Les Tribulations De Rimbeau
Après mes diverses "sex-périences" dans un sauna gay de Toulouse, il m'est arrivé une envie de me divertir un peu en changeant de lieu de rencontre. J'ai bien tenté une ou deux fois des rencontres d'un drôle de type sur des parkings et autres aires de repos mais la perspective de rencontrer un sexe à l'hygiène douteuse, moi qui suis attentif à ça, m'a fait un peu fuir. En tous cas, je n'ai pas franchi le pas. Et puis, je me sens beaucoup plus en sécurité dans un club.
Donc, un jour, alors que mes déplacements professionnels m'entraînent à Biarritz, je décide de découvrir un sauna gay tout près de là. Je cherche un peu l'adresse mais grâce à mon gps, je trouve facilement.L'entrée et la façade sont austères, banals. Je sonne, le déclic de la porte m'incite à entrer. Ambiance sympa, ça sent bon, comme d'habitude.
Je récupère ma clé et le gars de la caisse me tend un bracelet muni d'un petit sac dans lequel il glisse un préso et un sachet de gel. A porter toujours sur soi. Pas bête !
Je me dirige vers le vestiaire et commence à me déshabiller. Le mec à côté n'en perd pas une miette! Mon sexe semble éveiller son intérêt.
Ma serviette autour de la taille, je me dirige vers les douches, ôte ma serviette et livre mon corps à l'eau chaude. Dès que je suis sous le jet de la douche, un gars d'un quarantaine d'années, pas très grand, barbe en bouc et moustache fine, s'approche, et commence à me caresser le sexe. Un rapide, il n'y a pas 5 mn que je suis là et je suis déjà "en mains". Il me caresse, me branle et ma queue commence à prendre du volume. Alors il s'agenouille et me prend en bouche pour une fellation pas trop maladroite. Je bande tout à fait maintenant. Il profite de sa position basse pour me caresser l'anus et y insinuer un, puis deux doigts. Je gémis de plaisir. Il est vrai que depuis pas mal de temps, j'ai bien envie de retenter l'expérience de la sodomie.
En effet, lors d'une précédente visite au sauna de Toulouse, j'avais accepté la sodomie de la part d'un gars pas très bien membré -ça m'arrangeait, étant assez étroit- mais avec un sexe très dur et très recourbé vers le haut.
Donc sous la douche le gars me suce et je sens que s'il continue comme ça je ne vais pas résister longtemps. Je l'éconduis gentiment en lui précisant que je souhaite visiter les lieux avant.
Je me dirige vers un couloir sombre en passant près du jacuzzi dans lequel deux gars ne perdent rien du spectacle des gars qui passent devant eux. Position stratégique ! Je sens leur regard évaluateur ...
J'avise la porte qui donne sur le hammam, la pousse et entre. Le lieu est visiblement très fréquenté mais pas grand chose ne s'y passe. Je monopolise une banquette et m'y assois. Mon suceur des douches qui m'a suivi, se place à côté de moi et en se penchant prend mon sexe en bouche. Décidément il ne veux pas me lâcher. J'ai l'impression qu'il a flairé la bonne affaire ! Néanmoins, je me laisse faire et j'apprécie la caresse. Un autre type déjà présent dans le sauna, grand, la soixantaine, baraqué, s'approche pour jouir du spectacle de ma bite aspirée par mon suceur. Il me caresse le torse, s'attarde sur mes tétons qui s'érigent et ne demandaient que ça. Je commence à planer de plaisir mais je ne veux pas jouir ici. Pas maintenant. Pendant que je me fais sucer, je m'occupe de la queue de mon barbu mais aussi de celle du nouveau venu: le baraqué. Autant celle de mon barbu est intéressante dans ses dimensions pas trop effrayantes -environ 15 x 3.5- celle de l'autre est bien bâtie: un bon 20 cm x 4.5. Je la masturbe, la suce aussi du mieux que je peux, ne pouvant avaler beaucoup de longueur. Je le masturbe énergiquement car j'ai bien envie de faire gicler hors de cette matraque le foutre blanc de son propriétaire ! Mais il refuse et me calme la main ! Bon, tant pis. J'entreprends alors de sucer mon acolyte: là j'arrive à presque l'avaler entièrement et il a l'air d'apprécier. Pendant ce temps, lui s'occupe de mon anus dans lequel il joue avec 3 doigts maintenant. J'aime de plus en plus...
Mais je ne veux toujours pas jouir maintenant.
Je calme les ardeurs du gars et lui dis que je vais à la découverte du club.
Je me balade le long des couloirs, croisant d'autres gars avec des mains baladeuses. Au fond du couloir une cage mais personne dedans, et plus loin deux slings occupés par deux types me paraissant assez âgés et dans une position qui est plus qu'une invitation à la luxure ! Non, ils sont moches, je n'ai pas envie.
Je monte à l'étage où se trouvent différentes cabines avec des moniteurs vidéos sur lesquels sont diffusés des films X gays, comme partout. Mon suceur m'a suivi jusque là ! Décidément il ne décroche pas, je visite quelques cabines, vides pour la plupart. Un jeune pas mal foutu, semble attendre le chaland adossé au cadre de la porte de la cabine.
Mon acolyte me propose alors une cabine et j'accepte en sachant que maintenant je vais y passer !
Nous entrons dans une cabine étroite, la première qui se présentait devant nous, il ferme la porte. J'étends ma serviette sur la couchette, il fait de même, je m'allonge et il reprend sa fellation. Je bande toujours et depuis un bon moment déjà. Puis il me tourne pour me positionner sur le ventre, prend du gel en quantité, en mets plusieurs fois sur et dans mon anus, il met un préso et se badigeonne la queue avec du lubrifiant. Je suis prêt à recevoir sa queue. Je sens le contact du gland sur ma collerette, il force, ça entre un peu mais c'est déjà douloureux. Alors je pousse sur mes abdos pour ouvrir mon sphincter et je sens le gland puis toute sa queue entrer. C'est pas mauvais même si je lui demande rester un peu sans bouger, le temps de m'habi. Et puis il commence à aller et venir en moi, j'apprécie de plus en plus, mais pas au point de me conserver une érection qui maintenant s'en est allée. Je sens ma queue et mes couilles se balancer sous les coups et les va-et-vient de mon partenaire.
Mes obligations professionnelles ne me permettent pas de rester trop longtemps et c'est vers le vestiaire et la sortie que je me dirige après être passé sous la douche. Dans le vestiaire, un gars qui vient d'arriver me mate sans retenue et m'interpelle:
"- Tu t'en vas déjà ?
- Oui, je dois travailler maintenant.
- Ah, bon... C'est dommage..."
Non, merci, ça va pour moi, et je n'ai pas le temps !
Je quitte l'endroit sans regret après avoir quand-même apprécié cette sodomie par un calibre "acceptable". Peut-être y retournerai-je un jour ?
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