La Rebelle

Deuxième rencontre, vous voulez que je joue la rebelle, je vais essayer très fort, mais vous savez que ce n’est pas mon style. Je sais que je ne dois pas mettre mon plus beau linge car je risque de le perdre, donc je m’habille en conséquence, il n’y a que les jeans que j’aime bien : vieux jeans plein de trous au niveau des fesses. Vous sonnez, je reste en haut des marches et vous crie de rentrer. Je ne veux pas aller vous ouvrir, je dois être rebelle. Ça vous surprend, mais vous laissez passer. Je prends votre manteau et vous sers à boire. Je sais je suis supposé être rebelle, mais je ne peux pas en tout temps. En plus, j’avais préparé un verre spécial pour vous, avec alcool différent et plein de sel, mais je n’ai pas pu vous le donner. Je vous en ai fait un tout neuf.
On s’est ensuite assis, on a écouté les dernières minutes de la Game de hockey puis on a fait un test dans la revue FA, c’était amusant, et ca me déstressait. Par contre, sans le savoir je vous agaçais assise sur le coté, avec mes jeans pleins de trous qui montraient mon cul.

À la fin du test, vous vous êtes levé et êtes venu vers moi. Je me suis précipité de l’autre coté de la table du salon. Vous étiez le chat, j’étais la pauvre souris. Au début, tout les deux on souriait, mais très vite votre visage a changé. Vous avez bougé plus vite et vous m’avez empoignée et collée durement contre le mur en me tenant à la gorge. Puis vous m’avez poussée vers la chambre d’ami et fait tomber sur le divan pour me mettre les mains dans le dos. Je me suis laissée faire, je ne savais pas à ce moment là que j’aurais dû me débattre. Vous m’avez attachée les poignets avec un tie wrap. Au début, je trouvais ça super sexuel, intense, avec le temps j’ai trouvé ça chiant. Je ne pouvais rien faire du tout. J’ai essayé de me libérer, tout ce que j’ai réussi à faire, c’est me faire mal. On ne m’y reprendra pas deux fois à me laisser faire.

Vous m’avez ensuite remise debout et plaquée contre la porte de la chambre.

Vous avez agrippé le haut de ma camisole et d’un coup seul vous l’avez déchirée. Comme ça. Facilement. Je ne bougeais plus, j’en étais bouche bée. Wow, ça c’est un homme. Voyons réveille toi annabelle, t'es supposée être rebelle. Après cette démonstration de virilité, vous m’avez trainée jusqu’au salon ou vous m’avez découpée veste, brassière et culotte. Puis vous m’avez enlevé mes jeans… je crois que vous les aimiez. Vous m’avez ensuite attaché les chevilles avec d’autres tie wraps. Et finalement, vous en avez passé un dernier à mon cou et chaque fois que je me rebellais, vous resserriez le tie wrap du cou. J’ai souvent essayé de me sauver, de me déprendre. Mais à ramper au sol (bras dans le dos) et à bouger les hanches et les fesses pour avancer, j'avais plutôt l’impression que vous riiez de moi. Vous êtes même parti quelque fois ailleurs dans l'appart, pendant que j’essayais de changer de place, comme pour me montrer que vous n’aviez pas peur que je me sauve.

Vous m’avez aussi claquée les seins avec vos mains et le coté d’un couteau. J’ai toujours pensé que c’était votre couteau, jusqu'à ce que je voie les tiroirs de la cuisine ouverts le lendemain. J’aurais dû cacher tous les couteaux et pas que ceux sur l’ilot.

A un moment donné vous m’avez même mise sur la table, je devais attendre sans bouger. Puis vous m’avez prise dans vos bras pour me mettre par terre, j’avais peur de tomber, mais vous êtes fort. Je n’ai même pas sentie que j’étais lourde dans vos bras.

Vous avez essayé de me fister, mais comme je bougeais trop et que je contractais trop vous n'avez pas pu ou vous n’avez pas voulu pousser plus loin.

Au sol, lorsque j’étais relativement immobilisée, vous m’avez prise quelques fois par la mâchoire, vous avez ouvert ma bouche, et vous m’avez crachée dedans, j'ai trouvé ça dégeu, mais en même temps tellement pervers… j’ai tout léché et avalé avec un sourire(du moins dans ma tête).

Vous m’avez aussi prise à 4 pattes, à cotée sur le divan… la tête dans le dossier du divan.
O que c’était bon.

À un moment donné, je vous ai demandé d'aller au toilette, vous m’avez détachée, pour me permettre d’y aller. En revenant, je ne voulais plus me faire attacher, je tournais autour de la table. Vous m’avez fait signe de venir à vos pieds, je n’ai pas voulu. Vous avez été chercher votre ceinture et là, je me suis précipitée à genou à l’endroit que vous m'aviez indiqué. Vous avez mis votre queue dans ma bouche, profond.

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