L'Étreinte Très Tendre


Quand je suis arrivé à l’appart, après ma rencontre hot avec Rémi ( voir « l’étreinte très chause »), j’ai trouvé Paulo au lit, à moitié endormi. J’ai enlevé mes vêtements et je me suis blotti tout contre lui.
« -You smell the sperm ( Tu sens le sperme ) me chuchota-til
-I met Rémi. As soon as I saw him I started to bend like crazy… We made love …like crazy… » ( Dès que je l’ai vu, j’ai bandé comme un fou. On a fait l’amour comme des fous…)
J’ai senti Paulo se raidir légèrement contre moi.
« -I’m sorry…
-Thak you for your honesty. » ( Merci pour ta franchise )
Je ne voulais pas, - je n’ai jamais voulu-, lui faire du mal mais la franchise qu’on a choisie tous les deux a un prix. Du coup, on se met à parler longuement. De lui, de nous. Il me serre de plus en plus fort dans ses bras. Il me demande comment je l’ai trouvé. Je lui dis que j’ai eu l’impression qu’il était encore beaucoup dedans. Je lui avoue aussi qu’on en avait sûrement envie tous les deux… Qu’il a du mal à nous oublier. Que je ne sais pas pourquoi je me suis mis à bander direct en le voyant. Que Rémi, je le trouve touchant.
Mais que moi, c’est Paulo que j’aime. Il me dit que lui aussi. Et nous voilà partis dans une grande discussion sur la façon de voir notre relation. Doit-on, ou pas, s’autoriser des libertés ? On finit par conclure que oui. Je me sens assez mal de lui avoir fait de la peine et je me promets intérieurement de plus résister une autre fois. Du coup, je ne sais pas quoi faire pour lui rendre son si joli sourire. Je me mets à le caresser doucement, tendrement. Je l’embrasse partout. Je lui propose de lui préparer et de lui amener son petit déjeuner…
« -Wow ! It’s too much ! ( Wow, c’est trop !) dit-il dans un grand éclat de rire.
Ca y est. Son naturel revient au galop. Joyeux, marrant, espiègle. Je lui mets sa musique préférée. Je ramène un beau plateau avec tout ce qu’il aime.
« -You can go and see Rémi whenever you want ! ( Tu peux aller voir Rémi quand tu veux, si c’est comme ça) rigole-t- il.


On passe ainsi un très bon moment au lit à savourer tout ce que je lui ai préparé. La matinée passe très vite. Par moments, j’ai l’impression qu’il n’est pas tout à fait comme d’habitude ? Un peu morose. Mais, je me fais peut être des idées…
Arrive l’heure de la sieste. Et va commencer une séance d’anthologie dont je me souviendrai longtemps. On commence par un tout petit somme assez court, lovés dans les bras l’un de l’autre, nus. Puis il commence à me caresser avec une infinie douceur. Il me fait plein de petits bisous partout, partout et très très légers. Il ne me mit pas dans trente six positions différentes mais dans une seule : sur le dos, jambes écartées, offert et prêt à l’accueillir. Il ne me doigta pas non plus. Il s’enduisit copieusement le gland et, par petites poussées toute douces, il me pénétra lentement. Il mit un temps infini et délicieux à me pénétrer totalement. Rémi procédait souvent ainsi. Voulait-il me le rappeler ? Je ne sais. Il se mit alors à me limer très très lentement, avec…amour. Il voulait me combler le plus tendrement possible pendant un temps qui me parut délicieusement long.
En même temps, il me donnait toutes les raisons qu’il avait de m’aimer. C’est sans doute pour cela qu’il avait choisi cette position plus pratique pour se parler. Cela me fit fondre de bonheur, plus sûrement que du beurre dans une poêle chaude…En tous cas, il en est une qui me fit éclater de rire c’est quand il me dit qu’il me trouvait incroyablement beau ! C’est même ça qui l’avait attiré lors de notre première rencontre ( « Oh meu Brazil » )Je ne pus m’empêcher de lui dire que c’était LUI qui était beau. La preuve, il en avait même fait son métier de top model.
Je le sentais me fourrer avec douceur, avec langueur. C’était incroyablement bon et doux. Je dégustais son barreau de chair à chaque passage. Sa bite me remplissait totalement et me comblait de bonheur. Je la sentais parfaitement se glisser tout doucement dans mon ventre et, quand elle se retirait, je ressentais son manque aussitôt.
Quelquefois, Paulo se faisait désirer, exprès. Je le tirais alors à moi pour qu’il me remplisse à nouveau. Sa si belle bite longue, lisse, chaude, vibrante. J’en ai toujours été raide dingue. J’aimais aussi beaucoup sentir ses couilles venir me chatouiller le périnée quand il s’enfonce en moi.
Comment fit-il pour jouir ? L’accélération de son va et vient fut vraiment très très progressive. Il n’alla pas jusqu’à se déchaîner sur mon trou. Pas du tout. Il était tout en puissance contenue et en douceur. Pour lui faire monter son excitation, je me mis à bouger de plus en plus le bas ventre. J’accompagnais chacun de ses coups de bite, je tirais sur ses fesses pour le faire entrer en moi encore plus, je lui passais mes jambes autour du cou, je lui chuchotais des mots crus…A ce moment, il enfila ce qu’il appelle sa « love technology », un anneau vibrant qu’il se mit à la base de sa bite. Il le régla sur la vitesse 3. A chaque fois qu’il s’enfonçait complètement en moi, je ressentais la vibration de l’anneau sur mon périnée. Excellent ! Je ne pus m’empêcher de crier.
« Ooooooh ! Your coooock ! Your diiiick ! Your priiiiiiiiiick » ( Ooooh ! Ta biiite ! Ta biiiiiiite !! )
Il me dit clairement à quel moment précis il allait jouir et se vider en moi. Je reçus son sperme - pas trop abondant, il avait déjà joui à peine huit heures avant – bien chaud dans mes entrailles. On resta ainsi longtemps collé l’un à l’autre, lui en moi. Sa bite ne débandait que très lentement. De temps à autre, il remuait un peu en moi. J’aurais voulu le garder ainsi en moi. Toujours.
« -Eu te amo, meu Paulo. Eu te amo. »

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