Premiere Exhib
Jaimerais raconter une des premières sorties que jai faite avec mon amant de paris, Claude.
Javais dix huit ans à lépoque et lui une trentaine bien tassée. Un soir, il memmena au bois de Vincennes.
Nous étions en voiture. Il devait être au alentour de 23 heures. A cette heure le bois était désert, du moins, il le semblait. Il a pris une allée et après avoir coupé le moteur il sest garé, juste avec linertie du véhicule. Jentendais les graviers du caniveau craquer sous les pneus et javais limpression que le bruit devait sentendre à des kilomètres.
Je me souviens du décor.
Il y avait à ma droite, un réverbère près dun banc puis un arbre et derrière une grande pelouse mal éclairée et à ma gauche, une espèce de parking, une petite pelouse et le lac. Je pouvais voir les lumières et la lune sy refléter. Cétait très romantique.
Il faisait très chaud et à sa demande, je nétais habillée que dune robe très légère, croisée sur le devant et juste retenue par une petite ceinture de tissus assortie. Aucun sous vêtements, pas même de bas.
Javais beau scruter les environs, tenter de percer lobscurité, pour moi lendroit était désert.
Il a défait sa ceinture de sécurité et ôté la mienne, puis il ma prise dans ses bras.
Javais un amour sans limite et une confiance aveugle en cet homme. Cétait mon maitre, mon gourou, mon guide. Jétais sur que quoi quil dise ou quil fasse pour moi, se serrait toujours dans mon intérêt.
Jétais aux anges, callée dans ses bras. Sa langue fouillait ma bouche, ses mains caressaient ma poitrine, mes cuisses. Puis il glissa sa main gauche sous ma robe au niveau de ma poitrine dans le décolleté de celle ci. Le contact de sa main sur ma peau me fit frémir.
Toujours les yeux fermés, je lai senti écarter le haut de ma robe afin que mes seins soit visible pour lui. Il se pencha et aspira mes tétons durcit de plaisir.
Il remonta vers mon cou, y déposant de tendres baisers.
« Tu aime ce que je te fait ? »
« Oh oui ! Mon amour. Cest bon ! Jaime tes caresses. Ne tarrête pas. »
« Ouvre les yeux doucement. Mais surtout ne teffraie pas. »
« Je nai pas peur quand tu es là. »
Je levais les paupières doucement.
Son visage devant moi me souriait tendrement, lorsquun mouvement attira mon regard vers lextérieur.
Il y avait deux hommes, queues à la main. Ils se masturbaient en me regardant, penchés à la vitre
Je crois que jai poussé un petit cri de surprise et ma première réaction fut de tenter de cacher ma poitrine nue. Mais Claude, me demanda de laisser faire.
« Tout vas bien ! Ne tinquiète pas. Fais-moi confiance et savoure lexcitation qui va se propager en toi. »
Alors je me suis glissée dans le siège et jai laissé faire mon amant, même si au fond de moi je nétais pas très rassurée.
Il ma demandé de ne pas quitter les sexes des yeux, de me faire chatte et désirable.
Jai gonflé ma poitrine et jai fait tourner ma langue sur mes lèvres.
Les deux sexes étaient bandés au maximum, près à exploser. Les hommes me souriaient, menvoyaient des baisers et des clins dil.
Claude avait raison et au bout de quelques minutes mon excitation était totale.
Mon ventre était bouillant, je sentais la moiteur envahir mon entre jambe et mes tétons étaient si gonflés quils en étaient presque douloureux. Il me semblait avoir la fièvre. La vision de ces sexes qui bandaient devant moi, pour moi, me transportait dans un autre univers.
Aussi, quand Claude tira sur ma ceinture pour en défaire le nud, jai écarté mes cuisses. Jai senti le tissus de ma robe glisser de chaque coté de mon corps. Jétais maintenant entièrement nue aux yeux de mes voyeurs et sous les caresses de Claude ma respiration saccélérait et je ne pouvais plus retenir mes gémissements de contentement.
Jimaginais ce quils voyaient et ça mexcitais encore plus.
Claude branla mon clito gonflé de désir et me fit jouir comme jamais et exploser de plaisir lorsque ses doigts agiles vinrent prendre possession de mon vagin trempé.
Jai vu les deux hommes se libérer de leurs liqueurs chaudes en longs jets puissant, prenant bien soins de ne pas éclabousser la voiture.
« Tu veux les nettoyer ? »
« Oups ! Tu crois ? »
« Bien sur, idiote. »
Tout en riant il appuya sur le bouton de commande de ma vitre.
Les hommes tentaient, dans une petite bousculade, dentrer leurs bustes pour pouvoir membrasser, la bouche, les seins et le reste, mais trop serrés ils ont dut se contenter de me caresser les seins et ma chatte encore baveuse du plaisir quils mavaient donné. Ils mont fait des compliments sur ma beauté, ma façon de jouir, qui semble til leur à plus.
« Allez ! Cest bon ! Donnez vos queues à lécher ! »
Le ton de Claude était sec et les types se sont exécutés de suite.
Je me suis délectée des dernières gouttes de foutre qui voulaient encore bien vouloir sortir des verges qui ramollissaient. Quand ils furent bien propres, nous sommes repartis.
Tandis quil roulait dans le bois, il ma demandé si le jeu mavait plu. Bien quayant refermée ma robe, je glissais une de mes mains entre mes cuisses pour me caresser et je posais lautre sur le renflement de son pantalon. Se fut là ma seule réponse.
Nous sommes allez prendre un verre du coté du château. Il me félicita pour mon comportement exemplaire et sa fierté à mavoir ainsi exhibée. Je lui avouais que le jeu fut le plus excitant de toute ma vie et il me promit quil y en aurait encore bien dautre, si bien sur, je le voulais.
« Mon corps, mon cur et mon âme sont à toi. Fais de moi ce quil te plaira, mais aime moi et protège moi toujours. »
Nous sommes repartis. Je pensais que nous rentrions chez lui
mais il nen fit rien.
Il a reprit la direction du lac.
Jétais glacée de peur. Mais, confiante, je lai suivi.
Il ma prise par la taille et nous nous sommes promenés ainsi un petit moment, dans le noir presque total.
Jentendais des bruits et jétais sur que nous nétions pas seuls. La suite me prouva que javais raison.
Nous avons atteint un banc légèrement éclairé. Il sest assis, a sorti son membre et ma demandé de le sucer. Je me suis accroupie et jai pris son sexe entre mes lèvres. Très vite sa verge sest mise à gonfler. Jaimais le sucer. Sa queue était bonne, douce, bien nervurée. Bien quétant totalement à ce que je faisais, je fus troublée par un bruit et très vite jai senti des présences tout près de nous.
Ny tenant plus, jai délaissé le membre tendu pour regarder autour de moi.
Dans mon dos, quatre hommes se tenaient à moins dun mètre de moi, sexes à la main.
Troublée, je me suis redressée. Claude sest levé, et jen ai fait autant. Il a caressé mes cheveux et mes joues et de sa voix chaude, il ma dis de lui faire confiance et de le laisser faire.
Il a défait ma ceinture, ouvert ma robe et il ma tourné face aux hommes.
Ils se sont approchés et ils ont commencés à me palper, me caresser. Derrière moi je sentais le gourdin de Claude effleurer mes fesses.
Au summum de lexcitation et sans réfléchir, jai attrapé deux sexes. Après les avoir caressés un moment pour les rendre dur comme lacier, je me suis penchée en avant pour les sucer.
Claude a glissé ma robe sur le coté afin de bien dégager mes reins cambrés, il ma penché en avant et il ma prise ainsi, debout.
Des mains me caressaient de partout. Un homme accroupi suçait mes seins avec gourmandises au rythme des coups de reins de Claude. Jétais un jouet entre leurs mains et jaimais ça.
Les deux hommes ont jouit à tour de rôle, dans ma bouche et jai savouré leurs liqueurs avec délectation.
Après avoir nettoyé tout se petit monde de ma bouche et de ma langue, ils nous ont raccompagnés à notre voiture et jai pus enfin découvrir ses hommes de lombres.
Ils se connaissaient tous très bien et étaient là presque tout les soirs à guetter les couples libertins.
Entre eux, ils avaient tous un surnom.
Il y avait « Moustache » motard de la gendarmerie (Et oui !) en vacances, « Pomme » un portugais qui venait toujours avec une pomme dans sa poche, « Baise en biais » un type sympa avec une queue incroyablement courbée et « Le bricolo » un vieux qui venait en mobylette et qui ne cessait de réparer sa chaîne, si bien quil lui était interdit, par les autres, de toucher les femmes avec ses mains tant elles étaient salles.
Ils étaient tous très sympa et me faisait bien rire.
Nous avons bien discutés avec eux et « Moustache » nous donna rendez vous sur le parking le samedi suivant.
Chose faite. Le samedi suivant nous étions à lheure au rendez vous.
Je suis venue habillée de la même manière, robe croisée, nue dessous.
Ils étaient là, près dune grande camionnette bleue.
Dautres que nous ne connaissions pas encore, étaient également présent. Trois marins super copains et super drôles faisaient les fous pour amuser la galerie. Eux, leur surnom, cétait « Les mariniers ». Il y avait aussi « Dédé » un grand timide pas très bavard, « Beau gosse » devinez pourquoi, et encore dautres dont les surnoms méchappent.
La camionnette appartenait à « Moustache ». Il la bricolait pour en faire une sorte de camping car. Fou de moto cross, il embarquait toute sa petite famille le week-end, dans les compétitions de toutes les régions. Cest ainsi que jai su quil était marié et avait deux s. Dautre létait aussi, comme « Pomme » ou « Bricolo ». Mais ça, cétait leur problème.
Revenons à cette fameuse camionnette. A lintérieur il avait fabriqué des caisses qui faisaient tout le tour de larrière, pour faire office de sièges, et le tout était recouvert de moquette bleu nuit. Cétait hallucinant. Quand il parlait de son projet, ses yeux brillaient comme ceux dun . En lécoutant on pouvait imaginer la table, les banquettes escamotable, la télé, le coin cuisine, etc.
En tout cas, pour linstant, nétait visible que les caisses bleues.
Nous avons tous discutés et rigolés pendant près dune heure. Je crois que javais même fini par oublier pourquoi nous étions venus. Cétait sympa.
Puis « Pomme » est parti vers le lac et est revenu avec deux bouteilles de champagne quil avait déposé dans leau pour quelles soient fraîches. Mais comme il ny avait pas de verre, il fut décidé quune fois que jaurais bu ma part au goulot, mon corps ferrait office de récipient.
Cest ainsi que je me suis retrouvée à serrer mes seins lun contre lautre.
Alors que Claude y versait le champagne, les types, un à un venaient boire à cette source improvisée.
La bonne humeur, lhumour et le sexe étaient au rendez vous de cette soirée des plus étonnantes.
Bien sur, ma robe avait été ouverte et jétais offerte aux attouchements les plus intimes.
Ce qui minquiétait, cest que pendant que nous nous amusions et rigolions comme des fous, dautres hommes sétaient mêlés à nous. Et moi, assise inconfortablement sur le bord du pare choc, je ne me sentais pas vraiment de tailles à tous les satisfaire, si toutefois on me le demandait.
Soudain, une pluie fine sest mise à tomber.
« Moustache » nous invita à tous monter dans sa camionnette pour se mettre à labri. Jen ai profité pour compter le nombre de personnes présentes. Avec Claude, il y avait treize hommes se serrant le plus possible lun contre lautre. Étrangement, quand ils furent tous installés sur les caisses, je restais la seule debout. Vas comprendre !
Tout les yeux étaient tournés vers moi et ma robe humide qui maintenant collait à mon corps. Ce fut sans doute les minutes les plus longues de ma vie et je sentais le rouge envahir mon visage.
Quand Claude, sest levé, jai pensé quil voulait me laisser sa place, mais là nétait pas son intention.
Il sapprocha de moi, défit la ceinture que javais pris soin de renouer et fit tomber ma robe à terre. Puis il me demanda de me mettre à genoux et de sucer le type qui était juste à coté de moi.
Il faut que je vous dise quà la vue de ma personne libre de tout vêtement, ces messieurs ont tous sortis leurs membres tendus hors de leurs pantalons, devenus trop étroits.
Cest alors instauré un jeu improvisé et sa petite règle. Cétait très simple. Il fallait par des plaisanteries arriver à me faire rire alors que je suçais. Si il y avait rire de ma part, je changeais de partenaire et passait au suivant. Simple, efficace, voir même conviviale.
Bien sur, tout ceci à vite dér.
Certain qui se masturbaient, ne pouvant plus se contenir, jouissaient dans mon dos, sur mes fesses. Lexcitation était telle que je ne suçais pas longtemps avant de boire le foutre chaud.
Claude, ny tenant plus se plaça derrière moi et me sodomisa, sonnant ainsi la fin du jeu et le début de la récréation.
Je fus remplie de partout, cul, vagin, bouche. Jai été souillée, dégoulinante de jus visqueux.
Jignore combien de queues jai sucé ni le nombre qui ma pénétré. Mais ce qui est certain, cest quil y en eu moins de treize, certains, sétant déjà vidés
heureusement pour moi.
Ce quil reste de cette nuit là, cest le souvenir dune immense jouissance et dun bonheur immense davoir satisfait tout ces hommes super sympas et très corrects avec moi, malgré le contexte.
Durant plusieurs semaines, jai demandé à Claude de me conduire au bois presque chaque soir. Cétait devenu une drogue, un passage obligatoire et lorsque la nature ne me laissait pas le choix, jy allais tout de même voir les hommes se masturber pour moi et boire leurs jus jusquà la dernière goutte.
Merci à eux.
Histoire tirée de faits réels.
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