Visite Chez Mon Voisin

Mon voisin du dessus était un type d’une soixantaine d’années. Il vivait seul. Un jour je dus monter le voir car je voulais vérifier si certaines taches au plafond de ma cuisine ne provenaient pas d’une fuite chez lui.

C’était en été. Il m’accueillit en caleçon et en marcel.
– Oh, excusez-moi, Monsieur, je vous dérange ?
– Non, pas du tout.

Nous nous connaissions seulement de nous croiser dans l’escalier. Je lui expliquai le motif de ma visite.
– Je ne crois pas avoir de fuite dans la cuisine, mais on peut vérifier.

Il prit une lampe de poche et me précéda dans la cuisine. Je lui indiquais l’endroit des tâches. Il avait effectivement un tuyau qui passait là pour son lave linge. Pour vérifier qu’il ne fuyait pas, nous tirâmes la machine à laver de son emplacement pour dégager le coin : cela faisait une niche sombre sous son plan de travail. Il s’accroupit et éclaira le tuyau au fond et dit :
– C’est trop sale, je ne vois rien, il faudrait aller toucher pour voir si c’est sec…
– Laissez, je vais le faire.

Il se releva. Je me mis à quatre pattes et comme nous étions à l’étroit dans cette petite cuisine encombrée par la machine délogée, je me trouvai ainsi un instant le visage à quelques centimètres de son caleçon et de ses cuisses couvertes de poils clairs… Je restais un quart de seconde fasciné, n’osant pas relever la tête. M’avait-il vu ? Je m’engouffrais dans la niche bien content d’y cacher mon trouble.

L’endroit était assez malcommode, je m’introduisis lentement pour ne pas trop me salir.

– Attendez, je vous éclaire.

Il s’approcha pour me donner de la lumière avec sa torche. Alors, mes cuisses touchèrent les siennes. Je fus immédiatement très excité. Je pouvais tâter le tuyau et le sol : tout était parfaitement sec. Mais je prolongeais mon exploration afin de bouger un peu et ainsi faire frotter légèrement mes cuisses contre les siennes.

Il ne bougea pas.

Je ressortis. J’étais de nouveau à genoux devant son caleçon et ses cuisses. J’attendis encore une seconde sans oser lever les yeux. Il posa une main sur son caleçon au niveau de son sexe, alors je levai doucement la main et du dos des doigts, je commençais à lui effleurer les poils des cuisses.

Sa main commençait à malaxer son sexe à travers le tissu. Je caressai ses cuisses et, approchant mon visage, me mis à les frôler avec mes joues, avec mes lèvres.

– viens

Il m’amena dans un petit salon, s’assit sur un canapé en cuir, me prit le visage dans ses deux mains et l’approcha pour me rouler une longue pelle. Puis il m’enleva mon polo.

Je me mis à genoux par terre devant lui et recommençais à caresser et embrasser ses cuisses duveteuses qu’il me présentait largement ouvertes. Je descendis vers les mollets puis les pieds que je commençais à léchouiller, embrasser et mordiller.

À un moment, il me posa le pied bien à plat sur la joue : hmmm, j’adorais le contact de sa plante des pieds, à la fois douce et rêche, sèche et tendre sur ma joue mal rasée. Puis, doucement mais avec autorité, il me colla la tête contre la moquette en appuyant son pied sur ma joue. Il m’ordonna :
– Enlève ton short.

La tête plaquée au sol sous son pied, je dus me cambrer pour dégrafer ma ceinture, puis me tortiller de gauche à droite pour ôter mon bermuda et mon slip. Je bandais à fond, ce qui me gênait encore davantage dans mon déshabillage. Je crois qu’il se branlait en me regardant me démener ainsi.

Pendant toute cette laborieuse opération, il me passait son autre pied dans les cheveux, ou alors sur les épaules pour gêner ma manœuvre, ou encore devant mon visage plaqué sur la moquette : au comble de l’excitation je lui léchais alors les orteils qui se présentaient devant ma bouche. Parfois, il en enfonçait un ou deux dedans, que je suçais alors goulûment.

Quand je fus finalement nu, il me sodomisa.

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