Joachim Et Son Fils

Les jours qui suivirent, Joachim est très gentil. Quand on se retrouve ensemble au jardin, il ne fait aucune allusion à l’aventure de l’échelle. Moi dès que je l’aperçois, j’ai les jambes qui se mettent à trembler, elles ne me portent plus. Je suis bien plus touchée qu’il ne devrait et son emprise sur moi est réelle. Je ne saurais pas dire pourquoi. Pourtant j’arrive encore à donner le change et garder tête froide devant lui. Il vient de me demander de venir le rejoindre près du potager. Il est avec son fils, un jeune homme qui vient parfois l’aider.
- Madame Chantal doit dire à Joachim lesquels légumes y doit planter.
- Salades, courgettes et tomates d’abord.
- Joachim a vu Monsieur hier. Y voulait savoir si Joachim s’entendait bien avec la patronne. J’ai dit oui, et qu’elle était bien gentille avec Joachim et que j’étais content. J’ai rien dit pour l’autre jour, hein Madame ?
- Tu veux dire quoi ?
- Si, il aurait été pas correct, Joachim, il aurait pu raconter comment Madame avait montré ses nichons à Joachim. Et Joachim, il a pas dit. Mais …
- Mais quoi ? Qu’est-ce que tu veux insinuer ?
- Rien Madame. Madame devrait comprendre toute seule !
Bien sûr que j’avais compris, le salaud, me faisait chanter. J’ai cru que j’allais m’évanouir là, dans le potager. Et il dit cela devant son jeune fils d’à peine 18 ans.
- Madame elle a pas mis de soutien gorge aujourd'hui pour venir voir Joachim ?
D’un seul coup, je réalisais qu’il avait raison. Il faisait tellement chaud… Sa voix me glaçait ! C’est alors que je surpris le regard de son fils braqué sur ma poitrine. Dans un réflexe naturel, je cachais mon décolleté.
- Madame doit encore montrer ses seins à Joachim. Il ne dort plus depuis l’autre jour.
- Mais tu es devenu fou Joachim. Tu vas me laisser tranquille maintenant ou je demande à mon mari de te renvoyer ! Et devant ton fils, tu n’as pas honte ? C’est toi qui m’as e l’autre jour.


- Joachim y dira que c’est Madame qui a chauffé moi. Mon fils, il a jamais vu de nichons beaux comme les tiens. Je veux que tu lui montres aussi.
Je remarque que le gosse rougit mais ne baisse pas les yeux pour autant.
- Tu es un vrai salaud Joachim, tu me fais chanter hein ?
- J’sais pas quoi ça veut dire en français « chanter » mais Joachim sait que Madame doit obéir. Alors Madame Chantal elle montre ses mamelles ?
- Non ! Tu m’entends, non, non et non.
En disant cela, je réalisais bien qu’il était inutile de résister, surtout que je sentais que je mouillais, que cette présence et cette soumission m’excitaient. Bonne bourgeoise à la réputation sans accros, je me trouve aux ordres d’un maître chanteur parlant à peine le français et mon jardinier de surcroît.
Il vient de sortir à nouveau son sexe et me le présente sans aucune pudeur ni précaution d’être vus du voisinage car notre potager n’est pas fermé et les voisins ont vue directe sur nous. Son fils me dévisage, il a l’air tout excité comme son père.
- Veux-tu cacher cela, t’es fou non ? On va te voir ! Rhabille-toi tout de suite
- Joachim y veut te voir les seins madame. Et y veut les toucher encore une fois comme l’autre jour.
- Salaud, d’accord mais on va derrière la cabane se cacher. Et tu laisses ton fils ici hein ?
- Oui Madame Chantal.
Arrivés derrière notre cabane de jardin, j’ouvre le haut de ma robe qui se boutonne sur le devant et je lui présente mes seins. Il commence par regarder avant de sortir à nouveau son organe et se caresse devant moi. Je suis troublée et je ne peux détacher mon regard de cette colonne de chair qu’il caresse. Lentement, tirant sur la peau, il fait sortir et rentrer son gland qui à chaque fois prend plus de volume. De son extrémité sourd une goutte de liquide dont l’odeur de pisse m’excite encore plus.
- Caresse-toi le tetina, me dit-il.
- Non, tu regardes c’est tout.
- Madame est excitée, Joachim y voit bien qu’elle regarde sa picha et que ses yeux brillent.

- Tu m’énerves Joachim. Finis ta besogne et laisse moi tranquille.
- Fait exciter ta mamilo, donne du plaisir à toi Madame Chantal, Joachim y dira rien.
- D’accord mais après tu me laisses. Oui !
Soudain, je m’aperçois que son fils est derrière nous et mate sans se cacher. Je cache mes seins.
- Demande à ton fils de partir. Je ne veux pas qu’il regarde !
Au lieu de le faire partir le salaud lui demande de s’approcher
- Vient voir ses bico de mamadeira, regarde comme ils sont gros. Montre madame Chantal, allez.
Cette fois le ton est plus dur, plus péremptoire et je me surprends à découvrir ma poitrine sans résister un instant. Le jeune braque ses yeux sur mes seins. Joachim me redemande de me caresser. Je place mes mains sous les globes pour les fait jaillir et entre le pouce et l’index, je fais rouler leurs pointes. Le jeune aussi a sorti sa queue et se branle à vive allure. Je deviens folle, je respire de plus en plus vite excitée. Je ne me reconnais plus.
Le jardinier s’approche de moi et défait un à un les boutons de ma robe et très vite il me découvre entièrement. Son fils aussi s’est approché et maladroitement se saisit d’un de mes seins.
- Non ! Pas lui Joachim, c’est un gamin, je ne veux pas !
- Madame Chantal doit obéir à moi.
- Mais il est si jeune, tu n’as pas honte de dévergonder ton jeune fils ?
- Il doit apprendre. Touche lui sa picha maintenant, montre lui comment tu as fait avec moi l’autre fois.
- Non, je ne peux pas !
- Allez, putana, fait ce que Joachim il a dit.
Alors vaincue et en même temps ravie, je prends le jeune sexe de son fils et lui fait subir des aller retours lents. Très vite je le vois qui grimace, se tortille de partout et sans avertir vraiment, il éjacule en de nombreuses saccades, une quantité de sperme étonnante. Ses mains restent accrochées à mes seins durant toute sa jouissance.
- Regarde, je suis tachée de partout ! Laissez-moi maintenant, je vais me laver.

- Non, Madame doit faire jouir Joachim maintenant. Avec sa bouche !
- Mais tu es devenu fou. Jamais, tu entends jamais je ne le ferai.
- Alors Joachim y va raconter.
- Salaud, tu en serais bien capable !
- Pardon, Madame Chantal mais Joachim il a trop envie là.
- Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
- Oui, vite Madame, Monsieur peut rentrer maintenant.
C’est vrai que je viens aussi de réaliser qu’il peut arriver. Alors, je m’accroupis devant lui et me saisis de sa queue énorme, gluante et touts chaude. Accroupie, mes jambes s’ouvrent, le gamin est derrière et doit reluquer mes fesses et même plus ! Mais cela m’est égal maintenant, je suis prête à jouir aussi.
- Ouvre bien ta bouche, putana et suce la picha de ton jardinier.
En disant ces mots il s’enfonce au fond de ma gorge et se saisissant de mes cheveux, il me plaque contre son ventre pour carrément me violer la bouche. Car c’est cela qu’il fait, il me baise la bouche et son énorme queue m’étouffe. Il accélère, je suis essoufflée. Soudain je sens une main qui parcourt ma raie, c’est son fils qui a entrepris, avec les encouragements de son père, de me peloter le cul ! Sa main me tripote le minou, le petit trou et très vite je me sens partir en même temps que Joachim se vide en moi. Nous jouissons en même temps et sa semence abondante inonde le fond de ma gorge, m’obligeant à tout avaler en même temps que je l’entends ses râles. Je suis à peine revenue de mon orgasme que je sens des giclées de foutre tomber sur mon dos. Le fils a joui pour une seconde fois en me tripotant les fesses et la chatte.
- Madame Chantal elle a été très gentille avec nous. Joachim dit merci.
Reprenant mes esprits, je réalise enfin ce qui vient de se passer et une sueur froide parcourt ma colonne quand j’entends Joachim dire à son fils :
- Elle est bonne, hein, la patronne. Tu pourras revenir jouer avec si tu veux !
- Mais Joachim, il n’en est absolument pas question.
C’est fini maintenant, j’en ai assez fait. Retourne au potager, je vais me doucher.
- C’est Joachim qui commande Madame Chantal.
J’ai bien entendu sa dernière phrase et je suis paniquée. Il me tient, il le sait bien. Je referme rapidement ma robe et je pars en courant vers la maison.

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