(63) Un Vrai Dogging Improvisé En Pleine Ville

Bonjour, c’est Caroline, une Caroline qui était un peu triste…Après le départ de Sandrine.
La femme de caractère qui sait ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut pas, a été anéantie par ce départ précipité. Puis par le deuxième coup de poignard affligé par ma « belle ».
Je dois me changer les idées, nous devons nous changer les idées Éric et moi.
Début septembre, Éric nous a organisés un petit week-end de trois jours à Lyon. Son programme concocté avec précision nous fera découvrir le musée des confluences, le vieux Lyon, les Traboules avec aussi un dîner-croisières sur la Saône…
Éric pour me faire plaisir a réservé une suite à la « La Villa Maia », un somptueux hôtel 5 étoiles intimiste imaginé, conçu et décoré par Jean-Michel WILMOTTE. Idéalement situé sur la colline de Fourvière. Une suite aux influences japonisantes, aux airs retro-futuristes avec vue sur cette belle ville de Lyon.
Les Thermes nous offrant une piscine intérieure chauffée de 20m, un jacuzzi, un sauna, un hammam et une salle de fitness. Mais rassurez-vous, je sais rester sage dans ce genre d’endroit, sexy mais sage…
Éric a eu la bonne idée de nous réserver un massage du monde en Duo…
- Californien avec effleurages doux, enveloppants et relaxants, les manœuvres s'enchaînent et s'intensifient pour soulager des tensions plus profondes…
- Hawaïen ou LomiLomi : Une expérience de lâcher-prise grâce aux mouvements longs et continus des avants bras de la praticienne…
- Puis Suédois : Intense et appuyé, très efficace pour dénouer les tensions musculaires. J’avoue que j’en ai vraiment besoin actuellement…
- Abhyanga, issue de la tradition du nord de l’Inde Tonifiant et appuyé proposant une alternance de rythme varié permettant une décontraction musculaire et mentale.
Après cette expérience, je me retrouve…Détendue, je suis bien, heureuse et prête à faire des folies de mon corps.
Je me sens vraiment bien dans cet endroit merveilleux…Les jardins sont comme des paysages.

En terrasse, des jardins sans chemin, sans passage ni banc, mais à regarder, à respirer, à méditer. Des chênes, des ifs, des merveilleuses fleurs, des fleurs de prairie et des herbes folles respirant un repos passé, un calme légendaire rêvé aujourd’hui par un jardinier extraordinaire.
Merci Éric pour ce beau cadeau, quelle merveilleuse idée…
Bon je dois vous avouer que mon petit mari avait prévu pour le samedi soir une rencontre avec un coquin Lyonnais Christophe que nous connaissons depuis quelques années, nous l’avons rencontré pour la première fois au Cap d’Agde en 2010 (voir les deux épisodes Caroline en Gang bang au Cap d’Agde). Avec un libertin comme Christophe, je peux lâcher prise totalement et m’abandonner à lui, aux orgasmes, aux plaisirs. C’est un coquin qui est vraiment très beau et super gentil. Avec lui, c’est fougueux, viril, bestial, c’est ce que je désire actuellement.
Cela fait trois semaines qu’Éric et Christophe discute de cela, d’un plan en extérieur, type « Dogging », pour ce week-end. Nous nous référons à son expérience en la matière. Christophe connaît plein d’endroits coquins en extérieur et sûrs dans la région Lyonnaise (lieux libertins, lieux de dogging, type parking, forêt…).
C’est un libertin très fiable. Malheureusement, des problèmes personnels ne lui permettent pas d’être présent le quatre septembre, mais il a la gentillesse de nous prévenir. Seulement, la veille, il nous appelle et ne pense pas pouvoir se libérer samedi suite à un contretemps professionnel. Nous nous retrouvons en solo la veille pour le lendemain avec mon petit chéri…
Quelle déception pour moi, pour nous, enfin surtout pour moi qui a une très grosse envie de sexe…
Mon petit chéri ayant actuellement un petit problème d’érection…Une dysfonction érectile qui se traduit par une difficulté à obtenir ou à maintenir une érection suffisante pour un rapport sexuel satisfaisant sans excitation extérieure…
Après le désistement de Christophe, le samedi, nous commençons la soirée dans un bon restaurant. Pour l’occasion, Éric m’a demandé de porter une robe noire courte et très décolletée avec de jolis talons aiguilles rouges carmin.
Dès que je me penche le tissu s’écarte largement dévoilant mes deux seins jusqu’aux tétons. Après avoir bien mangé et bien bu, je reste malgré tout déçue de ne pouvoir rencontrer personne.
Je déclare à Éric :
- Mon petit chéri, je voudrais bien « m’amuser un peu ».
- Je sais ce que tu veux ma chérie !!!
Éric me propose de réaliser notre fantasme qui nous tient à cœur depuis de nombreuses années en prenant quelques risques : faire « notre » « Dogging » sans Christophe.
Nous faisons partie des gens qui pensent que les fantasmes sont faits pour prendre vie. On en parle avant, on y réfléchit, on juge la faisabilité, on mûrit le projet, puis on tente l’expérience et on se fait notre propre opinion. Nous n’avons qu’une vie, profitons-en !
Le « Dogging » est une pratique très répandue en Grande-Bretagne. Dans la plus stricte tradition, un couple s’exhibe en train de faire l’amour dans sa voiture et devant des voyeurs, qui observent à travers les fenêtres et surveillent que la police n’arrive pas. Le mot signifie « promener le chien », c’est le prétexte tout trouvé d’hommes cherchant des couples exhibitionnistes dans des lieux connus pour abriter ces pratiques.
Nous souhaiterions y ajouter une partie libertine et convier les voyeurs à participer !!!
Etre seulement regardée en plein « ébat » et en fonction de la forme de mon petit chéri m’aurait clairement frustrée.
Pour une première expérience, nous courons le risque qu’il n’y ait personne d’autres qu’Éric et moi. Mais Christophe a bien renseigné Éric sur les endroits pouvant être relativement chauds à Lyon.
Toutefois, la pratique peut être dangereuse si on se trouve face à des hommes mal intentionnés…C’est pour cela que nous aurions préféré être accompagnés d’un charmant garde du corps.
Nous prenons donc la direction du quartier Gerland persuadés qu’il ne se passera rien. Nous avons pris deux autres tenues coquines dans un sac à dos, de quoi filmer et libertiner (capotes et lubrifiant, sait-on jamais !).
Honnêtement, nous pensions juste faire des photos d’exhibe avec les deux lingeries. Nous n’attendions rien…
Éric connaît bien Lyon. Il me dit que le quartier de Gerland est un coin réputé pour ses parkings où trainent aussi bien des homosexuels en quête de rencontres d’un soir que des couples exhibitionnistes et des prostituées.
Malgré ou à cause de cette très ancienne réputation, cela m’excite et j’ai très envie de faire quelque chose ce soir là-bas.
Excitée, et encouragée par Éric qui semble aussi ravi que moi, nous décidons de pousser le jeu un peu plus loin et de prendre le temps de ferrer correctement un ou deux poissons.
Nous commençons par un petit tour au Palais des Sports, sur son immense parking nous croisons bien quelques voitures mais elles semblent nous ignorer.
Nous repartons en direction du parc Gerland qui, à notre grande surprise, est encore ouvert.
Nous avons bien envie d’aller y faire l’amour mais après lecture attentive des panneaux à l’entrée, le parc ferme à 22h30, soit l’heure à laquelle nous voulons y pénétrer.
Profitant des nombreuses places libres devant l’entrée, Éric coupe le moteur, puis nous nous embrassons, nous nous caressons, tout en guettant si des gens approchent.
Nous aimerions bien qu’un ou deux hommes passent mais nous faisons très attention car des voix d’s émanent encore du parc.
Éric remarque quelques voitures qui entrent et sortent d’un tout petit parking particulièrement sombre.
Nous décidons de nous y rendre à notre tour… Il y a déjà trois voitures garées là et, à la lumière de nos phares, nous voyons dans chacune un conducteur seul.
Éric arrête notre voiture tout au fond, dans l’obscurité, et nous reprenons nos préliminaires…
L’une des voitures repart, une autre arrive nous éclairant délibérément de ses feux. Les personnes présentes ne peuvent ignorer que nous sommes deux.
La première revient et se gare à deux mètres mais personne n’en sort.
Éric allume les lumières de l’habitacle, dégage mes seins pour me caresser, je suis très, très excitée mais toujours aucune réaction.
À cet instant, deux autres véhicules entrent encore sur le parking, ça fait un peu trop de turn-over et cela nous déplait.
Nous repartons donc mais Éric surveille son rétroviseur, moi-même, je remarque que deux voitures nous suivent !!!
Notre petit jeu semble prendre une tournure un peu plus intéressante !!!
Éric part alors en quête d’un lieu plus tranquille recommandé par Christophe, pour aller plus loin. Nous sommes toujours suivis mais il perçoit par moment quelques hésitations aux carrefours, à ses demi-tours, alors à chaque fois, il allume les stops à répétitions pour attirer l’attention des deux conducteurs qui semblent comprendre le message.
Il trouve enfin la petite ruelle et arrête la voiture sous un arbre nous cachant un peu du passage. Les deux véhicules se garent à proximité et leurs conducteurs descendent pour s’approcher lentement.
L’excitation monte encore un peu plus dans notre voiture, Éric me dégage la poitrine et me caresse ouvertement.
Il remonte ma robe pour exhiber ma chatte, et oui, je ne portais pas de string au restaurant.
Les deux hommes s’approchent de plus en plus jusqu’à être à la vitre, juste à côté de moi.
Ils ont tous deux la main dans le pantalon et se masturbent.
Éric ouvre alors la vitre et je leur demande de me toucher.
Ils ne se font pas prier et se partage mon corps
L’un me malaxant mes seins, l’autre me doigtant ma petite fente.
Pendant qu’Éric filme, je lui chuchote :
- Nous sommes fous mais ça m’excite…
Sur la vidéo, nous pouvons m’entendre gémir. La ruelle n’est pas très fréquentée mais quelques vélos passent quand même. Nous sommes bien cachés dans la voiture mais nos deux voyeurs sont bien plus visibles et risquent d’attirer l’attention.
Éric décide d’avancer la voiture dans une impasse avec au fond, ce qui semble être un petit bois et m’ordonne d’ouvrir ma portière.
Je m’exécute et demande aux deux messieurs de me sortir leur bite.
J’en prends une dans chaque main et les branle. Je suis bien mes amis, Éric collé dans mon dos, me caresse les seins en m’encourageant :
- Tu m’excites quand tu fais ta salope !!! Suce-les…
Le fantasme prend vie !!! Que c’est excitant !!!
Je ne suis plus qu’un corps mis à disposition.
Je me penche en avant et gobe chaque gland à tour de rôle.
J’enchaîne fellations et gorges profondes à genoux sur la terre et les cailloux. Je me délecte des membres durcis de plaisir de mes deux inconnus. Même si niveau confort, on oublie… Le sol râpe la peau, les petits cailloux collent les genoux et les mains. Ça fait partie du jeu ! Wild-sex !!!
En pleine action, je remarque qu’un troisième homme nous observe. Il reste au loin à regarder. D’un geste de la main, je le convie à nous rejoindre. Dans la discussion, nous apprenons qu’il faisait un jogging lorsqu’il est tombé sur nous et nous a surpris. Il ne connait pas la réputation coquine de ce coin. Le hasard fait bien les choses, car c’est un homme vraiment sympa, un peu timide ou intimidé, propre et très respectueux. Le feeling est excellent !
Éric sort de la voiture et la contourne pour avoir un meilleur point de vue :
- J’adore te voir sucer des inconnus en pleine ville…Petite salope !!!
Le joggeur participe à une grande partie du « Dogging ». Après cet aparté, il est reparti comme il était venu... Toutefois, il nous a clairement avoué arrêter sa séance de sport pour la soirée. Trop d’émotions !!!
Nous nous sommes demandé avec Éric comment ça avait basculé dans sa tête.
Comment auriez-vous réagi à sa place ? Vous êtes en plein jogging lorsque vous tombez sur une fille entourée de deux hommes, à genoux, et filmée par un troisième homme. Souriante, elle vous invite à la rejoindre. Et là…Deux possibilités s’offrent à vous :
• Vous déclinez et continuez votre sport…
• Vous la rejoignez sans trop savoir à quoi vous attendre.
Le hasard de la rencontre est très excitant, j’ai adoré cet inattendu.
Éric se masturbe en regardant ma bouche passer d’une bite à l’autre. Pendant que je m’attarde sur l’un, l’autre me doigte au point de faire entendre la jolie petite musique de ma fente qui mouille.
Après de nombreuses fellations, bifles et gorges profondes, des caresses et des baisers, nous avons tous envie de passer à la vitesse supérieure.
Nous sommes au taquet !!! Il fait 26° en température extérieure, mais tellement plus chaud dans cette impasse. Réchauffement climatique ou microclimat !!!
Mon petit chéri a pensé à prendre une serviette de bain à l’hôtel pour que nous puissions coquiner à même le sol. Effectivement, juste en face de notre stationnement, il y a une sorte de petit bois avec une partie jardin fleuri…Très mignon et bucolique !!!
Effectivement, concrètement, l’idée semble bonne et ça évite la terre collée, mais ça n’est pas suffisamment épais pour amortir les cailloux et on a tous mal aux genoux. Nous devons noter pour plus tard : penser à prendre un tapis de sol épais ou un matelas gonflable.
Le plus jeune, je crois qu’il doit s’appeler Alexandre, est le premier à me prendre en levrette. Son sexe est de belle taille, il se fraie un chemin avec douceur et délicatesse dans mon entrecuisse. Je suis trempée de désir. Les débuts sont un peu douloureux, puis rapidement l’excitation prend le dessus et je ne ressens plus que du plaisir. Je continue à sucer les deux autres hommes présents. Rapidement, « Alex » a mal aux genoux à cause de l’inconfort de Dame Nature. Nous décidons de poursuivre en restant debout.
Abdel, un Algérien je crois de 40/45 ans, plutôt bien membré, prend le relais et me prend debout, alors que je suis en appui sur « Alex ». Il est naturellement dominant et n’hésite pas à me malmener : gifles, fessées, léger étranglement…
C’est super excitant, j’adore être à sa merci. Mais notre différence de taille n’est pas un atout. Je ne suis pourtant pas petite (1.74ml), mais il doit plier les genoux, même si je me mets sur la pointe des pieds. Nous prenons chacun du plaisir, mais ce n’est pas la position parfaite.
Pendant qu’Abdelkader me prend, Éric m’indique d’un signe de la tête la présence d’un autre voyeur. Je lève la tête et remarque un quatrième homme en train de nous observer.
Nous le convions à nous rejoindre. C’est un habitué du parking sombre en face du parc de Gerland, c’est apparemment un lieu de rencontre réputé. Lui aussi nous a suivi.
Il est très sympa et plein de bons conseils. Il pratique le « Dogging » avec sa femme et connaît ce lieu (le parking) depuis de nombreuses années.
Il nous indique qu’on s’est placés trop près et qu’il aurait fallu poursuivre une centaine de mètre pour être sûrs de ne pas voir débarquer la police ou des personnes filmant à notre insu !!!
Pendant que je salue notre nouvel homme, l’habitué… Le Joggeur souhaite me prendre. Je tends mes fesses vers lui pour qu’il n’ait pas de difficultés à trouver l’entrée de ma petite grotte.
Éric lui a donné un préservatif pour qu’il puisse s’amuser. N’oubliez jamais de vous protéger lors de tout rapport sexuel !!! Ça ne vaut pas le coup de se gâcher la vie pour cinq minutes de plaisir. Baiser en pleine nature : oui ; baiser au naturel : non !!!
C’est un délice et tout se passe à merveille. Les hommes sont vraiment bien, très respectueux et sympas !!!
Nous nous entendons tous bien et l’ambiance est excellente. Nous avons de la chance. Tous les astres sont alignés : belle soirée et douceur, de vrais voyeurs sympas, une belle complicité coquine entre nous tous.
C’est que du bonheur. Abdel me prend à nouveau. Nous tentons une nouvelle position moins inconfortable. Je m’empale sur son chibre durci d’excitation. Toutefois, nous avons mal aux genoux et dos quelques minutes après. Toute cette action torride me donne terriblement chaud...
C’est fou ce qu’il peut faire chaud quand on est excités.
Je me sens en confiance, les hommes sont top. Je ne les sens en aucun cas mal intentionnés. A un moment, un cinquième homme vient nous mater, mais il n’a pas souhaité participer. Il est juste resté à regarder sans rien faire d’autre. C’est excitant d’être offerte à son regard également.
Nous sommes tous particulièrement excités par la situation et nous ne tenons plus !!!
J’ai joui à de nombreuses reprises et le regard d’Éric, mon petit mari est empreint de plaisir. Je vois son œil pétiller et son souffle saccadé par l’excitation. Il n’en perd pas une miette, mais ne se masturbe pas. Il reste vigilant et profite d’un plaisir candauliste et voyeur pur.
Les quatre hommes ont joui sur moi. Le premier à m’arroser est le joggeur. Je reçois une belle lampée de sperme sur ma joue. Je tressaille de plaisir.
Éric est aussi enthousiaste que moi, il adore me voir asperger ainsi. Il sait que j’aime ça. S’en suit l’habitué, Abdelkader et Alex. C’est un pur bonheur.
Après cette bonne partie de sexe en extérieur dans la ville, le Joggeur est rentré chez lui un peu abasourdi par ce qui venait de se produire.
Nous avons salué Abdelkader qui nous a laissé ses coordonnées et sommes persuadés qu’on se reverra prochainement.
Alex avait dans son sac à dos une bouteille d’eau fraîche et une autre à température ambiante, trois bières et un Schweppes. Nous avons pris le verre de l’amitié avec Alex, l’habitué et mon petit chéri satisfait, en se racontant nos histoires libertines et en se donnant des tuyaux pour ce type de plan coquin en extérieur.
Nos invités nous remercient et nous disent au revoir. De notre côté nous rentrons sagement à la « Villa Maia », tout excités par cette expérience inédite.
A peine arrivés à l’hôtel nous recevrons ce SMS d’Abdelkader :
- Coucou à tous les deux … Quelle expérience !!! Mes Amis !!! Tous les hommes rêvent de vivre cela, mais c’est réservé à quelques privilégiés …Je suis si heureux d’avoir pu participer… Bravo à Madame pour son ouverture…D’esprit, bien sûr !!!