De La Photo, À La Faute Hot.
Ca pourrait être des retrouvailles tout à fait ordinaires.
Un bon ami qui sort enfin la tête de leau, après de longs et douloureux désagréments, minvite à passer quelques jours chez lui.
Nico souhaite me faire découvrir sa région, mais par-dessus tout, me présenter sa nouvelle muse.
Sa princesse, sa fée, sa sirène
LINE.
Je devrais être serein, pourtant, le doigt qui sapprête à appuyer sur le bouton de la sonnette, tremble comme une feuille morte. Dans ma poitrine, jentends les tambours du Bronx et jai le souffle court, les jambes molles.
Cest étrange. Une timidité maladive, souci que je croyais régler depuis longtemps, semble avoir refait surface, comme ca, dun coup.
Serait ce le fait de rencontrer Line ?
Pourtant, nous avons conversé de longues heures ensemble, et je connais ses traits pour avoir vu quelques photos delle sur FaceBook. Je peux même dire que nous nous sommes découverts et appréciés, et quil est certain que le courant de lamitié est passé entre nous, sans aucun problèmes.
Alors, pourquoi ? Pourquoi cet émoi ?
Jappuie. Des pas sapprochent et la mine réjouit de Nico apparait dans lentrebâillement de la porte.
« Haaa ! Vlà lAuvergnat ! Ca va Claude ? »
« Oui ! Et toi ? Mieux dans ta tête ? »
« Devine ? Je revis ! Je suis de nouveau moi-même. Cest magnifique, magique. Jte jure ! Entre vite que je te présente. »
Je fais enfin la connaissance de sa puce. Christelle dit Kiki. Une gamine adorable, pleine de malice et despièglerie. Une petite fille qui a bien souffert aussi, pour avoir croisé, tout comme son père, le chemin de gens détestables, méchants et teigneux. Le départ de sa maman pour un monde meilleur, lui aurait pourtant bien suffit.
Et puis il y a Francis. Un grand garçon de treize ans, souriant et très sympathique. Je sais que pour lui aussi, ainsi que pour sa maman, la vie na pas toujours été rose.
Kiki, pas du tout intimidée par létranger que je suis, me prend la main.
« Viens, je vais te montrer ma deuxième maman ! Elle est dans la cuisine ! »
Elle my pousse en hurlant :
« Regarde ! Il est là ! Tonton moutarde est arrivé ! »
Je sais maintenant pourquoi, je tremble tant.
Elle est encore plus belle que sur les photos. Jen étais persuadé.
Son regard est lumineux, son sourire tendre et franc à la fois. Mais lorsquenfin elle me parle, je tombe définitivement sous son charme.
« Haa ! Claude ! Je suis si heureuse que tu sois là ! »
Sa voix est douce, sucrée comme du miel.
Je crois bien que je rougis, lorsque ses joues touchent les miennes.
« Heuu ! Moi aussi, Line. Javais hâte darriver. Vraiment ! »
Je distribue mes petits cadeaux. Du vin de la région, des produits du terroir et bien sur la fameuse moutarde de mon village, qui me vaut le surnom de « tonton moutarde ».
Mes retrouvailles avec Nico sont bien arrosées, dès lapéritif. Lesprit de la soirée est festif. Nous rigolons, racontons des anecdotes sympas sur nos vies respectives. Bien sur, il me raconte en détail leur rencontre et je les écoute avec beaucoup dattention.
Enfin
Nico surtout. Parce que lorsque Line madresse la parole, mon cerveau se met à lenvers et je nentends plus que le son de sa voix, sans comprendre ce quelle me dit.
Elle porte un petit pull bleu, une jupe courte en jeans. Le fait-elle intentionnellement ou pas, mais je sais quelle porte des bas.
Il faut dire quelle est en face de moi, dans un fauteuil et lassise très basse de celui-ci, me donne le champ libre jusquà au moins mi-cuisse.
La petite bande de peau blanche, tranchant avec le sombre de ses bas et de sa jupe, me transporte dans un monde de fantasmes et denvies inavouables.
Nico qui me connait bien et connaissant mon gout prononcé pour les jolies femmes, capte mon trouble et ne peut sempêcher de sen amuser.
« Elle est belle ma princesse, hein ? Ca te laisse rêveur mon tit nourson ? »
« Hein, Heuuu ! Ben oui, elle est mimi, quoi ! »
Nico sait quil est facile de me troubler et ne rate jamais une occasion de le faire.
Quoiquil me semble que Line nest pas en reste.
« Houlà ! Et tu ne mas pas vu en maillot de bain ! Hihihi ! Je suis craquante ! Hihi ! »
« Ha cest malin ! Vous navez pas honte tout les deux, de jouer avec un pauvre petit vieux, sans défense ? Haha ! »
Ils sont encore très jeunes. La quarantaine ou guère plus, alors que moi, je suis plus proche du sexagénaire que du quinqua.
La soirée se passe bien, dans une bonne humeur dont tout le monde avait besoin.
Line, me prépare un lit douillet sur le canapé et les amoureux vont se coucher.
Bien que très fatigué par le voyage et une soirée bien arrosée, impossible de dormir.
Des bruits confus et indistincts me parviennent de leur chambre, toute proche.
Ho ! Je sens bien quils font tout pour être discret, mais les petits rires, puis les gémissements étouffés qui arrivent jusquà mes oreilles, ne me laissent aucun doute sur leur activité du moment.
Eux aussi ont du mal à trouver le sommeil.
Le soleil est déjà levé depuis un bon moment. Le silence règne dans la maison, et je nose pas bouger.
Je reste allongé, rêvassant, profitant des ondes positives qui inondent se foyer.
« Café-croissants ? »
Je sursaute lorsquelle passe près de moi. Sa nuisette noire, dissimulant à peine un petit string et ses seins libres, disparait dans la cuisine, laissant flotter un doux parfum.
« Heuuu ! Oui, si tu veux, mais tembête pas pour moi, surtout ! »
« Mais non ! Saute dans la douche si tu veux ? Ce sera prêt dans un quart dheure. »
Nico et les s se lèvent à leurs tours.
Dans la mâtiné, une amie ou quelqu'un de la famille, passe prendre Kiki et Francis.
« Bon, Claude ! Jespère que tu as ton appareil photo, je te propose une virée. »
Nous passons le début daprès midi à visiter la région. Mais très vite, la chaleur nous écrase un peu.
Line propose une ballade en forêt, pour nous protéger du soleil.
Elle marche devant nous, entre les arbres, à la recherche de belles feuilles mortes, pour la petite.
Elle porte une robe dété blanche, à fines bretelles et fermée sur le devant par quelques boutons. Le soleil qui parfois perce le feuillage, nous dévoile ses jambes par transparence.
« Alors ? Tu la trouve comment ? »
« Elle est délicieusement délicieuse. Franchement, je tenvie. Je suis très heureux pour vous. Vous faites un couple fantastique. »
Il la prend en photo, alors quelle est de profil. Une de ses cuisses, grâce à la robe déboutonnée très haut, est découverte par une petite branche accrochée au tissu. Le soleil, coquin, fait le reste.
Nico, fier de lui, me montre son cliché.
« Hummm ! Regarde ! Elle nest pas bandante comme ca ? »
« Arrête tes conneries, voyou ! Cest ta princesse, pas la mienne. Ne moblige pas à te dire quelle me plait ! »
« Haha ! Mais je sais quelle te plait ! Tu as bavé toute la soirée ! Haha ! Au fait, nous navons pas fait trop de bruit cette nuit, jespère ? »
« Nicoooo ! »
« Ben quoi ? Tu nous as entendu ou pas ? »
« Bon ! Oui, je vous ai entendu, voilà ! Mais ca ne ma pas empêché de dormir ! Tes content ? »
« Hahaha ! Tu nas jamais su mentir, tit nourson ! Allez ! Jarrête de te taquiner. »
Nous faisons quelques pas à peine.
« Tu sais hier soir, pendant que je lui faisais lamour ? Et bien, je lui ai proposé daller te chercher. »
« Ca y est ! Tu recommences ! Tes incorrigible ! »
« Tu veux pas savoir ce quelle a répondu ? »
« Heuuu, non ! Je ne veux pas savoir ! »
« Tu as peur de la réponse ? »
« Non ! Ce nest pas ca ! Mais ca me gêne. »
« Et bien elle ma dit que mes désirs étaient des ordres. Haha ! Ce nest pas beau, ca ? Si ce nest pas de lamour, quest ce que cest ? »
Cest sur, cest de lamour. Mais pourquoi me dit-il ca ? Il nest pas venu me chercher que je sache !
Je sais que Nico aime jouer.
« Hé, les garçons ! Et si vous faisiez un concours photo ? Le gagnant aura le ptit-déj au lit ! Hihi ! »
« Ok, ma chérie ! Mais tu nous sers de modèle ? »
Elle acquiesce et nous commençons à la shooter dans toutes les positions. Elle joue le jeu et fait sa star. Tantôt, tendre, tantôt fofolle ou encore sexy et provocatrice.
« Chérie ! Appuie toi contre un arbre et du bout de ton index, fait glisser une bretelle sur ton épaule. »
Cest une très bonne idée. Voilà qui fera de charmantes photos. Je propose quelle fasse de même avec lautre. Elle sexécute et nos appareils travaillent sans relâche ou presque.
Mais Nico veut plus.
« Déboutonne quelques boutons du haut. »
Je me sens rougir une fois de plus.
Line porte sa main à son décolleté. Elle plante son regard dans le mien et me fait un petit sourire fripon.
Je regarde les boutons passer les illets.
Les tambours du Bronx, dans ma poitrine, me donnent de nouveau un concert gratuit.
Mes trois clichés suivant sont flous, et ce, malgré le système anti vibration de mon appareil.
Ce nest pas le cas de Nico, qui semble apprécier le sujet.
Un arbre a été abattu non loin de nous. Il lui demande de sy allonger. Elle fait grise mine, pensant à la blancheur de sa robe, mais finit tout de même par le faire.
Cette fille a un sens artistique très prononcé, ou bien elle dévore des revues de mode.
Bras ballant de chaque cotés du tronc, elle penche sa tête en arrière de façon à sappuyer sur le haut de son crane. Puis, elle se cambre autant quelle peut.
Je pourrais passer un bras sous son dos, sans la toucher.
Pour finir, elle plie une jambe, ramenant son pied à hauteur du genou de lautre jambe.
Le tissu léger de la robe, glisse le long de sa cuisse et tombe le long du tronc, la dévoilant entièrement.
Un trouble immense menvahit, lorsque dans mon objectif, apparait le triangle blanc dun mini string.
Nico, qui lui aussi à le même spectacle, me fait un grand sourire et un clin dil. Je le sens très fier de la beauté de sa princesse.
Dans cette position, sa poitrine tend la robe au maximum. Et, ce qui devait arriver
Deux boutons sautent, laissant ses beaux seins blancs séchapper du carcan de la robe.
Je tiens ma revanche, car cette fois, cest elle qui est perturbée et troublée.
« Ne bouge pas, mon amour ! Cest superbe ! »
Et elle ne bouge pas.
Je ne sais plus ou me mettre. Je nose même plus photographier.
« Ben alors ? Ho Claude ! Tu baisses les bras ? Tu déclares forfait ? »
« Non, ce nest pas ca, mais
»
« Allons ! Tu sais ce que cest quune poitrine, non ? »
« Continues, Claude. Photographies moi, encore. Sil te plait. »
La douce voix de Line me réconforte et mencourage à continuer. Ce que je fais, sous le regard amusé de mon ami.
Stupéfait, je regarde la belle déboutonner entièrement sa robe. Elle semble avoir perdu toute pudeur.
Son corps tout entier se dévoile à moi.
Je me cache derrière mon objectif. Je zoom au maximum et je la caresse au travers de la lentille.
Je trouve sa respiration rapide. Ses seins sont gonflés et ses tétons prêt à exploser. Je descends et glisse dans le creux de son ventre. Puis, remonte le long de sa jambe pliée, regrettant de ne pouvoir apercevoir son mont de venus.
Je prends des clichés par dizaine, sans moccuper de Nico. Quand soudain, il apparait dans mon illeton.
Il est penché sur le ventre de Line et lembrasse, alternant avec de petits coups de langue. Dune main, il malaxe ses seins, tandis que lautre semble affairé à glisser sous le petit string.
Je fais mon possible pour ne penser quà faire de belles photos. Je tourne mon appareil, avance, recule, magenouille, avance encore.
Je fixe le visage de Nico glissant vers lintimité de sa muse. Pour facilité la caresse buccale imminente, elle déplie sa jambe, me permettant dapercevoir enfin, sa montagne sacrée.
Le string est arraché et une touffe soyeuse le remplace.
Je frémis lorsque sa main se pose sur ma cuisse. Elle sagrippe à mon pantalon et mattire vers elle.
Je franchis le pas et me laisse emporter par ce tourbillon magique de lexcitation et du partage.
Je me penche à mon tour et lembrasse avec passion. Ny tenant plus, je pose, tremblant, une main sur sa poitrine. Elle est chaude, douce moelleuse.
Elle frissonne.
Nico a le visage enfoui entre les cuisses de Line. Elle gémit, pousse de douces plaintes de plaisir.
Jamais, ce matin, je naurais imaginé sentir une des mains de la belle, remonter jusquà mon entre jambe et ouvrir ma braguette.
Jamais je naurais imaginé, que cette même main, brulante, extirperait mon sexe de mon caleçon.
Jamais, au grand jamais, je naurais imaginé sentir ce dernier glisser lentement entre les lèvres de cette splendide femme.
Tout nest que plaisir et volupté.
Jose une photo de sa langue, frétillant sur mes testicules, ou encore, remontant le long de ma verge dressée.
Elle a les yeux fermés. Sa respiration saccélère et sa poitrine se soulève de façon régulière.
Soudain, elle délaisse mon membre. Lenvie de sexprimer devenant prioritaire.
« Ho ouiiii ! Hummmm ! Nico, je vais
! Ouiiiii ! Je jouiiiiiis ! Hooooo ! Cest booooon ! Ouiiiiii ! »
Elle sert mon pénis, me masturbant frénétiquement. A ce rythme là, je ne serais pas long à jouir à mon tour !
Nico, me sauve in extremis.
« Lève-toi, chérie ! »
Elle délaisse mon membre, à mon plus grand regret.
Nico la penche vers le tronc. Il passe derrière elle, pose ses mains sur sa taille et la pénètre profondément.
« Ho ouiiii ! Hummmm ! Cest trop boooon ! Prends-moi fort, mon amour ! Ouiiiii ! »
Elle garde les yeux fermés, mais ouvre un bras pour minviter à retrouver ma place entre ses lèvres.
Chacun à un « bout » de la déesse, nous nous regardons, complice, sans dire un mot, nous excitant de limage que renvoie lautre.
Nico craque le premier.
« Rhooo, Line ! Mon amouuuur ! Tiens ! Prends tout, mon cur ! Hummmm ! Je taiiiiime ! Hargggggg ! »
Son visage est crispé, ses coups de butoir plus violent, son bas ventre frappant les fesses offertes.
Les gémissements de Line sont étouffés par ma verge prête à exploser, qui glisse sur sa langue.
Une fois de plus, je suis sauvé par mon ami.
« Viens Claude, prends la, pendant quelle me nettoie. »
Je ne me le fais pas dire deux fois et nous échangeons nos places rapidement.
Avant de menfoncer à mon tour dans son ventre, je vois ses poils pubiens, luisant du plaisir de mon ami. Le foutre qui sécoule en long filet de la vulve bouillante, va sécraser sur lhumus forestier.
Mon gland trouve le passage et senfonce dans le mélange visqueux, des deux plaisirs.
Le contact de cette matière grasse et chaude, mexcite au plus haut point et je craque à mon tour, très vite.
Jai envie de lui crier mon plaisir, envie de linsulter, dêtre grossier. Mais je me contente de serrer ses fesses dans mes mains et de les écarter lune de lautre, pour gagner quelques millimètres, dans son antre détrempé.
Elle me nettoie à mon tour, tandis que Nico se prête à un drôle de manège.
Il va darbre en arbre, sa ceinture à la main. Il choisit des branches basses et passe sa ceinture par-dessus.
« Ha ! Celle-ci est bien. Viens ma chérie ! Viens là ! Nous allons faire une dernière série de photo. Tu veux bien ? »
« Humm ! À vrais dire, jy prends gout ! Hihi ! Mais, quest ce que tu veux faire avec ta ceinture ? »
Elle sapproche et il linvite à lever les bras et à se tenir aux extrémités de la lanière de cuir.
« Entoure tes mains avec. Comme si tu étais attachée. Ca va être terrible, ca ! »
Et ca lest !
Cette femme, attachée au milieu dune forêt, robe ouverte, les rayons du soleil caressant son corps
Cest de toute beauté.
Nous tournons autour, mitraillant la malheureuse sous tous les angles.
Soudain, un bruit de pas écrasant des branchages, stoppe net notre séance.
Cest Line qui le voit la première.
« Là, juste devant moi ! Je crois quil y a quelqu'un ! »
Nous scrutons la pénombre de la forêt et effectivement, nous découvrons un homme, accroupit, qui nous épie.
« Ne bouge pas, mon amour ! Laissons le approcher. Ca peut être intéressant. »
« Intéressant pour qui ? Tu oublies que je suis à poil ? Hihihi ! »
« Pour lart, ma chérie ! Pour lart ! Un modèle doit savoir donner de sa personne, pour faire avancer la création ! Claude ? Tu nes pas de mon avis ? Haha ! »
« Ho ben si ! Tu pense ! »
Nous continuons à photographier et lhomme à savancer. Une minute plus tard, il est derrière nous, sexe à la main.
Il faut dire que nous navons pas rangé les nôtres. Et comme nous sommes de nouveau en érections, elles ne passent pas inaperçues.
Lhomme fait un pas de plus et se place entre nous. Il semble très décontracté et pas du tout gêné. Il se caresse doucement en contemplant le merveilleux tableau que nous offre la belle Line.
Cest un grand type brun dune trentaine dannées. Il est habillé dun costume classe, de marque. Il fait des petits gémissements de plaisir, qui nous pousserait plus à rire quautre chose.
Puis, il regarde nos sexes tendus et entame la conversation.
« Humm ! Je vois quelle vous fait de leffet aussi ! Elle est à vous ? Vous la prêtez ? Elle est soumise ? Cest une esclave ? »
Nous éclatons de rire.
« Non, non ! Rien de tout ca ! Nous faisons un concours photo ! Hahaha ! »
« Ho ! Je suis confus, mais comme elle est
et que vous êtes
jai cru que
»
« Nous joignons lutile à lagréable et cest avec plaisir que nous vous invitons. »
« Cest vrais ? »
Il savance, bras en avant, manière zombie.
Il att la poitrine de la princesse à pleine mains, comme si cétait la première quil touchait. Il savance pour lembrasser, mais la belle détourne le visage et il doit se contenter de son cou.
Il est tout contre elle et je vois son gland à demi disparu dans la toison humide. Jimagine le bout de sa verge, heurter le clito gonflé de Line, le frottant, dessus, dessous, lui procurant autant de petites décharges électriques qui la conduiront à un orgasme grandiose.
Mais elle naura pas cette joie.
« Ho ! Je
Je
Hiiichhh ! »
Il arrose copieusement son sexe en longs jets puissants et le foutre libéré coule le long de ses cuisses.
Content de lui, lhomme se rajuste et disparait entre les grands arbres.
« Dis pas merci, surtout ! Gros con ! »
« Te fâche pas chéri ! Ce nest pas grave ! Viens, je vais te consoler. »
Elle libère ses mains et sagenouille dans les feuilles mortes.
« Viens Claude, approche ! Ne reste pas dans ton coin ! »
Cest vraiment une princesse.
Elle est douce, chaude, généreuse.
Elle nous suce à tour de rôle et se délecte de notre miel bouillonnant, lorsquon me secoue violemment par le bras.
« Hé, Claude ! Debout ! Réveille-toi ! On a une journée chargée, si tu veux visiter la région ! »
Hé merde !
« Ouai ! Jarrive ! Dis dont Nico, je pensais à un truc. Si on faisait un concours photos ? Oui, non ? Ca te dit ? »
Pour un magnifique couple qui reprend le chemin du bonheur.
Je vous aime.
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