Sous Le Chrame Et Le Pouvoir D'Une Jeune Fille. Partie 3
Autant dire qu'après une telle séance de baise, nous avons passé une nuit des plus réparatrices. Le lendemain, je me suis réveillé le premier, je suis allé acheter des croissants, j'ai pressé des oranges, fait couler un café et je suis allé réveiller Aude. Une question me hantait : allait on passer un week end de fou et puis rien ou était ce le début d'une relation, peu banale évidemment, mais une relation quand même. Après une telle première soirée, je me demandais évidemment ou cela pourrait nous mener à moyen terme mais l'excitation était forte de vivre les prochaine semaines auprès de Aude et de poursuivre ces expériences. C'était une chance inouïe de vivre « en vrai » des fantasmes qu'en 32 ans, je n'avais fait que rêver. J'étais dans mes pensées au petit déjeuner quand Aude me demanda : « tu es où là, tu penses à quoi ? »/ « je pense à hier soir, à nous, si tenté qu'il y ai un « nous »/« tu te demandes ce qu'il adviendra lundi ? Si nous nous reverrons, si je suis ta petite copine ? » me répondit elle en souriant, une fois encore, elle voyait juste. Je lui dis qu'effectivement ça me tracassait, elle me rassura immédiatement, en me disant que je lui plaisais, déjà physiquement mais qu 'elle aimait aussi beaucoup ma sincérité, mes failles et mes fantasmes. « tu es un vrai petit pervers ! J'ai envie de vivre quelque chose de différent de ce que j'ai déjà traversé, tu es quelqu'un de bien, de vrai. Mais toi, vas tu gérer d'avoir pour copine une fille de 17 ans et demi ? Auprès de tes potes, de ta famille ? » A vrai dire cette partie du « problème » ne m'avait pas spécialement effleuré, je me demandais juste si Aude voudrait toujours de moi la semaine prochaine : « si on est ensemble et qu'on est heureux, je ne vois pas ce qu'ils auraient à redire » lui répondis je, sure de moi. Elle me décrocha son plus beau sourire en me mimant un baiser.
Après le petit déj, elle me rappela qu'il fallait qu'on rase mes jambes afin « de pouvoir les admirer en collant », elle me demanda aussi de sortir toutes mes tenues féminines pour voir ce dont j'avais besoin, elle avait décidé qu'on irait en ville faire quelques achats pour moi.
Dans la salle de bains, elle me rasa donc les jambes, à la cire et au rasoir, ce fut long, douloureux mais à la fin, j'étais fier de mes longues jambes sans poil. Alors que je m'habillais, Aude me demanda d'enfiler un collant sous mon pantalon et un string par dessus, je portais par dessus un jean taille basse et je signalais à Aude que suivant ma position, on pourrait peut être apercevoir mon collant ou mon string dépasser, elle me répondit, toujours en souriant, de ne pas lui donner de mauvaises idées. Nous voilà part en ville, j 'étais évidemment excité de cette situation, me promener en plein jour avec ce collant sous mon pantalon avec une jolie jeune fille qui me l'avait demandé.
« On va commencer par la lingerie, on va s'arrêter chez Etam, il y a des sous vêtements sexy là bas .» Arrivé sur place, Aude va embrasser une des vendeuses, « Fiona, une copine ». on déambule dans les rayons, Aude veut que j'achète un soutien gorge et un mini boxer. Elle me présente un modèle noir avec de la dentelle rouge. « tu seras très salope avec ça », je suis moins à l'aise parce qu'elle a dit cela sans baisser la voix, des clientes se sont tournées vers nous, Aude est hilare,elle voit ma gêne.
« Allez viens, on va aux cabines ! »,je la suis avec plusieurs boxers et soutiens gorges de différentes tailles, il y a une cabine utilisée, un seul rideau fermé, Aude me pousse dans la cabine, j'insiste pour qu'elle y entre avec moi, mais elle insiste pour rester dehors « comme ça, tu sortiras pour me montrer » et elle me décroche un clin dil. Je rentre et passe le premier shorty et le premier soutif, en me demandant au fond de moi ce que je suis entrain de faire.
« Mon chérie, ce n'était pas une demande ou une question, je t'ordonne de te déshabiller et de leur montrer ta lingerie de petite pute, » elle l'a élevé la voix mais pas crié. Je baisse la tête et mon pantalon, enlève ma chemise, baisse mon collant chair et Lydia me tends la paire de bas à enfiler. Je me présente donc en bas, talons aiguilles, soutien gorge et boxer devant les trois filles, je lève la tête et voit la porte du magasin s'ouvrir, un couple entre et l'homme dit :«Chérie, on arrive juste au bon moment, je n'aurais rater cela pour rien au monde, regarde le joli travelo que voilà ! » je suis rouge de honte, je me baisse, me rassieds, me jette sur ma chemise et mon jean, mais Aude intervient pour me calmer : « ce n'est rien, c'est Jean, le patron de la boutique et sa femme, ne t'inquiète pas , il en a vu d'autres, » j'entends la voix de Jean derrière moi :« excuse moi si je t'ai fait peur, ne te bile pas, des travs, j'en ai vu plein ici » Aude lui répond : « il débute, c'est pour ça qu'il s'inquiète ». J'ai l'impression d'être un objet, d'être une pute ou une esclave dont on parle comme si elle n'était pas là, qui n'aurait pas son mot à dire.
« En tout cas, elle a beaucoup d'allure pour une novice, tu as commencé quand » lui demande Jean.
. « Hier soir » répond Aude et elle sort une nouvelle fois son téléphone portable pour montrer à Jean, sa compagne et les deux vendeuses, les clichés de la veille. Ils regardent et commentent les photos de moi en salope sur le lit. Je suis là assis, la tête presque entre les jambes, n'osant les regarder quand Jean me tire de ma torpeur : « Comment elle s'appelle ? Tu nous l'amènes quand en soirée ? » je lève la tête et dévisage Aude. Elle : « on ne l'a pas encore baptisée, laisse moi en profiter un peu toute seule et parfaire son éducation .»
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!