Denise Et Marc

La nuit je suis souvent réveillée par des bruits instructifs de l’appartement voisin. Un couple fait souvent l’amour le soir vers 22 heures et le matin vers 7 heures. C’est souvent gênant, surtout le matin. Si je savais qui c’était, je pourrai leur faire des remontrances. Dans ces grands ensembles souvent les appartements ne se touchent que par une cloison, jamais par le palier. J’arrive quand même à reconnaitre la voix féminine au bout de plusieurs mois. C’est bêtement que je mets enfin un visage sur la voisine : une belle femme noire, antillaise, surtout bien sexy. Je la rencontre plusieurs fois, tellement que nous devenons des copines.
Elle me parait très calme, je ne la vois pas dans un lit faisant l’amour et criant comme elle le fait. Pour moi le seul résultat est que maintenant, je l’imagine quand elle se donne. Cette évocation me donne des envies de jouir. Je commence à attendre qu’elle se fasse mettre avec impatience. Je suis nue sur mon lit, le godemiché à porté de la main. Quand j’entends des murmures, je sais qu’elle ne va pas tarder à prendre son plaisir. Je mouille à partir de ce moment. Il me semble la voir, nue avec ses seins pointus, son bas ventre velu, ses cuisses ouvertes prêtes à recevoir une bite que je vois très grosse.
Je commence à entrer mon ami, le gode pour le mouiller. Je le fais aller et venir dans ma chatte. Quand j’entends des paroles comme, « oui, oui, encore, mets moi la au cul. Je ne peux résister, je me baise jusqu’au bout quitte à recommencer quand elle n’a pas fini.
Souvent elle me fait jouir plusieurs fois à tel point que je m’endors nue.
Nous devenons de plus en plus proches puisqu’elle m’invite à venir passer un après midi chez elle.
Je suis obligée de passer dans la cage d’escalier voisine. Au fond les deux parties d’immeuble se ressemblent. Dans son séjour je vois les photos d’elle avec son mari, ils sont dans je ne sais qu’elle ile des Caraïbes. Son corps correspond en gros à ce que j’imaginais.

Par contre je ne pensais jamais que son mari soit d’une blancheur presque cadavérique.
Nous buvons un café en bavardant. Denise me parle de son mari, Marc, de son ile, de son travail dans l’administration. Je réponds par les récits de ma petite vie.
Elle me demande si je ne fréquente personne, un homme, une femme….
Elle me plein d’être seule :
- Je ne pourrais jamais rester seule sans homme !
- Moi, ce n’est pas de ma faute, j’en avais un et il est parti avec une autre.
- Je te plains. Pour le sexe, tu dois te contenter seule alors.
- Oui, mais je suis aidée.
- Quelqu’un t’aide ?
- Oui toi.
- Moi ?
- Quand tu fais l’amour tu le cris bien fort, ça m’excite et je me caresse.
- Je te rends service sans le savoir. Je sens que ce soir ça va m’exciter.
- Nous pourrions presque nous masturber ensemble, si tu n’en vois pas l’inconvénient.
- Tu me proposes de me branler devant toi ?
- Presque je préfèrerais te branler et que tu me branles.
- Je n’ai jamais fait ça avec une femme. Et en plus mon mari risque de venir.
- Et alors, il nous regardera.
Je ne tiens pas compte de ses avertissements, je pose une main sur ses genoux. Nous nous regardons droit dans le yeux, sans les baisser. Si elle ne voulait pas elle m’enverrait bouler. Je ne cherche qu’une seule chose, me changer du gode. Elle me laisse faire quand je monte ma main vers sa chatte. Je suis un peu étonnée quand j’arrive sur sa chatte car elle ne porte pas de sous vêtement, sa chatte est rasée. Elle écarte bien les cuisses, je peux chercher et trouver son bouton.
Je la masturbe un instant quand à son tour, elle passe sa main sous la jupe plissée. Elle vient très vite sur mon clitoris. Elle me branle mieux que moi qui pourtant fait mon possible pour lui donner le maximum de plaisir.
Ce qu’elle craignait arrive, son mari entre chez lui. Je voudrais que nous arrêtions. Denise n’est pas d’accord, elle est pour que Marc nous voit et se mêle à nous.
Qu’il me baise lui semble normal. Marc s’arrête sur le pas de la porte, il nous regarde sans bouger, surpris certainement. Je vois sa bite grossir dans son pantalon. Il vient vers nous, embrasse Denise avant de m’embrasser aussi. Je déguste ce baiser, me premier depuis très longtemps.
Nous n’avons même pas arrêter de nous branler. Marc ne nous en veut pas, il se met nu : nous regardons la belle bite, longue et grosse. Je comprends mieux les cris et gémissements des baises.
J’arrive à prendre la queue dans une main pour à peine la branler. Mon seul but est de la prendre dans la bouche. Denise commence à me déshabiller pour me donner à Marc. Il me prend dans ses bras, me caresse les seins, parfaitement, ses mains caressent mes fesses. Pourtant il n’y fait rien. Je sens une autre main venir entre mes fesses : celle de Denise. Elle sait parfaitement où elle va, elle caresse à peine l’anus pour finalement entre presque un doigt. Je suis devenue son objet. Finalement j’ai un doigt dans le cul avec une langue sur la chatte. C’est à croire que c’est prémédité. Je reste debout, les jambes ouvertes, les seins durcis, le cul occupé. Il y a tellement de temps que j’ai du oublier des petits trucs en route.
Je jouis rapidement, entre ce que m’a fait Denise et maintenant Marc, je suis obligée de m’assoir. Denise me fait écarter les jambes, pose sa tête sur ma chatte, sa langue remplace celle de son époux qui ne pert pas de temps. Il est derrière Denise, sa queue toujours bien raide. Je le vois faire, il passe la queue dans la raie, arrive jusqu’à l’anus, en repart entre dans le trou du vagin et revient sur l’anus. Je vois la pine s’enfoncer lentement dans le ventre de Denise qui doit aimer se faire enculer, puisqu’elle soupire sans arrêt.
Moi, je ne fais rien que jouir du temps présent. Nous jouissons presque ensemble.
Le repas est vite préparé par deux nudités, des femmes qui se caressent souvent au point que je suce l’entrejambe de Denise. Marc nous inspecte, il bande toujours.
Il nous retarde quand il tient à me plier sur la table, les fesses en face de lui. Je sens la queue venir sur la cul. Il ne fait que s’y arrêter pour aller plus loin. Il entre sans façon dans le sexe. Denise, passe derrière lui, sa langue sortie : elle lui lèche le cul.
La nuit démarre bien pour moi. J’ai droit à une bite dans le cul. Normal, une langue sur la chatte, normal. Ma bouche est sur la chatte de Denise. J’ai la place pour me caresser le clitoris. Je jouis comme une folle. Je n’arrive pas à arrêtre les spasmes.
Je suis tellement crevée que je les laisse baiser comme ils veulent. Je comprend le pourquoi des cris, il la baise continuellement, devant, derrière, dans la bouche. Elle en demande toujours plus.
Les jours suivants elle vient suivant me voir. Nous baisons comme des lesbiennes, nous y avons pris gout.

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