Camille Episode 23
(Un dimanche ordinaire)
Ce petit passage par le garage, a été surprenant, plein de surprises et de rebondissements.
Mais il a été également un peu stressant.
Fabien, lui, cest régalé du récit de ma mésaventure et cest délecté de tout ce qui me souillait.
Suite à ca, il ma fait lamour trois heures durant, ne cessant de mexprimer ses désirs.
« Hummm ! Il faut que tu y retourne ! Je veux quil te prenne encore ! Ouiii ! Comme une bête ! Hummmm ! Je veux que tu sois son jouet ! Sa chose ! Hargggggg ! »
Lécouter ma excité comme une folle, et nous avons joui ensemble.
Alors, pour le satisfaire, jy retourne.
Nous sommes dimanche, mais il me semble bien que son appartement se trouve au dessus du garage.
Effectivement, près du rideau de fer, il y a deux boutons avec un interphone. Lun indique « Garage », et lautre « Domicile ».
Le cur battant, jappuie sur celui de son appartement.
Je me sens stressée, mais de ce stress qui me fait mouiller, qui mexcite et augmente mes envies de sexe.
Tremblante, jappuie une seconde fois. Il est quinze heures. Ce gros porc fait peut être sa sieste. A moins quil ne soit absorbé par un film porno.
Ce serrait bien, il nen serrait que plus excité. Mais hélas, il semble bien quil ny ait personne.
Je me prépare à rentrer bredouille. Fabien va être très déçu.
Et puis, presque sans men rendre compte, je prends le chemin du centre ville.
Je suis en mode chasse à lhomme, croqueuse dhommes. Je fais mes yeux de chaton, je réponds aux sourires que lon me donne. Je me fais fragile, facile à aborder, facile à conquérir.
Et pourtant
Rien.
Il y a bien ce type qui ma fait un grand sourire et un clin dil, auquel jai répondu. Mais il a continué son chemin. Je me suis retournée et arrêtée. Lui aussi cest retourné, toujours en me souriant. Mais il ne cest pas arrêté.
Est-ce moi qui dois lui courir après ?
Surement pas ! Je moffre, cest déjà pas mal, non ?
Je suis accrochée par le regard dun homme dune cinquantaine dannées.
Mais ca a été très furtif, car il cest engouffré dans un cinéma.
Décidément, ce nest pas mon jour et les minutes qui suivent me le confirment.
Je fais chou blanc. Dommage.
Je fais demi-tour et reprends le chemin de la maison.
Je repasse devant le cinéma. Je ne lavais jamais remarqué, tant il est petit et discret.
Une affiche indique, la quinzaine des films dart et essais nordique.
Houlà ! Ca doit être le truc bien chiant.
Soudain, jai comme un flash, une vision.
Je vois une petite salle, trois spectateurs, pas plus, et moi, nue, au milieu.
Il ne men faudra pas plus pour prendre un billet.
Je pénètre dans la salle par le bas. Elle est légèrement éclairée par lécran, mais il me faut tout de même quelques secondes pour mhabi à la pénombre.
Je remonte lallée, en me retournant de temps à autre pour voir le film, déjà commencé.
Cest bien ce que je pensais. Cest un film en noir et blanc, sous titré. Je crois reconnaitre du Danois, à moins que ce ne soit du Finlandais.
Deux jeunes gens, blonds comme les blés, font du vélo sur une route, bordée de champs de
je ne sais quoi.
- Jexpliquerais à mon père. Il comprendra.
- Crois tu que ce soit la chose à faire.
- Oui ! Oncle Erik en est persuadé.
- Prenons le petit chemin. Là, à droite.
Je me heurte violement au mur du fond de la salle. Idiote que je fais. Jai remonté tout le cinéma, sans même men rendre compte.
Je massois sur le fauteuil au bord de la rangée et jessais de mintéresser au film.
Peine perdue ! Cest long et cest naze. Super naze. Bref ! Cest nordique.
Mes yeux se promènent dans la salle. Il y a beaucoup plus de monde que je ne laurais cru.
Le papi que jai vu entrer, est dans ma rangée, assit vers le milieu.
Il doit avoir cinquante ans, peut être plus. Il porte des lunettes et na plus beaucoup de cheveux. Il est un peu bedonnant, mais fait très classe tout de même.
Soudain, je me sens glacée et mes membres semblent se ramollir. Une vilaine pensée vient de me traverser lesprit.
Je prends mon courage à deux mains et vais minstaller près du quinqua.
Lorsque je massois, ma jambe gauche frôle la sienne par inadvertance. Si, si ! Je le jure !
Bien sur, sa réaction est très prévisible et il me regarde bizarrement.
Jessais tant bien que mal, dexpliquer ma démarche.
« Heu ! On est mieux
en face
pour regarder. »
Il me baragouine quelque chose, mais je ne comprends rien.
Je ne bouge plus et attends. Jespère une réaction de sa part. Je tremble de partout. Jadore ce que je ressens.
De temps en temps, je le sens pencher la tête pour mater mes jambes. Il faut dire que ma jupe est remontée
très haut.
Ca me fait comprendre quil nest pas trop dans le film. Donc, Tout est encore possible.
Dix minutes plus tard, il effleure enfin mon genou du sien. Mais cest bref et trop furtif pour que je puisse penser quil la fait exprès.
Cest sur, il nose pas. Je crois quun petit coup de pouce est plus que nécessaire.
Jécarte une première fois les genoux, jusquà entrer en contact avec le sien.
Il applique une légère pression. Voilà, cest fait ! Le poisson est ferré.
Je resserre les jambes mais, devant son manque de réaction, je recommence lopération.
Je mouvre de nouveau et, quelle nest pas ma surprise de sentir ma peau toucher le dos de sa main droite, quil a glissé discrètement le long de sa cuisse.
Surprise, je reste tétanisée, nosant plus bouger.
Je reste ainsi, jambes ouvertes, ne sachant plus quoi faire. Mon ventre me chauffe et je tremble de partout. Oh, pas vraiment de peur, mais bel et bien dexcitation.
Timidement, il commence à caresser le coté de ma cuisse du revers de son petit doigt. Il va et vient sur quelques centimètres.
Puis, encouragé par mon attitude stoïque, il relève sa main et pose le bout de son majeur et de son index sur ma cuisse.
Il meffleure jusquà mon genou et se décide enfin à me couvrir de la paume de sa main.
Je me sens mouiller comme une ado.
Sa main remonte doucement, sans sarrêter. Elle passe sous ma jupe, glisse entre mes cuisses bouillantes et se pose enfin contre ma vulve inondée.
Immédiatement après ce contact, je sens mon ventre se contracter et je jouis sans pouvoir me contrôler.
Voyant que je risque de crier, il cesse de me caresser et mentoure de son bras droit, pour me plaquer son autre main sur la bouche.
« Chuuut, ma belle ! On pourrait nous remarquer ! »
Je lui en veux un peu davoir stoppé net mon orgasme, mais je lui pardonne très vite, lorsque japerçois son membre gonflé.
Je ne peux pas résister, et je le prends à pleine main. Hummm ! Il est dur et bien chaud. Mon pouce caresse son gland humide, étalant les gouttelettes visqueuses quil secrète.
Sa main libère ma bouche, glisse dans mes cheveux et mattire vers lui.
Il membrasse avec passion. Ses doigts quittent ma nuque et redescendent sur mon tee-shirt. Il caresse mes seins au passage et prend possession de ma chatte.
Il joue un moment avec mon clito. Je suis parcourue de petits orgasmes et lorsque ses doigts me pénètrent enfin, je suis trempée de mouille grasse.
De son bras autour de mon cou, sa main droite, qui jusque là glissait de mon épaule à mon sein droit, me pousse maintenant vers son sexe.
Je me tourne de trois quart et je me penche pour le sucer.
Elle est bonne. Je me régale.
Heureusement, nos places privilégiées dans le fond de ce ciné, font que nous sommes tranquilles et invisibles aux yeux des autres spectateurs.
Je mapplique à donner un maximum de plaisir à cet homme. Je suce, je lèche, je gobe également ses couilles, titille son frein, aspire son méat.
Lui de son coté, il a remonté ma jupe à ma taille et palpe mon cul comme un fou. Je me bouge encore un peu pour lui permettre dexplorer mon anus.
Je jouis plusieurs fois.
Mes gémissements son heureusement étouffés par ma fellation.
Soudain, il se crispe quelques secondes, puis son membre est prit de soubresauts et il décharge son jus dans ma bouche.
Il me redresse et membrasse, alors que jai toujours son foutre dans le bec. Ca ne semble pas le gêner le moins du monde, et nous partageons cette liqueur divine.
Il me doigte de nouveau, profond et fort. Je jouis une fois de plus.
Puis, il soccupe de mes seins. Il remonte mon tee-shirt et se jette dessus pour les sucer. Sa langue est habille. Mes tétons gonflent et il les mordille, me provoquant de petites douleurs excitantes. Il aspire, lèche, mordille encore et aspire de nouveau.
Il fait des va et vient entre mes seins et mon cou ou encore ma bouche. Il est comme un fou.
Rebandant de nouveau, il minvite à le sucer une fois de plus. Ce que je fais avec grand plaisir.
Cette fois je garde tout pour moi et le bois jusquà la dernière goutte.
Satisfait, il se réajuste et jen fais tout autant.
« Comment tappelles-tu ? »
« Camille. »
« Humm ! Cest très joli et ca te vas très bien. »
ENDE saffiche à lécran, suivit du générique.
La lumière se rallume. Je peux enfin voir les yeux de mon amant du moment. Ils sont dun bleu très clair. Ils brillent de plaisir et ne se gênent pas pour me contempler de la tête aux pieds.
« Je viens tout les dimanche. Jaimerais que tu reviennes. »
« Heuu ! Je ne sais pas ! Oui, peut être ! Je verrais. »
Je lui fais un bisou sur la bouche et me lève pour partir.
« Camille ? »
« Oui ? »
« Moi, cest Fernand. »
Je lui fais le plus beau de mes sourires et je sors de la salle.
Dehors, cest le déluge. Un gros orage a éclaté.
Dans ma petite tenue dété, je vais vite être rincée et je vais pouvoir faire le concours des tee-shirts mouillés.
Par chance, un bus sarrête non loin du cinéma. Je pique un sprint et saute dedans.
Je ne suis pas la seule à avoir choisi cette option pour ne pas prendre la flotte.
Il est bondé.
Ma petite course na pas été récompensée. Jai été suffisamment mouillée pour rendre mon tee-shirt presque transparent. De plus, leau ma rafraichi et je pointe comme une folle.
Je crois que seul le chauffeur sen est aperçu, lors de ma montée dans son bus.
Dommage.
Je me faufile parmi les voyageurs pour atteindre le centre du bus.
Bien sur, incorrigible que je suis, le frôlement de mon corps sur les autres, me procure une satisfaction toute particulière. Et que dire de mes seins qui sécrasent contre des bras, des dos ou même dautres poitrines.
Un homme dune quarantaine dannées, saccroche comme il peut à la barre centrale. Il est plutôt pas mal, bcbg, petites lunettes rondes, rasé de près, les cheveux commençant à grisonner. Mais la seule chose qui attire mon regard, cest son bras, collé le long de son corps.
Il donne limpression dêtre un peu
coincé. Oui, cest ca ! Coincé.
Voici une proie plutôt sympathique et très alléchante.
Je parviens à me glisser de coté jusquà lui. Lair de rien, je colle son biceps entre mes seins. Je bouge de droite à gauche, suivant les mouvements du bus. Mes mamelles sécrasent contre son bras, à tour de rôle, excitant mes pointes dressées.
Je regarde ailleurs pour ne pas éveiller de soupçon, et je fais celle qui ny prête pas attention. Mais un truc ménerve. Lui non plus, ny prend pas garde.
Le con ! Cest bien la peine de se donner tant de mal !
Mais je nai pas dit mon dernier mot.
Je feins de perdre léquilibre, et pour me tenir à la même barre que lui, je suis obligée de passer mon bras devant lui.
Pour y parvenir, je suis contrainte de me plaquer un peu plus, contre lui.
Cette fois, son bras tout entier se retrouve collé à mon corps. Là, il sen aperçoit enfin. Prenant la mesure de sa position quelque peu ambiguë, il aimerait bien dégager son bras. Mais, le mien, appuyé contre son ventre, lui interdit.
Désespéré, rougissant, il me lance un regard plein de honte et dexcuse. Comme seule réponse, je lui offre mon plus beau sourire coquin et je me cambre un tout petit peu.
Le revers de sa main frôle ma fente au travers de ma jupe.
Je sens lhomme rigide et gêné. Ses joues sont pourpres et son visage ne cache pas son embarras.
Ne pouvant retirer son bras, je le sens fermer le poing pour me toucher le moins possible.
Mais en fait, cest une aubaine pour moi, car je peux ainsi me frotter contre les quatre bosses que forment ses premières phalanges.
Comme ci cela ne suffisait pas, je fléchie légèrement et discrètement, pour serrer sa jambe dans létau de mes genoux.
Il est paniqué, mais ne veut surtout pas le montrer. Pourtant, ses lunettes sont embuées de façon étrange et une goutte de sueur perle sur sa tempe.
Je me frotte comme un chien accroché à la jambe de son maitre, et
je jouis.
Je mords ma lèvre pour ne pas gémir et inconsciemment, je colle mon front sur lépaule de lhomme.
Lorsque je men aperçois, cest à moi davoir honte.
« Oups ! Excusez-moi ! Je suis désolée ! »
Est-ce de me sentir en état de faiblesse qui lencourage, mais, je sens sa main se déplier, et il me semble sentir une pression contre mon vagin.
Pour en avoir le cur net, je me décolle de lui, de quelques centimètres.
Il ny a plus de doute possible, il se décide enfin à me caresser. Il tourne un peu sa main et me gratouille le coquillage de son pouce.
Il est un peu moins rouge et la buée de ses lunettes a disparu. Il a le nez en lair et fixe le plan du trajet du bus.
Nul ne pourrait imaginer ce qui se passe plus bas.
Sil y a une chose auquel je ne mattendais pas, cest quil devienne pressant et audacieux.
Il tire sur ma jupe, comme pour me labaisser et il y parvient presque.
Il aurait été plus simple de passer par le dessous, mais lui, choisi de se glisser par dessus ma ceinture.
Certes, il y a beaucoup de monde, mais être ainsi, ventre et bas ventre à lair, me fait tout drôle.
Je comprends très vite la raison pour laquelle il a pratiqué ainsi.
Je crois quil a pété un plomb ou quil a perdu tout contrôle de lui-même.
Sa main monte et monte encore, jusque sous mon tee-shirt. Il atteint mes seins et les malaxe un moment. soudain, il monte et descend, de ma poitrine à ma chatte. Il fait le va et vient rapidement et plusieurs fois. Son bras qui se plie fait que son coude frappe à plusieurs reprises le dos dune personne derrière lui.
Si ca continu, il nous attirera des ennuis.
Le bus sarrête à une station et les portes souvrent.
Je parviens à me dégager et à remonter ma jupe. Jagrippe son poignet.
« Venez ! »
Et je le tire à lextérieur.
« Mais ! Mais ! Arrêtez ! »
Je ne sais pas pour qui il me prend, peut être pour une flic, mais il panique.
« Jai rien fait ! Ce nest pas moi ! Je vous jure, ce nest pas moi ! »
Je maperçois que je nai toujours pas lâché son poignet.
Des gens se retournent et nous regardent.
« Arrêtez ! Tout le monde nous regarde ! »
« Quest ce que vous me voulez ! Jai rien fait ! »
« Bah ! Je sais ! Je voudrais juste que vous vous calmiez et que vous moffriez un café. »
On dirait un gosse. Un môme qui vient de faire une grosse bêtise.
Il mattendrit.
« Heu ! Un café ? »
« Oui, jaimerais bien. Vous voulez bien boire un café avec moi ? »
« Ben, heuuuu
»
« Tenez ! Entrons là ! »
Je le tire à lintérieur dune brasserie et nous nous installons à une table. Je comprends très vite quil nest pas à laise avec les filles.
Je linterroge et à mots couverts. Il se dévoile, doucement, timidement.
Il sappelle Vincent. Il a quarante cinq ans et vit chez maman. La pauvre est gravement malade, et il sen occupe depuis toujours.
Je crois comprendre quil est puceau et que je suis la première femme quil ait touché.
« Croyez moi, je ne voulais pas ! Et puis vous êtes si jeune, je navais pas le droit ! »
« Hihi ! On me le dit souvent, mais je suis une femme, majeure et vaccinée ! »
« Oups ! Je croyais que vous aviez seize ans ! »
Je comprends mieux sa fièvre de tout à lheure, dans le bus. Il me fait de la peine et je me sens mal à laise davoir joué avec lui.
Il nhabite pas très loin. A peine une station de bus. La pluie à cessé. Il me propose de laccompagner jusque devant chez lui. Bien sur, jaccepte.
Je le sens très fier de marcher au coté dune femme. Il regarde les gens avec un grand sourire, comme pour partager sa joie.
Je lui donne une raison supplémentaire dêtre fier, en lui prenant le bras.
Nous arrivons devant un immeuble cossu.
« Voilà, cest ici. »
Son sourire sefface pour faire place à un visage attristé.
Je me sens fautive de sa peine.
« Je ne peux vraiment pas monter chez vous ? Même pour boire un verre deau ?»
« Non, cest impossible. Mère est trop mal. Je ne peux pas vous emmener plus loin que lascenseur. »
Jaccepte. Au moins nous serons à labri des regards indiscrets, pour lui donner un baiser.
Il est maladroit, hésitant. Mais cest le plus doux de tous les baisers.
Je passe ma main sur son pantalon. La bosse est énorme. Mais il prend ses distances très vite.
« Non ! Il ne faut pas ! Quelquun pourrait venir ! »
« Je peux prendre lascenseur avec vous ? »
Il doit comprendre ou je veux en venir et prend peur.
« Non, non ! Ce nest pas possible ca ! Je ne peux pas laisser lascenseur bloqué ! »
Juste avant que celui-ci narrive, japerçois une porte derrière moi, qui nest pas une porte dappartement.
Jappuie sur la poignée. Elle nest pas verrouillée.
« Ca va ou, là ? »
« Ho, ca ! Cest les caves. »
Je ne lui demande pas son avis. Jatt son poignet une fois de plus et lentraine dans les escaliers en colimaçon.
Rien nest plus ressemblant quune cave à une autre cave. Un long couloir, mal éclairé, et des portes, des portes, des portes.
Je mappuie à lune delle. Dune main, je caresse un de mes seins. De lautre, je porte mon index à ma bouche et mordille mon ongle malicieusement.
« Et là ? On nest pas bien ? »
« Pourquoi faite vous ca. »
« Parce que jaime ca, Vincent ! Juste parce que jaime ca et que jai envie de toi. Et toi ? Tu nas pas envie de moi ? »
Il descend ma jupe et fait passer mon tee-shirt par-dessus ma tête. En moins de trois secondes, je suis nue.
« vous êtes belle ! »
Il me saute dessus. Lèche mon corps, palpe chaque parcelles de ma peau, écrase mes seins, mes fesses dans ses mains nerveuses et moites.
Cest un avec un nouveau jouet. Celui quil désirait depuis si longtemps. Depuis, toujours.
Soudain, il se redresse. Il semble paniqué et sénerve à ouvrir sa braguette.
« Ho ! Ho ! Non ! Ho non ! Merde ! Non ! »
Je crois comprendre ce qui le tourmente et vole à son secours. Je sors son sexe juste à temps pour le laisser se vider dans ma bouche.
« Harrrrrr ! Haaarrrrrr ! Ouiiiii ! Hummmmm ! »
Il appuit sur ma nuque et me plante son dard jusque dans la gorge. Pour un peu, il mait. Heureusement, je parviens à me dégager.
Je ne me relève pas tout de suite et le nettoie avec application. Lorsque je passe ma langue sur ses couilles, il pousse un « Houu ! » de contentement.
Je suis émue à la pensée de lui faire découvrir de nouvelles sensations, et je lui pardonne ses gestes qui parfois paraissent brusques et impatients.
Je me relève et ouvre sa chemise. Je me colle à lui et je lui sens un long frisson, lorsque mes seins sécrasent sur son torse.
Je lui offre ma bouche, mes lèvres, ma langue. Il membrasse avec fougue. Voilà une chose quil a assimilé très rapidement. Il embrasse comme un dieu, même sil bave un peu.
Ses mains caressent mon dos
Non
Ses doigts griffent mon dos, puis descendent écarter mes fesses, à les arracher.
Inutile dessayer de lui apprendre la douceur aujourdhui. Son excitation est bien trop forte.
La preuve, il bande déjà de nouveau.
Le couloir est très étroit. Je me colle à la porte et pose un pied sur le mur den face.
« Viens ! Viens me baiser ! Viens me prendre comme une chienne ! »
Il trouve le chemin du premier coup et se plante dans mon ventre avec force.
« Harrrg ! Cest chaud ! Hummm ! Cest bonnnn ! Houuuuu ! Hummmm ! »
« Ouiiii ! Cest bonnnn ! Explose-moi la chatte, mon Vincent ! Ouiii ! Bien à fond ! Ouiii ! Comme caaa ! Hummmmm ! »
« Je vous baise ! Je vous nique ! Je vous perfore ! Vous la sentez ma grosse queue dans votre petite chatte ? Hein, dites ? Vous la sentez ? Hummm ! »
Je baise avec un de quarante cinq ans. Cest troublant.
« Ho oui ! Je la sens ! Je la sens bien ! Hummmm ! »
« Hummmm ! Hoo, je vais jouir ! »
Ha non ! Pas déjà !
Afin de gagner un peu de temps, je lui fais changer de position.
Je me penche en avant et lui présente ma croupe.
« Essais comme ca ! Tu vas voir, cest bon aussi ! »
« Humm ! Vous avez un joli cul ! »
« Prends-le, si tu veux ! »
Mais il se replante dans mon minou.
Il me besogne comme une bête, me faisant jouir, plusieurs fois.
Cétait prévisible, il ne tient plus et éjacule en longs jets. Mais plutôt que de rester sagement dans mon ventre, il essaie de menculer et une grande partie de sa semence, finit sur mes fesses.
« Ho ! Je suis désolé ! Je voulais vous remplir le cul ! »
« Hihi ! Ce nest pas grave ! La prochaine fois, tu veux ? Viens, je vais nettoyer ta bite. »
Je maccroupie face à lui, lorsque soudain, nous entendons des pas dans lescalier.
Mon chevalier servant, prend ses jambes à son cou, et disparait dans le fond du couloir.
Il me laisse plantée comme une conne.
Je ramasse rapidement ma jupe et mon tee-shirt, mais trop tard.
Une puissante lampe torche méblouit.
« Quest ce que tu fou là, salope ! Ras le bol de ses jeunes qui baisent dans les caves ! »
Le halot de lumière minterdit de voir mon interlocuteur. Mais, à sa voix très grave et roque, je dirais que cest un homme trapu, dun certain âge
et gros.
« Avec qui tu baisais, salope ? Il est où ce fumier ? »
« Non, monsieur ! Jétais seule ! Je voulais juste sécher mes affaires, cest tout ! »
Il marrache mes vêtements des mains et les jette au sol.
« Appelle-moi con ! Je tai entendu dire que tu allais nettoyer sa queue ! Mais dis dont, tes plutôt bien foutue, petite putain ! Tourne-toi, pour voir ! »
Tremblante, les deux mains croisées devant ma bouche, je tourne sur moi-même devant lhomme, toujours invisible à mes yeux. Ils pourraient être plusieurs que je ne le saurais pas.
« Regarde-moi ca ! Tas du foutre plein le cul et tu veux me faire croire que tu es seule ? »
Jespère que Vincent connait les caves et quil y a une autre issue. Il a assez de problèmes comme ca, je ne souhaite pas lui en causer davantage.
« Tu voulais une bite ? Tiens, en voilà une ! Et tas intérêt à tappliquer. »
Sil ny a que ca. Ce nest pas un problème pour moi. Au contraire, je suis toujours très excitée à lidée de faire cracher une nouvelle verge inconnue.
Elle est à limage de son maitre. Petite, large, grossière.
Je nai aucun mal à la faire tourner dans ma bouche, autour de ma langue.
« Fou toi à quatre pattes, que je te saute ! Morue ! Je vais te passer lenvie de trainer les caves ! »
Jarrive à glisser ma jupe sous mes mains, mais, mes genoux sur la terre battue me font mal.
Le gros porc se glisse derrière moi et mencule, après mavoir fait lubrifier mon cul, du foutre de Vincent, avec mon doigt.
Il minonde dinsulte, à chaque fois que son nud grassouillet me pénètre et il sécroule sur moi, juste après avoir craché sa purée grasse.
Je lui en veux de mavoir couché dans la terre. Je sens de petits cailloux senfoncer dans mes seins et mon ventre. Il reste vautré sur moi, à se frotter à mon cul, en vociférant des insanités à mon oreille.
« Alors, ca tas plu, morue ? Tu las aimé ma queue dans ton fion, hein ? Putain ! »
« Monsieur Hernandez ? Cest vous ? Quest ce que vous faite ? Cest qui cette fille ? »
« Hein ? Monsieur Vincent ? Ho ! Ce nest pas ce que vous croyez ! Cest une amie ! »
Puis, sadressant à moi :
« Hein, que nous sommes amis ! Dis lui que nous sommes amis ! »
Alors là ! Vincent mépate. Il a du réussir à sortir et na pas hésité à revenir à mon secours. Je sens quon va bien samuser.
« Non, non ! Je ne le connais pas. Jétais mouillée et je voulais faire sécher mes affaires. »
« Mais non ! Elle ment ! Ce nest pas vrai ! »
« Mais
? Vous avez quel âge mademoiselle ? Vous êtes toute jeune, non ? »
Il me fait un clin dil en cachette.
« Hein ? Heu
moi ? Ben, jai seize ans ! »
« Cest très grave ca, monsieur Hernandez ! »
« Ho merde ! Monsieur Vincent, je ne savais pas, je vous le jure ! Je mexcuse mademoiselle ! Je suis désolé, je ne sais pas ce qui ma prit. Pardonnez-moi, je vous en supplie ! »
« Bon ! Je vais voir avec mademoiselle. Je vais essayer darranger les choses. Attendez-moi dans votre loge. »
Le porc grimpe les marches deux à deux et disparait.
Nous attendons trente secondes et nous explosons de rire. Nous nous sautons dans les bras et nous nous étreignons plusieurs minutes.
« Bien joué, Vincent ! »
« Depuis le temps quil me fait chier, ce con de gardien ! Je suis bien content de lui foutre la trouille. Mais jai honte de mêtre enfuit. Je suis un lâche et à cause de moi il vous a
»
« Stop ! Ne dis pas le mot. Il ne la pas fait. Jétais consentante. Je suis toujours consentante. Mais cest très drôle quil pense le contraire. »
Une fellation plus tard, je me rhabille et nous nous séparons.
« Je vous reverrais ? »
« Peut être Vincent. Prends soin de toi et ne reste plus sans fille. Programme-toi du temps pour toi et vas draguer. Tu ne devrais pas avoir trop de mal à trouver. »
« Cest promis. Bon ! Je vais voir mon gentil gardien. Je suis sur que désormais, il prendra mes colis ! Haha ! »
Je rentre, heureuse de mon après midi.
Fabien mattend, impatient.
Il sagenouille et frotte mes genoux.
« Mince ! Tu es pleine de terre ! Alors ! Il ta baisée ce con de garagiste ? »
« Non ! Il nétait pas là. mais je suis allée au cinéma et là jai
Pour Élodie
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