Y'A Pas Que Les Fusées Qui S'Éclatent Au Feu D'Artifice !
Nous sommes assis sur le pat du pont st Michel, la Garonne coule paisiblement, très basse en cette saison, le soleil se couche lentement, il nest pas encore lheure du feu dartifice mais nous avons préférer réserver un bon emplacement tout au bout du pont, prés des arbustes, car dici peu une nuée de monde va nous envahir, cest lendroit idéal pour voir ce spectacle
- Hello les amoureux !
Une demi douzaine dados assez excités, des canettes a la main passe devant nous, lun deux a remarqué sans doute que ma jupe était relevée bien haut, dans un premier réflexe je la tire vers le bas
- Madame ! Il ne faut pas cacher de si beaux trésors ! Puis-je vous offrir une cigarette ?
- Heuuu
- Mais bien sur, vous este sympas !
Cest la réflexion de Georges qui pense sans doute quil ne vaut mieux pas les vexer car peut être un peu alcoolisés ils sont quand même six !
Nous voilà entourés lun deux colle un peu Annie, la pénombre gagne du terrain, mais ce qui est rassurant cest que des gens arrivent autour de nous
Trois explosions sourdes ont retentit, çà va commencer, nous nous retournons face a la rivière les ados toujours collés derrière nous, Annie me murmure :
- Chéri je crois bien quune main effleure mes fesses
.
- Tu es sure ?
- Si je te le dit, elle descend sur ma cuisse
- Bah ! Laisse faire ici ils ne peuvent pas faire grand-chose
Nempêche que la main glisse entre mes cuisses, un genou se glisse entre elles pour mobliger à mécarter, mais comme dit mon mari il ne faut surtout pas les énerver alors jobtempère !et puis elle est douce cette main qui remonte vers ma chatte !discrètement je tourne un peu la tête pour voir quand même si quelquun détranger au groupe peut voir ce qui se passe, les petits malins ont formés un rempart entre nous et les autres çà me rassure un peu et puis tout le monde a maintenant les yeux fixes sur les fusées qui se succèdent
- Chéri
- Quoi encore ?
- Oh rien, jai simplement un doigt dans la chatte, mais je ne tembête plus avec çà regarde le feu dartifice, je gère !
- Cest un des jeunes ?
- Oui mais lequel ? Oh ! Yen a un qui a pris ma main, je me retrouve avec une queue bandée dedans, je le branle ?
- Oui chérie va y après tout personne ne fait attention et puis maintenant çà mexcite moi aussi, touche
.
- Oh mon salaud tu bande ! Sort là je vais te caresser toi aussi il ny a pas de raison !
Je ne saurais dire combien de mains et de doigts cherchent a entrer dans ma moule et mon petit trou maintenant, mais sans chercher à me faire mal, jécarte les jambes au maximum
Le plaisir plus fort que tout monte inexorablement
Des doigts se sont attaqués maladroitement a défaire les boutons de mon corsage sous lequel mes seins sont libres, me voilà torse nu face a la rivière, personne ne peut voir ma poitrine mes des mains explorent le terrain, ma jupe remonte sur mes hanches, mon string glisse vers le bas, je pense que je peux lui dire adieu
Des mains puissantes poussent sur mes épaules pour minciter à me courber, docilement, je lâche les deux bittes que je caressais et jappuis mes avants bras sur la pierre, me voilà offerte a un viol consentit, je suis très excitée et je vaux me faire baiser ici devant une nuée de gens indifférents ! Rapidement une queue raide de bonne taille se frotte sur ma raie, un murmure et comme par enchantement tout les doigts qui obstruaient le passage vers mes lèvres malmenées ont disparut, je ne dois pas crier au moment ou je vais me faire pénétrer
..
Mon mari qui a compris ce qui allait arriver se penche comme moi
- Tu es prise chérie ?
- Pas encore mais çà ne
. Aaaaahhhh çà y est il me baise, jen ai une jusquaux couilles muuuuuummmmm, jai envie de hurler
cest excitant cette situation
.
- Oui chérie cest très excitant pour moi aussi, pourvus quont ne nous repèrent pas
.
Elle est bonne cette queue les mains évincées de mon entre jambes se sont rabattues sur mes seins, mes tétons sont étirés, mes nichons malaxés, que cest booooonnnnnnn je vais jouiiiiiirrrrrrr ! Lado qui a sentit ma réaction me maintient collée a lui, de jets puissants et abondants percutent le fond de mon ventre, un surplus coule hors de mon vagin pour glisser lentement entre mes cuisses, la bitte ramollie glisse de mon fourreau détrempé, je vais me redresser mais on me maintient dans la même position
.
Même avec le bruit que fait la foule je perçois des bruits mouillés, un téméraire passe une main entre mon amant et moi pour aller titiller mon anus, prélevant au passage de notre jus, une phalange puis deux coulissent dans mon fondement, cest irréel , mes seins sont pelotés a outrance , je me fait enfiler comme une salope , on branle mon trou du cul , tout çà au beau milieux de la foule , assise tranquillement dans mon canapé avec tous ces jeunes il ne sen passerait pas plus !
Georges qui nen peut plus de rein voir passe lui aussi une main par devant pour trouver mon clitoris, de temps autre il va puiser du lubrifiant et apprécie en même temps la grosseur de la queue qui mhabite
Cette même queue qui lâche a son tour son venin épais dans ma gaine vaginale, le torrent déferle tout comme le précédent jusque dans mes chaussures, mon mari la sentis jouir et dautorité se glisse entre moi et le pat, je crois mon calvaire finis (mon dieu quel bonheur un calvaire comme çà !) il menlace, je maccroche a son cou, ma jupe est toujours relevée sa queue raide est plaquée sur mon mont de vénus , et pourquoi ny aurait il pas droit lui aussi ?
Tant pis pour les taches, je lève une jambe, Georges comprend vite, sa main guide sa bitte, il fléchit les genoux, et quand il se redresse je suis à nouveau pleine du mandrin de chair, reste a faire des mouvements a peine perceptibles
.Une réflexion de femme parvient a nos oreilles, nous avons faillit éclater de rire :
- Ta vu chéri ? Lamour est plus fort que le feu dartifice regarde ces deux les comme ils sont touchants
.
Si elle savait
mais
je ne le crois pas
un jeune qui na pas eu son compte est collé a mes fesses, son gland mafflu cherche un trou, le seul inoccupé est
mon cul !comme nous somment pratiquement immobiles, il a tout son temps pour viser ma cible qui palpite au gré des poussées de mon mari qui sent lintrus sa faire un passage mais il ne peut pas monter son désaccord sans nous mettre en danger de montrer ce qui se passe vraiment sur ce pont
Centimètres par centimètres je suis envahie, prise ne double je vais défaillir, Georges me soutient aussi bien avec sa queue bien plantée en moi quavec ses mains sous mes aisselles, les deux hommes, lentement, coulissent aisément , les queues se frottant lune a lautre a travers la mince parois , cest a peine si mes pieds touchent terre , et mes sens montent montent
..Tant pis je vais hurler a tout le monde mon bonheur
par miracle cest aussi le bouquet final de feu dartifice, tout le monde crie, applaudit, mes amants déchargent une ultime fois en hurlant eux aussi quand leurs couilles se vide en moi, rapidement les deux sexes me laisse un grand vide, le groupe dados applaudit me criant bravo ! bravo !tu nous as fait un très grand plaisir, merci a vous !
Ma jupe retombe, recouvrant ma chatte comme le ferait un rideau après un spectacle très réussis
George me tient serrée sur lui car ma poitrine est toujours nue, lintérieur de mes jambes doit être beurré de foutre et jai peur de découvrir une énorme tache glaireuse autour de sa braguette, nous laissons les gens évacuer le pont dans un baiser ininterrompus encore abasourdis de ce que nous venons de laisser faire !
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