Malchanceux Voyeurs
Tranquille, en avance, fait beau
je finis de me raser, de m'essuyer.
Je sors de la salle de bains, soleil radieux dans la cour, je passe dans le couloir, pour rejoindre ma chambre, a poil sourire aux lèvres, tâtant mes couilles encore libre. Vais m'habiller léger tiens moi
Mais putain, c'est qui ce mec dans ma cour ?
Il me matte a poil, ce petit con sur son échelle !
Il rougit d'un coup, grimpe en vitesse sur le toit !? Je suis d'abord planté là, et puis furax. Je m'habille vite fait, en fait le premier short qui me tombe sous la main, et je me jette dehors. Y'a un gars sur le toit
mais c'est pas lui, c'est un brun, l'autre était blond
il se planque, l'autre ? Je braille un coup :
- Eh dis donc, la haut !
- Euh oui ?
- Non, non, l'autre descends de là
Je vois sa tête de blondinet, le rouge encore aux joues qui apparaît.
- Descendez, je voudrais vous parler deux minutes.
Et je rentre en attendant.
Apparemment, ça discute là-haut, je les entends presque
et mon blondinet finit par descendre son échelle.
- Entrez ! (les sourcils froncés et sévère)
- Bonjour monsieur
souffle-t-il, pivoine, et s'attendant à prendre une soufflante.
- Jeune homme depuis quand est-ce qu'on entre chez les gens comme ça ?
- Oui, euh, en fait, c'est la propriétaire qui nous a dit
- Elle est gentille mais ici, c'est chez moi, puisque je loue, elle n'a pas a vous dire d'entrer. Et vous, vous n'avez pas a entrer sans prévenir dans mon intimité.
- ah eh bien euh, en fait
- Oui ??
-
- Dites moi ?
- en fait, je suis désolé je voulais pas
- me voir a poil ?
- Euh oui, voilà
(il craint que j'explose)
- Allez c'est oublié mais sonnez la prochaine fois
Et vous faites quoi sur ce toit ? (Il a l'air soulagé, il pense s'en tirer a bon compte
)
- On démousse msieur.
- OK, bon travail alors, je dois m'habiller et aller bosser moi aussi
Je lui tends la main comme pour la serrer
j'ai eu le temps de l'observer ce petit gars, blondinet, plutôt bien bâti sous son vieux t-shirt sale, mais je suis sûr que c'est de la gonflette
Les jambes ont pas l'air si solides dans le pantalon.
Il me tend la main, acceptant ma poignée, et c'est là que je le serre : une clef rapide, une fois sa main saisie, je chope l'avant bras, tourne dans son dos, le voilà bloqué.
- Aïe !!
- Tu te fous de ma gueule, dis-donc ?
- Aïe Aïe mais non msieur
Je le tire vers la chambre, il essaye de résister mais la prise est bonne. J'ai les menottes à portée de main, hop la droite, chope la gauche, et voilà
J'ai de l'entrainement !
- Vous faites quoi ?? mais laissez moi !!
- Eh ho, tu te calmes
Il cherche a se débattre, me bouscule, je le repousse, et hop, un blondinet par terre
Je me marre
- Dis donc bonhomme, je les connais les loustics comme toi
tu rentres discret faire tes travaux et t'en profites pour mater si y'a pas une nana au foyer qui traine en petite tenue hein ?
- Mais
Il fait les yeux ronds.
- Mais là t'as pas de bol, c'est moi qui étais à poil et moi c'est donnant-donnant, tu vois ma queue je vois la tienne !
- Quoi ? mais non !
- Tu vas me dire que vous faites pas toujours ce plan là avec ton pote là-haut ?
- Oui mais
- Ah ben tu vois !
Je le chope par le col de son t-shirt, je le tire vers le haut
Comme prévu ça craque ; il se débat en râlant, j'en profite, je tire dessus, l'avant du t-shirt se déchire, il retombe, je le plaque au sol, et m'assieds sur sa taille. Son buste est découvert, de jolis ados secs, des beaux pectoraux, le tout légèrement poilu et doré
je ne résiste pas : je prends ses deux tétons entre mes doigts et les titille. il se tortille au sol pour m'échapper, mais ses mains sous lui l'empêchent de prendre appui.
Il commence a vraiment paniquer, proteste, laissez-moi, et j'en passe
- C'est joli tout ça, j'vais bien voir la suite, pour l'instant le paysage est sympa, dis-je en palpant son entre-jambe fermement.
Il sursaute, essaye de se retourner pour prendre appui sur ses genoux.
- Allez on va mater le reste
Je commence a défaire sa ceinture, il se débat en gueulant je ne sais trop quoi à nouveau et bascule pendant que je tire son pantalon vers le bas. Il est ahuri, un peu sonné, menotté et en slip, les pieds plus ou moins bloqués par son pantalon que j'ai tiré par dessus ses chaussures.
- Alors t'as quelque chose a dire ? La vérité peut-être ? T'es pas mal en slip petit gars
il perd vraiment pied :
- Non mais non, je suis désolé c'était pas
- ton idée ?
- Non, c'était voilà
Au moment ou je me penche pour commencer a mater sous son slip j'entends du bruit derrière moi, on appelle "Bruno ?". Le collègue a du s'inquiéter a force, il a du entendre gueuler aussi, il était juste au-dessus. J'entends qu'il fait deux pas dans un sens, regarde sûrement dans le couloir puis vient vers la chambre.
Je me relève et fais face à la porte, et au moment ou il la pousse, je pose très fermement le pied sur les couilles de son pote au sol, qui lâche un cri de surprise et de douleur. Désolé pour ses bijoux, mais il me faut un moyen de pression là.
- Ta gueule !
- Putain, mais qu'est-ce que ???
- Ta gueule aussi toi !
Passé la surprise il se prépare a se jeter sur moi, je remets un coup sur les couilles de son pote qui se tord cette fois. Ca le gèle sur place, il a pigé. Pas très courageux, le gars, moi j'étais prêt à boxer un peu pour l'emporter.
- Bouge plus, sinon je lui éclate vraiment les couilles à ce petit con
. Il était en train de me raconter votre petit manège de matteurs a deux balles
- Oui mais...
- Ta gueule j'ai dit ! je suis a deux doigts d'aller raconter vos histoires moi
Il est penaud, pris en faute là où il ne pensait jamais être démasqué.
- Putain tu te bouge allez mes couilles, merde ! Braille son pote.
Le brun, plus grand et fin, commence a ôter son t-shirt, a une hésitation, je presse sur le paquet du blond, le couinement le remotive. Il vire le t-shirt, et défait sa ceinture en maugréant.
- Allez, laisse tomber le fute !
Il se retrouve en slip, un espèce de kangourou informe et passé qui n'a pas l'air bien plein
contrairement au petit blond dont le petit slip a la mode déborde presque quand je presse dessus. Je me marre, il grimace, un petit coup sur les couilles du blond au sol et il se renferme. Je lui dit de se rapprocher et de se retourner, il obtempère facilement. Je lui attache les mains avec les lambeaux du t-shirt de l'autre et le repousse. Deux petits gars a disposition, de quoi rigoler un peu ! Et tant pis pour le taf, je prendrai tout mon temps !
Je finis de virer le pantalon du blond, et je le relève pour les mettre côte à côte :
- Bon alors les petits gars, vous aimez mater hein ? Ils ne disent plus rien, tant pis jvais monologuer
Eh ben moi aussi, donc je vais me permettre...
Ce faisant je m'approche du brun et lui met la main au paquet
Je me marre : "y'a rien là-dedans ?"
- Lâche-moi pauvre con !
Je passe la main dans l'élastique pour chercher le petit bout qui se cache, descends vers ses petites noix poilues et les prends en main fermement pour le garder au silence en me tournant vers le blond :
- Alors c'est son idée ?
- Oui, lâche-t-il du bout des lèvres.
- Et ça marche ? Vous avez maté beaucoup ?
Il hoche la tête.
- Vous avez fait plus ?
Il hoche à nouveau.
- Ensemble ? Sur une nana ?
- Ta gueule Bruno, ca le fait triquet ce pervers ! (C'est vrai)
- Non non, chacun son tour
enfin j'veux dire
- Tu m'étonne, ton pote là il a des idées mais pas les moyens de réaliser !
Le brun fait mine de se rebiffer, je tire ses couilles, il se laisse tomber directement à genoux.
- Je vais te montrer pti : regarde ce qu'il cache là-dedans !
Je baisse brusquement le slip blanc et fais apparaitre le petit zob noyé dans les poils.
- Alors gars, tu fais pas trop le malin avec ça hein ? (il est livide, essaie de se replier pour se cacher) Tu sais ce que tu pourrais mater pour te changer ?
Un vrai zob de mec
vous m'avez foutu la gaule en plus.
Je baisse mon propre short, ma queue raide sort tout près de son visage, il est exorbité et a un mouvement de recul.
- Quoi elle te plaît pas ? On la trouve plutôt belle pourtant !
Je me retourne vers le blond : Qu'est-ce que t'en dis ? pas mal non ? pas exceptionnelle, mais sérieuse quoi ! D'ailleurs toi aussi, non ?
Eh brun, je suis sur que ton pote il se tire une vraie queue lui aussi.
Le blond commence a se marrer
je vais vers lui, il fait quand même mine de se barrer, je le chope et le tire vers le brun et moi.
- Eh fais pas le con, désolé pour tes couilles tout à l'heure. Jvais pas te faire mal, là. Et pourquoi tu rigoles ?
- pasqu'il fait le fier et se vante tout le temps.
- et il se tire des nanan quand même ?
- des vieilles ou des gamines
Mais je savais qu'il avait une petite queue, sous ex me l'a dit.
Je me marre franchement.
- et tu lui a jamais montré ce que t'avais ?
- Ca va pas non ?
- Eh ben moi je vais lui montrer !
Je le tire par l'élastique de son slip, jusque vers la gueule de son pote, et descends le tout : son paquet tombe sur la gueule du brun, qui a un hoquet de stupeur. Plus fort que lui, le Bruno blondinet éclate de rire en voyant sa belle verge sur la tronche de son pote. Je colle ma queue bandée qui dépasse quand même bien la sienne un peu gonflée d'orgeuil contre la gueule aussi, tout près de la queue du blond.
- Faudrait faire une photo non ?
Le blond doute quand même, il vient de réaliser que sa queue touche la mienne.
Le brun explose, me traite d'enculé, de malade, se débat quand je prends ses épaules, tombe sur lui même au sol.
- Oh t'as fini ton cirque toi ? T'as vraiment besoin d'une leçon d'humilité ! Je pose mon pied devant son visage : Lêche, sous-mec !
Nouveau chapelet d'injures. Ok, c'est comme ça, je vais a ma table de nuit, et sors un bâillon à boule du premier tiroir, le laissant ouvert. J'att la tête du brun qui hurle presque, et finis par lui caler le mors entre les lèvres. ll fait toujours du bruit, mais au moins on comprend plus. Le blond s'est mis en retrait, pas envie de subir le même sort j'imagine
Je chope le brun par les cheveux, le tire face au lit, sur ses genoux, des larmes de douleur perlent déjà quand je rejette son buste contre le matelas.
Il est bien bandant, le cul en arrière et les mains attachées comme ça
mais c'est pas la question :
- Tu sais ce que ça veut dire, entrer sans frapper ? jvais te montrer moi !
Au chevet du lit, je prends une capote que j'enfile sur deux doigts, et au doseur une noisette de gel, a peine
je m'agenouille derrière le brun qui panique mais est trop en appui sur les épaules pour se relever. Je n'hésite pas une seconde : entre les fesses poilues, je descends chercher son anus.
- Tu vois entrer chez les gens sans frapper, c'est comme une sodo sans préparation, ça brûle !
Il crie sans qu'on comprenne rien et essaie de se relever. Je le tiens plaqué au lit, en jetant un coup d'oeil a mon blondinet favori : très pâle dans son coin, il ne moufte pas. j'ai trouvé l'entrée du cul de l'autre qui crispe un max
tant pis pour lui à cette merde : je pousse direct les deux doigts capotés dans son anus.
Il hurle, j'y ai mis pas mal de force, et j'ai juste rentré les premières phalanges tellement il est crispé. Juste assez de gel pour pas que la capote cède. Une fois rentré, fastoche, y'a plus qu'à élargir
j'espère pour lui qu'il a le cul bien propre, ce naze, sinon je lui tartine la gueule avec !
Ce coup-ci il chiale vraiment, entre deux hoquets, il a compris qu'il ne peut rien y faire, son cul s'ouvre un peu, les doigts glissent et il braille a nouveau.
Je tâte du côté de sa queue : rentrée au max, il reste juste le gland qui dépasse, et qui mouille
normal, puisque je viens de trouver sa prostate et que je tape dessus tant que je peux pendant un bon moment.
Je lui chope les couilles de ma main libre et les tire en arrière, son cul est de se donner un max, il chiale encore plus, cette fois vraiment brisé.
Enfin, je me colle contre son dos, ma queue au dessus de ma main contre ses fesses.
- Tu sens ça ? Tu la sens bien pti con ma teub ? Tu me fais pitié ! Je vais même pas t'enculer, tu vaux pas la peine, mais t'imagine comme je t'aurais déchiré le fion ? Oh, tu comprends ce que je te dis ?
Il hoche la tête entre deux sanglots.
- T'as pigé la leçon ?
Il hoche à nouveau, et je sors les doigts de son cul.
- Je veux pas te revoir, toi, t'as intérêt à être calme
Et si t'as l'idée de dire quoi que ce soit, moi je pense que t'es rentré chez moi en douce pour piquer des trucs, compris ?
Il sanglote et hoche fermement la tête.
- Relève-toi.
Je sors un instant de la chambre, cours a la salle de bains, il est à peine debout.
- Oh, bouge-toi, un peu, et viens là. Il n'ose même plus lever les yeux sur moi, et approche.
Je vais te laisser un souvenir en plus. Je sors mon rasoir à barbe de derrière mon dos, il panique total sans savoir pourquoi. Je le prends et le pousse au sol, il se débat mais pas très vigoureusement
je m'assieds sur son buste, immobilise ses jambes, je l'entends qui pleure et je commence a donner un coup de rasoir au milieu de son pubis. Jusqu'à avoir une belle rayure bien nette au-dessus de son mini-sexe.
Je me relève, le relève, ramasse son t-shirt et son futal, les pose sur son épaule et le pousse hors de la chambre, puis dans la cour : le voila dehors, a poil.
- Tu te démerdes pour te rhabiller et te casser d'ici vite fait. Je pars dans 20 minutes, si t'es encore là j'appelle les flics.
Je desserre un peu les liens de ses mains, il commence de suite a tirer dessus sans moufter.
Je rentre dans la maison, dans la chambre le blondinet panique : il était en train d'essayer d'ôter les menottes, le pauvre.
- Msieur pardon, j'ai compris c'est bon, je veux juste partir pas de problème, pas besoin de
- Chuuut
- pardon msieur
- Toi c'est pas pareil
d'abord tu me plais bien, et puis je pense que t'es franc. Chut, écoute
Je me glisse contre lui, derrière lui, j'ai toujours la gaule de l'humiliation du brun, et besoin d'une bonne raison de gicler
je profite de ses mains toujours liées pour le caresser, son buste, son ventre, ses fesses (là il se crispe) son pubis, sans toucher à sa jolie queue de blond joliment rasée, je glisse un doigts sous ses couilles rasées aussi. Il ne sait pas à quoi s'en tenir, panique un peu, mais sent que le refrain est différent.
Dehors, j'entends un moteur, le brun au pubis désormais a moitié rasé s'est tiré.
- Toi aussi t'as besoin d'une leçon, (contestation)
mais pas la même. T'es trop joli pour que je te casse le cul.
Il soupire. Je retourne a mon chevet, et sors une bouteille de poppers bien hard. je l'ouvre et la glisse sous le nez de mon blond, en lui bouchant une narine, puis l'autre, il respire plus fort par réflexe.
- C'est quoi ?
Le coup de chaud ne tarde pas : il se ramollit avec un "putain", limite dans les vapes. Je le guide vers le lit, il pose un genoux et se laisse déposer sur le matelas. J'enlève enfin son slip qui était encore à ses chevilles, et écarte ses jambes. Bien envappé, il ne fait pas un bruit, respire lourdement. Je m'agenouille derrière lui, et masse ses fesses au léger duvet blond.
Il se tortille un peu, je ne sais pas si c'es le stress ou la sensualité, difficile a dire dans l'immédiat. Je me penche, carresse dans sa raie que j'ouvre un peu, vérifie, tout est clean
je me penche encore et commence a glisser ma langue dans son cul. Il lâche un gros soupir, ça doit pas être désagréable de son point de vue
Je travaille son anus à la langue, aux pointes de doigt, il se détend, se cambre toujours shooté.
Je ramène ses couilles en arrière, lui demande si elles font encore mal, il acquiesse à peine. Je lèche ses grosses couilles, l'une après l'autre, en continuant de glisser des doigts bien lubrifiés dans sa raie qui s'ouvre assez facilement finalement.
Il doit commencer a reprendre contrôle car il se raidit en disant "non, non". Je le lèche de plus belle, sortant ma langue au max, pour qu'il ait le plus possible de sensations agréables.
- On t'a déjà fait ça ?
- Non
- Alors tais-toi et découvre
- Mais
- Chuuut
Il se tait et patiente. En plus de ma langue, j'ai mis le bout d'un doigt, je salive le plus possible dessus et j'avance lentement, en tournant un peu. Il geint. Chuuut. Je glisse entièrement mon doigt, à la recherche de sa prostate que je trouve doucement. Je commence à la masser, sa musique a changé, il a senti, il découvre et il s'abandonne.
Je fais coulisser un peu mon doigt, et en introduis discrètement un second sans problème
Je retrouve sa prostate, que je masse plus fermement. IL se cambre vraiment, prenant appui sur son buste, il me donne son cul, j'entends presque un oui parmi ses gémissements.
Sous son bassin, je vois que sa queue est dure - vraiment une belle queue épaisse - et laisse échapper un filet de mouille abondant. Tout en massant son trou, je ne résiste pas à l'envie de tâter son beau gourdin, je constate qu'il est très dur, je le branle un peu et récupère sa mouille. Je me glisse en avant et passe mon doigt plein de sa préjutte sur ses lèvres : il le goûte ! Salaud, me dit-il avec un demi-sourire avant de gémir de plus belle.
Il commence a chauffer, le petit blond, son cul est très ouvert, palpite, se contracte, je sens sa prostate se durcir, il m'encourage, il en veut encore, plus, plus fort
Je prends ma queue en main, et me branle en même temps que je branle son cul. Ca faisait longtemps que je n'avais pas été aussi raide, et plus il braille plus je le suis.
D'un coup, sa prostate devient dure comme du bois, il tend le cul, crie n'importe quoi, il jouit, et gicle sur mon lit un bon paquet de jus : J'en fais autant sur ses fesses rebondies et la moitié de son dos.
Je laisse reposer son cul en retirant doucement mes doigts, et m'allonge a ses côtés, presque sur lui.
Quelques secondes de repos. puis :
- Ça va ?
- Oui.
- Va te doucher. Couloir, 3e porte. Et je lui défais les menottes.
Il se lève sans rien dire, s'étire et se caresse le dos, est surpris de trouver quelque chose de gluant en grande quantité. Il me regarde incrédule.
- Va te doucher.
Il sort et je hume l'odeur encore fraîche de son sperme sur les draps. Puis je me lève et ramasse ses vêtements. Son portefeuille est tombé de sa poche
Je pense a son potentiel, et donne un petit coup de pied pour le glisser sous le lit. Je reprends ses fringues, et les porte à la salle de bains.
Je jette un oeil par la porte entrouverte, il est dos a moi, finit de se savonner
glisse la main vers son cul, et sent qu'il est ouvert. Il le teste d'un doigt
D'un coup il se ressaisit, se rince, je me recule. Une fois essuyé, il passe la porte, je lui tends ses fringues.
- Vous étiez venus avec 2 voitures ?
- Non
- Alors je te dépose ou tu veux, ta journée de taf chez moi est finie, je m'occuperai du toit.
- ok. je vais à X.
- C'est sur ma route.
Entre temps, il s'est habillé, moi aussi. Nous sortons et grimpons dans ma voiture.
Je le reconduis, il ne dit rien de tout le trajet. Seuls la radio et mon chantonnement occupent l'air.
- Ici s'il vous plaît.
- Ok
Je m'arrête, il descend. il est presque sur le point de dire merci et au revoir, je crois. Il se ravise, fait juste un signe de main en levant la paume, se retourne et s'éloigne.
Je pense à son portefeuille sous mon lit.
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