Ma Première Fois Imaginée...

Nous sommes dans une salle de classe à suivre un cours de math dont l'ennui n'a d'égal que son excédent soporifique.

D'un coup, nous nous retrouvons seuls, tous seuls dans cette même salle de classe, nous n'avons d'explication.

Il fait de plus en plus chaud...

Ce doit être une invitation à retirer nos vêtements.

Nous voilà nus.

Je vois sur le thermomètre qu'il fait 45° mais que le température baisse lentement.

Je profite du manque de vêtements pour te dire à quel point tes seins sont beaux...

Tu me dis non sans moins d'enthousiasme que mon torse est superbe...

Je commence alors te toucher les seins, à faire rouler tes tétons entre mes doigts ils pointent plus sous l'effet de l'excitation que celui de la chaleur.

Tu commences à caresser mon pénis d'abord lentement puis de plus en plus vite et avec de plus en plus de précision au fur et à mesure qu'il durcit.

Moi, je lèche avidement tes seins et tes tétons et en même temps, je te caresse les fesses et les cuisses.

À chaque fois que j'effleure tes lèvres, je te sens tressaillir.

Je commence à caresser ton clitoris que je sens gorgé de sang.

Je te fais languir en te caressant les lèvres avec mon pénis, tu me supplies sous l'effet de l'excitation de te pénétrer.

Je rentre un doigt et tu hurles de bonheur et de surprise !

Je cherche le point G que je localise rapidement...

Après quelques minutes, je te sens te cambrer, je sens ton vagin se rétracter et un sentiment de bonheur m'envahit, tu jouis.

Tu me remercies en me disant que c'est le plus bel orgasme de ta vie ...

Je te dis que ce n'est pas fini !

Je me met à genoux et commence à te faire un cunnilingus...

Je parcourt d'abord tes lèvres puis ton clitoris...

Ensuite, j'y rentre ma langue, tu jouis sous l'effet de l'excitation mais tu es toujours d'attaque.

Moi qui n'ai pas débandé, te couche sur un banc et te pénètre lentement, ça rentre comme dans du beurre !

Je commence à aller de plus en plus vite, au bout d'une quinzaine de minutes, nous jouissons ensemble ...

Nous nous retrouvons couchés dans un lit, sans explications, nous nous ne en plaignons pas et nous endormons enlacés et heureux ...