Le Déplacement

Je me présente, Alexandra, Alex pour mes proches. Je suis mariée à Frédéric depuis presque vingt quatre ans. Vingt quatre ans de bonheur, avec des hauts et des bas, mais dans l’ensemble, une vie plutôt bien réussite. Nous  avons deux jolies filles, sommes propriétaires d’une maison. J’ai un boulot qui me plaît. Depuis deux ans, j’ai eu une promotion. Cette promotion m’oblige à me déplacer dans les quatre coins de la France, une semaine tous les trois ou quatre mois. Lors de l’un de ces déplacements, Fred a lancé un petit jeu. Il faut dire que mon mari est très joueur et assez imaginatif. On était au téléphone le soir, j’étais dans ma chambre d’hôtel. On parlait de notre journée quand il m’avait demandé de me caresser. On c’était masturber tous les deux et on avait jouit très rapidement tellement ça nous avait excité. Depuis, à chaque déplacement, on fait un petit jeu qui finit toujours en jouissance. Finalement, mes déplacements sont devenus des rendez-vous entre Fred et moi, qu’on apprécie et attends avec impatience.

Que va-t-on faire ce soir ? Je suis sur Bordeaux cette semaine. Hier soir, on n'a rien fait et je me doute que c’est pour ce soir. Il n'y a pas de sextoys cachés dans ma valise, contrairement à la dernière fois. J’ai pris ma douche, j’ai déjà dîné et je suis en nuisette. Lorsqu’il m’appelle, le début de la conversation est situé sur notre journée. Rien de bien intéressant pour cette histoire. Jusqu’au moment ou il me dit :

« - J’ai une envie de sexe

- Oui moi aussi.

- C’est vrai ? Tu es dans quelle tenue ?

- Je suis en nuisette.

- Tu portes une culotte ?

- Non.

- Caresse toi le clitoris. »

Je porte ma main sur mon sexe et commence à titiller mon clitoris. Il est déjà très sensible. Je ressens déjà mon plaisir monter. Jusqu’ou mon chéri va-t-il m’emmener ?

« - Tu mouille ma chérie ?

- Oui.



- Tu m’excites à mort. J’ai une gaule d’enfer.

- Humm, dommage que je ne sois pas avec toi.

- Tu me ferais quoi ?

- Je pourrais te sucer.

- Ah oui ? Va y, décrit moi ce que tu ferais.

- Je serais là, devant toi, en train de me masturber, comme je suis en train de le faire. Tu sortirais ta queue, car tu serais trop serré dans ton boxer. Je viendrais me mettre accroupie devant toi et commencerais par te lécher.

- J’imagine très bien ta langue sur mon gland.

- Imagine maintenant que j’ai pris ton sexe dans ma bouche. Je le suce, le pompe. Tu prends ma tête à deux mains et m’invite à aller plus loin dans ma bouche. Je me laisse guider et englouti ta bite jusque tes couilles. Je sors ma langue et les lèche, alors que ton gland est dans ma gorge.

- Ah la là, que ça donne envie.

- Oui mon chéri, j’ai trop envie moi aussi.

- Tu veux sucer ?

- Oui mon chéri, j’ai trop envie.

- Changement de programme…

- Quoi ?

- Tu va sortir, trouver un homme et le sucer.

- Ça va pas.

- Tu connais mes fantasmes et tu a envie de sucer.

- J’ai envie de te sucer.

- Allez, fais moi plaisir. Va te trouver un homme à sucer.

- ….

- Tu dis plus rien ?

- J’ai pas envie de te tromper.

- C’est moi qui te le demande. Tu sais que je fantasme de te voir avec un autre homme.

- Mais tu me verra même pas.

- C’est pas grave, je le saurais. Et puis, tu me raconteras.

- ….

- Ma chérie, s’il  te plaît, je veux être cocu ce soir. Rien que de t’imaginer, je bande comme un taureau et j’ai le gland tout mouillé.

- Comment tu veux que je trouve un homme comme ça ? Je n’ai même pas emmené de vêtements pour sortir.

- On s’en fou des vêtements. Tu sors et le premier mec qui te plaît, tu lui demande.


- Et s’il veut pas ?

- S’il veut pas se faire sucer ? Tu ira voir un autre. Mais je doute qu’il ne veuille pas.

- Ça fait salope quand même.

- Non, ça fait femme qui a une envie et qui veut faire plaisir à son mari.

- Tu es sûr de ce que tu veux que je fasse ?

- Oui ma chérie. J’ai trop envie.

- Ok, je me rhabille.

- Merci ma chérie.

- Je te laisse, je vais me préparer.

- Ok, rappel moi dès que tu es prête. Je t’aime ma chérie.

- Je t’aime aussi. »

Je raccroche et file dans la salle de bain. Je m’essuie l'entre cuisses car je suis complètement trempée. J’ai mouillée comme jamais et ça coule sur mes jambes.

Comme il fait plutôt bon pour un soir de mai, je m’habille juste d'un jeans et d’un tee-shirt. Pas de sous vêtements. Un peu de rouge à lèvres, pour plaire un minimum. Lorsque je suis prête, je rappelle mon chéri. Je me rend compte que j’ai le cœur qui bat à deux mille à l’heure. Il décroche et me dit, presque impatient :

« - Ça y est ma chérie, tu es prête ?

- Oui.

- Tu es toujours dans ta chambre ?

- Non, je viens de sortir.

- Ok. Dès que tu vois un homme qui te plaît, tu va le voir.

- C’est facile à dire, mais pas facile à faire.

- Reste en communication avec moi. Tu lui explique que c’est moi qui veut ça.

- Ok.

- Et tu raccroches pas. Je veux vous entendre, à défaut de vous voir.

- D’accord. »

Je marche dans les rues et matte les hommes, tel un félin qui chasse sa proie. Mais je ne fais aucune approche.

« - Alors ma chérie, il n’y a personne ?

- Si, mais personne qui me plaît vraiment.

- D’accord, prends ton temps.

- Ça va toi ?

- Oui.

- Enfin, je veux dire, tu es sûr de ce que tu veux que je fasse ?

- Oui ma chérie, je suis sur de moi.
C’est une très grande envie. Et ce soir, ça va se réaliser. Mais il faut que tu trouves quelqu’un.

- Je crois que j’ai trouvé, mais….

- Mais quoi ?

- C’est un black.

- Et alors ? Il te plaît ?

- Euh oui, il est plutôt pas mal.

- Décrit le moi vite fait, que je l’imagine.

- Il est grand, très grand. Je dirais un mètre quatre-vingt-dix au moins. Et très costaud, très musclé. Ses muscles sont bien dessinés à travers son tee-shirt slim. Je ne saurais lui donner un âge. Il a le crane rasé. Il n'a pas de moustache ni de barbe.

- Il est seul ?

- Oui.

- Il paraît attendre quelqu’un ?

- Non, il marche tranquillement. Je suis en train de le suivre.

- Ok, accoste le. Mais ne raccroche pas. Je veux vous entendre.

- D’accord. »

« - Monsieur…. Monsieur, s’il vous plaît.

-Oui ?

Il a une voix très grave mais agréable.

- Bonsoir Monsieur. Je peux vous demander un service ?

- Oui bien sûr, si je peux vous aider.

- Je suis au téléphone avec mon mari et j’aimerais réaliser son fantasme.

- Pardon !!!

- Ça paraît bizarre, mais il voudrait me voir sucer un autre homme.

- ….

- Je sais que c’est une demande très bizarre.

- C’est une blague ? Une caméra cachée ?

- Non, pas du tout. C’est très sérieux. Aimeriez vous, vous faire sucer par une inconnue ce soir ?

- Euh….

- C’est une simple question qui demande une simple réponse. Si c’est ok pour vous, j’ai une chambre d’hôtel pas très loin. Sinon, je vous dérange pas plus et on se dit au revoir.

- Je serais enchanté de vous rendre service, c’est d’accord.

- Part contre, je  suis en déplacement et mon mari n’est pas là. Je garde donc le téléphone pour lui faire profiter.

- Ok, ça marche.
Bonsoir Monsieur le mari. Merci de partager votre femme.

- Mon mari vous dit que c’est avec plaisir. »

On prend la direction de l’hôtel. Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine. J’ai toujours mon téléphone à l’oreille. Frédéric me remercie encore de réaliser son fantasme et me dit qu’il m’aime très fort. Ça me rassure un peu. J’aspire une grosse bouffée d’air, pour calmer les battements de mon cœur. Mon inconnu se présente. Il s’appel Thom, a vingt-neuf ans et dit être célibataire. Il est plutôt bavard et c’est tant mieux, ça me libère de mon stress. Lorsque l’on arrive à l’hôtel, je suis bizarrement, plus du tout nerveuse. Je guide Thom jusqu’à ma chambre. Une fois à l’intérieur, j’en informe Frédéric :

« - Mon chéri, on est arrivé.

- Ok ma chérie, c’est toi qui gère maintenant. J’aimerais que tu mettes le téléphone en mode haut parleur, pour entendre tout ce qu’il se passe.

- Ok. Tu es sûr de toi ?

- Oui ma chérie, je t’aime.

- Je t’aime aussi. Je te laisse. A tout à l’heure. »

Je colle mon téléphone tout contre moi, pour empêcher Frédéric d’entendre ce que je vais demander à Thom. Je m’approche et lui dit à messe basse :

« - Je voudrais faire une surprise à mon mari. Il croit qu’il va juste nous entendre, mais je voudrais lui offrir une petite vidéo. Je peux vous laisser mon téléphone et vous nous filmez ?

- Oui, bien sûr.

- Ça vous dérange pas ?

- Non, pas du tout.

- Ok, merci. »

Je décolle mon téléphone de mon corps et le met en mode haut parleur.

« - C’est bon mon amour, tu nous entend ?

- Oui, très bien.

- Ok. On va commencer. »

Je met le téléphone en mode vidéo et lance l’enregistrement. Thom commence à baisser la fermeture éclair de son pantalon. Je pense qu’il veut juste sortir sa queue de son pantalon, mais je veux plus que ça :

« - Thom, vous me paraissez plutôt bien musclé. Ça vous dérange si je profite du spectacle et vous demande de vous déshabiller complètement.

- Non, pas du tout. Je suis à votre service.

- Merci Thom. »

Il enlève aussitôt son tee-shirt. J’avais très bien deviné la musculation sous le vêtement. Tous ses muscles sont très développés. C’est très impressionnant d’ailleurs.

« - Ou la là Thom, quel corps d’athlète. Je suis impressionnée. »

Il baisse son pantalon et le retire en même temps que ses chaussures. Il se retrouve en caleçon et la musculation de ses jambes est parfaitement assorties au haut de son corps. Puis il enlève son caleçon et se retrouve entièrement nu devant moi. J’ai le souffle coupé en voyant son sexe. Son sexe, que dis je. Son anaconda. Une bite énorme pend entre ses cuisses. Malgré que je filme la scène, il faut que je décrive ce que je vois à Frédéric :

« - Mon chéri, Thom c’est mis tout nu devant moi. Il a un corps très impressionnant, tout en muscles. Mais ce qu’il y a de plus impressionnant chez lui, c’est son sexe.

- Ah oui !!! A ce point là ?

- Tu peux même pas imaginer l’engin qu’il a.

- Tant mieux, c’est comme ça que j’imagine ce fantasmes.

Et Thom de rajouter :

-Ne vous inquiétez pas. Beaucoup de femmes ont peur au début mais finalement, elles adorent ça. »

Je ne réponds rien. C’est facile à dire pour eux. Mais d’un autre côté, je vais juste le sucer. Il ne va pas me défoncer la chatte avec son gourdin. Je me rapproche de Thom, lui donne mon portable, pour qu’il nous filme et je me met à genoux devant lui. Je lui prend la bite d’une main et commence à le masturber doucement. De l’autre mains, je lui att les couilles pour les soupeser. Impressionnant le volume des testicules. Je penche ma tête vers le sexe et commence à le lécher. Timidement pour commencer, je l’avoue.

« - Ah oui lèche moi la queue, c’est bon. »

Si Thom me parle et décrit ce que je fais, mon mari pourra vraiment en profiter en l’entendant. Enfin, j’espère. Alors, j'y vais moins timidement. Ma langue est un peu plus entreprenante sur cette tige de chair. Je la balade du gland jusqu’aux couilles, remonte de nouveau sur le gland, me consacre au frein et la couronne.

« - Que c’est bon, va y, continue. »

La queue gonfle légèrement dans ma main, mais ne durcit pas vraiment. Je lui titille le méat, avant de prendre son gland dans ma bouche.

« - A ouais, avale ma bite. »

La grosseur du gland me remplit complètement la bouche et me distant la mâchoire. Je me demande comment je vais réussir à gérer cette engin ? C’est tellement gros, tellement grand que ça m’effraie un peu.

« - Qu’est-ce qu’on est bien dans la bouche de ta femme. C’est un vrai bonheur.

- Tant mieux que ça te plaise cher ami, profite en.

- T’inquiète, je vais profiter. »

J’y crois pas, ils sont en train de se taper la causette. En tout cas ça à l’air de plaire aux deux.

« - Suce moi bien, salope. »

L’insulte me fait une onde de choc dans le bas ventre. C’est une première pour moi d’être insulté comme ça, lors d’un rapport sexuel. Mais contrairement à ce que j’aurais pu croire, ça m’excite terriblement. Je m’applique encore plus à la tâche.

« - Tu l'aimes ma grosse queue, un salope ? Allez, pompe moi bien. »

J’ai du mal à mettre plus que son gland dans ma bouche tellement il me la remplit. Je fais de mon mieux mais c’est pas facile. Je ne suis pas habitué à ce genre de calibre.

« - Allez, avale ma queue. »

Il m’att la tête et commence un va et vient.

« - Je vais te baiser la bouche, salope. Tu va jouir de me sucer. »

Son traitement m’excite et me fait mouiller. Sa bite me pénètre un peu plus et vient presque dans ma gorge. Je l’accepte sans haut le cœur. Je pense à mon homme qui va me voir faire ça dans la vidéo et qui va être fier de moi.

« - Tu es une belle salope toi. Une vraie bouffeuse de bite. »

Il continue de me baiser la bouche, sans lâcher ma tête. Je suis en train d’inonder mon jeans de mon excitation. Puis il se retire et se rapproche un peu plus de moi. Je suis maintenant la tête en arrière et lui, debout au-dessus de moi.

« - Bouffe mes couilles aussi, salope. »

Il pose sa grosse paire de baloches sur mon visage. Je gobe une couille dans ma bouche, la roule sur ma langue, fait la même chose à la deuxième.

« - Ah ouais, c’est bon !!! »

Il se recule et me bifle. Trois, quatre coups de sa matraque sur chaque joues. Puis il frotte son sexe sur mon visage avant de me le remettre dans la bouche. Il me prend de nouveau la tête et recommence ses va et vient.

« - Va y salope, régale toi de ma queue. Ça te plaît les gros gourdin comme ça, un ? J’suis sur que tu n’es pas habitué à ce calibre, un salope ? »

Ah oui c’est sur, je ne suis pas habitué à ce calibre. Mon chéri se situe plutôt dans la moyenne en taille de bite. Thom est situé dans la catégorie des étalons.

« - Ta femme suce divinement bien. Une vraie pro. Elle aime sa la bite, ça se voit.

- Oui, je sais qu’elle suce bien.

- Tous les hommes devraient être comme toi et me prêter leurs femmes pour qu’elles goûtent une vraie queue.

- ….

- Une bonne queue de black, il y a que ça de vrai, un salope ? Un tu l’aimes ma grosse queue ? »

Je réponds rien, c’est pas poli de parler la bouche pleine. Je continue de le sucer. Ou du moins, il continue à me baiser la bouche.

« - Ouais putain, c’est bon. Tu va me faire jouir salope. Va y, continue. »

Il accélère sa baise. Il souffle de plus en plus fort.

« - Ouais, ouais, ouais. Va y salope. »

Il souffle, il râle entre chaque ouais. Je sais qu'il vient, je le pompe encore plus fort. Il va jouir, il ne va plus tenir longtemps.

« - T’arrête pas salope, continue. »

Il accélère encore plus sa baise buccale. Il s’enfonce toujours un peu plus loin dans ma gorge à chaque pénétration. Je suffoque de son traitement. J’ai quelques hauts le cœur, mais il s’en fou.

« - Ouais, arrrghhhhhh. »

Dans un hurlement de bête sauvage, il sort sa queue de ma bouche, tire sur mes cheveux pour entraîner ma tête en arrière et de son autre main, att sa bite pour la guider sur mon visage. Les jets de son éjaculation ne sont pas puissants. Il déverse son sperme épais et abondant, comme s’il avait ouvert un robinet. Sa coule tout simplement sur mon visage.

« - Ouais salope, prends ça. »

Il m’inonde complètement de son sperme collant. J’explose dans un orgasme silencieux, pour ne pas qu’il le remarque. J’aimerais tellement qu’il me prenne maintenant, qu’il me défonce la chatte. Mais au lieu de ça, il s’éloigne de moi et commence déjà à se rhabiller. Je ne dis rien, je n’ose pas. Mon mari peut être va lui proposer. Allez chéri, dépêche toi. Il est déjà habillé.

« - Merci monsieur pour votre femme.

- Merci à toi d’avoir accepté notre invitation.

- C’était avec plaisir. Merci madame. A bientôt. »

Je ne réponds rien. Il me rend mon téléphone et s’en va. Quelle conne je suis. Pourquoi je lui ai pas demandé de me baiser ? J’arrête l’enregistrement de la vidéo. Il y a un blanc, pas un mot durant une longue minute. C’est Frédéric qui le rompt :

« - Ma chérie, tu es encore là ?

- Oui.

- Merci d’avoir joué le jeu.

- De rien. Ça t'a plus de vivre ça ?

- Oui, mais j’aurais voulu être là, et te voir. Et toi, ça t’a plus ?

 Je lui transfert la vidéo. Je pense qu’elle va mettre du temps à arriver sur sa boite mail.

- Oui, c’était bien.

- C’est tout ?

- Non, c’était trop bien.

- Content que ça t’ai plu.

Je me dirige vers la salle de bain et me regarde dans le miroir.

- Ah la vache !!!

- Qu’est-ce qu’il y a ?

- Je suis complètement recouverte de sperme sur mon visage.

- A oui ? A ce point là ?

- Tiens, je t’envoie un selfie.

- Ah oui ma chérie, je veux voir ça.

- Moque toi pas.

- Je me moque pas, au contraire.  

- Tu a vraiment aimé être cocu ?

- Oui ma chérie.

- Je peux t’avouer quelque chose ?

- Oui, bien sûr.

- J’ai joui de le sucer. J’ai joui qu’il jouisse sur mon visage.

- Tant mieux ma chérie, je suis content que tu ai pris du plaisir.

- Et j’avais envie qu’il me baise.

- Il fallait le faire.

- C’était pas prévu. Tu avais dis sucer.

- Ah mince, tu aurais dû. La prochaine fois.

- Oui, d’accord.

- Je viens de recevoir ta photo. En effet, il t'a complètement maculé de sperme.

- T'a vu la quantité ?

- Oui. Tu es magnifique.

- Tu vois, tu te moque.

- Je me moque pas, j’adore.

- Et toi, tu a joui ?

- Non, je me suis arrêté rapidement de me masturber, j’aurais joui trop vite.

- Ah mon chéri, je voudrais tellement être avec toi pour te soulager.

- J’aimerais que tu sois là, moi aussi, pour te faire l’amour.

- Masturbe toi. Je veux t’entendre jouir.

- Ok ma chérie. »

Après à peine deux minutes, il m’annonce qu’il jouit. Tellement excité, tellement rapidement.

- Ah mon chéri, quel gaspillage ce sperme perdu. Je t’aurais bien nettoyé avec ma langue.

- Je t’imagine me lécher, aspirer mon sperme et tout avaler.

- J’en ai le goût dans la bouche.

- Vivement ton retour ma chérie.

- Oui, vivement. Mais là, je vais te laisser et aller prendre une douche.

- Oui, tu l'a bien mérité.

- Je vais certainement me masturber sous la douche. Je voulais que tu le saches.

- Profite bien ma chérie.

- Merci mon amour. Et puis, tu a du recevoir un petit mail. Profite bien toi aussi.

- C’est quoi ?

- Regarde, tu verra bien. Bonne fin de soirée mon chéri. Je t’aime.

- Je t’aime aussi ma chérie. Bonne douche. Bisous tout doux tout partout.

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