Camille Episode 22
(Piégée.)
Jai repris le cours de ma vie. Une vie normale.
Enfin !
Normale pour moi.
La semaine est terminée. Je vais embrasser monsieur Félicien qui en profite pour me mettre la main au cul, avant de me souhaiter un bon week-end.
Sur le chemin du retour, jimagine ma soirée. Je vois Fabien me prendre comme une bête, lorsque je me présenterais à lui, dans cette petite tenue sexy, que jaie acheté en cachette et qui dort gentiment dans le coffre de ma voiture.
Je suis presque arrivée lorsque soudain, une odeur de chaud envahie lhabitacle.
« Merde ! Il ne manquait plus que ca ! »
Dans une petite rue, à deux cent mètres de chez moi, il y a un garage.
Je ny suis jamais allez, car dans le quartier il na pas une très bonne réputation.
Mais là, je nai pas vraiment le choix.
Jy entre doucement, lorsquun type se jette pratiquement sous mes roues, en vociférant et en gesticulant.
« Non, non, ma ptite dame ! Je ferme ! Allez hop, demi-tour ! »
Cest un gros porc dune cinquantaine dannées. Il porte un vêtement de travail dégueulasse, qui na pas du voir de machine à laver depuis des lustres.
Visiblement furieux, il sapproche de ma vitre. je la descends, pour lui expliquer mon cas.
« Sil vous plait ! Soyez sympa, elle sent le chaud ! Je ne voudrais pas amplifier le problème en roulant comme ca ! »
« Ha non ! Je ferme ! Revenez lundi ! »
« Bon, ben
prenez-la au moins ! Je nhabite pas loin, je peux rentrer à pied. »
Il se penche vers moi et me dévisage.
« Jte connais, toi ! »
« Heuuu ! Non ! Je ne crois pas, non. »
Ses yeux se promènent sur mon corps, et sarrêtent un petit moment sur mes jambes.
Ce nest pourtant pas mon genre, mais face à son regard lubrique et insistant, je serre les genoux.
« Ha ouai ? Il me semblait bien, pourtant. Bon ! Vas dans la salle dattente. Je vais la ranger. »
Je le trouve un peu cavalier de me tutoyer ainsi, mais finalement ca colle parfaitement à limage quil renvoie
Jy reste au moins une demi-heure avant quil ne revienne me chercher.
« Jy ai jeté un il. Viens dans mon bureau. Je vais te dire ce quil en est. »
« Non, cest bon ! Ca peut attendre lundi, je ne vais pas vous ennuyer plus longtemps. »
« Jai dis, viens dans mon bureau, je vais te dire ce quil en est ! »
Putain ! Il me glace le sang.
« Bon, bon ! Daccord, je vous suis. »
Je rentre dans son bureau. Cest une vaste pièce avec une vitrine dépourvue de rideaux, donnant directement sur la rue.
Il y a son bureau avec un gros fauteuil derrière. Devant, contre le mur, trois chaises plus ou moins propres attendent les clients.
Il ya déjà un homme assit, aussi gras que lui. Surement un ami, puisque le garagiste fermait.
Le patron passe derrière son bureau et se penche sur son ordinateur.
« Bon ! Voyons voir ! »
Il pianote un bon moment, sans dire un mot, puis :
« Tu porte une culotte ? »
« Pardon ? »
« Tas très bien compris ! Tu porte une culotte ? »
« Mais, ca va pas, non ? »
Je me lève furieuse.
« Du calme ma jolie ! La réparation va te couter bonbon ! On pourrait sarranger ! »
« Rien du tout ! Donnez-moi mes clefs ! Je men vais et jirais ailleurs ! »
Il se moque totalement de ce que je lui dis. Il pianote toujours, et soudain il a un air triomphant.
Il ricane et tourne lécran de lordinateur vers moi et lautre type.
« Je savais bien que je te connaissais, toi ! »
Son ami att mon poignet.
« Assis toi, ma belle ! Cest ce que tu as de mieux à faire pour linstant. »
Abasourdie, je me laisse retomber sur ma chaise.
Sur lécran, il y a lhistorique dune conversation que jai eu avec lui sur MSN, agrémentée dune photo de moi, suçant Fabien. On me voit très bien. Impossible de nier ou dire que cest une autre. Je porte même les mêmes bijoux que sur la photo.
Je suis rouge de honte et je tremble comme une feuille morte.
Jai du donner cette photo deux ou trois fois à des contacts, sur MSN.
Merde ! Je nai pas été prudente, mais ce nest quand même pas de chance que ca tombe sur lui.
Je me rappelle très bien de ce que jai dit ce jour là. Jétais chaude comme la braise. Il va être très difficile de passer pour une sainte ni touche.
Il imprime la photo et la donne à son ami.
« Hummmm ! Joliiiie ! Ben dis dont ! Tu semble aimer ca, toi ! »
« Attends ! Attends ! Regarde un peu ce quelle ma écrit ! Jaime le sexe
Jadore me faire prendre par des inconnus
Jaime trop le cul. Hummm ! Une bonne bite dans ma bouche.. Etc
Etc
»
« Pffff ! Jétais ivre quand jai écrit ca ! Alleeez ! Vous avez assez ri de moi, maintenant ! Rendez-moi mes clefs, sil vous plait. »
« Pas tant que tu ne maura pas dit si tu porte une culotte. Tu porte une culotte ? »
« Non ! Voilà ! Vous êtes content ? Donnez-moi mes clefs ! »
Je ne peux pas leur dire, mais cette situation mexcite beaucoup. Jaime les rapports de force. Surtout quand je sais, que je vais perdre.
« Tu peux dire nimporte quoi ! Nous voulons voir si tu nas pas menti ! Hein, Simon ? »
« Cest sur ! Allez, ma jolie ! Ouvre-toi un peu. »
Il pose une main sur mon genou et le tire pour écarter mes jambes.
Je cède, espérant quun piéton ne tournera pas la tête en passant devant la vitrine.
« Hummm ! Mais cest vrai quelle est cul nu, la salope ! Tes une belle petite pute, toi !»
Il cherche à mhumilier, sans se douter une seule minute de leffet que me font ses insultes.
« Caresse-toi un peu, ma chérie. Fais ca pour nous. »
Jhésite, me fais prier, puis, timidement, je porte ma main à ma fente humide.
Les deux hommes sont ravis et nen perdent pas une miette. Des bosses se dessinent dans leurs pantalons, présageant des moments torrides. Je nen mouille que plus, à cette simple hypothèse.
« Tiens ! Branle-toi avec ca ! »
Il me tend un marqueur.
« Non ! Je ne peux pas ! Et si quelquun regarde ? »
« Déjà maintenant, il pourrait voir une salope se caresser. Alors, un peu plus ou un peu moins, je ne vois pas la différence ! Fous-toi ca dans la moule ! Morue ! »
Dois-je prendre ca comme un cadeau ou un encouragement, mais il se place entre moi et la vitrine.
Mon voisin, tire encore sur mon genou, pour que je mécarte davantage.
A bout dargument, jintroduis lobjet dans ma chatte, détrempée de cyprine grasse.
Faire aller et venir le marqueur devant ces deux vicelard, mexcite comme une folle. Je ne peux pas le cacher et je suis sur le point de jouir.
Lorsque tout à coup, la porte souvre.
En une fraction de seconde, je resserre les cuisses et abaisse ma robe.
Mais, le marqueur est toujours en moi.
Cest un employé qui a besoin de commander une pièce, via lordinateur. Je rougis lorsquil découvre ma photo sur lécran. Il me sourit furtivement et fait son travail.
Son patron sen mêle et ca dure longtemps. Très longtemps.
En moi, le feutre attend sagement et déclenche de grosses sensations à chacun de mes mouvement, aussi petits soient ils.
À deux reprises, je jouis en silence, me retenant pour ne pas gémir ou grimacer.
Le garagiste semble mécontent de son ouvrier. Il lengueule et ils sortent du bureau, me laissant seule avec lautre type.
Sans hésiter, il pose ses gros doigts boudinés sur mon genou et les remonte sous ma robe.
Rapidement, jextirpe le feutre que je jette sur le bureau, et fermement, je reitre sa main.
« Non ! Arrêtez ca tout de suite ! Dailleurs, je men vais ! »
« Ok ! Vas ! Et demain ta photo sera placardée sur tous les murs du quartier. Cest ca que tu veux ? »
Hummm ! Si ce nétait pas si risqué de foutre ma vie en lair, jaccepterais bien volontiers.
Que tout le monde sache que je suis une salope, serrait surement délicieux.
La porte souvre de nouveau sur le patron.
« Sortez ! Jai un client de dernière minute. Jarrive ! »
Je sors du bureau et je menferme dans les toilettes, juste à coté. Le type a bien essayé de men empêcher, mais jai été plus rapide que lui. il frappe à la porte.
« Laisse-moi entrer ! Tu ne regretteras pas ! »
« Foutez-moi la paix ! Je pisse ! »
« Cool ! Laisse-moi mater ! »
« Surement pas ! Gros degueulasses ! »
« Ha non ! Degueulasses, daccord, mais gros
»
Sil pense macheter avec son humour à deux balles, cest raté. Sil savait ce que je suis en train de faire, il serait fou.
Excitée par lépisode du marqueur, je me branle le clito pour me soulager de lénorme envie dorgasme qui me ronge.
Collée au mur, un pied sur la cuvette, je me caresse les seins et la chatte, jusquà lultime frisson.
Je suis obligée de mordre mes lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Haletante, je reprends mes esprits. De lautre coté de la porte, tout est redevenu calme.
Jôte le loquet de la porte et je la pousse doucement.
Mais le type est là et me repousse dans le fond des toilettes. Il me saute dessus et membrasse à pleine bouche. Il me caresse, défait les boutons de ma robe et arrive à me la retirer, malgré mes protestations
de pures formes.
« Tiens ! Suce-moi, salope ! Fous-toi à genoux et bouffe moi la bite ! »
« Non ! Pas question ! Rendez-moi ma robe ! Connard ! »
« Bah ! Je vais te laisser réfléchir. »
Il sort et referme la porte derrière lui.
Je me sens comme une conne, nue dans ces chiottes, juste habillée de mes hauts talons. Je reconnais que je ne sais plus quoi faire.
Sortir ? Nue, pas question. Appeler au secours ? Est ce que jai vraiment envie dêtre secourue ? Jai trop envie de découvrir comment va évoluer mon triste sort. A quelle sauce vais-je être mangée ?
Il me laisse mariner un bon quart dheure, puis revient à la charge.
« Alors, salope ! Tu me la suce ? »
Il défait sa braguette et sort sa queue.
Je suis déçue. Elle est vraiment banale.
Sans rien dire, je maccroupis et prends sa verge en bouche. Je suis tout à ce que je fais, lorsquil me demande darrêter. Il se retire de ma bouche et je prends plusieurs jets de spermes gras en plein visage.
« Tiens ! Prends ca, belle putain ! Hummm ! Le foutre te va bien ! »
Je le regarde, des éclairs dans les yeux. Je déroule du papier toilette et je me nettoie les joues. Puis, je me relève et laisse mon visage à quelques centimètres du sien.
« Si javais su que ce serait si rapide, je naurais pas hésité ! »
Vexé, il sort des chiottes en me laissant, une fois de plus.
Jai envi de sortir et dexplorer les environs à la recherche de ma robe. Jimagine que celle-ci est dans le bureau. Mais me promener nue dans le garage, me dissuade totalement.
La porte souvre de nouveau. Cest le patron.
« Rendez-moi ma robe, sil vous plait ! La plaisanterie a assez durée, non ? Je veux partir ! »
« Oui, oui ! Tinquiète pas, je vais te la rendre ! En attendant, suis-moi ! Ne craint rien, le garage est fermé. »
Hésitante, je mets un pied hors des toilettes. Lui, est déjà au milieu du garage.
« Alors ! Cest pour aujourdhui ou pour demain ? Grouille ! Jai pas toute la nuit ! »
Jespère bien. Lidée de passer la nuit au milieu de bagnoles aux capots ouverts ne mintéresse pas vraiment. Ouverts ou fermés, dailleurs.
« Attends-moi là ! Je vais chercher ta robe dans mon bureau. »
Il ma entrainé dans une réserve de pneus. Je ne comprends pas très bien pourquoi nous ne sommes pas allez directement dans son bureau.
« Jai encore un employé qui y travail. À moins que tu veuille le rencontrer ? Haha ! »
Me voilà seule de nouveau, et pas très réchauffée.
Jattends deux trois minutes et il revient. Mais il nest pas seul. Il ramène son ouvrier.
Vu son âge, cest certainement un apprenti, plus quun mécanicien. Merde ! Jaime pas les jeunots !
« Avant davoir ta robe, tu vas toccuper de mon ptit mécano ! Il est très gentil et je ne serais pas étonné quil soit encore puceau, le con ! Hahaha ! »
« Moi ? Puceau ? Vous rigolez msieur Albert ! Jai baisé ma première meuf à quatorze ans ! Viens là poupée ! Viens gouter mon gourdin ! Tu vas te régaler ! »
Pffff ! Voilà une des raisons qui font que je déteste les jeunes. Ils ne doutent de rien.
Pourtant, je dois reconnaitre quil me tend un engin, plus que respectable.
Il sapproche de moi et me caresse sans douceur ni tendresse.
Certes, je ne suis certainement pas sa première fille, mais sil ne se calme pas, il nen aura plus beaucoup.
Il a ouvert son bleu de travail plein de cambouis et mexpose ses abdos et son torse glabre.
Puis, il appuit, avec ses mains dégueulasses, sur mes épaules.
« Allez poupée ! Au travail ! »
Je dois reconnaitre quil nest pas timide, mais sil mappelle une fois de plus « poupée », je lui colle une mandale.
Respectable ? Hummm ! Sublime, oui !
Elle est belle, douce, chaude. Il est rasé. Même ses couilles sont lisses comme celles dun nouveau né.
Je me délecte de son membre, sans pouvoir cacher mon contentement.
« Hummmm ! »
« Elle est bonne, hein ! Suce la bien poupée ! Elle est toute à toi ! »
Je devrais le mordre, mais jaime trop ce que je fais pour risquer de tout gâcher.
« Ho ouiii ! Hummm ! Elle est boooonne ! Hummmm ! »
Tout gâcher, cest le patron qui sen charge, en me présentant à son tour sa queue bandée.
Je suce les deux hommes à tour de rôle, privilégiant le gamin, dans la durée.
Un flot dinsultes de toutes sortes sabat sur moi.
Salope, putain, morue, sale pute, catin, bouffeuse de foutre, garage à bites, et jen passe.
Mais, plus ils minsultent, plus je suis excitée.
Je les aspire, espérant leurs libérations proches, pour pouvoir enfin me délecter de leurs miels chauds.
Mais ce nest pas dans le programme du patron, qui, se sentant proche déjaculer, me fait relever et mentraine dans latelier.
Là, il me penche sur le capot dune espèce de limousine et crache sa purée sur mes fesses, en poussant un ralle danimal préhistorique.
« Hoooooooorrchhhhh ! »
Le gamin, ne voulant pas être en reste, me retourne et me couche sur le capot.
Quel délice que de sentir une bonne pine menvahir lentement.
Je jouis. Fort, très fort, oubliant la douleur de mon dos sur le capot métallique.
« Hoooo ! Ouiiii ! Encooore ! Ouiiiii ! Hummmmm ! Cest booooon ! »
« Taime ca la queue, hein, poupée ? Tu la sens bien, hein ? »
« Hummmm ! Jsuis pas une poupée ! Ouiiii ! Baise-moi encooore ! Hummmmm ! »
« Ha si, poupée ! Tes une bonne poupée à baiser ! Une poupée à remplir ! Une poupée à
Haaaaa ! Ouiiiiiiiii ! »
Je sens mon vagin se remplir de sa sève sacrée. Puis, satisfait de lui, il se retire en me tapotant le visage.
« Cest bien, poupée ! Tu mas bien fait jouir ! »
Encore dans les brumes de mon orgasme, je me laisse glisser du capot pour finir assise à même le sol.
Je nai pas encore retrouvé mon souffle, que le patron me représente de nouveau son dard.
« Remets-moi en forme, salope ! Je vais moccuper de ton cul de poufiasse ! »
Une courte pipe plus tard, il me relève et me penche de nouveau sur la limousine.
« Vas-y Adrien ! Prépare-moi son cul ! »
Le gosse ne se fait pas prier. Il crache sur ma pastille et y pénètre son pouce, sans ménagement.
Il me branle fort, en faisant tourner son doigt dans le sensible orifice. Douloureux au début, jy prends maintenant un plaisir incontestable.
« Hummm ! Cest boooon ! Mouiiii ! Hummm ! »
« Te voilà prête pour prendre mon gros monstre dans ton fion de pute ! »
Durant dix minutes, il alterne sodomie et fellation, aux grés de ses envies. Ce type récupère à une vitesse incroyable.
Il enfonce sa verge au fond de ma gorge, en maintenant puissamment ma tête. Puis, il se vide une fois de plus en puissantes giclées, que jai du mal à avaler sans m.
Très fier de lui, il se congratule avec son ouvrier, et lui donne congé pour le week-end.
« Alors ? Tu regrette dêtre tombée en panne ? Haha ! »
« Je dois partir. Rendez-moi ma robe, je vous en supplie ! Mon fiancé mattend ! »
« Bah ! Ton moteur ta lâché ! Cest pas de ta faute si tes en retard ! Viens, je vais te faire visiter la limousine. »
Je sais quil est inutile de résister. Il ne me laissera repartir que lorsque lui, laura décidé.
Il ouvre la porte arrière et je monte dans la voiture. Il est vrai que cest plutôt impressionnant, même si je préférerais my trouver dans dautre circonstances, plus romantiques.
Il cest entièrement déshabillé. Le salaud bande de nouveau.
Il sassoit près de moi, sur la longue banquette qui longe la carrosserie.
« Cest très joli, mais il faut vraiment que je parte ! »
« Tu crois que jme suis foutu à poil pour pas salir, ou quoi ? »
Il se colle à moi et me prend dans ses bras pour membrasser à pleine bouche.
Je sens son ventre mou et moite contre moi. Mes seins son écrasés par ses mains. Il passe une jambe par-dessus les miennes et je sens sa queue gonflée, contre ma cuisse.
« On est pas bien là ? Toi et moi ? »
« Je veux partir. »
« Ta gueule ! Embrasse-moi encore ! »
Ses baisers sont baveux. Je le soupçonne même de me cracher dans la bouche. Ce type est vraiment un porc.
Jadore !
Pour preuve, ma fente qui suinte de cyprine, ses doigts qui senfoncent sans effort, qui me touillent, provoquant des sons nullement équivoques.
« Humm ! Donne-moi ta chatte à bouffer ! »
Il me couche violement sur le dos et saute sur moi, plongeant son visage entre mes cuisses.
Écrasée et ne pouvant plus bouger, je ne peux lempêcher de violer ma bouche une fois de plus, tandis que la sienne qui me fouille dans les moindres recoins, me provoque orgasmes sur orgasmes.
Il est prêt à décharger sa liqueur. Aussi souple que gras, il fait demi-tour rapidement et se vide en moi.
« Tiiiiens ! Pour toi ma chériiiie ! Hummmm ! Ramène ca chez toi ! Hummmm ! Petite putain ! Tu me ferais jouir toute la nuit, toi ! Haaaaa ! Tes trop bonne ! »
Je suis épuisée, mais heureuse de cette drôle de rencontre.
Il me redonne enfin ma robe.
« Ta voiture sera prête mercredi. Je te ferai cadeau de la réparation. Donne-moi ton numéro de portable, pour le cas ou. »
« Non, non ! Inutile, je vous appellerais ! »
Il change de ton et menace de me faire payer très cher ma réparation. Je prends le risque et lui donne mon numéro.
Il sempresse de le composer et entendant mon portable sonner, son visage séclaire dun large sourire.
Sur le trajet du retour, je sens le foutre couler le long de mes jambes.
Fabien commençait à sinquiéter.
« Je suis désolée, je suis tombée en panne et ce gros porc de garagiste ma
»
Je nai pas le temps de finir ma phrase.
Fabien, très réactif, est déjà entre mes cuisses.
Pour Élodie.
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