Azoulina
Je métais installé au Sénégal depuis plusieurs semaines, parce que ma femme mavait quitté, et que je voulais changer de vie. Je
navais pas de gros revenus, mais là-bas je vivais assez bien, la vie ny est pas très chère. Mais une femme me manquait, non pas
pour le côté sexe, mais pour tout ce quelle pouvait faire dans une maison. A présent je pouvais men rendre compte, sans une
présence féminine, je me débrouillais très mal, pour les repas, le ménage, les achats courants etc
En visitant un petit village de brousse, je fus touché par Azoulina, elle venait davoir 17 ans, et vivait dans un extrême dénuement,
elle et sa famille. Comme elle se débrouillait très bien pour soccuper des siens, je proposai alors à son père de la prendre comme
employée à mon service. Elle serait rétribuée, et je lemmènerais une fois par mois leur rendre visite. Le papa fut immédiatement
daccord, mais je voulais quelle le soit de son plein gré, et non e de venir. Lorsque je lui expliquai quel serait son travail, elle
accepta, en émettant comme réserve quil nétait pas question quelle devienne mon 2ème bureau, c'est-à-dire ma maîtresse. Je la
rassurai immédiatement, en lui disant que si elle me trouvait trop entreprenant, ou au moindre problème, je la ramènerais
immédiatement chez les siens. Cest ainsi quAzoulina entra à mon service.
Les semaines passaient, et tout le monde était heureux, moi le premier car tout était en ordre chez moi, et Azoulina était une
excellente cuisinière ; et elle, tout autant que moi, car elle vivait dans un « luxe » quelle navait jamais connu, mangeait à sa faim,
et voyait sa famille chaque mois. Comme jétais très satisfait delle, à chaque voyage lorsque je lemmenais voir sa famille, je leur
offrais des petits cadeaux. Pour moi ce nétaient pas très onéreux, mais qui pour eux, ils avaient une grande valeur pour leur bien
être.
milieu plutôt ouvrier, et pas du tout colonialiste, javais du mal avec cette désignation. Javais eu beau la menacer de la renvoyer,
rien ny faisait, elle continuait dans son entêtement, si bien quà présent je my étais fait malgré moi.
Notre situation avait peu à peu évolué au fil des semaines. Il arrivait lorsquelle revenait de faire des achats pour la maison, quelle
me dise dun air contrit :
- Patron, tu ne vas pas être content, jai fait une grosse bêtise.
La première fois je mattendais à tout, mais lorsque je vis que sa bêtise était un vêtement quelle sétait acheté pour quelques
francs CFA, je nosai rien lui dire. De toute façon, elle avait lair si heureuse, que je naurais rien pu lui dire.
Passionné de photo, jaimais la prendre souvent dans les tenues quelle venait dacheter. Et toute fière de retour dans sa famille,
elle faisait le tour du village pour montrer à tout le monde, les belles tenues quelle possédait. Les gens du village lappelaient à
présent « princesse » quand elle revenait les voir.
Plusieurs fois je lui avais demandé de poser dans les petites tenues quelle sétait achetées, et bien quelle se promène presque
tout le temps dans ces mêmes tenues à la maison, elle avait toujours refusé.
- Ce nest pas parce que je travaille comme ça, que je suis une « patéticienne ». Disait-elle, en pensant « prostituée ».
Notre relation avait bien changé à présent, cétait elle la maîtresse de maison, et elle me faisait une scène à chaque fois que
jinvitais des amies à la maison, même si elles nétaient que des amies.
- Tu es trop méchant patron. Avait-elle coutume de dire. Je pense quelle était devenue amoureuse de moi.
Le jour où tout a basculé, fût un jour où jentrai dans la salle de bain, alors quelle prenait sa douche.
était sortie, aussi ce fut sans prendre la peine de frapper à la porte que jentrai.
- Ben, faut plus te gêner patron. Me dit-elle.
Je sortis immédiatement, certainement plus gênée quelle.
A ce niveau, mon intrusion neut pas lair de la choquer outre mesure. Elle prit bien son temps pour mettre ses mains sur ses
hanches, avant de mhouspiller, sans chercher nullement à cacher sa nudité. Je pensais quelle avait fait exprès de prendre sa
douche, à lheure où jallais habituellement dans la salle de bain.
A présent, elle évoluait dans la maison, entièrement nue du soir au matin. Je pense quelle nattendait que ce prétexte pour se
montrer toujours ainsi devant moi. Il faut dire quelle était très bien faite, et malgré notre différence dâge, elle ne me laissait pas
indifférent. De plus elle mavait dit un jour, que souvent les gens se promenaient nus dans leur village sans que cela ne soit une
gêne, ils navaient aucun tabous avec la nudité.
Un jour quelle sétait montrée particulièrement aguichante, alors que je bricolais dans la maison, elle me dit :
- Quand tu auras fini ton travail patron, je te ferai un massage pour te détendre.
Un peu plus tard, elle revint à la charge :
- Viens tallonger patron, je vais te relaxer.
Cest ainsi que je me retrouvai couché au sol, avec Azou entièrement nue sur moi, en train de me caresser partout. Naturellement,
une bosse vint vite déformer mon short. Azou fit semblant de ne rien remarquer, jusquà ce que ses mains narrivent à la hauteur
de ma taille.
- Oh là là patron. Me dit-elle. Je crois quon ta jeté un sort.
- Tu as de la chance, ma grand-mère ma transmis quelques dons de guérisseuses, je vais te soigner.
Et joignant le geste à la parole, elle plaça ses mains par-dessus mon short, directement sur mon intimité. En quelques secondes
seulement, je me libérai dans mon vêtement.
nue tous les jours me mettait dans un état dexcitation pas possible.
- Heureusement que jétais là patron, tu aurais pu mourir. Me dit-elle dun air très sérieux.
Maintenant, elle avait pris lhabitude de me masser tous les soirs.
- On ne sait jamais, le sort peu revenir. Disait-elle à chaque fois.
Cette petite cérémonie quotidienne prit un nouveau tour, quelques jours plus tard.
Alors quelle massait ma virilité, elle décréta :
- Je crois que le sort est en train de revenir patron. Et il est beaucoup plus fort, il va falloir que jenlève ton short, si tu veux guérir.
Cette histoire de guérison me faisait à chaque fois sourire, car elle semblait en être vraiment convaincue.
Lorsque je fus nu moi aussi, cest elle qui éclata de rire. Lorsque je lui demandai la raison, elle me répondit :
- Pas étonnant que les blancs soient si petits, avec un tuyau réduit comme cela, il ne doit pas y avoir une dose complète pour faire
de grands bébés.
Cest vrai que dans son village, tous les adultes avaient une tête de plus que moi, et même Azou était un peu plus grande que
moi. Dautre part pour un européen, je pense quau niveau sexe, je devais être dans la moyenne. Mais dans son village, beaucoup
de personnes, hommes comme femmes, étaient souvent nus. Et en voyant les garçons, les blancs auraient eut lair ridicules à
côtés deux.
Vexé, et pour ne pas être en reste, je lui jetai alors :
- Peut-être, mais cest de la bonne graine.
- Je vais te dire ça tout de suite patron. Lança-t-elle alors, tout en prenant mon sexe entre ses lèvres, ne semblant attendre que ce
moment.
Je ne sais pas si elle avait déjà fait une fellation dans sa vie, mais jy pris un plaisir immense.
Lorsquelle eut fini, et tout avalé à mon grand étonnement, elle annonça :
- Tu as raison patron, cest très bon, et puis cest un bon remède.
Je ne sus jamais pour quelle maladie, mais je pense que cest sa grand-mère guérisseuse qui avait dû lui dire ça.
Javais réussi à la convaincre de poser nue à présent, et cest delle-même, sans que je ne la guide, qui prenait des poses de plus
en plus suggestives. Après chaque séance de pose, elle me « soignait contre les sorts ».
Cest toujours à son initiative, que de nombreuses photos delle, dans les poses les plus softs, ornaient les murs de la maison. Je
suppose que cétait pour montrer à mes invitées, quelle était plus quune simple employée, et pour les décourager dessayer de
me mettre le grappin dessus.
Azou était devenue presque ma femme à présent, sauf quelle ne voulait pas passer les nuits avec moi. Elle dormait
systématiquement dans sa chambre.
- Une employée ne couche pas avec son patron, cela ne se fait pas patron. Avait-elle coutume de dire.
Il est vrai que moi seul avait du plaisir, elle refusait toujours que je ne lui fasse lamour. Javais juste le droit de lui caresser les seins
et les fesses pendant les séances de massage, je ne pouvais pas toucher son intimité.
- Ce nest pas parce que tu es patron, que tu as tous les droits patron. Me rétorquait-t-elle lorsque jessayais dinsinuer ma main
entre ses cuisses ou ses fesses.
Jen avais marre de ses « patron » qui ponctuaient chacune de ses phrases, mais à présent jaurais été très mal, si javais dû la
renvoyer chez elle.
Un jour je lui proposai à mon tour de lui faire un massage, elle accepta assez facilement.
Lorsquelle fut allongée, je pris bien mon temps pour la caresser, et pour lexciter au maximum. Jespérais quelle mautoriserait à
aller plus loin. Ses seins pointaient comme jamais je ne les avais vu, et elle se tortillait dans tous les sens, excitée comme jamais.
Je crois quon ma jeté un sort patron. Me dit-elle dans un râle. Je crois quil va falloir que tu essaies de me guérir.
Jattendais ce moment depuis longtemps. Japprochai doucement mes mains de son intimité, et là surprise, elle ne dit rien. Mes
doigts trouvèrent facilement son petit bouton, quils commencèrent à taquiner avec application.
Semblant se réveiller soudainement, elle me lança :
- Je crois quavec ta bouche, tu serais plus efficace patron.
Je ne me le fis pas dire deux fois, et plongeai immédiatement la tête la première. Ma langue prit aussitôt la place de mes doigts, et
continua le travail commencé. Azou se cabra de plaisir très peu de temps après. Je pense que cétait la première fois de sa vie
quelle jouissait.
Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits, et à me dire :
- Toi aussi tu dois avoir des talents de guérisseur patron.
Les journées passaient très vite à présent, plusieurs fois par jour nous nous « guérissions » mutuellement, elle comme moi, étions
souvent victime dun « sort ». A ce rythme là, jallais y laisser ma santé.
Azou semblait elle aussi être de plus en plus fatiguée de ses journées, elle me proposa alors :
- Tu sais patron, il y a de plus en plus de travail pour moi ici, tu devrais prendre une deuxième assistante pour maider.
Cétait bien évidemment une excuse, il ny avait pas plus de travail quavant. Mais Azou, sans lavouer, devenait de plus en plus
épouse, et de moins en moins employée.
Nous nous mîmes daccord pour recruter une autre fille, la prochaine fois que je lemmènerais voir sa famille.
Azou fut chargée du recrutement, javais émis deux conditions : que la fille me plaise, et quelles ne parlent pas leur langage entre
elles en ma présence.
Azou avait bien essayé de mapprendre sa langue, mais à part quelques mots courants comme bonjour, au revoir ou merci, jy
avais renoncé.
Azou me présenta sa cousine Malounidazata, qui me plus immédiatement. Aussi grande et aussi belles lune que lautre.
De retour à la maison, il y eut un petit problème, il ny avait quune seule chambre pour les deux filles. Azou refusa
catégoriquement que Malounidazata ne couche avec elle :
- Si cétait ma sur, il ny aurait eu aucun problème patron, mais cest ma cousine, et on na pas le droit.
Tiens mon il, pas le droit. Dans son village, il ny avait pas de chambre pour tout le monde, seulement une case pour toute une
famille. Et ça métonnerait que des cousines ne viennent pas « en vacances » lune chez lautre. Cétait une nouvelle excuse
dAzou, comme jen avais lhabitude. Lorsquelle ne voulait pas quelque chose, ou au contraire quelle voulait quelque chose de
bien précis, elle trouvait une excuse toujours bidon.
Je proposai alors :
- Bon ce nest pas grave, Malou dormira dans ma chambre. Je lappelais ainsi, car son prénom était trop long, et je nétais pas sûr
de bien le prononcer.
- Tu ny penses pas patron, que vont dire les gens du village. Répliqua de suite Azou.
Les gens du village étaient à plusieurs centaines de kilomètres, je ne pense pas quils sachent comment nous vivions.
- Tant pis patron, je dormirai dans ta chambre. Proposa de suite Azou. Mais je te rappelle quune employée ne couche pas avec
son patron.
Je voyais mieux à présent où elle voulait en venir avec son histoire de cousine qui ne dorment pas ensemble : une autre excuse.
Laffaire fut entendue, et Azou ne mit pas longtemps à mettre ses affaires dans ma chambre. Le lendemain nous irions acheter
une armoire pour y mettre tout ses habits.
A peine les deux filles installées, Azou annonça à sa cousine quelle devrait vivre nue elle aussi :
- Cest une tradition française. Annonça-t-elle en mentant effrontément.
Malou sembla gênée de se mettre nue devant moi, mais se plia à la « tradition française ».
Elle était vraiment aussi bien faite que sa cousine, bien quà peine plus grande. Avec mes 1m75 javais presque lair dun nain à
côté delles.
- Il faut que je tavoue quelque chose. Prévint Azou à sa cousine. La maison est maraboutée, et parfois on nous jette un sortilège.
Tu devras certainement devoir faire quelque chose à ce moment là pour nous guérir.
Malou ne voyait pas trop de quoi il sagissait, mais pour éviter le mauvais il, elle était prête à faire ce que lui disait sa cousine.
Pour fêter larrivée de Malou, jai débouché une bouteille de Champagne. Les deux filles nen navaient jamais bu, mais elles
apprécièrent immédiatement les petites bulles qui pétillaient dans leur bouche. Il fallu en ouvrir une seconde, après que la
première eut disparu en à peine cinq minutes.
Les deux filles étaient déjà bien gaies, et totalement nues toutes deux, elles commencèrent à danser ensemble tendrement
enlacées. Ce spectacle me mit immédiatement en émoi. Azou sen aperçut après quelques minutes.
- Tu vois. Dit-elle à sa cousine en me désignant. Quelquun a jeté un sort au patron, tu dois vite le sauver.
Elle me fit allonger, et poussa sa cousine à mentreprendre.
- Retires lui son short, sinon ta médecine ne marchera pas.
En état deuphorie, Malou nhésita pas une seconde à me mettre nu, et comme sa cousine éclata de rire, en voyant mon sexe.
Décidément, elles nétaient pas habituées à voir le sexe dun blanc.
Malou, sans se démonter, mis ses mains sur ma virilité, quelle commença à masser avec une certaine maladresse.
Azou prit la tête de Malou, et lapprocha de mon extrémité tendue, en lui disant :
- Avec ta bouche, tu iras plus vite à le soigner.
Comme lavait fait Azou la première fois, Malou nhésita pas à me prendre en bouche. Un peu ivre moi aussi, je mis un peu de
temps à parvenir au plaisir. Lorsque celui-ci arriva Malou nen perdit pas une seule goutte, toujours à mon grand étonnement. Un
autre tabou qui ne devait pas exister dans la famille.
La différence avec Azou, cest que Malou navait rien dit lorsque javais voulu la caresser intimement. Mes caresses avaient fait leur
effet, Malou était toute humide.
Jen profitai alors pour taquiner Azou.
- Tu sais, je crois que ta cousine a eut un sort elle aussi, il faudrait peut être la soigner avant quil ne soit trop tard.
Azou comprit le message et me demanda :
- Patron, il faut que tu la guérisses.
Un peu à limproviste je lui lançai alors:
- Tes pouvoirs sont plus forts, il faut que ce soit toi qui la soignes, et puis je suis trop fatigué.
Une nouvelle surprise mattendait, Azou plaqua Malou au sol et commença un massage très caressant. Je suppose que le
champagne y était pour beaucoup.
Les mains dAzou commencèrent au niveau du cou pour descendre très rapidement. Malou, le champagne qui avait dû à elle aussi
lui embrumer lesprit, se laissait faire passivement. Elle ne broncha pas davantage lorsque les doigts dAzou sinsinuèrent entre
ses cuisses. Je poussai alors doucement le visage dAzou vers le Mont de Vénus de sa cousine. Sans se démonter, elle y plaqua
sa bouche, puis sa langue. Pendant quelle faisait cela, pour lencourager je la caressais amoureusement. Malou se libéra en se
tortillant dans tous les sens. Pour elle aussi, je pense que cétait son premier orgasme.
Lorsque Malou fut un peu remise, je la sommai de faire la même chose à Azou.
- Tu sais, cest très contagieux, tu dois toi aussi guérir ta cousine avant quelle ne soit vraiment malade.
Elle ne semblait pas daccord, mais après une brève explication dans leur langue entre les deux cousines, elle se résigna. Je ne
sais pas ce quelles purent se dire, mais cela avait été efficace.
Azou sallongea, et Malou commença immédiatement ses caresses, non pas avec ses mains comme je my attendais, mais avec
sa bouche. Azou guida directement le visage de sa cousine sur ses seins. Puis, toujours en tenant la tête de Malou, elle la fit
lentement et progressivement descendre vers son bas ventre. Je pus alors voir la langue de Malou pénétrer progressivement
lintimité de sa cousine, puis sattaquer à son petit bouton. Azou maintenait toujours fermement la chevelure de sa cousine, en lui
imprimant la cadence quelle voulait. Elle ne relâcha la pression que lorsquelle fut pleinement rassasiée.
- Elle a plus de pouvoir que toi patron. Mannonça-t-elle après un moment.
Tout cela pour me faire comprendre quelle avait préféré les câlineries de sa cousine aux miennes.
Après le repas, il fut le temps daller dormir. Azou mavait prévenu que lon dormirait dans le même lit, mais chacun de son côté. Et
que si je faisais quoi que ce soit pour mapprocher, elle hurlerait si fort, que son père viendrait me couper la tête.
Autant fatigués par notre journée, que par le champagne, nous ne mîmes pas longtemps à nous endormir.
Le lendemain matin, je me réveillai le premier. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que nous étions, Azou et moi, quasiment dans
les bras lun de lautre. Nosant pas bouger de peur de la réveiller, je contemplais son sourire en attendant son réveil. Elle
commença à émerger quelques minutes plus tard. En me voyant, elle me fit un grand sourire, mais en se rendant compte de notre
position, elle me cria toute une tirade dans sa langue. Je ne pense pas que ce furent des gentillesses. Comme lorsque je lavais
surprise la première fois nue dans la douche, elle ne semblait pas pressée de quitter mes bras. Ce nest quau bout dun moment
quelle sy arracha en me lançant :
- Si tu as le malheur de recommencer, je tarrache les yeux.
Notre vie à trois continuait tranquillement. Une fois que jétais très excité de voir Malou « guérir » sa cousine avec sa langue, je
caressai intensément et intimement Malou. Lorsque japprochai mon sexe tendu près de ses fesses, et ne broncha pas, au
contraire elle se frotta contre moi avec plus de chaleur. Encouragé par cette invite muette, je le glissai alors entre ses cuisses, tout
contre ses lèvres intimes. Elle écarta davantage les cuisses, et le guida carrément en elle. Je fis alors des allers-retours sans
aucune retenue. Excitée par cette pénétration, elle sactiva encore plus à satisfaire Azou. Cette dernière prit son pied comme
jamais, suivie de prés par Malou. Quelques minutes plus tard, ce fut mon tour.
Au début Azou ne sétait pas rendue compte que je faisais lamour à sa cousine, ce nest que lorsque cette dernière se dégagea
delle, quelle vit que Malou et moi ne faisions quun. Je vis alors à son visage quelle nétait pas contente. Pour la première fois
depuis quelle était « à mon service », Azou me fit la tête jusquau soir.
Comme les vieux couples, ce nest quune fois couchés, que jai pu avoir une explication.
- Il me semble que tu me fais la tête Azou, cest parce que jai fais lamour avec Malou ?
- Tu fais ce que tu veux patron, cest toi le patron.
- Oui, mais je croyais quune employée ne devait pas coucher avec son patron.
- Malou nest pas employée, elle est mon assistante. Me répondit-elle vexée.
Je ne voyais pas la différence entre les deux, encore une nouvelle excuse.
Le lendemain, Azou nétait plus fâchée, dautant que nous devions partir pour son village.
A notre retour, il me sembla quAzou avait changée, elle était bien plus câline.
La journée se passa comme à lhabitude, c'est-à-dire avec plusieurs séances de massage et de « guérisons ». La nuit par contre,
prit un nouveau tournant.
Alors que je mapprêtais à mendormir bien sagement de mon côté, Azou se rapprocha petit à petit de moi, jusquà me grimper
carrément dessus. Je me laissais faire en attendant de voir la suite des événements. Azou se frottait maintenant sans aucune
retenue sur mon sexe. Elle fit tellement bien, que je le sentis commencer à la pénétrer lentement. Je la laissai faire jusquà ce que
je sois bien ancrée en elle. Je la pris par les épaules pour stopper tout mouvement de sa part et la questionnai sérieusement :
- Je croyais quune employée ne couchait pas avec son patron ?
Sans se démonter, elle me répondit aussitôt :
- Le marabout du village ma dit quil ny avait pas de mal, car il y avait déjà un bon moment que jétais à ton service patron.
Encore une de ses excuses bidon. Je crois plutôt quelle avait été vexée que je fasse lamour à sa cousine, et pas à elle. Je fis
semblant de croire à son explication, et lencourageai à reprendre ses ébats. Je neus pas à lui répéter ma phrase.
Azou se lâcha carrément, et se mit en position verticale, tout en continuant ses mouvements de va et vient. Jen profitai pour lui
caresser les seins dune main, et son petit bouton de lautre. Elle prit son pied en hurlant.
Avant que sa cousine ne vienne voir ce qui se passait de si grave, elle eut le temps de me dire :
- Tu es vraiment un très bon guérisseur patron.
Maintenant jai deux femmes à la maison, qui ne demandent quà faire lamour, oh pardon, quà être guéries. Et comme elles ne
sont jalouses ni lune ni lautre, je me demande si je tiendrai le coup encore longtemps. Heureusement quelles « sauto-
guérissent » mutuellement aussi, sinon je serais mort depuis longtemps.
Si ce texte vous a plu, nhésitez pas à menvoyer vos avis à : azkinato@hotmail.fr , et à lire mes autres textes par Monsieur Pat.
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