Les Vieux Films
J'emménage dans la nouvelle maison que je viens d'acheter, elle est grande, presque trop. Heureusement que j'ai pas mal d'amis qui m'aident dans mon installation. Deux jours après c'est fini. Je me repose quand je pense que j'ai simplement oublié de regarder de que contient sans doute encore le grenier. C'est un véritable souk. La plus parts de objets gardés par l'ex propriétaire ne sont bon que pour la décharge. Je trouve un belle collection de cartes postales anciennes:ça doit avoir de la valeur pour quelque un qui s'y intéresse: je mets ça de coté. Je trouve un vieux projecteur 8 mm avec une foule de films. Je descends l'ensemble au nouveau salon. Adeline, mon amie vient pour voir si je n'ai pas encore besoin d'un coup de main. Pas du tout: je lui montre le projecteur et les films. Nous sommes curieux de voir le contenu des bobines asses grosse.Pendant le temps pour moi de trouver la façon de faire fonctionner l'engin, elle cherche un écran: la meilleurs formue est encore un drap tendu contre un mur. Nous fermons les fenêtres et dans la pénombre je mets en route le projecteur.
Dès les première images nous avons un sursaut: au lieur de voir des rencontre familiales ou des prises de vues de vacances, nous regardons avec une attention accrue: il s'agit bien de rencontres familiales d'un genre assez particulier: un couple nu dans un lit, puis debout, dehors, devant une piscine, sur une page. Les membres du couples changent souvent: la femme est presque toujours la même. Nous concluons que nous voyons madame avec son mari et un amant, que les deux hommes se relaient pour baiser ou tenir la caméra.
Je commence à oublier le projecteur. Adeline, comme moi commence à être un plus que surprise de voir que les baises n'ont pas changées. Elle aussi est excitée par ce qu'elle voit. Je bande comme un âne: elle le sait et vient me sortir la bite pour me branler un peu avant de demander:
- Tu ne voudrais pas faire comme eux ?
- Si, bien sur, mais je n'ai pas de caméra.
- Imbécile, tu sais ce que je veux dire !
- Quoi ? Tu voudrais faire comme eux ? Ce ne serait pas bien nous ne sommes que deux.
- Pas grave, pour le moment on fera une répétition, et après on verra.
- D'accord. Embrasses moi.
Je ne fais pas que l'embrasser: nous devons absolument jouer notre rôle au sérieux: c'est trop important de baiser. Je lui passe directement ma main sous sa jupe légère elle écarte bien ses cuisses comme elle le fait depuis que nous baisons ensemble. Elle garde ma queue dans une main, me branle juste pour m'exciter. Je monte vers son entrejambe. J'y trouve aussitôt son endroit préféré. Je la masturbe jusqu'à son orgasme. Elle a sa tête en arrière, les yeux fermés, en gémissant. Pour être réalistes et jouer notre rôle, elle tient à avoir les mêmes positions, dont certaines sont assez délicates à réaliser.
Je préfère baiser normalement pour notre "premier " rôle. Au fond elle s'en fout du moment qu'elle a ma bite dans son vagin. Nous allons inaugurer la chambre. Le lit est très large: on pourrait s'y mettre à trois ou quatre facilement. Je la déshabille, m'en fait autant. Nous noue étendons en largeur. Je l'embrasse encore tout en la pelotant. Elle a repris ma bite en main. Si je ne sais pas qu'elle veut baiser, c'est que je suis un demeuré. Ce qu'elle préfère avant tout est que je la suce. Elle m'invite à venir entre ses jambes. Je passe ma tête pour découvrir dans mon nouveau chez moi, son sexe luisant. Je ais comme elle aime: ma langue commence par aller sur son anus que je lèche un bon moment avant d'y mettre le plus possible de langue. Elle en jouit. Je vais ensuite directement sur son clitoris. Il est assez gros pour que je le prenne dans mes lèvres. Je l'aspire pour le rejeter et je recommence encore.
Elle sait que j'ai envie d'elle. Elle se souvient d'une scène où la femme se mettait sur le ventre pour se la faire mettre. Nous n'avons jamais baiser ainsi: c'est l'occasion d'essayer. Elle est donc sur le ventre, les bras sur sa tête, les jambes plus écartées que d'habitude.
- Oui, ne t'arrête pas, c'est bon comme ça.
- Tu te régales de baiser comme cette femme.
- Oui. Et toi tu me baises comme son type, c'est bien pour toi ?
- Merveilleux. Je préfère quand tu me fais face. Je peux te voir avec ma bite dans ton con.
- Tu n'es pas romantique.
A dire vrai-je ne vois pas ce qu'il peut avoir de romantique en baisant comme dans un film. Toujours est-il qu'elle jouit ainsi. Je n'ai pas pu jouir alors qu'habituellement je jouis normalement avec elle. Elle a pitié de moi. Elle se tourne pour me sucer. Elle pratique la fellation avec beaucoup de passion. Elle lèche mon gland en y tournant sa langue. Ensuite quand elle sent d'écouler les première gouttes elle n'hésite pas à prendre presque toute ma queue. C'est tout un art qu'elle a appris au fil de ses amants. Elle n'aime pas faire de gorge profonde, alors elle met ma pine entre ses joues et sa langue. Quand elle sent que je vais jouir, elle sort ma pine de l'endroit où elle est pour la garder entre son palais et sa langue. Je jouis ainsi dans sa bouche. Elle garde toujours mon sperme pour venir le partager avec moi. C'est agréable de partager ma semence avec elle: après tout nous partageons bien sa cyprine.
Ce genre de dégustation nous ne l'avons pas vu dans ce film.
Nous retournons au salon, nus tous les deux. Je remets un autre film. Encore les mêmes personnages. Avec un tout petit plus: il y a deux femmes maintenant, deux femmes qui semblent assoiffées l'une de l'autre. Bien sur je bande encore. Comment faire quand on voir deux femmes s'aimer. Adeline, qui n'a jamais fait preuve d'attirance pour les filles:
- Elles sont belles ces deux femmes ensemble.
- Tu aimerai bien t'en payer une, non ?
- Pourquoi pas, je les vois se faire jouir, c'est sans doute bon.
- Pour toi, c'est presque que quand je te suce, non ?
- Non je pense qu'une femme doit mieux le faire encore.
- Tu voudras essayer une fois avec une autre ?
- Pourquoi pas, si tu es là.
- Et si je baise l'autre devant toi ?
- Je l'aurai bien fait avec elle devant toi.
Imparable. Raisonnement imparable.
En attendant nous sommes toujours excités. En attendant une hypothétique deuxième femme nous allons une fois de plus baiser. Cette fois c'est moi qui ai repéré une autre position. Adeline possède un gode dans son sac. Je lui demande de le prendre. Elle n'en connaît pas encore l'usage. Je la fait mettre en levrette: elle pense que je veux lui faire une double pénétration, chose qu'elle n'aime pas tellement. Je me met la bouche sur son clitoris, le gode me sert simplement à le lui mettre dans l'anus. Elle ne s'attendait pas à une telle chose. J'ai peine à la retenir en place: elle répond au rythme du gode que je manie. Je la fais jouir encore deux ou trois fois. Elle se couche fatiguée. Je n'en ai pas fini avec elle: maintenant je vais la baiser à ma façon: je la mets au bord du lit, les jambes pendantes. Elle suppose que je vais encore lui faire un cunnilingus erreur: je lui lève les jambes sur mes épaules, lui écarte bien son entrée à deux main, j'y mets d'abord presque tous mes doigts et enfin je la lui mets très lentement dans sa moule.
Nous arrêtons pour aujourd'hui même si elle dort avec moi. Nous verrons demain les autres films. Si il y a des scènes de partouze, Adeline voudra y participer.
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