Lettre À Mon Maître
Maître.
Vous mavez lancé un premier défit.
Me promener nue sous un manteau et marrêter dans une cabine téléphonique pour me donner du plaisir.
Jai réalisé votre défit et il a été au-delà de mes espérances.
Mon ancien maître aurait été très fier de moi.
Chose promise, chose due. Voici donc mon premier rapport.
Quand lorage a éclaté vers 20h30, lundi, jétais très heureuse de savoir que jallais sortir.
Jai téléphoné à mon mari pour lui dire que jallais chez Carole (une amie) et jai demandé à mon fils de ne pas se coucher trop tard.
Je me suis légèrement maquillée, je me suis mise nue et ai enfilé mon imperméable et des bottes.
Sachant ce que je me préparais à faire, javais le cur qui battait fort, mais je crois que je mouillais déjà.
Jai pris mes clefs de voiture un gros marqueur et je suis partie. Jai pris la direction du Trocadéro (la tour Eiffel). Jai roulé sous lorage et la pluie. Quand je suis arrivée, la nuit était pratiquement tombée.
Pour me chauffer, jai choisi une cabine isolée. Jy suis entrée et jai sorti le marqueur.
Jai pris le combiné pour faire semblant de téléphoner et jai glissé ma main dans mon imperméable entre deux boutons sous la ceinture et jai introduit le marqueur dans mon sexe. Comme je men doutais, jétais trempée et il a glissé sans problème.
Très vite, je me suis rendue compte que les boutons me gênaient. Jai donc pris la décision den défaire trois. Cétait suffisant pour ne pas me gêner et ça ne montrait pas non plus mon sexe. Dailleurs, je ne les ai pas refermés de la soirée.
Je me suis masturbée un bon moment et jai eu ma première jouissance. Jétais pétrifiée mais cétait super excitant.
Durant tout ce temps, seulement deux voitures sont passées et je ne pense pas quils maient vu, et aucunes personnes nest passé à pied.
Jai donc repris ma voiture et jai tourné dans le quartier à la recherche dune cabine qui me conviendrait mieux.
Je me suis retrouvée sur les grands boulevards. Là, il y a des tas de prostituées. Impossible donc de le faire là. Je me serrais faite .
Je me suis enfoncée dans une avenue, bordée de grands platanes, qui rentre dans Paris.
Et là, je lai vu.
Une cabine double.
Lune des deux navait pas déclairage. Cest celle que jai choisi.
Il ma fallu trouver une place pour me garer et à Paris, ce nest pas simple.
Jétais loin de la cabine et il tombait des cordes, mais jy suis allez tout de même, sans parapluie en plus.
Lorage faisait rage et jai été très vite trempée. Ceci dit, il faisait tellement lourd, que ça ma bien rafraîchi.
Arrivée aux téléphones, je suis entrée dans la cabine qui navait pas de lumière. Elle nétait pas si sombre que ça, éclairée tout de même par la cabine dà coté et les phares des voitures qui passaient. Et là, ils y en avaient tout le temps.
Heureusement, les gouttes de pluie sur les vitres me protégeaient un peu, du moins cest ce que je croyais.
Jai écarté un peu les jambes, jai pris le combiné et me suis plantée le feutre dans la chatte.
Jai joui de nouveau, très vite, excitée à la pensée quon pouvait me voir de la route.
Ma soirée aurait pu sarrêter là, mais jai voulu faire la brave et jai joué avec le feu. Jai voulu me faire jouir une troisième fois.
Mes cheveux ruisselaient, mon imper dégoulinant collait à ma peau tant il était imbibé deau. Je dégageais de la chaleur, car une légère buée cétait formée sur les vitres. Cétait cool, ça me faisait une protection supplémentaire.
Jai quand même vu une grosse voiture rouge qui était déjà passée deux fois et je ne men étais pas inquiétée, ça nétait pas ment la même. Mais là, elle avait énormément ralentie en passant devant la cabine.
Rapidement, jai essuyé un peu de buée pour voir si le conducteur regardait dans ma direction. Mais à cause de leau sur la vitre et de la nuit, je nai pas pu voir.
Ca ma foutu un coup dadrénaline et jai cru que mon cur allait se décrocher. Mes jambes se sont misent à trembler et je me suis sentie devenir toute rouge.
Je navais plus quun objectif, jouir et partir vite.
Peut être est ce la trouille, mais je ny arrivais pas. Une minute après, jai vu une masse rouge dans la buée sarrêter tout près et jai vu des feux de détresses.
Je nosais plus essuyer le carreau.
Je me branlais discrètement et jétais sur que de dehors on ne verrait rien. Soudain, une voix ma fais sursauter.
« Cest bon ? »
Je me suis retournée et jai eu la honte de ma vie.
Jétais tellement prise à surveiller la route, que jai oublié lautre cabine.
La vitre de séparation, elle, nétait pas embuée et un homme dune cinquantaine dannées me regardait.
Il était bien en chair, un regard froid les cheveux poivre et sel coupés très court.
Il avait du rentrer en douceur, car je nai rien entendu, jusqu'à ce quil pose sa question.
Complètement paniquée, jai retiré le marqueur de ma chatte, lai mis dans ma poche et stupidement jai parlé comme si quelqu'un était à lautre bout du fil et comme si je navais pas entendu sa question.
Je disais des « Oui, oui. Non, non. Bien sur
»
Bref, je devais être stupide. Lair de rien, jai tourné le dos au type et jai dis :
« Ok, jarrive bientôt, au revoir. »
Je me retourne pour raccrocher et mapprête à courir un cent mètres. Mais il nétait plus là. Dans mon dos, jai senti un courant dair frais qui transperçait mon imper trempé. Ca ma donné des frissons.
Je me retourne, il était là, tenant la porte ouverte et me bloquant le passage, un large sourire sur les lèvres.
« Alors, cétait bon ? »
« Laissez-moi passer. »
« Oui, mais avant je veux savoir si cétait bon. »
« Laissez-moi passer où jappelle la police »
Son sourire disparait dun coup.
« Ca tombe bien, elle est là »
Et il ma mis une carte devant les yeux.
« Vous savez comment ça sappelle ce que vous faisiez ? »
Moi, rouge de honte, prête à pleurer.
« Mais je ne faisais rien monsieur lagent. »
« Ca sappelle de lexhibitionnisme doublé dun attentat à la pudeur et vous êtes passible de trois ans de prison ferme avec obligation de suivre un traitement médical et psychiatrique. »
Mes jambes tremblaient à ne plus me tenir. De ma vie je nai jamais eu aussi peur, je lavoue, jen aurais presque pissé sur moi.
« Laissez moi partir, jai rien fais de grave, cétait juste un pari stupide, je vous en prie, pardon, laissez moi partir. »
A ce moment là, son ton est devenu plus sec et il sest mit à me tutoyer.
« Donne-moi ce que tu a dans ta poche ! »
« Mais jai rien, rien du tout, je vous jure. »
« Tu veux que jaille le chercher moi même ? »
« Mais non, regardez, je nai quun feutre, je nai même pas mes papiers sur moi, jai rien du tout. »
« Cest ça que je veux. »
Et il marrache le feutre des mains.
Il le porte à son nez et recule comme si ça puait. Il me dit que lodeur surprend pour un feutre. Il pose alors le bout de sa langue dessus, goutte, fait « Humm ! » et commence à le sucer.
Je devais être plus rouge que sa voiture. Je me sentais super humiliée. Puis il ma dit :
« Tu pourrais juste payer une amende, mais comme tu na rien sur toi, pas de papiers, pas dargent, je vais devoir te conduire au poste ou bien
tu me suis sans résistance et on verra ce que je peux faire pour alléger ta peine. »
Je suis en pleure, tremblante, complètement perdue mimaginant raconter une histoire inimaginable à mon mari, ma famille.
« Arrête de chialer, cest avant quil fallait y penser. »
Il matt fermement par le bras et me sort de la cabine puis mentraîne vers sa voiture. Il ouvre la porte.
« Grimpe et mets ta ceinture, il manquerait plus quon se fasse arrêter »
Et il éclate de rire.
On a roulé un bon quart dheure dans les petites rues du seizième arrondissement, sans un mot.
Puis il cest garé dans une rue à sens unique. Mon cur tapait fort sous mon imper.
« Sort et enlève ton imperméable, tu mouille mon siège. »
« Je peux pas, monsieur, je peux pas le faire. »
Peut être navait til pas comprit que jétais nue dessous. Mais il cest fâché et sest mit à hurler :
« Putain, sort et enlève ton truc où je te coffre tout de suite, connasse ! »
La violence de ces paroles ma fait sursauter et je suis sortie.
La rue était déserte, pas de circulation, pratiquement pas de lumières aux fenêtres des immeubles, pas de piétons non plus. Il ne tombait plus que quelques gouttes.
« Alors ça vient ? »
Javais beau réfléchir, je ne voyais pas dissue à mon histoire, alors tremblante, jai commencé à déboutonner mon imper. Presque arrivée à la ceinture, il sest légèrement ouvert et on pouvait distinguer que je ne portais rien dessous.
« Putain, salope, jen étais sur ! Allez ! Magne-toi, retire-le et remonte. »
Malgré ma grande trouille, lorsquil ma insulté, jai ressenti comme du plaisir dans mon ventre et ça ma troublé un court moment. Jai défais les derniers boutons et rapidement, de peur dêtre vue, je lai retiré et suis vite remontée dans la voiture.
Il me la arraché des mains et la jeté sur la banquette arrière. Puis il sest jeté sur moi. Il a attrapé mon visage et ma embrassée de force. Il me tordait les seins comme un malade et ensuite a glissé trois doigts dans ma chatte en répétant :
« Taime ça, hein, salope, taime ça
»
Cétait rude et violent, mais jai honte à le dire, il ma refait jouir.
Puis rapidement, il a sorti sa queue de son pantalon et ma demandé de me mettre à quatre pattes pour le sucer. Je me suis exécutée.
Au premier coup de langue, sa queue avait un goût horrible durine. Jai eu un mouvement de recul, mais il ma appuyé sur la tête en attrapant mes cheveux.
Il avait une grosse queue et jai encore mal à la mâchoire de lavoir sucé.
Pendant ce temps, de sa main droite il me masturbait et menfonçait plusieurs doigts à la fois. De temps en temps, il appuyait sur mon dos, mobligeant à me cambrer au maximum.
Si quelqu'un était passé dans la rue, il aurait pu voir ma croupe offerte par la vitre de la portière.
Soudain, jai senti sa queue avoir des soubresauts et je me suis préparée à boire sa semence, mais lui nenvisageait pas cette fin là. Il ma dit avec colère :
« Arrête de me sucer, salope, arrête ça tout de suite ! »
Mais comme je continuais pensant lui faire plaisir, il madministra une claque énorme sur la fesse gauche, tellement forte que jen ai encore la marque. Jai poussé un petit cri de douleur et de surprise.
Apeurée par cette violence soudaine, je me suis rassise à ma place.
Je lai vu serrer les dents et se concentrer. Je pense quil se retenait de ne pas jouir. Il devait être limite. Puis il respira un grand coup et se tourna vers moi.
Il mécrasa la mâchoire entre ses doigts et ma dit :
« Espèce de petite putain de merde, quand je te dis quelque chose, tu le fait, tu as compris, poufiasse ? »
« Oui monsieur, mais je pensais
»
Je nai pas eu le temps de finir ma phrase, il me gifla, puis, tout en mécrasant un sein pour que je ne bouge pas, il appuya sur un bouton qui a fait descendre le dossier de mon siège en position horizontale. Une fois fait
« Bouge pas et att tes jambes, écarte bien ta chatte de pute. »
Jai replié mes jambes vers moi et jai passé mes mains derrière mes genoux, puis jai écarté autant que je le pouvais.
Je pensais quil voulait me sucer la chatte et du coin de lil, je lai vu se débattre avec le volant, puis enjamber le levier de vitesse avec difficultés, pour venir face à moi.
Mais il ne chercha pas à me lécher. Il sest littéralement jeté sur moi, de tout son poids, en mécrasant les seins de ses mains au passage. Il rentrait sa langue de force dans ma bouche et je sentais quil essayait de me pénétrer.
Sa queue finit par trouver louverture et il senfonça sans ménagement, jusquaux couilles, dun coup violent.
Je me souviens mêtre faite la réflexion dêtre très humide, voir inondée et quil mavait pénétré sans problème.
Jai du sûrement rougir dêtre excitée dans une telle situation.
Je me suis dis que jétais vraiment une drôle de salope et quil avait raison de me traiter ainsi.
Sa queue me remplissait bien et je me suis laissée prendre bien à fond. Jai gémie de plaisir, je crois même avoir lancé un « Oui » de plaisir et soudain jai commencé à jouir comme une folle, le serrant fort entre mes cuisses.
« Taime ça salope, je vais te remplir à ras bord, putain. »
Cette phrase ma coupé net mon plaisir.
Depuis deux semaines, je ne prends plus la pilule, car mon mari veut un autre . Dans la panique, javais complètement oublié.
« Non !!! Ne jouissez pas !!! Prenez une capote, sil vous plaît, je vous en supplie, je ne prends pas la pilule !! »
Jessayais de le repousser, mais son poids me collait au siège. Alors il ma fait un grand sourire narquois et dun air sadique, il ma dit.
« Super ma salope, je vais tengrosser comme tu le mérite. Comme une grosse truie, que tu es ! »
Et il a joint la parole à lacte. Jai senti ma chatte se remplir de sa semence bouillante. De grands jets fouettaient mon utérus. Et là, je pense avoir perdu la raison, car jai eu un orgasme comme jamais auparavant.
Mes seins me faisaient mal, tellement mes tétons étaient durs. Mon clito gonflé de plaisir était près à exploser. La tête me tournait comme si javais bu.
Il a donné encore quelques coups de reins pour bien se vider et il sest remit sur son siège aussi difficilement que pour sy retirer.
Moi, je nosais pas bouger, de peur de reprendre une gifle.
Pendant quil rangeait sa queue, il ma dit :
« Tu vas rester là à salir mes sièges, connasse ? Sort tout de suite et ne mets pas une goutte dans la voiture ou je temmène au poste ! »
Il avait lair fou de rage. Je me suis relevée doucement, une main sur mon sexe et jai ouvert la porte sans rien dire. Comme il voyait que jhésitais à sortir, il ma donné un coup dans le dos. Je suis sortie et je suis restée dehors, debout, face à la voiture, les mains sur mes seins pour les cacher, au cas où
quelqu'un me verrait.
Il ma demandé décarter les jambes et pendant de longues minutes, il a regardé le sperme sécouler de ma chatte en longs filets gluants qui venaient sécraser dans le caniveau entre mes bottes.
Puis, quand il en a eu mare, il ma jeté mon imperméable, a claqué la portière et la verrouillé et après une petite marche arrière, il a démarré me laissant plantée là, sur le trottoir.
Jai vite enfilé mon imper. Il était glacé. Je nai pas le sens de lorientation et jai mis quarante minutes pour retrouver ma voiture.
Je suis rentrée. Mon fils dormait. Jai pris une longue douche bien chaude et je nai pu résister à lenvie de me masturber une dernière fois en repensant à cette histoire de fou, ou de folle, comme vous voudrez.
Lorsque jai étendu mon imper pour le faire sécher, jai retiré la marqueur de ma poche. Dans celle-ci, il y avait également la carte de police
factice.
Voilà, maître. Je suis désolée, jai été longue à vous envoyer mon rapport, mais javais des tas de choses à faire. Encore pardon.
Je dois vous avouez que jai peur quil mait foutu enceinte, jespère que non. Pourtant cette idée mexcite. Vous voyez, je suis un peu folle.
Votre dévouée soumise.
Séverine
PS : jattends votre prochain défit avec impatience.
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