Histoire De Piscine Et De Cul
Nous habitons une banlieue chic de Montpellier, qui dit chic dit aussi cachoteries à tous les niveaux, surtout celui du sexe, à croire que chez nous les s naissent dans les choux ou les roses. Heureusement que les Martin, nos voisins ne sont pas comme les autres. Nous avons des relations « normales ». Elle, Sylvie, dans les 35 ans, me plait beaucoup, comme à me femme. Lui, André, bonhomme de presque 100 kilos de muscle plait aussi à Odette, mon épouse. Cest simple nous avons ouvert une porte dans la clôture pour aller dune maison à lautre sans nous attirer des réflexions, style: « oui, ils se fréquentent, quest-ce quils font ensemble ? »
Nous sommes tranquilles pour aller sans problème chez lun ou lautre. Nos femmes sont un peu enveloppées, fort attirantes, sensuelles au possible.
Je ne compte plus le nombre de fois où, sois André soit moi les avons surprise se faisant des caresses pas autorisées. Elles aiment se caresser, se gouiner.
Cet après midi, jarrive, je me met à laise, il fait chaud. Jen profite pour me mettre nu avant daller prendre un bain dans la piscine commune. Je nai vu les deux femmes quau dernier moment : elles étaient debout, près de leau, les lèvres soudées, les poitrines serrées. Ma femme avait les mains de la voisine sur les fesses, prêtes à aller se loger dans son cul.
Jai beau avoir lhabitude de les voir se faire lamour, ma bite nen est pas fatiguée : je bande du tonnerre. Je nose pas les déranger, elles mont bien vu sans réagir, si elles avaient eu envie de moi, elles me lauraient dit.
Elle veulent se faire plaisir seules, pourquoi pas. Pour arrêter si possible mon érection je plonge. Leau fraiche me rafraichi, jarrive à débander, pas complètement, suffisamment pour être en état de les baiser.
Je les surveille du coin de lil. Je suppose que les doigts dans le cul ont satisfait Odette puisque maintenant elle est accroupie devant Sylvie, sa langue plongée sur la chatte.
Je nai pas le temps daller à mon but, le voisin, André vient lui aussi : il na pas trouvé sa femme à la maison, il ne se fait pas de soucis, elle est chez moi, avec ma femme.
Erreur, Sylvie est presque dans leau, ma femme lui bouffe la chatte et je suis près à enculer mon épouse : pas question il y a plus dune semaine quil ne la pas enculé, alors à son tour. Il est vite nu, la bite bien dressée, pile la dimension quaime ma femme. Il est vite derrière elle, Je le vois la prendre par les hanches, tâtonner un peu pour poser le bout de sa bite sur lanus, aidé quand même par les mains de ma tendre épouse.
Le salaud la lui met profond, daprès ce quelle dit. Je vois bien son mouvement de vas et vient, elle se régale dêtre enculée par la bite du mari de celle quelle suce.
Je reste comme un con, sans trou à explorer. Je commence à me branler quand jai, lidée du siècle. Je vais derrière André, je passe un main entre ses fesses pour aller sur son anus. Il me laisse faire. Je suis étonné, je ne lui ai jamais demandé sil aimait se faire mettre. Jai eu tord.
Dans leau je nai aucune difficulté pour mettre le bout de mon gland sur son cul. Il fit une chose que je ne pensais pas quil fit : il me sourit en disant quil y a longtemps quil attend ce moment.
Tant pis pur les convenances, je menfonce en lui sans problème. Sylvie me dit quil aime se faire mettre par derrière, elle le lui fait avec le gode quand il la baise.
Je nai pratiquement pas à bouger, son vas et vient dans le cul dOdette facilite beaucoup lenculage. En plus, comme il force un peu pour ses mouvements, il resserre ses fesses à chaque mouvement. Je me retiens tant que je peux. Il est agréable à sodomiser, presque autant que ma femme ou la sienne. Je sens que je vais jouir dans ce cul dhomme. Il jouit dans celui dOdette un peu avant moi, ses crispations de jouissance menvoient au 7° ciel. Je sort très vite : mon sperme gicle encore allant sétaler comme un nuage sur leau.
Les femmes sont satisfaites et de leur baise et de lenculage. Sylvie et Odette recommencent leur manège dans le seul but de nous exciter. Avec André nous sommes prés à les baiser.
Ces garces de femelles veulent nous voir encore avec un bite dans le troufignard, pas nimporte le quel : le mien.
Je nen veux à aucun prix. Je ne me suis jamais fait mettre dans le cul, je ne vais pas commencer maintenant pour faire plaisir à ses fadurles du sexes. Quelle soient à moitié lesbiennes, je men fout, je ne deviendrai pas un bisexuel.
André, lui est daccord, il peut me la mettre sans forcer, costaud comme il est. Il me fait assoir sur la margelle de la piscine, prend ma bite dans la bouche. Il suce aussi bien quune fille, si ce nest mieux.
Il me fait tomber dans leau me retourne, me fait écarter les jambes. Je me trouve comme ma femme quand je vais la lui mettre. Il passe une main pour attr ma bite quil branle bien, très bien même. Je sens quand la queue vient sur mon rectum. Je me détends totalement comme je demandais au début à Odette. Il entre relativement facilement. Il a lâché ma bite pour ne se consacrer quà mon trou. Il pose ses mains sur mes hanches comme pour ma femme qui regarde en se branlant comme Sylvie. Je sens dabord ses poils sur les fesses et mon cul envahi par cette chair étrangère qui commence à me donner un autre plaisir.
Je sais que je me ferai enculer souvent, pas par un gode, par sa bite !
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