La Débauche De Camille (Partie 1)

Premièrement, je tiens a vous informer que je suis une bonne fille. Je suis devenu une fille au moeurs légères malgré moi. J’ai été victime des circonstances, je vous assure.
J’ai toujours prôné la fidélité, un homme pour la vie ainsi que des relation sexuelles propre. Je vous raconte mon histoire, non pour vous excité, mais pour vous mettre en garde contre le danger de se laisser contrôler par ses pulsions.

Bonjour, je m’appelles Camille, j’ai 26 ans, je suis marié à l’homme que j’aimes de puis cinq belles années, les choses ont toujours bien été. Nous fessions l’amour régulièrement et j’étais très satisfaite de notre relation. Mon mari semblait être lui aussi très heureux, bon il me faisait parfois part de certains de ses désirs, comme la fellation ou la sodomie, mais il en était pas question. Il me respectait et la vie s’est continué sans trop de problème, jusqu’au jour et j’ai trouvé des vidéos pornos sur son ordinateur.

J’ai été à la fois choqué et un peu séduis parce qu j’ai vu. Ce que ces jeunes fillles de 18 ou 19 ans pouvaient faire était horrible. Ce mettre a nu devant la caméra, pour ma part je suis gêner d’être nu sous ma douche seul. Coucher avec des hommes qu’elles connaissent à peine et dans des lieu public pourquoi pas. Mettre un pénis dans leur bouche, pire plusieurs pénis dans leur bouche, mais voilà je n’avait rien vu, certaines permettaient que leurs partenaires éjaculent sur le visage ou dans leur bouche pire encore certaines avalaient et en redemandaient. Je vous épargnes les pénis dans l’anus et les cris de jouissance. J’étais dégoutté et à la fois excité. Je pouvais difficilement blâmer mon mari de prendre plaisir à tout cela.

Je ne lui est rien dit et fait comme si de rien n’était et je continuais d’examiner ses trouvailles pornos. Lorsqu’il était absent je sautais sur son ordinateur et me masturbait pour soulager mon mal. Je ne le faisais plus depuis mon adolescence J’avais même commencer à m’introduire une doigt dans l’anus pour explorer cette nouvelle sensation.

Et voila, j’ai fini par franchir un cape dangereux. À la fin d’une relation sexuel avec mon mari, j’ai pris l’habitude de lécher le bout de mes doigts pour goûter a son sperme. Je devais être prudente pour ne rien laisser transparaître. Ce qui compliquait les choses, c’est que j’en n’avais plus assez. J’ai donc discrètement récupéré notre condom à la fin de notre relation sexuelle suivante et tout en regardant le dernier vidéo de mon mari, je léchais l’extérieur du condom, l’ouverture, ensuite j’ai même eu l’audace et le dévergondage d’y introduire ma langue. J’étais si excité, mon coeur battais à tout rompre. Mais voilà, je ne pouvais tout de même pas en boire le contenu. Donc, je fis couler le sperme sur mon visage et mes seins et j’ai eu un plaisir que je n’avais jamais eu. Je comprenais désormais ces femmes qui criaient à en perdre la tête.

J‘ignorais maintenant ce qui m’attendait. Quelque semaines plus tard, devant l’ordinateur à la recherche d’un fameux vidéo secret tout neuf, il m‘était impossible d‘ouvrir une session il était protégé par un mot de passe. Malheur! Mon mari avait sécurisé son ordinateur. Sans doutes craignait-il que je les trouve. Brillant ! Mais maintenant, moi, que vais-je faire ? J’en ai de besoin ..... pour vivre. Je sentis une crise de panique venir, mon souffle se faisaient cours.

Allons vite sur internet trouver quelque chose, j’ouvre google, tape quelque chose et voilà, encore un autre mot de passe pour avoir accès au site réservé pour adulte. Encore, mais décidément comment me faire plaisir ! Je commençais en sentir une panique et une frustration monter en moi. Comme un junkie en manque.

Je méditais, bon je pourrais dire à mon mari que j’aime bien ses films,.... Non pas question, de quoi aurais-je l’air, et va savoir ce qu’il exigera de moi par la suite, quoi que ce pourrait être intéressant ....Non, j’ai une fierté quand même. Je veux garder le contrôle mais enfin est-ce que je contrôle encore quelque chose .... Oui, certainement, je vais faire autre chose et essayer d’oublier ces fantasmes.
Ou je pourrais lui demander son code internet, mais il pourrait trouver cela douteux. Non, ressaisie toi tu n’as pas besoin de ces choses. Le vidéoclub, non mauvaise idée mauvaise idée, je pourrais croiser quelque un que je connais. Non, pensons à autre chose ...... Bon allons au vidéoclub

Je me suis levé et rendu au vidéo club.

La jeune fille derrière le comptoir devait avoir 18 ans à peine, j’avais encore plus honte de moi. Je me promenait dans les allé comme si je ne savais pas du tout ce que je voulais, je me dirigeais furtivement vers l’arrière boutique. Et me glissa discrètement derrière le rideau, j’ai failli jouir lorsque j’ai vu toute ces vidéos juste là prêt à écouter, toute neuve en plus. Mon coeur battais de joie, dire qu’il fallait en ramener que quelques-unes. Je commençais à respirer mieux, j’étais libérer.

Je passait en revu les titres et ma culotte en était toute mouillé. Mais, où sont les spécial anal. Quand soudain, je sursautes et passe proche de l’arrêt cardiaque quand un voie derrière moi me dit :

- Est ce que je peux vous aider?

Eh, bien, regarde dont, la petite fille de 18 ans, a-t-elle le droit d’être ici seulement ...
Ah oui c’est vrai, elle ma posé une question ...

- Je vous demande pardon ...

- Est ce que je peux vous aider?

- Oui en effet, où sont les ...... Où sont les ..... Où est la sortie ! C’est dégueulasse ici !

Et j’ai pris mes jambes à mon coup.

Rouge de honte ...

J’étais maintenant brûlé au vidéoclub. Je devais trouver une solution de rechange. J’avais par contre peur d’une nouvelle déception. J’ai ruminé cela toute la journée. Au soir, je me suis mis toute coquette pour séduire mon mari. Mission accompli, à peine 30 minutes après son retour à la maison, il ne s’en pouvais plus et ma sauté dessus. C’est peut-être un peu de ma faute, je les peut-être trop excité. En plus, je lui disait des mots cru comme je suis ta pute, ta chienne, défonce moi. Je le disais maintenant sans m’en rendre compte. Mais, voilà le problème, il est venu en moins de deux minutes. Et moi, j’ai pas eu le temps de jouir. Bon, je pris soin de garder son condom et dès que je les vu rentrer dans la douche je me remis à me masturber, avec vigueur mais là encore ça ne me suffisait pas. J’avais beau lécher le condom, y introduire ma langue, rien à faire. Je me suis concentrer sur le dernier porno que j’avais écouté et me rappelais ces giclés qui tombait sur les visages de jeunes filles et dans leurs bouches. Mais là encore, il en fallait plus, je ne pouvais tout de même pas me vider le condom dans le visage, que dirait mon mari ?

Par contre, je pouvais mettre le contenu dans ma bouche, il n’y verrait que du feu. J’irai le recracher dans les toilettes durant qu’il serait sous la douche, il pensera que je me brossait les dents. Juste la vu de cette grosse boule gluante et élastique qui descendait lentement vers ma bouche me surexcitait. Lorsqu’elle toucha ma langue, j’ai failli jouir, je me malaxais encore plus vite. Dommage que le sperme avait un peu refroidit, mais enfin. Quand je l’eu tout mis dans ma bouche, ma bouche était pleine, elle débordait presque. Mon mari avait assuré, il faut dire que nous le faisions plus souvent depuis quelques temps et sa l’augmente la production de sperme. Je les lu quelque part. Je goûtais à cette saveur pour la première fois à pleine bouche, je fini par vibrer de tout mon corps. Enfin ....

Je me relève toute satisfaite, mais un peu dégoutté je l’avoue, vers la salle de bain pour tout recracher, .... la porte est barré. Je tourne les talons et me dirige vers la cuisine. Mais mon mari sort de la toilette et me pose la question :

- Qu’est ce qu’on mange pour souper ?

J’ai une seconde pour penser, pas à ce que l’on va manger, mais à ce que je vais faire. Si je ne lui répond pas que pensera t-il ? Si je répond la bouche pleine à l’évidence sa se saurait. Je ne pouvais mentir que je me brossais les dents, je ne suis même entré dans la salle de bain. J’étais encore dos à lui. Je n’avais plus le choix, je pris mon courage à deux mains et j’avala. Je le sentis descendre dans ma gorge en un morceau, je me lécha les lèvre pour être sure de ne laisser aucune trace, et j’imaginais la perversité de la seine.

- Un ragoût !