. Mes genoux ont épousé les dessins de la moquette bouclée.
Je pose délicatement, la chemise sur le dossier de la chaise et je me penche pour plier correctement le pantalon.
Je sais que mon cul et ma chatte sont visible. Cétait dailleurs, surement le but.
Pour ne pas lentendre crier et pour lui éviter de me lordonner, jécarte un peu les jambes.
« Vous voyez ! Elle semble comprendre très vite. Cest bien, ca ! »
Dans le reflet dune vitre de son living, je laperçois derrière moi, une cravache à la main.
Il sen sert pour relever un peu plus ma jupe.
Lorsque le petit triangle de cuir, vient tapoter mon coquillage, je suis déchirée entre la crainte et le plaisir.
« Ferme et bien fermé. Humm ! Cest du premier choix ! Cest bien, salope ! Vas sucer un peu ton beau-père et occupe toi ensuite de Mylène ! »
Je mactive à faire redresser le dard un peu ramolli de ce cher monsieur Félicien.
Jadore le sucer. Jaime sa queue, ses veines saillantes, son gland allongé, lécher son frein. Mais par-dessus tout, jaime gober ses couilles lorsquelles sont molles, et les sentir durcir entre mes lèvres.
Ca na pas lair du gout de monsieur.
« Occupe-toi de Mylène, espèce de chienne ! »
Je me place entre ses genoux. Même si ses seins son libres sous sa petite veste, il nen reste pas moins quelle a voulu shabiller, bon chic, bon genre, dans ce petit tailleur bleu, qui ne lui va pas du tout.
Cest donc avec un plaisir non dissimulé, que je lui retire.
Elle semble à laise, pourtant, ses joues sont un peu plus que rosées.
Je descends la fermeture sur le coté de sa jupe et elle se soulève à son tour pour faciliter son retrait.
Elle fera de même pour me permettre de retirer son string.
Nue, en bas et portes jarretelles, elle est sublime et me donne envie. Mais, comme je suis une élève disciplinée, je me lève pour ranger comme il faut, le tailleur sur une autre chaise.
Je suis très fière de moi, pourtant le cuir claque ma fesse droite. Je pousse un petit cri, plus de surprise que de douleur.
Je me retourne.
« Hé ! Ca ne va pas non ? »
Bien mal men prend, car un autre coup, plus fort celui-ci, sabat sur ma cuisse gauche.
Plus vexée quautre chose, les larmes me montent aux yeux.
« Mais ! Quest ce que jai fait ? »
« Tu ne te lève pas sans ma permission ! Cest comprit ? »
« Bon ! Ben il suffisait de le dire ! Cest tout ! »
Evidement, je reprends un coup de cravache.
« Aille ! Ca fait mal, merde ! »
« Tais-toi, morue ! Tu na quune chose à répondre cest « oui, monsieur. » ! Cest comprit ? Cest bien rentré dans ta caboche de poufiasse ? »
« Heu oui
Mais monsieur qui, monsieur quoi ? »
Je sais que je lagace et ca mamuse beaucoup. Mais lorsquil lève une fois de plus sa cravache
« Jai compris monsieur ! Jai compris monsieur ! Oui, monsieur ! »
« Ca va pour cette fois. Vas satisfaire Mylène ! »
Lorsque je me remets à genoux entre ses jambes, je croise son regard. Elle semble ravie de me voir être traitée ainsi.
En tout cas, ca lexcite à mort. La salope est trempée et elle jouit en moins de trois minutes.
« Allez ! Lève-toi, fout toi à poil et retourne dans ton coin. »
Ils moublient une fois de plus.
Voir mes beaux parents nus, devant un homme habillé, il y a des choses comme ca dans la vie, qui sont parfois surréaliste.
Ils reprennent un verre tranquillement. Parfois, je surprends le type me dévisager de la tête aux pieds. Mais à aucun moment, je narrive à savoir si je lui plais ou non. Il est sans expression, sinon les quelques sourires rares quils donnent à ses invités.
Lorsquil reprend sa cravache, un long frisson me parcourt léchine.
Il se place au centre du salon, devant un coffre en bois.
« Viens à quatre pattes, jusquici ! »
En élève studieuse et qui retient bien ses leçons, je lui réponds.
« Oui, monsieur. »
Je parcours les trois mètres qui me séparent de la caisse, puis, massois sur mes chevilles, mains dans le dos.
« Humm ! Voyez comme elle comprend vite ! Cest un vrai bonheur. »
Je suis super fière de moi.
« Mais pour avoir osé tassoir sur tes mollets, tu sera punie ! Tu reste à genoux, jambes à léquerre et légèrement entrouvertes ! »
« Oui, monsieur. »
Merde ! Moi qui croyais bien faire ! Je lève mes fesses et éloigne mes genoux, lun de lautre.
« Enlève-moi mon pantalon ! »
Enfin ! Il se décide à se mettre dans la même tenue que tout le monde ! Pendant que je moccupe de sa ceinture et de sa braguette, il ôte son maillot.
Son corps ressemble à une bande dessinée. De nombreuses scènes de s sont tatouées un peu partout sur lui.
Ca me donne des frissons.
« Ouvre le coffre et vide le ! »
Il contient tout un tas de trucs, comme des godes de longueurs, formes et couleurs différentes. Des chaines, des cadenas, de la cordelette, des menottes. Il y a aussi des espèces de poignets de force en cuir, des colliers et des laisses.
Bref ! Tout un attirail qui naspire pas à la détente.
« Mylène ! Je vous en prie ! Choisissez son collier. »
En cuir, clouté avec un anneau devant, il est plus adapté pour un chien, quà un humain. Pourtant, on me le passe autour du cou. Et comme si cela ne suffisait pas, elle y accroche une laisse en métal argenté.
Elle est ravie.
« Humm ! Un rien habille cette catin ! »
Puis il demande à monsieur Félicien de me conduire jusquà une chaise, de lautre coté de la pièce.
Il prend la laisse et je traverse le salon, à quatre pattes.
Monsieur, agrémente mon déplacement en massenant de petits coups de cravache sur les fesses. Je les sens rougies et elles me chauffent un peu. Mais étrangement, je me sens plutôt excitée.
Lhomme me retire la laisse et il minstalle sur la chaise.
« Houu ! Elle est froide ! Vous nauriez pas un coussin ? »
« Comment oses-tu parler sans autorisation ! Tu vas me le payer cher ! »
Oups ! Jaurais peut être du fermer ma gueule sur ce coup là.
La chaise est disposée face à une chambre. Il y a un grand lit, recouvert dun dessus de lit rouge vif. Sur celui-ci, je vois posées deux barres en acier.
Sur lune delle sont fixés un collier en son centre et des menottes à ses extrémités.
Sur lautre, juste des menottes.
« Félicien ! Allez installer Mylène, sil vous plait. Je vais moccuper de cette petite effrontée ! »
Il passe mes bras derrière le dossier et me menotte. Par terre, il y a des cordelettes de différentes longueurs. Il en utilise pour ligoter mes chevilles et mes mollets aux pieds de la chaise.
« Essaye dont de serrer les jambes maintenant ! Putain ! »
Jentends mon beau-père pouffer de rire.
Je jette un coup dil à la chambre. Mylène est allongée sur le dos et attachée aux deux barres métalliques. Tout comme moi, elle est privée de tout mouvement.
« Félicien ! Bouffez lui la chatte pendant que je fini avec elle. »
Je le vois sinstaller à genoux devant la grotte de son épouse et se pencher pour la lécher.
Doù je suis, le spectacle du trou du cul et de lappareillage pendouillant de monsieur Félicien, à sur moi un effet des plus comique. Je ne peux mempêcher de ricaner.
Ce nest pas du gout de mon tortionnaire.
« Je vais te passer lenvie de rigoler, moi ! »
Et il y arrive très vite.
Cest la valse des cordelettes. Elles mentourent, serpentent autour de moi, tournent autour de mes seins, reviennent autour de mon cou. Elles me compriment contre le dossier.
Mais le plus dur reste à venir.
Mes mains, menottées jusque là au bas de mon dos, ne me posaient pas de problème. Mais voilà quil passe mes coudes par-dessus le dossier. La position est très inconfortable et douloureuse.
« Aille ! Ca fait mal ! »
« La prochaine fois, tu apprendra à te taire ! »
Et comme si cela ne suffisait pas, il noue une cordelette qui rapproche mes deux coudes. Jai limpression que mes épaules vont sarracher.
« Tu verras, avec un peu dentrainement, dans quelques temps, ils se toucheront. Haha ! En attendant, respire à fond, merdeuse ! »
Ainsi attachée, mon buste se pousse vers lavant. Ce qui amplifie la tension des cordes.
Je vois mes seins prendre une couleur rosée, gonflés et passer du rose à un léger violet.
« Je mets une bille dans ta main. Si tu a vraiment trop mal, ou si quelque chose ne va pas, lâche-la. Tu as compris ? »
« Je suis assez grande pour le dire ! Je nai pas besoin de votre bille ! Et de toute façon, jai déjà mal ! »
« Ok ! Je te détache alors ? »
Un sentiment étrange me traverse. Sil venait à me détacher se serrait comme un échec pour moi. Ce serrait avouer que je ne suis pas aussi forte que je veux le faire croire. Et finalement, les liens ne me font pas souffrir tant que ca.
Il sourit devant mon silence.
« Serre bien ta main sur la bille. Avec ca, tu nauras plus la possibilité dêtre impertinente ! »
Il menfonce un bâillon boule dans la bouche et le fixe derrière ma tête.
Jessais de protester, mais ne sort de ma bouche que des sons incompréhensibles.
Il me regarde, contemple son uvre et va dans la chambre.
« Cest bon ! Vous vous êtes suffisamment régalé ! Installez-vous près de la fille. Cest à mon tour de moccuper de cette trainée. »
Monsieur Félicien se relève et vient sasseoir par terre, près de moi.
Le maitre de maison saffale de tout son long sur Mylène et la pénètre sans ménagement.
« Regarde Camille ! Regarde comme il la baise bien ! Hummm ! Tu aimerais surement être à sa place, hein ? Je suis sur que tu mouille. Petite salope ! »
Joignant le geste à la parole, il plonge sa main entre mes cuisses.
Mais je sais déjà que je mouille comme une chienne que je suis.
« Ho, merde ! Jen étais sur ! Tu es trempée ! »
« Ne la touchez pas ! »
Le type a tourné la tête et semble furieux après mon beau-père.
« Ne la touchez pas ! Ne lui parlez pas ! »
Il retire précipitamment sa main, tout en sexcusant.
Si je pouvais parler, je ne me gênerais pas pour lui dire ce que je pense. Il nous veut toutes les deux, juste pour lui. Ce type est un escroc.
Mes seins et mes bras me font de plus en plus mal. Je lâche la bille. Elle rebondie sur le plancher et roule jusque dans la chambre.
« Une seconde, salope ! Je viens ! Je fini madame et je
je viens ! Hummm ! Ouiii ! Je viens ! Je viiiiiii
! Haaaaa ! »
Mylène prend son pied en même temps que lui. Il fini de se vider et seffondre sur elle, oubliant mon signal.
Je vocifère derrière ma boule. De longs filets de bave coulent sur mes seins depuis cinq bonnes minutes. Je suis dégoulinante de salive.
Il se relève enfin et vient vers nous.
« Nettoyez-la ! Toute cette bave mécure ! »
Tandis quil commence à me détacher, monsieur Félicien lèche mes seins et mon ventre afin de faire disparaitre toutes traces.
Mes coudes sont redescendus dans mon dos et mon bourreau masse mes seins pour refaire circuler le sang correctement.
Je suis soulagée.
Mon beau père libère mes jambes et mes chevilles et les masse eux aussi, avec beaucoup de tendresse.
« Ca suffit comme ca ! Lève ton cul et vas nettoyer ta belle-mère ! Vite ! »
Je me lève de ma chaise péniblement et marche doucement vers le lit.
Mes jambes encore tétanisées me supportent à peine.
Les mains toujours menottées dans le dos, je peine à me hisser sur le lit. Puis, une fois en position correct, je laisse mon visage tomber entre les cuisses de Mylène.
Lendroit est chaud, humide, gluant et odorant. Odeur reconnaissable parmi mille. Lodeur du foutre chaud, mélangé à celle de la cyprine.
Mélange explosif, qui réveille tout mes sens.
Je me régale de ce nectar, lorsque jentends lhomme dire à monsieur Félicien de venir me baiser.
Derrière moi, le matelas senfonce. Deux mains se posent sur mes hanches et le dard de mon beau-père me pénètre doucement, jusquà la garde.
Secouée par les coups de butoir, ma bouche, ma langue, nettoient Mylène de façon hasardeuse. Mais cela semble lui convenir, car elle jouit avec force.
Je ne suis pas longue à prendre le même chemin, lorsque mon beau-père se libère dans mon ventre en longues saccades chaudes.
Voir mes fesses rougies par la cravache, doit lexciter, car il me gratifie de deux claques magistrales sur mes parties charnues.
Content de lui, il descend du lit et laisse sa place à « monsieur ».
Celui-ci, prend place derrière moi, mais contrairement à monsieur Félicien, il ne pose pas ses mains sur mes hanches, mais agrippe les menottes et me tire en arrière.
Tout le poids de mon corps repose sur les menottes. Mes poignets sont attaqués par le métal.
« Monsieur ! Monsieur ! Jai mal ! Mes poignets ! Jai mal ! »
« On en reparlera quand jaurais fini de te casser le cul ! Pouffiasse ! »
Je serre les dents et ferme les yeux très forts. Je bloque ma respiration et pousse un peu, espérant ne pas trop souffrir.
Son gland se place à lentrée de ma grotte et lorsquil me pénètre, il me semble être
ouverte en deux.
Je hurle de douleur.
Entre deux sanglots, dans le flou de mes yeux mouillés, japerçois mon beau-père qui sapprête à me frapper avec la cravache.
Son bras est haut. Il va le faire de toutes ses forces.
Lorsque son bras sabat sur mon dos
« Chérie ! Houhou ! Tu veux déjeuner ? Il est déjà neuf heures ! »
Jouvre doucement les yeux.
Je suis dans le cadre douillet de ma chambre à coucher.
Fabien est penché sur moi, souriant. Il caresse doucement mes cheveux.
« Ca va ? Tu es en nage. Tu as de la fièvre ? »
Je maccroche encore aux draps, les mains crispées.
« Je viens de faire un cauchemar étrange. »
« Mon pauvre amour ! Raconte-moi. »
« Heuuu
non, ca ira. Je veux bien des tartines beurrées. Tiens, en passant, jette cette chose à la poubelle. Tu veux bien ? »
Je lui tends le livre de bondage.
« Je crois que je vais changer de lecture. »
Je me prépare très vite et je fonce au bureau.
Ce nest pas le travail qui manque. Notre petit séjour à Genève se fait ressentir.
Halala ! Que ferait mon petit patron chéri, si je nétais pas là ?
Onze heures déjà. Le téléphone sonne.
« Bonjour monsieur Félicien ! Vous ne venez pas au bureau ? Jai tout un tas de chèques à vous faire signer. Vous serez là cet après midi ? »
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