Douleur Et Amour...
Suite au texte précédent noté trop généreusement par HDS avec un 6/10. Personnellement, en relisant ce texte que jai mis du temps pour me décider à le publier, je suis toujours insatisfait de ce texte, je méclate plus à écrire comme mon premier texte, des débuts dhistoires. Mon texte précédent vos tout juste un 2-3/10. Je me recentre donc sur les découvertes en espérant retrouver la confiance des lectrices et lecteurs qui ont apprécié mon tout premier texte...
Un soir, cétait le gala de remise de diplôme à mon école dingénieur. Il était 3h du mat, jétais dans mon appart car ce genre de soirée nest pas très intéressante à mes yeux. Je regardais un film du style « ils vécurent heureux et eurent beaucoup ds ».
Dans mon lit, au calme, avec mon oreiller dans les bras. Jentendais les gens rentrer dans leurs appartements mais je restais la tête dans le film. Une petite heure plus tard, la porte dentrée de mon hall dimmeuble se mit à grincer comme dhabitude à chaque fois que quelquun passe. Dans le film cest le moment où ils sembrassent, et à ce moment là jentends quelques choses tomber dans mon couloir et se mettre à fondre en larme comme je navais jamais entendu. Bon jai attendu que quelquun fasse quelque chose puis après une minute, je suis sortis en vitesse en prenant ma robe de chambre au passage et je découvris dans le couloir une fille qui était par terre et qui pleurait. Je cours la voir et lui demander si ça va. Elle me répondit que jétais con et que je voyais bien quelle nallait pas bien. Comme je ne savais pas où elle habitait, jai décidé de lallonger chez moi, les insultes continuaient et elle se mit à crier au viol ! Je me suis mis à sourire car je ne faisais strictement rien. Je la rassure en lui disant que je veux juste quelle se sente mieux pour rentrer chez elle. Elle passa de la position couchée à assise. Elle me regarda et se mit à me vomir dessus. Jai tout de suite sentis la vodka et je compris rapidement pourquoi elle délirait.
Un soir je suis rentré de chez mon voisin, javais passé une super soirée, jétais en forme. Après avoir quitté son appartement, je navais pas allumé la lumière du couloir pour chercher ma clé comme un idiot, je suis donc resté devant ma porte pendant quelques minutes et là comme par magie la lumière sallume. Je trouve directement mes clés, je rentre la clé dans la serrure et au même moment, encore cette voisine den face qui me dit rien quand je lui dis bonjour. Je ménerve intérieurement me retourne, va vers elle lui met les mains sur ses hanches et lembrasse et lui dit en rentrant dans mon appartement « cest pour être passé pour un con tous les jours depuis ce fameux soir ». Au bout de 5min, jentendis sa porte souvrir et rentrer chez elle. Je commence à me déshabiller pour aller me coucher, je regarde mon portable et merde
. Cest celui de mon voisin, il naurait pas pu prendre un autre téléphone que le même que le mien dis-je en rigolant. On frappe à ma porte, en parlant du loup, il doit surement venir léchanger.
La flemme de remettre mon T-Shirt. Jouvre ma porte et là quelquun se jette sur moi et membrasse. Je reprends mes esprits et écarte cette personne de ma bouche et je découvre une certaine voisine dil y a quelques minutes. Je lui dis en souriant, belle vengeance. Elle me répondit que cétait des excuses. Je lui dis quelle ne sétait pas assez excusée en rigolant. Elle glissa ça main dans mes cheveux et membrassa avec fougue et tendresse. Je lui proposais de rentrer un peu plus chez moi et lui proposait de boire un verre et je précisais que je navais pas dalcool. Elle me répondit quelle ne buvait pas. Jai fait une de ses têtes quand elle ma dit cela. Je lui dis « Et lautre soir ? ».
Elle me raconta quelle avait eu une engueulade très forte avec sa famille et quelle avait voulu oublier ou mourir. Je lui dis « je me sens très con, excuse-moi ». Elle maffirmait que ce nétait pas grave et quelle me remerciait de mettre occupé delle. Je lui dis que ce nétait pas tous les jours que javais une jolie demoiselle chez moi. On discuta, de tout et de rien. A un moment en pleine conversation qui navait aucun rapport, je sortis ça te tente de faire un bout de chemin à deux pour voir ce que ça donne ? Elle me fit un grand sourire, posa sa main sur ma joue, me dit que cétait déjà le cas et membrassa. Je lui proposai de dormir avec moi elle me dit non, ce qui était normal on venait à peine de sembrasser pour la première fois.
Le lendemain je rentrais des courses et elle était derrière moi alors je montais comme un idiot les marches en marche arrière et je tombais sur le dos et elle tomba sur moi. On se mit a rigoler, elle membrassa et maida à me relever. Javais super mal au dos pour le coup. Je récupérais mes courses, on rentra chacun dans notre appart avec un sourire complice. Je pris un bon bain pour faire récupérer mon dos.
Le lendemain matin avant daller en cour, elle ouvrit ça porte me fit un bisou et me demanda mon numéro de téléphone et je lai entrevu dans un grand T-Shirt et je vis ses jolies jambes.
Jai passé ma journée à penser à elle. Elle menvoya un texto toutes les 15mins en me disant quelle avait envie dun câlin de moi. Elle minvita à manger le soir par texto. En rentrant à mon appartement, je reçu un texto delle me disant quelle avait un grave problème.
Je fis tombé toutes mes affaires et couru dans son appartement. Je lui demandai avec grande inquiétude ce qui nallait pas et elle me dit quelle navait pas eu son câlin depuis ce matin. Je lengueulais en lui disant quelle mavait fait peur. Elle sapprocha de moi me pris dans ses bras me dit en pleurant quelle avait besoin de moi.
Les nuits senchainent, les matins sont de plus en plus durs, je naime pas la laisser. Un soir, on s'est fait un câlin en regardant les étoiles. Elle me dit, « ça fait bientôt six mois que je suis heureuse avec toi et jaimerais partager autre chose avec toi ». « Quelle chose ? ». « Jai envie de faire lamour avec toi ». Un long silence retentit, « Daccord mais je veux que lon se dise ce qui nous gêne ». Elle me prit la main memmena vers le lit, mallongea, alla fermer la lumière et sallongea sur moi. Elle membrassa langoureusement, son souffle était déjà rapide. Je glissais mes mains sous son T-Shirt pour caresser son dos. Mes mains découvraient son dos avec douceur puis son ventre puis ses jolis petits seins. Elle avait ses mains partout sur mon corps, je lui appartenais et elle mappartenait. De long baiser séchangèrent.
Je glissais une main le long de son bras et sentais une vague à son poignet et mon autre main caressait son joli petit cul. Puis entre deux bisous, je sentais une deuxième vague puis trois puis quatre et la même chose sur lautre bras. Je me levais brusquement, alla allumer la lumière, elle se cacha sous la couette. Je massis à côté delle sur la couette et la regarda fixement dun air sérieux et lui demande ce quelle me cachait. Elle me dit « Mais rien, que veux-tu que je te cache ». « Daccord, montre-moi tes bras ». « Ne me fais pas ça to ». Elle se mit à pleurer. « Montre-moi sil te plait ». Elle sortit les bras de sous la couette et baissant la tête et en pleurant à chaude larme. « Tu tentailles les veines ? Pourquoi fait tu cela ? ». Pas de réponse. Je viens masseoir dans son dos et la prend contre moi en regardant ses bras. Je lui chuchote « Pourquoi fais-tu cela à la femme que jaime ? ».
« Tu as vu le monstre que je suis, vas ten !!!! ». « Non, je vois la femme que jaime, je reste. ». « Lâches mes bras !! ». « Non, cest une partie de ta vie que je veux apprendre de toi ». « Tu ne maimeras plus après cela !! ». « Fais-moi confiance, je tiens sincèrement à toi sinon je naurais pas réagis ainsi ». « Non !! Je ne veux pas en parler.. ». « Daccord, allonges-toi, on va dormir un peu ».
Elle sallonge, elle pleure encore, je la serre fort contre moi et lui glisse un « je taime » dans le creux de son oreille. Le lendemain, je me réveille et la vois me regarder. Je lui souris et on sembrasse comme si rien ne sétait passé. Sauf que je noublie jamais rien qui a de limportance. Les mois passent, nous sommes toujours heureux ensembles, je sais quelle se taillade toujours les veines mais je cherche toujours à savoir pourquoi. Un soir, elle membrasse, retire mon T-Shirt me caresse le torse, me voyant immobile elle prend mes poignets et pose mes mains sur ses fesses que jaime tant. Puis elle sarrête, se recule, sassoit et explose en sanglot. Elle se mit à hurler « Pourquoi tu as fait ça ? » En montrant mes poignets. « Je cherche à te comprendre. » « Tu nas pas le droit de te mutiler !!! » « Je cherche à te comprendre
. ». « Tu nas pas le droit
». « Je suis amoureux de toi, je partage tout avec toi, tes bonheurs comme ta souffrance. » « Tais-toi !! ». « Non, tu comprends ce que ça fait de découvrir chaque jour de nouvelles vagues sur la personne que jaime. Jai essayé de me mettre à ta place pour comprendre mais il me manque trop de chose que tu ne veux pas partager avec moi.
Je taime. Laisse-moi découvrir entièrement qui tu es. ». Elle sapproche de moi toujours en pleurant et me dit droit les yeux « Si jessaye de parler avec toi
., tu
tu me promet darrêter
. ». «Jessayerai mon ange ». Une longue discussion démarra dans laquelle elle me raconta que son père la frappait ainsi que sa mère et quelle se sentait tellement mal quelle voulait souffrir encore plus. On a conclu un marché, « Je nai pas la solution pour que tu arrêtes de te mutiler mais à chaque fois que tu en ressentiras le besoin, tu men parles, tu ne gardes plus ça pour toi. » Le mois suivant, un soir je rentrais tard et jouvris sa porte et elle était nue à mattendre. Elle me sourit timidement et je restais là comme un con à la contempler. Elle membrassa et me dit quelle avait envie pour nos 1 an de faire lamour avec moi. Je pose mes mains sur ses poignets, je les amène près de mes yeux et embrasse chacune de ses vaguelettes qui sont sur ses bras et poursuit dans son cou pour venir retrouver sa bouche. Elle me déshabille et on sallonge sur le lit. Je me mets sur elle et lembrasse. Mes bisous arrivent sur ses magnifiques petits seins avec mes mains qui parcourent ses hanches. Je sens et jentends son cur battre. Je mapproche de son intimité, je fais un bisou et fais des bisous et des caresses sur ses jambes. Je reviens à son entrejambe mais là, cest ma langue qui découvre la route. Mes mains caressent ses seins et son ventre pendant que ma langue parcours des contrées lointaine. Ma chérie met ses mains dans mes cheveux et rapproche ma tête de son sexe. Ma langue goûte le liquide glissant le long de son entrejambe. Ma Langue curieuse demande à mes mains daller sur les jolies fesses pour que ma langue puisse aller un peu plus loin. Après quelques minutes, ma chérie serra très fort ses cuisses autour de ma tête et ma langue folle caresse tout ce qui se trouve dans le coin.
Délicieux. Ma chérie remonte ma tête vers sa bouche et menlace de tout son corps magnifique. Jaime ses caresses, ses mains sur mon corps font beaucoup deffet.
Elle grimpe sur moi me met un préso quelle avait acheté depuis longtemps. Elle me regarde dans les yeux, me souris et met mon sexe dans le sien. Je sentis un petit crac. Elle me dit en souriant, « Nous ne sommes plus vierges ».
Ses vas et viens deviennent vite insupportable, entre son corps, ses caresses, mes caresses. La chaleur de nos deux corps est intense. Je lallonge sur le dos, glisse mes mains sur celui-ci et la pénètre lentement pour ressentir un maximum de plaisir à deux avec ses jambes autour de ma taille. Elle donne de lampleur à nos mouvements. Nous sommes collé lun à lautre et lun dans lautre. Son sexe se contracte autour du mien, je ne peux plus lui résister. Je la serre fort contre moi et laisse mon orgasme méchapper. Nous sommes resté collé sans bouger pendant plusieurs minutes.
Elle ne se taille quasiment plus les veines pour mon bonheur et jai appris à aimer ses marques faisant partie de son histoire. De notre histoire
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