Un Si Bel Été Et Ses Suites-3
Un si bel été et ses suites-3
Les jours qui suivirent, très excité par ce qui sétait produit, je me pensais autorisé à espérer pouvoir baiser Cécile. Je cherchai discrètement son numéro de téléphone dans le répertoire de ma mère et je finis par me décider à lappeler :
« Allo, Cécile, cest moi. Jaimerais bien
(je bafouille un peu)
tu voudrais
jai envie de te revoir. »
Après un silence elle répond :
« Demain après-midi, vers 3 heures, ça te convient ? Bon, voici mon adresse exacte. Je suppose que tu nas pas envie de la demander à ta mère, » ajoute-t-elle en riant.
Ce samedi, je me trouve dons devant son immeuble à 3 heures précises. Linterphone grésille. « Monte, cest au premier, à droite. » Quand jarrive sur le palier, la porte souvre, elle me fait entrer, me pose un rapide baiser sur les lèvres, me prend par le bras et mentraine directement dans sa chambre.
« Alors, tu avais envie de me revoir » dit-elle avec un peu dironie. Rlle passe son pull par-dessus la tête, se débarrasse de sa jupe. Elle ne porte ni culotte ni soutien-gorge, juste des bas qui rendent sa nudité encore plus érotique. La décoration de sa chambre est très dépouillée, baignée dune lumière tamisée, et le lit me semble immense. Elle sy couche, genoux pliés, cuisses largement écartées. Je retrouve sa motte impeccablement épilée, ses lèvres proéminentes et le vagin profond déjà ouvert.
« Allez, viens vite me brouter, petit cochon. »
Je me retrouve rapidement nu, allongé entre ses jambes, la bouche collée à sa vulve déjà bien humide. Elle me tient fermement la tête entre ses cuisses tandis que ma langue sactive pour sintroduire au plus profond de son vagin. Je noublie pas non plus son clitoris. Elle mouille abondamment, cambre les reins pour mieux moffrir sa chatte, respire bruyamment. Brusquement elle tire ma tête en arrière : « Branle-toi. Je veux te voir te branler devant moi. » Agenouillé entre ses jambes, je lui obéis, un peu gêné.
Nous restons ainsi un moment, immobiles et silencieux. Puis elle se lève : « Ne bouge pas, je reviens. » Pour la première fois je la vois de dos, ses fesses rondes ondulent quand elle sort de la pièce.
Elle revient bientôt avec deux verres ! « Tiens, faisons une pose. Ce nest pas fini, jespère. » Je nai pas tellement lhabitude de lalcool, mais je trouve ce whisky bienvenu.
Assise en tailleur sur le lit, moffrant ainsi la vue sur sa chatte luisante de foutre, elle me pose des questions sur mes « conquêtes ». Je lui avoue mon unique aventure avec Agnès.
« Alors comme ça, tu préfères les vieilles » me dit-elle en riant.
Je me sens rougir en lui avouant que je rêvais delle depuis longtemps.
« Tu crois que je ne men étais pas aperçue ! Je mamusais à faire en sorte que tu puisses mater mon entrejambe, petit vicieux. Je te voyais rougir ! Cette Agnès a eu de la chance ; jaurais aimé te dépuceler. Mais je ne voulais pas être accusée de détournement de mineur, jai raté le coche ! dit-elle en riant. Mais on va se rattr ! » Elle prend ma bite et commence à me masturber doucement.
Après une courte hésitation, je lèche sa vulve. Lodeur de mon foutre se mêle à celui de sa chatte, mer et N°5. Elle me suce méthodiquement, ses lèvres allant et venant tout le long de ma queue. Elle doit avoir senti que je nallais pas tarder à venir. Elle me dit : « Continue comme ça, je vais jouir
» En effet, jai senti son jus affluer dans ma bouche. Comme elle a repris ma bite je ny tiens plus et jéjacule. Presquau même instant elle se cabre dans un nouvel orgasme, sans lâcher ma bite jusquà ce quelle se rétracte. Elle se laisse ensuite rouler sur le dos, haletante. « He bien, mon petit cochon, tu ne ten tires pas mal du tout !
Bon, je crois quon va sarrêter là
pour aujourdhui. »
Venant delle, japprécie le compliment. Et ce « pour aujourdhui » est de bon augure pour lavenir.
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