Une Exhibe Au Marché
Tu mas fait mettre cette robe dété bleue, légère avec des fleurs et des bretelles très fines qui montraient que je ne portais pas de soutien gorge. Javais mis des petits mocassins avec des talons mi haut dont tu savais quils affinaient mes jambes dénudées jusquà mi cuisse. Il faisait chaud, plein soleil, je me sentais vraiment belle. En déambulant à ton bras dans les allées du marché, je voyais bien le regard des hommes se poser sur moi et très vite je me suis sentie troublée, excitée. Jaime vraiment quon me regarde. Loin des collègues, des connaissances, des habitudes, je peux me lâcher à vivre mes faiblesses, On sarrêtait devant les étalages de robes, tee-shirts. Les vendeurs, vendeuses se précipitaient auprès de nous pour maider ou me mater ! Jétais fière de soulever autant de désirs. Pour toi.
Il faut dire que ma petite robe bleue est loin dêtre sage. Dégagée aux épaules avec un décolleté profond fermé par 3 boutons, dont tu avais pris soin de libérer les deux du haut, dès que je me penche un peu en avant, elle découvre mes seins jusquà montrer mes pointes. Des hommes me suivent, faciles à repérer, ils se placent, pour les plus téméraires, tout près de moi de côté ou devant pour profiter du spectacle. Il y du monde, dans les allées, on me frôle, me bouscule. Tu me conduis, je te sens nerveux et excité. Moi aussi.
On finit par se poser devant un étale de robes. Je fais semblant de choisir. Un homme se précipite. Cest un jeune arabe très grand. Il me fait larticle, insiste pour me faire plaisir. Il a peur que je parte. Des inconnus dont je reconnais certains suiveurs mateurs se mêlent à nos échanges. Je réponds, je les écoute, les échanges sont bon . Toi, tu tes éloigné pour me laisser aux mains de mes courtisans. Les regards se font en même temps plus précis, moi je mexhibe. Le vendeur me présente des robes devant moi pour rendre compte de leffet. Ses mains me touchent un peu, puis comme je ne refuse pas, les attouchements sur mes épaules descendent vers mes seins.
Et bien sûr on me lance que je devrais essayer et que le manque de cabine nest pas grave car on peut se cacher derrière les suspensoirs de robes, quils ne regarderont pas bien sûr. Moi, je nattendais que cela en vérité. Je passe derrière une rangée de robes et sans porter un seul regard autour de moi jenlève ma robe bleue et je me retrouve en simple string au milieu du marché. Je ne te vois plus. Jai peur mais je suis toute nerveuse et excitée. Le vendeur bien sûr est resté là et je me déshabille avec le plus grand naturel sans montrer la moindre gêne ni pudeur. Pour finir il se rapproche de moi et sous prétexte dajuster le vêtement glisses une main dans le décolleté et me touche carrément le bout déjà dressé dun sein. Cette façon de me toucher sans retenue montre que maintenant je suis considérée pour une simple pute, ça mexcite ! Je lui souris pour lui signifier que cela ne ma pas gêné. Soudain tu réapparais pour dire que cette robe me va bien mais que je devrais en essayer une autre. Moi jai compris et le vendeur aussi que tu es là pour me montrer. Et me voilà à nouveau à poil. Je te vois qui écarte le présentoir de robes pour faire profiter les voyeurs de mes atours. Je les aperçois, ils sont plusieurs à mater. La robe que je viens de passer est très moulante et tu dis alors bien fort quon voit mon string dessous et que cest disgracieux et tu mordonnes de lenlever. Là jhésite, mais tu insistes et le vendeur se joint à toi. Alors avec les jambes qui tremblent de peur, je soulève le bas de la robe. Mais tu me souffles denlever dabord la robe avant dôter ma culotte. Jai honte mais tu élèves le ton pour que tous tentendent. Je mexécute, la robe enlevée, je fais passer mon string le long de mes jambes lune après lautre et cest nue que je passe une autre robe. Le vendeur qui me sait à poil, sintéresse à deux seins cette fois. Il najuste plus, il me pelote. Comme je ne réagis pas, il se place derrière moi se saisit des bretelles et les fait descendre, abaissant la robe jusquà la taille.
Le buste nu, il me prend les seins et commence à les malaxer, pétrir. Je sens son souffle chaud dans mon cou. Il me susurre des mots dinsulte qui me rendent folle « pute, salope, mal baisée... ». Je perds la tête. Devant, des hommes se sont rapprochés et profitent du spectacle. Des femmes aussi, étonnées mais voyeuses. Toi tu técartes pour les laisser venir jouer avec mon corps. Pour goûter au plaisir naissant, je ferme les yeux. Devant moi je perçois une respiration se rapprocher, une main se glisse entre mes cuisses et remonte vers mon ventre. Jentrouvre mes yeux, cest un vieux bonhomme que jai déjà repéré parmi les voyeurs. Il nest pas rasé, sale. Il est tout rouge et prêt à éclater. Je referme les yeux, ses doigts ont écarté le fin tissu de la robe et pénètrent mon intimité. Je vais jouir, je le sens, je respire de plus en plus vite les doigts senfoncent, les mains excitent mes tétons, jen peux plus je jouis en laissant séchapper une mouille abondante dans les mains de mon branleur. Je reprends vite mes esprits. Tu es là tout excité par ce que tu viens de voir. Le vendeur moffre la robe, je me rajuste et rapidement nous regagnons notre hôtel. Jai les jambes en coton mais je suis vidée ravie de cette aventure que jai souhaitée et que tu mas offerte, mon amour.
admin
Jan. 31, 2023
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