Camille Episode 24
(Mes limites)
« Camille ! Tes où ? »
« Je suis là, chéri ! Dans la salle de bain ! »
Fabien semble surexciter et tambourine à la porte comme un forcené.
« Hé ! Doucement ! Tu vas la défoncer ! Je touvre. »
Je sors de la douche. Je suis encore ruisselante deau. Je lisse mes cheveux face au grand miroir, au dessus du lavabo.
Fabien se glisse derrière moi et menlace en me faisant de petits bisous dans le cou.
« Ho, toi ! Tu as quelque chose à me demander. »
« Ben non, pourquoi ? »
« Je sais pas. Une idée comme ca. »
« Ben ! En fait, je viens dappeler le garage. La voiture est prête. »
Ca me fait leffet dune caresse et je me sens mouiller instantanément. Mais je ne veux pas le dire à Fabien.
« Ok ! Vas la chercher demain ! »
Il remonte ses mains jusquà mes seins. Il titille mes pointes comme il sait si bien le faire. Il sait que je ne résiste que très difficilement à ce genres de caresses.
« Javais plutôt imaginé que tu irais toi-même et que
Bref, tu vois ce que je veux dire ! »
« Ben, non ! Je ne vois pas ! »
Il commence à se frotter à mon cul et je sens très bien la bosse qui se forme dans son jogging.
« Salope ! Tu sais très bien ! Je veux que tu y ailles et que tu te fasses ressauter par ce gros porc. »
« Pffff ! Je nai pas trop envie, moi ! Il est un peu trop brusque. Je naime pas ca. »
Rapidement, il baisse son pantalon et colle son sexe dressé entre mes jambes. Il mécrase contre le lavabo, empoigne ma nuque et me colle la joue contre le miroir.
« Hé ! Ca ne va pas, non ? »
« Si, au contraire ! Regarde leffet que ca me fait dimaginer ses grosses paluches sur ton ptit corps ! »
Il se plante en moi dun coup et se met en mode marteau pilon.
« Ok ! Ok ! Jirais ! Jirais ! »
« Humm ! Tu le laisseras te baiser ? »
« Ouii ! »
« Tu le laisseras tenculer ? »
« Ouiiiii ! »
« Tu lui pomperas le dard ? Hummm ! »
« Ouiiiiii ! Ouiiiiiiiiii ! »
« Harrrg ! Tu boiras son jus de couilles ? »
« Ouiiiiiiii ! Je ferais tout ce que tu veux ! Hooooo ! Ouiiiii ! Je viiennnnns ! Fabiiennn ! Je jouiiiiiiiis ! »
« Tiens, ma salope ! Prends ca ! Et caaa ! Harrrrrrrg ! Hummmmm ! »
Il se vidange dans ma petite chatte toute propre et je jouis comme une folle.
Le soir même, je me rends au garage.
« Tient ! Voilà ma pute ! Si tu viens prendre un coup, cest raté. Jai trop de boulot. Faudra revenir ma salope. »
Toujours très classe. Des fois, ce type me ferait gerber.
« Non ! Je viens récupérer ma voiture. »
« Tiens, elle est là-bas. La facture est dedans et comme promis, je tai pas compté la main duvre. »
Quel salaud. Il na même pas de parole. Il sait bien que je ne devais rien payer. Mais pour commencer à le connaitre, je sais quil est inutile de protester.
« À propos ! Jai gardé la carte grise ! »
« La carte gri
Ben pourquoi ? Jen ai besoin moi ! »
« Oui, et moi jai besoin de toi demain soir. Sape-toi jolie, je temmène dans une soirée. Il faut être en couple. Tu verras on passera un bon moment. Sois là à dix neuf heures et sois pas en retard ! Pétasse ! »
Folle de rage, je rentre à la maison.
« Bah, cest cool ! Il va temmener dans une boite échangiste, cest sur ! »
« Tu crois ? »
« Ben oui ! Quoi dautre sinon une boite ? »
Effectivement. Quoi dautre ?
Je mhabille, pour la circonstance, en jeune étudiante anglaise. Chemisier blanc, agrémenté dune petite cravate noire, puis dun petit gilet ouvert, noir également.
Puis, lincontournable kilt écossais, très court. Si court quil ne cache pas le haut des mes bas blancs.
A mes pieds, des escarpins vernis, eux aussi blancs, et pour finir, je me fais deux couettes tenues par des rubans rouges.
Je force un peu mon maquillage, me parfum, tourne une dernière fois devant la glace. Je suis prête.
Jarrive au garage avec cinq minutes davance.
« Ca, cest bien ! Jaime que mes putes soient ponctuelles ! »
Il simagine me rabaisser à minsulter ainsi. Mais vous, qui me connaissez bien, vous savez que cest peine perdue.
« Allez, grimpe on y va ! »
Nous roulons longtemps. Au bout dune demi-heure, il lui prend lenvie de vérifier si je suis bien cul nu.
Étonnant quil ne me demande pas de le sucer ?
Vingt heures trente.
La voiture sarrête devant un pavillon.
« Ben ? On ne va pas dans une boite déchangisme ? »
« Pourquoi ? Je tai dit ca, moi ? On va enterrer la vie de garçon dun pote ! Allez, grouille, on est à la bourre ! »
Nous entrons dans la maison. Autour dune table, il y a six hommes de trente à cinquante ans, environs.
« Salut les mecs ! Regardez ce que je vous amène pour faire le service ! Elle est bonne, non ? »
Il me pousse au milieu de la pièce en me flanquant une main au cul.
Les types, déjà bien imbibés, tournent autour de moi. Leurs yeux me déshabillent et bavent denvies.
« Allez, champagne ! Camille sers nous, merde ! On a soif ! »
Je fais le tour de la table, prenant une main aux fesses, à chaque verre que je remplis. Bien sur, je noublie pas de me servir aussi.
Les commentaires sur mon physique ou ma tenue vont bon train.
Quelques bouteilles plus tard, les mains sont moins sages et commencent à courir sur mon corps, mes seins. Puis elles glissent sous mon kilt et sattardent sur ma fente qui commence à suinter denvie.
Je sais que le garagiste pense me forcer. Alors, je joue leffarouchée. Je donne des coups sur les mains curieuses, je râle, jesquive. Mais, le champagne aidant, je deviens plus accessible.
Un type sapproche de moi.
« Dis dont, morue ! Tu lui ferais pas une ptite danse à notre pote. Dans une semaine, il est pendu, le con ! Tu sais ? Une danse comme les nanas dans les clubs ? Un truc bien chaud, quoi. »
Une chaise est déposée au milieu de la pièce. Je prends le futur marié par la main et le fais asseoir.
Une musique langoureuse démarre.
Je défais mes couettes et laisse mes cheveux tomber en cascade sur mes épaules.
Jambes écartées, je me place au dessus du jeune homme.
Jondule du bassin au rythme de la musique.
Mes mains sur ses épaules, je mapplique à lui donner un beau spectacle, sexy mais pas vulgaire.
Il pose ses mains sur mes hanches et commence, excité, à me caresser. Il les remonte jusquà mes seins, mais je les retire, gentiment.
Enervé par mon refus, il glisse ses paluches sous mon kilt et agrippe mes fesses. Puis, il plonge son visage dans le décolleté de mon chemisier.
« Putain, merde ! Arrêtez ca tout de suite ! Salaud ! »
Mais cest peine perdue.
On matt par derrière. Des dizaines de doigts me déshabillent en moins dune minute.
Assise sur les genoux du futur marié, on écarte mes jambes et un type, déjà nu comme un vers, plonge son visage dans mon entre jambes.
On caresse mes seins, plonge des doigts dans ma bouche, deux queue se posent dans mes mains, on me tire la tête en arrière, pour me faire des suçons dans le cou.
Puis, on me jette par terre, à quatre pattes.
Les types finissent de se déshabiller, pendant que lun deux, me prend déjà en levrette.
Je suis excitée comme une puce, même si je me refuse à le montrer.
Ils se repaissent de mon corps et de mes orifices, durant une grande partie de la nuit.
Ils baisent ma bouche et me font boire leurs nectars. Dautre, me sautent ou me sodomisent. De nombreuses traces de giclures blanchâtres, strient mon corps, un peu partout.
Je suis le centre dune grande bacchanale, qui mépuise de plaisir, peu à peu.
Je proteste lorsque je vois le propriétaire des lieux, en train de me filmer.
« Tinquiète, chérie ! Cest un cadeau pour notre ami ! Haha ! Il ne rencontrera plus de salope comme toi ! Haha ! »
Vers cinq heures de matin, je peux enfin prendre une douche.
Mais ma tranquillité est de courte durée, car le propriétaire, un homme rustre et brutal, me rejoint.
Il me colle au mur et se plaque contre moi. Ses grosses lèvres mangent ma bouche, sucent ma langue.
Je me concentre sur les milliers de gouttelettes qui sécrasent sur nos corps.
Il me branle comme un malade, jusquà me faire lâcher un soupir de plaisir.
« Taime ca, petite putain ? Taime que je te branle, comme ca ? Dis le, salope ! Dis le que taime ca ! »
« Ho ouiii ! Jaime caaa ! Ne vous arrêtez pas ! Ouiiii ! Je vais jouiiiir ! »
« Attends, sac à foutre ! Je vais te remplir à ras bord ! »
Il me soulève une jambe et se plante en moi dun coup.
Satisfait de mavoir fait pousser un cri de douleur, il me pilonne comme un gros naze.
Très vite, son jus se repend en moi.
Il me délaisse aussi vite quil est arrivé, et je peux enfin me rendre nette et propre.
Lorsque je reviens dans la salle, les hommes dorment tous.
Je cherche mes affaires, mais en vain.
Je me couche nue sur un vieux canapé et me recouvre dun plaid qui trainait là. Très vite, je mendors, dun sommeil réparateur.
Au matin, un homme me propose un petit déjeuner.
Je demande à ce que lon me rende mes habits.
« Pourquoi faire ? Tes très bien à poil ! »
Soudain, il y a comme un vent de panique. Quelqu'un, vient de cogner à la porte.
« Monte la haut ! Chambre de droite et quon tentende pas ! Grouille ! »
Cest une chambre mansardée, avec comme seul mobilier, un vieux matelas déposé à même le sol.
Je my assois et guette les sons qui viennent den bas. Jentends parler, sans toutefois comprendre ce qui se dit.
Puis, il y a des pas dans lescalier et la porte souvre violemment. Deux hommes que je ne connais pas, se tiennent dans lencadrement.
Dune cinquantaine dannée, vu den bas ils me semblent immenses. Impressionnée, je me recroqueville sur moi-même.
« On vient aussi pour te baiser ! »
Je recule, mais ils sont fort et nont pas de mal à me maitriser.
Ce simulacre de viol me rend folle dexcitation et je joue le jeu, jusquau bout. Je me débats, je crie, je griffe.
Un des types sallonge et on mempale sur lui. Il est monté comme un dieu et mon plaisir grimpe en flèche, instantanément.
Lautre, me penche en avant et se place entre nos jambes. Avant même que je comprenne, sa verge se colle à ma pastille brune.
Je crie, mais cette fois réellement. Il me semble être déchirée en deux. Les feux de lenfer sont en moi et marrachent quelques larmes.
Je suis laminée, démantibulée, labourée, brisée. Mais à force de concentration, le plaisir remplace la douleur et je jouis en cachette, simulant souffrir encore le martyr.
Mes intestins sont tout à coup aspergés par un flot de sperme bouillant.
« Rhaaaa ! Il est bon ton cul ! Il me fait bien jouiiiir ! Hummmm ! Prends tout, salooope ! Haaaaarg ! »
Lorsquil se retire, mon anus libéré fait des vents à tout va.
Puis, celui sur lequel je suis assise, me retourne comme une crêpe et mécrase de tout son poids.
« Tu la sens bien, ma bite dans ton ventre ? Morue ! Je vais texploser la cramouille ! »
Durant une minute qui me parait une heure, il se plante en moi, à grand renfort de coups de reins violents.
Puis soudain, il menfourche et se place au dessus de moi, juste sous mes seins. Il sy masturbe un petit moment, les écrasant sur son membre, prêt à exploser.
Son gland frappe mon menton à intervalles réguliers.
Lorsquil se libère enfin, je crois rêver. La quantité de foutre que je prends en plein visage est impressionnante. Six ou sept jets bien chargés népargnent aucunes parties de celui ci.
Nez, yeux, bouche et cheveux. Tout est copieusement aspergé.
« Hummm ! Quel joli tableau ! Tu es très belle, et bonne pute ! Je tépouse quand tu veux, brave salope ! Hahaha ! »
Les deux hommes sortent de la chambre en riant, me laissant engluée et ne sachant comment faire pour me nettoyer.
Je trouve la solution en bas, dans le jardin.
Une piscine me tend les bras. Jy plonge, bien décidée à me débarrasser de toutes souillures.
Mais quatre hommes my rejoignent et pas pour nager.
Bloquée dans un coin de la piscine, ils me baisent à tour de rôle.
Je ne suis plus quune poupée de chiffon, un pantin que lon utilise au grès de ses envies.
Je ne sais plus combien de fois jai jouis depuis hier, combien dorgasmes ont retournés mon cerveau.
Mon corps, mon sexe, sont au bout de ce quils peuvent supporter. Si bien que je mévanouie lors dune ultime pénétration, sur un transat.
Je me réveille dans la voiture. Mes chaussures sont au sol, ma jupe sommairement remise, et mon chemisier na pas été reboutonné. Aucune trace des mes bas, de mon gilet et de ma cravate.
Courbaturée, je me redresse un peu.
« On rentre ? Vous me ramenez ? »
Nous sommes sur une petite route de campagne, déserte. Il roule lentement, regardant régulièrement dans son rétroviseur.
Je me retourne.
Derrière nous, à cent mètres, un type à vélo pédale comme un fou pour essayer de nous rattr.
Le garagiste tourne dans un petit chemin creux qui senfonce dans un petit bois. Puis il sarrête.
« Quest ce que vous faite ? Partons sil vous plait, je nen peux plus ! »
« Tu la veux ta carte grise ? Alors tais toi et fais ce que tu sais ! »
Le cycliste sarrête à la hauteur de ma portière et pose son vélo contre un arbre.
Le garagiste remonte mon kilt et ouvre en grand mon chemisier. Le type me matte et je vois sa verge gonfler dans son cycliste moulant.
Il lextirpe rapidement et la frappe au carreau.
« Hummm ! Elle est belle, non ? Elle ne te tente pas ? »
Quelle me tente ou non, ne changerait rien, de toute manière. Il appuit sur un bouton et ma vitre sabaisse.
Le type passe tous son tronc par la portière et pose sa bouche sur un de mes seins.
Il me palpe, il me caresse, me branle.
Je sers les dents pour ne pas lui montrer la douleur que me provoque mon vagin meurtri.
« Tu veux quelle te suce ? Ouvre la porte, tu vas voir, elle a une bouche de rêve ! »
Le cycliste est ravi et ne se fait pas prier.
Je me tourne, jambes à lextérieur, pour être face à lui.
Il a transpiré et sent la sueur. Lodeur est acide, tout comme le gout. Dans deux minutes, tout ceci ne sera plus quun mauvais souvenir.
Je le suce un peu, mais il veut plus.
« Allonge toi, que je te saute ! »
Extenuée, incapable de protester, je me laisse tomber en arrière et pose ma tête sur les cuisses du garagiste.
Pendant que je me fais prendre une ultime fois, le gros porc me fait lécher ses doigts.
Puis, enfin !
« Haa ! Haa ! Ouiii ! Hummm ! Elle est bonne ta chatte ! Hummm ! Hooo ouiiii ! Ouiiiiii ! »
Une fois de plus mon utérus est arrosé de miel chaud.
Le type remercie le garagiste et nous repartons.
Cette fois, il a fait fort, trop fort.
Jai le gout du sperme dans la bouche et mes lèvres sont salées.
Je passe ma main dans mes cheveux. Jy trouve encore des paquets de foutre en grumeaux.
Ces dernières heures défilent dans ma tête. La fatigue sans doute, je pleure.
Arrivés au garage, il me rend enfin ma carte grise, en me faisant promettre de revenir. Je lui dis oui, pour avoir la paix. Mais je suis sur que même lui, sait, que je ne reviendrais jamais ici.
Mon homme me réconforte. Cette fois, il ne boira pas à ma source. Il prend une douche avec moi, pour me laver, puis il me passe une crème sur mes parties souffreteuses.
Je suis folle de sexe, folle des hommes, mais désormais, je connais mes limites.
Pour Elodie
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!