En Réponse À Georges
POUR GEORGES
Ma fleur était intacte à 25 ans, je ne lai perdu quaprès. Depuis le temps que je jouis jai eu
largement loccasion de me faire dépuceler. Voici un récit raccourci de ma vie.
Je devais avoir 14 ans quand je me suis mise sérieusement à la masturbation, tout ça pour avoir vue
une vague cousine qui se donnait du plaisir sous la douche: jambes écartés, le jet vers son entre
cuisse, les yeux dans le vague et un soupir final et ces simple mots:
- Enfin depuis que jen avait envie jai bien jouis.
Dès le lendemain, à mon tour en me douchant jai fais lessai: une surprise de sentir un bien être
menvahir: je gardais le jet un bon moment sur mon sexe quand jai eu la deuxième surprise, je
sentais monter un plaisir innommable qui semblait monter de ma chatte pour aller partout. Mon corps
était secoué dune vague quil me tardais déjà de retrouver. Jai recommencé de suite après ce
premier orgasme (je nai connu ce mot que bien plus tard). Jai joui encore plus vite.
Je suis sortie de la douche totalement conquise. Jai trouvé un autre moyen de jouir quand je
passais la serviette pour messuyer.
Je ne pouvais mempêcher de parler à Katie, ma meilleur amie de ce que je venais de découvrir. Elle
se moquait de moi, parce quelle le faisait depuis un ou deux ans.
Je laurai giflé: pourquoi elle ne men avait jamais parlé avant. Elle avait un peu honte de prendre
du plaisir en solitaire. Pourquoi rester seule alors. Je linvitais pour le Samedi soir pour la
nuit, ma mère en été satisfaite. Je nai jamais su si cétait à cause de la présence dune copine,
où de ce qui risquait de se passer entre filles.
Car il sest passé ce que je redoutais tout en lespérant. Nous nous sommes couchées, Nous avons
reparlé de nos plaisirs. Du coup nous avons repoussé le drap, nous avons enlevé nos chemise de nuit
de petites filles sages.
plaisir en commun et non plus solitaire. Katie avait les jambes bien ouvertes. Je voulais en voir
plus, je me mettais au pied du lit, mes jambes aussi ouvertes que les siennes. Nous pouvions voir
nos chattes sans peine. Je me souviens encore que je mouillais sans arrêt. Katie me disait quelle
avait réellement envie de se branler. Sa main venait sur la chatte. Elle écartait les lèvres pour
faire ressortir son bouton. Moi, aussi je nen pouvait plus, je commençais à ma masturber en la
regardant. Nous avons joui comme jamais. Elle a eu encore envie un moment après quand jétais près
delle. Elle ma donné aussi envie. Elle a eu lexcellente idée de me demander de la caresser. Cest
à partir de cet instant que mon orientation sexuelle cest conclue. Jai pris du plaisir en lui en
donnant. Jai aimé aussitôt sentir ma main sur un sexe féminin mouillé. Jai adoré lui caresser la
chatte, partout, même dans des endroits que je ne connaissais pas encore. Je lai faite jouir
plusieurs fois. Elle me le rendais bien.
Petit à petit nous en sommes venues aux 69. Jai aussitôt adoré le gout de sa chatte et de sa
cyprine. Je pense quelle nétait indifférente à mes fluides.
Un jour elle a déménagé. Je ne lai plus revue. Dommage, je ne sais même pas si elle aime toujours
les filles, si elle est mariée, enfin je ne connais plus rien sur elle.
Jai bien du me contenter de ma main pour jouir. Elle me manquait terriblement. Dans mon malheur
jai eu la chance de trouver une femme plus âgée.
Jallais chez elle, une voisine, Henriette, pour porter un journal de ma mère. Jentrai chez elle
sans frapper. Je me suis senti indiscrète quand je lai vue nue, les jambes écartée sur un fauteuil:
elle se branlait. Elle ma vue juste au moment où jallais partir, toute rouge sans doute.
- Approches toi, nai pas peur, je me fait plaisir.
- Je nose pas.
- Tu te masturbe bien quand même ?
- Oui, mais depuis que Katia est partie
.
Je me tais, jen ai trop dit.
- Katia, vous faisiez lamour toutes les deux ,
- Oui, ça nous arrivait des fois.
- Des fois ou souvent ?
- Souvent.
- Viens, aimons nous.
Javoue que sa proposition nétait pas pour me déplaire, alors, je suis allé vers elle.
Jétais encore jeune, elle ma fait assoir sur ses genoux, ma déshabillé sans que jai honte. Elle
ma embrasé sur la bouche comme dans les films. Elle ne savait pas que cétait mon premier baiser.
Jaimais quand sa langue venant chercher la mienne. Elle membrassait toujours quand elle pose une
main entre mes jambes. Je les écarte vite tellement je suis excitée. Elle trouve ma chatte toutes
mouillée. Je sens sa main envelopper ma chatte et deux doigts se poser sur mon bouton. Elle le
caresse bien mieux que Katia. Je sais que je sursaute, que mon ventre se creuse quand sa caresse est
plus forte. Elle sarrête souvent pour me donner loccasion de désirer encore plus ses doigts. Et
enfin je me détend comme un ressort. Il crois que jai crié quand elle ma achevé dun orgasme
inconnu.
Elle me demandait si je savait sucer une fille, à ma réponse, elle ouvrait ses jambes pour me donner
sa chatte et tous ses trésors. Je la suçais à peine quand elle ma demandé de venir me coucher avec
elle.
Dans le lit, nous nous sommes mises en 69. Je me souvient encore quand elle me suçait en mettant un
doigt dans lanus. Je découvrais le plaisir anal. Jen faisait autant. Elle voulait par contre
trois doigts dans son cul. Ca me semblait beaucoup, pour elle cétait une autre façon de la sodomie.
Ce nest que plusieurs semaines plus tard que je pouvais « avaler » trois doigts dans mon derrière.
Je commençais à travailler et jétais toujours avec ma voisine Henriette.
vulgarité. Cest elle qui ma demandé de me faire dépuceler. Nous ne pouvions pas baiser normalement
toutes les deux si je gardais encore ma fleur.
Il a fallu que je trouve un garçon apte, daprès moi, à me faire femme. Je ne le trouvais jamais:
celui là est trop grand, lautre pas assez. Bref javais envide de me faire sauter la capsule comme
daller me pendre. Je tombais quand même sur un nommé Georges. Il me plaisait, il semblait gentil et
je ne pensais pas que sa bite soit trop grosse. Je me suis carrément offerte, comme une pute. Il a
vite fait le tour du problème: en moins de 8 jours nous étions couchés chez lui. Je ne regardais
rien dautre que lui. Il ma déshabillé habilement.
Jai eu peur quand je voyais sa bite: elle me semblait énorme. Il membrassait, me caressait la
poitrine ,moins bien quHenriette, mais suffisant pour mexciter assez. De toutes façon quil me
baise bien ou non était secondaire. Quand la bite en entrée en moi, jai serré les dents. Il ma
fait mal en déchirant mon hymen. Je lai senti me pénétrant jusquau fond: jai senti un léger bien
être juste au moment ou il crachait sa semence. Jétait devenue femme. Il a voulu menculer. Je
voulais essayer avec une bite et non plus des doigts; Il ma bien mouillé lanus quand jétais en
levrette: je sentais sa salive sur mon cul quand il crachais dessus. Jai senti sa queue quand il me
la mise dans le cul. Il me faisait mal. Ce nest que quand je me suis détenu quil est entré au fond
de mes entrailles. Pour me consoler de menculer, il me branlait le clitoris, maladroitement, comme
font les hommes qui ne possèdent pas de la même sensibilité que les filles.
Enfin, il me sodomisait. Il devait y trouver son plaisir puisquil jouissait encore une dernière
fois au fond de mon cul. Jaurais aimé quil me lèche la chatte et ensuite lanus.
Je suis parti, il a été mon seul homme, même si jai des godes, je les préfère à une bite réelle.
Henriette a inauguré avec moi le gode quelle venait dacheter. Elle me la mis dans le vagin,
lentement en sarrêtant souvent: jai joui pour la première fois de mon vagin avec une bite. Elle me
la mis ensuite sur lanus. Jai poussé pour quil entre à fond et jai encore joui. Jai rendu ce
quelle mavait donné.
Plus tard jai eu pas mal damantes, jen ai encore une aujourdhui. Je sais que cest ma dernière:
jai 45 ans, lâge où on sassagi.
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