Sous Le Charme Et Le Pouvoir D'Une Jeune Fille (Prologue)


J'ai 39 ans et cette histoire a débuté alors que j'en avais 32 J'ai cette année là accueilli en stage dans l'entreprise ou je travaillais une jeune femme, Aude, âgée de 17 ans à l'époque, pour un stage d'observation. Au sein de l'entreprise, la présence de ces jeunes stagiaires embête tout le monde, ils sont la plupart du temps très timides, ne savent pas vraiment ce qu'ils font là et en plus en trois jours, n'ont pas vraiment le temps d'apprendre quoi que ce soit.
Bref, j'ai accueilli Aude, comme si c'était un plaisir de m'occuper d'elle pendant ces 3 jours ; elle était brune, de taille moyenne, les yeux en amande, une poitrine assez proéminente d'après ce que je pouvais deviner sous un pull large et un pantalon informe. A la différence des gens de son age, elle avait une vraie pêche, une vraie curiosité et un enthousiasme certain ; Avec un collègue, on l'a gentiment chambré sur le fait que pour son premier jour dans notre société, elle aurait pu faire un effort vestimentaire et porter une jupe, un chemisier et des escarpins, on lui a dit en rigolant que c'était la règle , surtout pour les stagiaires. Elle était détendu , rigolait de bons cœurs et posait beaucoup de questions sur notre profession.
Le lendemain, je devais m'occuper d'elle toute la journée, la trimballer à mes rendez-vous et le matin, à son arrivée, je suis resté bouche bée quand elle est rentré dans le couloir. Elle portait une mini jupe grise, des collants opaques noirs, un chemisier blanc légèrement transparent (un soutien gorge noir en dessous qui me confirmait la première impression sur ses seins) et des chaussures à talons ouvertes.. Elle a tout de suite deviné l'effet qu'elle produisait sur moi et m'a lancé en rigolant « alors c'est mieux comme ça ? ». J'ai bafouillé que c'était parfait, en me répétant qu'elle n'avait que 17 ans mais j'ai vite compris que mes autres collègues étaient également sous le charme quand j'ai vu le nombre de têtes qui se tournaient sur son passage.


Nous avons donc passé la journée ensemble, de rendez-vous en rendez-vous, de trajet de voiture en trajet de voiture (je ne me lassais pas de regarder ces jambes en collant avec sa jupe qui remontait quand elle prenait place dans la voiture) et Aude qui parlait beaucoup, s'est confié à moi, sur ces parents avec qui cela n'allait pas fort, sur ces petits amis qui la rendaient malheureuse et sa classe (elle était en Terminale) ou elle s'ennuyait. Étonnamment, j'écoutais et j'y prêtais intérêt, elle était très sincère, pas à se plaindre pour se plaindre . De fil en aiguille, elle me racontait que son petit ami venait de la plaquer pour une bonne copine à elle et que ça l’embêtait vu qu'ils avaient une grosse soirée le we suivant (on était jeudi) et qu'elle avait eu la permission de ses parents de passer le we chez une copine (ce qui était un bobard pour être avec son ex-petit ami). Elle me demanda alors ce que je faisais ce we. J'étais surpris, interloqué, je lui demandais pourquoi cette question, elle me répondit qu'elle ne voulait surtout pas laisser passer l'occasion de passer un we ailleurs que chez ses parents et que si j'étais dispo, on pourrait le passer ensemble. Je dois dire que j'étais bien embêté devant une telle proposition.. Qu'est ce que cela signifiait, pouvait elle imaginer que je n'avais pas de chambre d'amis , est ce que les filles d'aujourd'hui sont si peu farouches ? connait elle mon age ? Enfin bref, ça cogitait dur dans ma tête quand elle m'a dit « alors tu en penses quoi ? « A  court d'inspiration, de réponse, je lui dit : « et on ferait quoi ? » (et je m'en suis voulu de paraître aussi peu inspiré). Elle, du tac au tac : « ben tu me feras à manger, on boira du vin, on fumera peut être un petit joint, on regardera un DVD, j'allongerais mes jambes sur les tiennes, tu me masseras les pieds et on ira dans ta chambre »
Petite parenthèse importante pour la suite du récit : depuis mon plus jeune age, je suis fétichiste des collants féminins, des bas, des talons aiguilles et des pieds féminins dans les collants ou bas, seul il m'arrivait régulièrement d'en porter et de me masturber dedans .
Fin de la parenthèse.
J'aurais eu quelque chose dans la bouche, je l'aurais recraché immédiatement mais là, j'avais juste ma stupéfaction pour moi, la vue des jambes encollantées dans ma voiture et l'idée de lui masser ces pieds se sont rencontrés et je n'ai pu que dire : « oui, pourquoi pas, ça me semble un programme intéressant » et elle a fini de m'achever en me disant : « je connais les règles vestimentaires pour le travail mais pour chez toi, je m'habille comment ? », je crois bien que j'ai rougi (devant une gamine de 17ans) et j'ai balbutié : « comme pour le travail, c'est très bien « .

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