Sous Le Charme Et Le Pouvoir D'Une Jeune Fille. Partie 4
Je passe à la caisse pour payer les chaussures, elles m'ont « offert » les bas noirs que j'ai encore sur les jambes et à la sortie de la boutique, j'entends bien exprimer à Aude mon mécontentement, elle va trop loin, trop vite, hier soir encore personne au monde ne savait que j'étais fétichiste et aujourd'hui je me retrouve en lingerie féminine et talons aiguilles exhibé dans un magasin de chaussures devant quatre inconnus ! C'en est trop ! Aude me calme, me raisonne, m'explique que si je m'emporte, c'est parce que tout cela est nouveau et va effectivement peut être un peu vite, elle m'explique surtout qu'au fond de moi, j'aime cela, je le cherchais depuis longtemps sans jamais même avoir oser imaginer que cela pourrait arriver un jour dans la vraie vie et que c'est cela qui provoque cette réaction chez moi. On marche, elle me rassure en me disant que ce soir au moment de m'endormir, je repenserais à tout cela et que ça m'excitera au plus haut point. Une fois encore, elle n'a pas tort, je suis évidemment chamboulé par tout ce qui ce passe et l'enchainement des événements depuis que je l'ai rencontré. Mais au plus profond de moi, tout cela me rend complètement dingue !
Aude me dit qu'on va passer chez Pimkie acheter une petite robe et qu'on terminera par un petit tour dans un sex-shop pour quelques accessoires dont notamment une perruque, pour que j'ai l'air d'une vraie fille ce soir.
Chez Pimkie, Aude ne connait personne cette fois ci, le magasin est remplie d'ado en quête de nouvelles fringues et une nouvelle fois, Aude me pousse dans la cabine d'essayage et me passe plusieurs robes, de différentes tailles. Les autres cabines sont bondées et donc plusieurs jeunes filles découvrent le balai d'une adolescente (presque) comme elles faisant des allers-retours dans le magasin pour trouver une robe pour un mec de 30 ans qui tente de se cacher dès qu'elle ouvre un tant soit peu le rideau. Je me dis en plus que le rideau n'allant pas jusqu'au sol, n'importe laquelle d'entre elle peut deviner que je porte des bas noirs.
Sorti du magasin, Aude me regarde avec son petit air satisfait qui ne l'aura pas quitté de la journée : « Tu t'inquiètes ? Tu as peur ? Oui, je connais beaucoup de monde, oui je fréquente beaucoup d'endroits où tu n'as jamais mis les pieds mais comme je te l'ai raconté, j'ai vécu une relation très intense pendant un an et j'ai rencontré pendant cette période pleins de gens différents, j'ai vécu des choses que je n'imaginais même pas et j'ai surtout appris beaucoup sur les gens, leurs fantasmes, le pouvoir qu'on peut avoir sur eux et surtout l'épanouissement de quelqu'un qui vit à fond tout ce dont il rêve. Tu sais Marc, ce que je te propose là, c'est de vivre des choses sur lesquelles au mieux jusqu'à aujourd'hui, tu te branlais, tu vas devenir acteur de tes fantasmes et plus seulement spectateur, ça prendra le temps que ça prendra, je ne te brusquerais pas mais c'est moi qui décidera, ça te va ? »
Je n'insisterais pas sur le point, encore une fois, qu'elle avait vu juste concernant mes interrogations, je me disais qu'après tout pourquoi ne pas tenter, Aude me plaisait énormément et vivre à fond tous ces fantasmes ne pourrait pas faire de mal.
« Allez, on rentre, fini les courses, on va faire de toi une jolie salope, Jean avait raison, il faut qu'on te trouve un prénom, pas question que je t'appelle Marc quand tu es en fille ! Tu avais un pseudo de nana sur Messenger ? »/ « euh oui, Vanessa »/ « Vanessa, c'est parfait, ça fait salope mais pas trop » et Aude part dans un grand éclat de rire !
Arrivé à l'appartement, Aude m'expliqua le programme, il faudrait que je me rase à la perfection, elle m'installerait ensuite la cage de chasteté, elle m'expliqua que c'était très important dans le cadre de notre relation qu'elle commence par contrôler mes éjaculations et mes érections, que c'était primordial et que je m'en rendrais compte assez rapidement, qu'ensuite j'enfilerais ma robe achetée, mes talons aiguilles.
« Tu es superbe Vanessa, très belle, sexy, je vais te prendre en photo, prends des poses pour moi ! »
C'était reparti mais je dois dire que je me sentais moins ridicule que la veille, j'entrais dans mon personnage, c'était Vanessa qui posait, pas Marc. L'autre différence (de taille) avec la soirée du vendredi, c'était que hier soir, ma bite était libre de ses mouvements et pouvait bander quand bon lui semblait alors que ce soir, elle était « emprisonnée » et je commençais à comprendre pourquoi Aude parlait tout à l'heure de l'importance et du pouvoir de contrôler mes érections. Les poses que je prenais dans cette tenue devant ma maitresse adolescente commençaient à me titiller mais mon sexe lui ne pouvait pas se développer comme je le voulais. Aude perçut mon trouble : « Tu as mal ma chérie ? Tu aimerais bander mais tu n'y arrives pas ? Tu comprends l'étendue de mon pouvoir avec la clé de cette cage ? Tu vas saisir ce soir que maintenant c'est moi qui décide, plus longtemps je garderais cette clé et plus soumise, tu vas devenir, tu seras prête à faire n'importe quoi pour que je te libère », elle souriait, moi moins : « et tu comptes me libérer quand Aude parce que là ça devient douloureux à la moindre excitation ? »/ « Ma chérie, quand tu es Vanessa, tu me vouvoies s'il te plait. Je sais que c'est douloureux, demain soir, je te permettrais peut être d'éjaculer si tu te tiens bien d'ici là mais en attendant ce soir, prépare à toi à bien m'obéir et à souffrir un peu aussi parce qu'on va réaliser quelques uns de tes fantasmes, sans que tu ne puisses ni bander, ni éjaculer ! » moi : « ON ? Qui ça « on » ? »/ « je ne t'ai pas dit que Fiona passait à l'apéritif , je lui ai proposé tout à l'heure quand tu essayais la lingerie chez Etam, elle a très envie de voir ce que tu donnes en fille, on va s'amuser toutes les trois, entre nanas ! » et Aude m'afficha son plus joli sourire et la douleur me reprit au bas-ventre.
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