Alicia Chapitre 2 (Séance Chez L'Esthéticienne)
Avant de partir, Hazi-Maendal moffrit un plug anal comme elle lavait promis, mais il était nettement plus gros que le premier. Elle
mappela pour le mettre directement à sa place, c'est-à-dire entre mes fesses. Après la pénétration que je venais de subir, il entra
facilement sans me faire mal.
- Tu le garderas 24 heures sur 24. Me prévint-elle. Seule Alicia pourra te le retirer quand elle le désirera.
Et à Alicia, elle offrit un double gode ceinture. Une partie intérieure qui pénétrerait Alicia, et une autre dassez belle taille à
lextérieur « pour le plaisir de ton chéri » expliqua t-elle.
- Je reviendrai samedi prochain. Annonça Hazi-Maendal en nous quittant.
Elle sadressa à Alicia :
-Tu lui prendras un rendez-vous samedi matin chez Mina mon esthéticienne.
Puis à moi :
- Lorsque tu seras à son salon, tu diras que tu viens de ma
Part, pour une épilation n° 3 spéciale. A bientôt.
Alicia me prit un rendez-vous pour le samedi à 11heures.
Lorsque je me présentai, ce fut une très belle femme, dans le même style qu Hazi-Maendal, qui maccueillit dans son salon de
beauté. Très accueillante elle me demanda ce que je désirais. Lorsque je lui annonçai que je venais de la part de la photographe,
et pour quelle prestation, son attitude envers moi changea instantanément.
- Suis-moi. Annonça-telle en adoptant un tutoiement quelle navait pas osé jusquà présent.
Nous nallâmes pas loin, juste la première pièce à côté de la réception.
- Déshabilles-toi entièrement, il y a des crochets là-bas pour mettre tes vêtements.
Je pensais avoir un peu dintimité pour me dévêtir, mais Mina resta là à me contempler pendant que je retirais mes effets. Une fois
nu, jessayai de cacher mon intimité, elle marrêta immédiatement :
- Pour une épilation, ce nest pas le moment de faire le timide, mets tes mains dans ton dos, et suis-moi.
En traversant son établissement, je pus apercevoir plusieurs salons dont aucun navait de porte. Presque tous étaient occupés
par des femmes installées pour divers soins : épilation, massage ou encore séance dU.V.
Arrivé dans la pièce tout à lextrémité, elle me désigna une table genre table de massage, avec des étriers comme chez un
gynécologue.
- Installe-toi. Me dit-elle. Mets bien tes pieds dans les étriers.
Je me doutais un peu du genre dépilation qui mattendait, mais comme je navais jamais été chez une esthéticienne, cela me
parut normal.
Une fois en place, elle mexpliqua :
- Cest un peu désagréable, aussi je vais tattacher pour éviter que tu ne remues, et pour que Hazi-Maendal soit contente du
résultat.
Mes pieds furent les premiers à être attachés, puis elle fixa mon bassin à laide dune sangle assez large. Lorsquelle eut remonté
mes mains au dessus de ma tête, elle les ligota ensemble sur la table. Pour finir, elle passa une cordelette assez serrée autour de
mon cou, quelle noua également sur la table.
Cela me parut trop de précautions, ce nétait pas une séance de tout de même. Harnaché comme je létais, je ne pouvais
pas remuer, dautant que si je voulais me relever, la cordelette me couperait la respiration. Je ne voyais pas son utilité.
Une fois son travail de ligature effectué, elle mannonça :
-Je reviens tout de suite.
A peine sortie de la salle, je lentendis annoncer à ses clientes :
- Mesdames, jai un jeune homme pour une épilation intégrale. Vous pouvez venir voir, dautant que jaurai certainement besoin de
quelques assistantes.
Cinq minutes plus tard, une quinzaine de femmes étaient face à moi à me regarder, qui avec un sourire amusé, qui avec un il
excité. Presque toutes étaient habillées dun peignoir, certaines, les plus jeunes, dun même modèle assez court sans ceinture et
sans rien en dessous, laissant apparaître une partie de leur nudité, je suppose que cétaient des employées.
peignoirs chics et bien fermés, il y avait de tout, quelques femmes très belles, mais une majorité ne me semblait guère excitante.
Seules deux filles plutôt jeunes étaient entièrement nues, pas mal faites dailleurs, mais qui étaient presque collées lune contre
lautre.
Pour ma part jétais très très mal à laise dêtre ainsi exposé à la vue de toute. Je comprends maintenant toutes les précautions
prises par Madame Mina pour mattacher. Dautant quà présent, cette dernière avait appuyé sur un bouton, et que les étriers
sétaient écartés comme par magie. Toute mon anatomie sexuelle soffrait maintenant au regard de ces voyeuses.
La maîtresse de maison commença par jauger mes attributs, en les soulevant, en les caressant ou en tirant dessus. Elle ne se
privait pas de faire toutes sortes de commentaires sur les organes reproducteurs des mâles, pas vraiment flatteurs pour nous.
Avant de commencer, elle prit plusieurs photos de moi, en invitant sa clientèle qui le désirait à poser à mes côtés.
- Je vous les enverrai par mail, cela vous fera un souvenir. Précisa-t-elle.
Toutes acceptèrent avec joie, les plus hardies nhésitant pas à laisser traîner leurs mains sur mon corps.
De voir toutes femmes presque nues aurait pu mexciter, mais dans le cas présent, ce nétait pas du tout le cas.
Seulement après cette séance de photos, elle retira le plug offert par Hazi-Maendal, qui avait conseillé à Alicia de me le mettre le
matin même. Jusquà maintenant, elle navait fait aucun commentaire à ce sujet, mais à présent, elle ne se gêna pas :
- Vous voyez mesdames, ce bijou à la particularité de convenir aussi bien aux garçons quaux filles. Offrez en un à vos chéris, cela
va peut-être leur plaire, comme à ce jeune homme.
Des rires fusèrent de tous côtés.
Madame Mina commença ensuite son travail, en essayant de se mettre de côté, pour bien laisser la vue libre pour les autres.
premières coulées de cire chaude faillirent marracher un cri de douleur, mais Madame Mina avait été très explicite :
- Si jentends le moindre son sortir de ta bouche, je te mets un bâillon.
Je me résolu donc à souffrir en silence. Madame Mina enduisit toutes les parties de mon service trois pièces, avec cette cire
devenue à présent moins chaude. Elle la retira ensuite sans aucune précaution, peut-être même en faisant exprès de me faire
mal. A chaque fois, je sursautais en faisant une grimace.
- Regardez-moi cette chochotte qui ne supporte pas trois fois rien de souffrance. Dit-elle à ses amies en riant. Maintenant il saura
ce que nous subissons, afin de plaire.
Pendant cette première partie, javais observé toutes les femmes. Aucune ne me regardait dans les yeux, leurs regards nallaient
pas plus haut que la ceinture, et elles nen perdaient pas une miette. Seules les deux filles nues qui sétaient un peu reculées,
regardaient le spectacle entre deux baisers, ou entre deux caresses.
Lorsque Madame Mina eut presque terminé, elle ajouta de nouveau un peu de cire à quelques endroits, pour parfaire son travail.
Ensuite elle frotta toutes les parties avec un lait démaquillant pour retirer les résidus de cire.
- Il ne me reste plus quun petit coin pour terminer. Ajouta-t-elle en appuyant de nouveau sur le même bouton.
Les étriers se remirent en mouvement, vers le haut cette fois. Linstant daprès jétais les fesses en lair, bien écartées, et
exposant franchement mon petit trou.
De nouveaux rires résonnèrent dans la pièce.
- Cest le morceau que je préfère. Prévint lesthéticienne en rigolant tout autant.
- Mais il faut bien le protéger. Dit-elle encore en approchant un vibro masseur.
Après lavoir lubrifié avec un gel, elle me lenfonça sans précaution dans le fondement.
Dêtre exposé les fesses en lair navait rien de réjouissant, mais en plus avec ce gadget enfoncé, jétais on ne peut plus mal à
laise.
-Il me faudrait une assistante pour le maintenir, pendant que je mettrai la cire.
Plusieurs clientes se proposèrent instantanément. Madame Mina en choisi une, peut-être la plus ancienne, en tout cas pas la plus
jolie.
Tout en versant la cire, elle précisa à son adjointe, quelle devait un peu le faire tourner, pour que la cire ny adhère pas. Celle-ci ne
se le fit pas dire deux fois, et fit pivoter le vibro dans tous les sens.
- Vous pouvez même le faire aller et venir, si vous préférez.
Lassistante semblait nattendre que cela, et commença à lui faire faire des vas et vients.
Lorsquelle eut terminé et nettoyé le surplus de cire, elle laissa encore un moment sa cliente samuser avec le gadget, puis elle le
récupéra.
Malgré lembarras de la situation, je sentis mon bas-ventre commencer à séchauffer, et mon sexe prendre un peu de
consistance.
- Regardez. Dit lesthéticienne. Ce petit vicieux aime ça.
Tous les regards se tournèrent à présent vers mon sexe qui prenait de plus en plus de volume.
- Pour terminer, il faut bien passer partout de lhuile parfumée pour calmer la douleur. Une de vous veut-elle sen occuper.
La encore les volontaires furent nombreuses, et une des femmes les plus jolie fut désignée.
Madame Mina fit couler lhuile sur mon service trois pièces, et la nouvelle collaboratrice commença son travail.
Elle prenait son travail à cur, et me caressait doucement. Cétait un vrai plaisir par rapport à ce que je venais de subir.
Mais le plaisir ne dura guère longtemps, la patronne intervint de nouveau.
- Jai dit : « bien passer partout ».
Et elle fit de nouveau couler de lhuile, mais cette fois directement entre mes fesses. Ladjointe, la récupéra et létendit sur mes
fesses. Madame Mina en fit de nouveau couler au même endroit. Cette fois lassistante, la fit pénétrer directement dans mon petit
trou, en y plongeant timidement un doigt bien enduit dhuile.
- Il faut bien faire pénétrer le produit, si lon veut que cela soit efficace. Insista Madame Mina. Avec plusieurs doigts. Précisa-t-elle.
Cette fois la belle dame se libéra de ses tabous devant les autres femmes, et menfonça un deuxième, puis un troisième doigt. Elle
les fit ensuite aller et venir, comme la précédente avec le vibro.
Lorsquelle jugea que cétait assez, lesthéticienne fit cesser sa cliente, mais lui présenta un vibro masseur encore plus gros que
le précédent.
- Vous allez lui mettre celui là maintenant, et ensuite on fera une nouvelle série de photos. Vous pourrez en profiter pour constater
comme il est bien doux à présent.
Bien préparé pars ses doigts, le gadget entra facilement, sans me causer de nouvelle douleur.
Une à une les clients se placèrent à côté de moi pour une photo finale. Cette fois, elles nétaient plus timides, et à chaque photo,
javais droit à une main qui me massait délicatement, ou qui me masturbait franchement de temps de la photo.
A lissue de la séance photos, mon érection était de plus en plus forte, Madame Mina eut pitié de moi.
- Il y a peut-être une volontaire pour soulager le pauvre malheureux de cette protubérance qui semble le faire souffrir.
Une femme assez grosse fut la seule à se rapprocher de moi. Elle prit immédiatement mon sexe en main et lagita frénétiquement.
Bien que cette dernière ne fût pas du tout bandante, je me libérai rapidement en ayant failli m avec la cordelette.
Madame Mina eut une dernière critique à mon égard.
- Voyez moi ce petit cochon qui a tout sali. Tu vas nettoyer tout cela.
Et joignant le geste à la parole, elle essuya les traces de mon plaisir avec ses doigts, quelle présenta ensuite à ma bouche. Je
neus pas dautre choix que de mexécuter, et de tout avaler.
Après avoir retiré le vibro, et remis mon plug à sa place, elle sadressa à ses clientes :
- Voilà mesdames, vous pouvez aller reprendre vos soins. Jespère que ce petit intermède vous plu, cest offert par la maison.
Offert par bibi surtout, cela ne lui a pas coûté cher à la patronne.
Après avoir raccompagné ses clientes vers leurs salons, elle me libéra enfin.
- Tu es un petit gars bien, je ne te ferai pas payer cette séance, mais en contrepartie, tu viendras tous les samedis à la même
heure. Mes clientes ont bien apprécié, et aimeraient beaucoup te revoir. Je marrangerai avec Hazi-Maendal.
Je ne voyais pas ce que Hazi-Maendal venait faire là dedans.
En repartant vers lentrée pour récupérer mes vêtements, je jetai un il dans les salons privés. Les conversations allaient bon
train, je me doutais bien du sujet de leurs discussions. Jeus également la surprise de voir dans deux salons, les employées
entièrement nues, la tête plongée entre les cuisses de leurs clientes. Le spectacle avait du les échauffées, et à priori on pratiquait
toutes sortes de soins du corps dans cet établissement.
Avant de partir, Madame Mina me tendit un DVD :
- Cest le film de ton épilation, tu le donneras à Hazi-Maendal. Elle pourra voir comme tu as été coopératif.
Hazi-Maendal, Hazi-Maendal, il ny en avait que pour elle.
Jappris par la suite ce quétait une épilation n° 3 Spéciale. « Numéro 3 » pour épilation intégrale, et « spéciale » pour tour le reste
: exhibition e devant les clientes, et avec leur participation, engodage et masturbation avec nettoyage. En fait spécial, signifiait
spécial pour les soumis, ce que sans le savoir jétais devenu.
Si ce récit vous a plu, jattends vos réactions sur azkinato@hotmail.fr
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