Mon Loup
Mon loup.
Il est toujours très tard quand mon chéri rentre du boulot, du restaurant. Ma soirée solitaire a été ponctuée de messages indiscrets ; jaime imaginer le coup de sang que je lui inflige lorsquil les lit à la dérobée, entre deux commandes. Ses réponses sont tout aussi scandaleuses ; je me caresse doucement en lattendant.
Passé 1 heure, je commence à bailler, mes paupières salourdissent ; jattends avec impatience le tour de clef.
Après un moment passé avec lui, la soirée commentée, je ny tiens plus et maffale nue sur le lit, les yeux presque clos. «
bon, je me couche là jen peux plus. Je te rejoints vite mon amour. »
Je me sens glisser dans le sommeil quand il se glisse à mes côtés, le corps nu et chaud. « Retourne toi, jai envie de me coller à tes fesses
» Sa position préférée pour sendormir. Il place son sexe entre mes fesses, comme dans un étui, son étui. Je le sens gonfler. Ca mexcite instantanément, mais jai encore plus envie de Morphée. «
jai envie de mettre mon gland dans ton cul. Mmmhmouaisnon
- Tinquiète pas, juste mon gland
-Pppff..oh non désolée mon amour
làaaa (bâillement)..là non
» Alors que je proteste fort mollement, il cherche ma petite entrée avec son membre de plus en plus dur. Il me glisse deux doigts dans la bouche et en recueille la salive ; lapplique sur mon sphincter et sur son gland, appuie
Je gémis. « Attends
non
» Après quelques efforts de son extrémité, je sens mon cul céder, pousse un petit miaulement. Il commence des va et vient lents, pénètre de plus en plus profondément en moi ; je me débats en poussant de petits cris à chacun de ses mouvements qui me déchire. Excité par cette résistance, il se raidit encore plus et me serre avec force contre lui, accélère ses mouvements.
« Tu veux que je me mettes sur toi ? -
bof
- Mets toi sur le dos. » Il se retire, essaye de me faire rouler, prend position entre mes jambes.
Alors quil me défonce à coup de reins de plus en plus amples, jenroule mes bras autour de sa taille crispée, savoure sa peau si douce puis la rondeur ferme de ses fesses. Il se démène sur moi. On sembrasse à pleine bouche ; jaime tâter ses flancs contractés à chaque assaut.
Ma chatte trempe maintenant son pubis. Partagée, je sanglote et me donne complètement. Je saisis maintenant son cul bombé et accompagne ses mouvements pour venir lécraser en moi. Le contact de son bas ventre et de mon clitoris tendu me secoue de plaisir. Je me tortille et me frotte, gémis de plus en plus fort. Je suis complètement dilatée pour laccueillir et le plaquer contre mon sexe.
Là, on se regarde yeux dans les yeux alors que mon orgasme déferle ; puis il colle son visage au mien, me dit quil est fou amoureux de moi. Encore secouée par la jouissance, je suis écrasée par son corps puissant, les jambes repliées sur mon ventre, il se met à me pénétrer avec toute sa force, me donnant des coups de butoir qui marrachent des cris, faisant claquer ses couilles sur mes fesses. Il ne ma jamais baisé le cul aussi fort, jai limpression quil pourrait me déchirer ; il bourre mon orifice avec la régularité et limplacabilité dune machine. Ca plait à mon esprit mais bientôt je cris pour quil sarrête. Mon corps lui len peut plus.
« Jen peux plus ! Jen peux plus
» Il se retire dans linstant. En sueur, le visage halluciné : « Jai jamais cassé un cul comme je viens de casser le tien.. ! »
Je resserre les jambes, soulagée, le fait sasseoir à califourchon sur moi.
Après un temps à sacharner sur son membre, il abandonne, essoufflé, et se redresse fébrilement. « Je vais me laver la bite, tu vas me finir avec ta bouche. »
Il se lève et fait les quelques pas qui le séparent de la salle de bain.
(à suivre
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