Une Fellation Dans Une Situation D'Exception

Cette histoire date maintenant. A cette époque Chantal commençait à peine à entrer dans mes fantasmes. A reculons, mais elle s’y prêtait et quand le jeu était engagé, c’est elle qui devenait le chef d’orchestre toute à son désir et plaisir.
A mon bureau, Didier flippait pour elle, et souvent il me faisait des compliments sur sa tenue, sa coiffure, ses jambes… enfin il me la déshabillait et cela bien sûr me faisait bander. Il était marié et nous nous étions souvent retrouvés ensembles en couple à des soirées simplement professionnelles. Chantal l’appréciait car il était drôle et sa femme, Annie, plaisante. Ce voyeurisme sourd et tout en sous entendus ne pouvait que me donner des idées !
- Didier, je vois bien que tu aimes mater Chantal.
Inutile de vous dire qu’il s’est soudainement senti mal à l’aise et a immédiatement réfuté mon allusion et nié toute mauvaise pensée irrespectueuse. Je lui expliquais que je rêvais de voir des hommes la mater, surtout ses fesses et ses seins, que nous en avions parlé ensemble et qu’après des refus cinglants, à force de patience, j’avais fini par ramollir sa résistance.
- Ça a commencé par des exhibes en auto, au bois, des voyeurs qui l’ont même touchée, et petit à petit elle m’a semblé prendre plaisir et devenir ma complice dans ces jeux pervers. Bien entendu, il m’en fallait toujours plus. Elle bougonnait à chaque nouveau jeu et je devais toujours à chaque fois faire don de persuasion, mais elle finissait toujours par se soumettre. Une fois commencé, je la laissais faire.
Cette fois, je voudrais la faire venir à s’exhiber, les yeux bandés à un inconnu. Ce fût difficile mais hier soir elle a cédé, avec bien sûr des limites, elle ne veut pas de pénétration ! Je voudrais le faire ici, avec toi. T’es d’accord ?
- Oh lala, tu me prends au dépourvu Arsène. Je respecte trop Chantal ! Je ne veux pas risquer de me griller auprès d’elle. Et tu as pensé à Annie si cela se sait ?
- Merde, Didier, j’ai eu vachement du mal à la convaincre et c’est toi qui te dégonfles ! Et ta femme n’en saurât jamais rien.


- Non, je ne me dégonfle pas mais…
- Écoute, reste demain soir au bureau quand tout le monde est parti. Je viendrais te chercher, OK ?
Après un moment d’hésitation, mon collègue a cédé.
- D’accord mais fais en sorte qu’elle ne sache pas que c’est moi qui suis là et qui regarde.
- Ne t’inquiète pas.
Je suis rentré chez moi tout excité à l’idée d’exhiber Chantal à Didier.
Je lui demande de venir me rejoindre demain soir à mon bureau vers 18 h. Elle fait la moue car elle sent le piège, mais elle accepte. Je lui demande aussi de s’habiller sexy, chemisier blanc et jupe noire avec des dessous blancs. Je la sens encore réticente.
- Tu as une idée derrière la tête non ?
- Ne t’inquiète pas et fait moi plaisir.
- Tu connais mes limites ?
- Mais oui, fait moi confiance.
Je passe une journée du lendemain dans l’angoisse. J’ai rencontré plusieurs fois Didier, il est encore plus nerveux que moi. Il ne cesse de m’interroger sur ce que j’ai prévu. Je garde bien sûr le silence. Ça m’excite !
A 17h30 les bureaux se vident, à 18h, Chantal est là. Je l‘emmène à mon bureau. Je la sens tendue.
- On va où, me demande-t-elle ?
- On reste ici, détends-toi.
Je la guide devant le grand miroir posé sur la cheminée. Je suis derrière elle, je lui souris et je lui demande de fermer les yeux, et tout en douceur je lui passe un foulard devant les yeux. Elle se crispe mais me laisse faire. Je sens sa respiration s’accélérer légèrement. Elle participe mais reste tendue. Je lui demande de ne pas bouger et je vais ouvrir à mon complice qui attends fiévreux derrière la porte. Il entre en silence et je le fais asseoir dans mon fauteuil. Chantal dresse le tête vers nous comme pour saisir un bruit, un souffle qui lui donnerait une indication sur ce qui se passe derrière elle.
- Il y a quelqu’un avec toi ?
- Oui, un spectateur. Je vais prendre des photos de toi, il va regarder simplement.
- Je le connais ?
- Non, ma chérie, il ne travaille pas ici !
- J’ai peur Arsène, allons nous en !
- Rassure toi ma chérie, il ne va rien se passer que tu n’aimes pas.

Je la prends doucement par les épaules, et la conduis contre mon bureau devant mon complice qui ne la quitte pas des yeux, assis sur mon fauteuil. Elle lui tourne le dos. Doucement je lui demande de relever sa jupe pour montrer ses bas blancs. Elle hésite un moment. Nous restons silencieux Didier et moi. Puis elle se saisit du bas de sa jupe et lentement la remonte jusqu’à dévoiler ses bas puis elle continue de sa seule initiative et découvre sa culotte blanche. A ce moment là, elle marque un temps d’arrêt, comme pour nous laisser voir ou bien hésite-t-elle à aller plus loin ? On retient notre souffle. Je regarde Didier, il se caresse la bosse au niveau de sa braguette. Il bande déjà le salaud !
Laissant retomber sa jupe sur ses cuisses, elle se tourne vers nous et ouvre son chemisier laissant apparaître un soutien gorge blanc. Toujours lentement, elle enlève son chemisier pour le remettre aussitôt son soutien gorge enlevé. On a eu le temps d’admirer sa poitrine dont on voit déjà pointer les tétons. Elle laisse le chemisier ouvert, s’appuie sur le bureau et reste immobile en silence. On devine alors qu’elle se met à disposition, qu’elle attend qu’on se manifeste, que quelque chose se passe, elle se soumet.
Je jette un coup d’œil à Didier. Il est tout rouge. Il tremble et reste les yeux braqués sur les seins devant lui. Comme rien ne se passe, elle reprend l’initiative et cette fois c’est la jupe qu’elle laisse tomber à ses pieds. Elle apparaît en sous vêtements blancs, une culotte de soie nacrée et les bas dont le haut est orné de dessins de dentelles. Elle est ravissante et excitante.
Cette fois encore elle fait une pose, les mains en appui derrière elle sur le bureau nous offrant son ventre et sa poitrine dénudés. Comme pour nous provoquer, elle se tourne nous offrant son dos et ses fesses à voir. Mais en même temps cela semble dire « alors de dos je vous fait moins flipper ? »
Je sens qu’il faut faire quelque chose. Moi je prends les photos.
Je fais signe à Didier d’aller la rejoindre sinon tout allait foirer. Il se lève s’approche. Chantal qui l’a senti se cabre légèrement, lui tend ses reins. Enfin libéré, il passe les mains sous les bras et se saisit des seins qu’il malaxe avec douceur d’abord puis de plus en plus brutalement en réponse aux gémissements étouffés que ma femme pousse sous la caresse. Lentement ses mains quittent la poitrine descendent sur le ventre et se saisissent de l’élastique de la culotte pour la faire glisser patiemment le long des cuisses gainées de blanc. Chantal soulève une à une ses jambes pour laisser passer la culotte. Elle est pratiquement nue devant son soupirant qui d’abord la regarde, la contemple plutôt. Il n’ose s’aventurer davantage. Soudain, je suis surpris de voir Didier enlever son pantalon et son slip. Il bande dur le salaud. Il s’approche de Chantal et commence à lui caresser tout le corps. Les seins, le ventre, les cuisses, il ne veut laisser aucun millimètre de peau oublié par ses mains. Chantal se love sous les caresses, elle participe maintenant. Se laissera-t-elle baiser ? Il la retourne face à lui, lui enlève son chemisier. Il frotte sa bite contre son ventre, contre son pubis. Elle descend une main et s’empare de la queue bandée et doucement fait jaillir le gland tout mouillé. Didier à son tour écarte les lèvres du sexe féminin déjà toutes gluantes de sécrétions, adroitement il remonte jusqu’au clitoris qu’il titille maintenant avec délicatesse. Chantal gémit de plus en plus fort, elle s’abandonne à la caresse. Puis le doigt pénètre son vagin et commence une délicate masturbation. Elle avance son bassin au devant de la main qui lui donne du plaisir. Didier s’enhardit, protégé par l’anonymat du bandeau. Il lui vole d’abord un baiser. Je vois leurs langues se mêler. Puis il lui suce les seins et descend pour lui lécher le minou. Chantal est sensible du clitoris. Elle gémit de plus en plus fort, elle secoue sa tête de droite et de gauche, elle prend du plaisir.
Moi je prends des photos et je me branle en même temps. Je vois distinctement comment il écarte de deux doigts les lèvres pour sucer, lécher, aspirer le petit bouton tout rouge et gonflé de sang. Chantal prend la tête de son amant et la plaque contre son ventre pour l’emprisonner contre son sexe. Puis comme il se relève, ses lèvres pleines de sa mouille, il lui prend à nouveau sa bouche pour lui faire boire sa propre liqueur d’amour. Elle lui lèche carrément ses lèvres pour ne pas perdre une goutte du précieux liquide qu’il est allé chercher au fond de son ventre, de sa propre jouissance. Elle le branle toujours. Elle plie alors lentement ses genoux pour porter sa bouche au niveau du sexe brûlant, tendu prêt à exploser. Avec tendresse elle le porte à ses lèvres, le lèche, fait sortir le gland de son étui, introduit la pointe de sa langue dans le méat d’où sourd du liquide séminal. Je vois que Didier est prêt à jouir. Il lui prend la tête et il enfonce sa queue à fond dans la bouche qui s’ouvre en signe d’acceptation. Elle le suce, l’aspire en même temps qu’elle le branle et après seulement quelques va et viens rapides, il se cabre et en râlant, se déverse dans la bouche qui reste collée tout contre son ventre, le gland enfoui au plus profond. Il jouit longtemps, éjacule de nombreuses fois. Chantal, plaquée contre le ventre de son violeur avale tout le sperme qui envahit sa bouche, elle est étouffée mais elle reste collée, amante soumise. Une fois l’orage de la jouissance passé, du sperme au coin des lèvres, elle fait avec sa langue la toilette de la queue qui lentement se renferme, se rabougris. Alors seulement, il l’aide tendrement à se relever. Moi je bande à regarder ma femme sucer la bite d’un autre homme et prendre du plaisir à le faire.
Elle s’appuie sur le bureau, Didier se rhabille rapidement, il a repris ses esprits le salaud et sans un mot il se retire de mon bureau.
Je lui laisse son bandeau, sors mon sexe et d’un coup je la pénètre en me collant à elle. Très vite elle arrive à la jouissance, tant elle a été chauffée par son amant inconnu. Moi il ne me faut que quelques va et viens pour décharger tout mon sperme dans sa chatte en feu au moment ou elle me prend la bouche pour me donner à boire quelques gouttes du foutre de son amant. Nous jouissons de concert, heureux et amoureux.
Repus, fatigués, on se rhabille et heureux, nous allons au restaurant, après lui avoir ôté son bandeau !
Bien souvent depuis, nous nous sommes croisés à diverses occasions professionnelles avec Didier. Chantal ne sait pas qu’il est cet amant d’un soir, mais lui sait. C'est terriblement excitant de savoir. Souvent il me raconte des fantasmes de baise qu'il imagine avec elle. Elle, elle cherche à savoir qui il est car il lui a donné beaucoup de plaisir. Et moi je suis bien sûr jaloux.
Parfois, en solitaire, je regarde les quelques photos prises ce soir là (j’ai pris soin qu’on ne le reconnaisse pas), et à chaque fois je parviens à jouir rapidement. Je les montre à Didier et même à certaines de mes relations qui ne risquent pas de nous reconnaître. Demandez !

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