Cocu Et Cocue

Avec mon mari nous prenons quelques jours de vacances en amoureux. Le premier soir, je me suis parfumée sous les oreilles, juste sur le pubis et le haut des fesses. Je sais qu’il aime bien venir dans ses endroits pour m’embrasser, surtout le bas ventre avant d’aller enfouir son visage sur ma chatte. Nous nous dépêchons d’avaler le repas pour nous retrouver dans le chambre. Je n’ai pas le temps de me déshabiller, il me saute dessus comme un fauve. Comme une fauve il enlève rapidement tous mes vêtements. Je suis une pauvre créature dans ses bras, il fait de moi ce qu’il veut.
Il commence par me laisser debout au bord du lit, pendant qu’il s’y assoit. Sa bouche est sur le pubis qu’il lèche, sa langue descends vers mon bouton. Je tends mon ventre vers sa bouche. Je ferme les yeux pendant tout le cunnilingus : c’est bon, trop bon, je ne vais pas tenir longtemps. Je me cambre au moment de jouir.
Sa langue reste toujours au même endroit. Habituellement il s’arrête la première fois. J’avais oublié que nous avions décidés de baiser et de jouir.
Sa langue reprend son infernal ballet. Pour être mieux léchée, je pose un pied sur le lit, il peut maintenant entrer sa langue dans mon puits. C’est bien ce qu’il fait. Il y ajoute deux doigts vers mon anus. Par derrière, sa main est venue le caresser.
J’espère qu’il va entrer ses doigts. Enfin c’est-ce qu’il fait : il m’encule avec ses doigts. Je les sens entrer dans mon anus, c’est bon, avec sa langue qui me fouille. Je n’en peux plus je jouis encore.
Il est nu, maintenant sa bite est tendue vers moi. Il me reste à rendre la politesse : il m’a faite jouir avec sa bouche, je lui prend la queue dans ma bouche aussi. Que j’aime l’avoir en moi cette pine qui me fait du bien dans mon ventre. J’enroule ma langue autour de son gland, il est drôlement lisse dans ma bouche. Je l’avale presque jusqu’à la glotte. Je le fais coulisser en moi. Je suis récompensée quand je reçois sa semence je la garde un moment dans la bouche pour le déguster.


Malheureusement il débande, dommage. En plus j’ai oublié à la maison son dernier cadeau : un gros gode qui me fait bien jouir.
Tant pis pour moi, je vais me masturber devant lui, il rebandera en me regardant.
Je vais m’installer sur le fauteuil, juste en face du lit, j’écarte bien les cuisses pour qu’il voit bien ma chatte mouillée et mes doigts sur elle. J’ignorais qu’il m’avait préparé une surprise.
Je suis donc avec deux doigts sur mon bouton, en pleine masturbation, je le regarde en face, je ne vais pas tarder à jouir quand soudain la porte de la chambre s’ouvre: une jeune femme est là, à moitié nue. Je ne réalise pas de suite ce qui se passe. Je me souviens enfin d’une conversation pas très vieille, quand il était dans mon cul : je lui avais dit que j’aimerai baiser une fois avec une fille.
C’est bien ça, elle me sourit, vite m’embrasse sur la bouche. Je réponds au baiser, ma main est toujours au même endroit. Elle me laisse faire, pour m’exciter encore plus, elle me caresse avec beaucoup d’habileté mes seins.
Je ne sais pourquoi la présence de cette femme me monte à la tête. Nos regards se croisent, nous regardons mon mari qui commence à bander : que sa queue est belle, c’est elle qui me demande d’aller bien loin avec la nana.
A mon tour de caresser les seins durs, de mettre ma main entre ses cuisses. Je monte jusqu’à sa moule. Elle est comme moi, mouillée. J’ai envie d’elle, mise comme elle est je peux facilement lécher une partie de sa chatte : son clitoris. Je trouve que sa cyprine est bonne, excitante, envoutante. Quand elle jouit j’en suis fière, j’ai donné du plaisir à une femme, mon rêve. Je me lève pour me mettre contre elle qui en profite pour se serrer contre moi.
Sa poitrine caresse la mienne, nos pubis sont fixés contre l’autre. Je voudrai que nous fassions des choses interdites, des pénétrations différentes. Nous prenons la place dans le lit au détriment de mon mari qui du coup va sur le fauteuil.
Nous nous moquons un peu de lui : assis avec sa bite dans la main qui se branle en nous regardant.
Au fond maintenant je m’en moque qu’il jouisse en se branlant, j’ai une femme à ma disposition. Nous sommes bien couchées l’une contre l’autre. Nos lèvres ne se quittent pas. Nos mains seules agissent. J’ai pris gout à ses tétons. Je ne me lasse pas de les caresser à ma façon, Je passe et repasse mon pouce sur les pointes qui bandent presque. Elle commence à venir poser sa main sur mon bas ventre. J’espère qu’elle ira jusqu’en bas. C’est ce qu’elle fait : avec doigts elle me branle le clitoris jusqu’à ma jouissance. J’étais prête à arrêter là, elle continue jusqu’à mon vagin, elle me doigte avec une idée en tête : ça y est, elle a trouvé mon point G. Que c’est agréable des caresses d’une femme dans mon ventre. J’avais raison de rêver à ce que je fais maintenant. Je pars vers le paradis des lesbiennes plusieurs fois.
Je l’ai oublié, je me ratt. A mon tour de la branler, même si je réussis moins bien qu’elle. Je me contente de son bouton, il est noyé dans une mer de cyprine. J’ai envie de la lécher. Pas besoin de demander, elle m’enjambe me donne son sexe sur la bouche, elle prend le mien. Enfin un 69 non pas avec la pine de mon mari, mais avec un sexe féminin. Ce n’est pas pareil, c’est aussi bon.
Eum !!! sa langue dans ma chatte, dans mon puits et enfin directement dans mon cul.
J’ai oublié mon mari qui se manifeste en venant sur mon amante. Je vois sa queue venir sur le cul féminin. Je peux enfin voir de près comment il encule. Il crache pas mal sur l’anus, pose son gland. J’envie presque la fille de recevoir la pine de mon époux : il m’encule si bien.
Je vois son gland entrer lentement dans l’anus, je vois qu’il l’a mit et je regarde comment il arrive à mettre toute sa queue dans un cul. Il m’excite encore plus : je jouis. Je vois une partie de l’anus qui ressort quand il sort un peu, je la vois entrer quand il entre à nouveau. Je la vois quand elle jouit à ses spasmes qui entrainent ceux de ma compagne et par contre coup mon orgasme aussi.

Nous nous séparons un moment pour reprendre notre souffle. Enfin il vient sur moi pour m’embrasser, pour me baiser. J’ai envie de sa queue dans le ventre. Il me la met bien tout en s’occupant de l’autre fille. Il ne fait rien de spécial sinon qu’aller et venir. Sa bouche est occupée par le con de l’autre. Je peux voir sa langue visiter les mêmes lieux que moi.
Nous finissons pour le moment en nous endormant. Au matin je me réveille en craignant que la fille soit partie. Elle est là et bien là, à cheval sur le ventre du mâle, elle baise seule. Je veux participer moi aussi à cette étreinte. Je vais sur la bouche de mon mari : il sait ce que j’attends de lui, il prend mon bouton endolori pour le lécher légèrement. Je me penche vers notre amante pour l’embrasser. Elle ne refuse pas ma langue dans sa bouche, elle me le rend en me pelotant les seins. Je vois que mon mari ne perd pas le nord : s’il me lèche le clitoris, il n’oublie pas que l’autre fille en a un aussi. Je vois ses doigts dans la chatte aller et venir. Quand elle jouit elle me mordille la langue. Je crois que je lui en fait autant hier au soir.
La matinée avance, elle nous embrasse avant de partir.
Nous nous retrouvons en couple normal. Je ne sais comment le remercier : c’est rare un mari qui permet et qui offre une fille à sa femme.
Nous nous reposons sans parler. A l’heure du repas, il me demande
- Si tu as aimé nous pourrions recommencer.
- J’ai aimé beaucoup. Tu me feras la surprise une autre fois.
- J’en ai une autre : cette fois un autre homme pour nous deux, tout à l’heure.
- Pour nous deux, tu veux te faire mettre dans le cul ?
- Oui, tu es contre ?
- Non du tout, au contraire !
Le repas prit dans la chambre, nous sonnons pour le signaler.
Le serveur me semble bizarre, s’il sort bien la table de repas, il entre à nouveau. Ils nous regarde sans rien dire, se déshabille : je ne regarde que sa queue. Je me dis que tout à l’heure elle va entrer dans mon ventre, je ne sais si se sera par devant ou derrière.
Je sais aussi qu’elle pénétrera dans le cul de mon mari qui avoue à ce moment que pour lui c’est une première : il veut simplement savoir comment je peux jouir avec sa queue.
Nous quittons les peignoirs de bain, nous sommes nus devant cet étalon. Pour moi, c’est du tout bon, pour mon mari, je ne sais somment il la prendra dans l’anus.
En attendant ce moment j’ai droit à leurs attentions. La haut est réservé à ce nouvel homme : il embrasse fort bien ,ses mains caressent bien ma poitrine, mieux sans doute que mon mari. Lui me masturbe toujours aussi bien et je jouis rapidement. Il se couche sur le lit, me demande de venir sur lui. C’est lui qui choisit la position : je suis couchée sur le ventre, il me la met dans le vagin, remue un instant pour arrêter quand il est au fond de mon ventre, l’autre vient sur moi par derrière. C’est-ce que je craignais, il va m’enculer. Il le fait avec tant de douceur qu’il me pénètre sans que je souffre. Au contraire leur présence à tout les deux devant et derrière me donne un plaisir plus fort que les autres, même avec la fille d’hier. Ils me liment en chœur. Je sens la transpiration de l’enculeur sur mon dos. Je sens surtout les jouissances qu’ils me donnent. Je ne pensais jamais avoir tant de plaisir avec cette position. Je ne peux pas même dire combien de fois ils me font jouir. Je reçois les deux doses de sperme dans mes boyaux : je jouis encore, ils me quittent leur bites en déroute.
Je me demande comment il va faire pour l’avoir dans le cul.
C’est le job du nouvel arrivant : il prend la bite de mon mari dans le bouche, le fait encore bander quand il lui donne sa bite à sucer. Je m’en serais bien occupé. Ca fait bizarre de voir une queue dans la bouche de son mari.
Ils bandent tous les deux, se tripotent les queues avant que mon mari se mette en levrette : il ouvre ses fesses, se mouille lui-même l’anus avec sa salive. J’en rajoute aussi : il a l’anus prêt pour la suite. Quand l’autre pine s’approche de lui, je prend sa queue pour le branler pendant qu’il se fera enculer.
Curieuse je regarde comment la bite entre dans la cul de mon époux. J’ai un élément de comparaison en me souvenant du moment où la bite allait dans le cul de notre amante.
Le gland est posé, il force à peine pour entrer. La queue est vite en entier dans ce cul. J’ai commencé la masturbation : il bande toujours autant, s‘il avait mal, il débanderait certainement. La bite va et vient dans le cul. J’ai impression qu’il va jouir! Je cesse de le branler et un instant après son sperme sort en jet. Il a jouit avec une pine dans le cul.

Maintenant nous sommes seuls. J’ai beaucoup de surprises de l’avoir vu avec son cul occupé par une bite et surtout de l’avoir vu jouir autant.
Nous n’en parlons que le soir, au moment de baiser enfin seuls. Nous avons chacun trompé l’autre en sa présence avec une autre personne du même sexe. Nous ne regrettons rien, lui pas la bite dans le cul et moi pas la langue d’une autre sur ma chatte.
Il est certain que nous recommencerons pour prendre notre pied comme nous l’avons fait. Faire l’autre cocu en sa présence est délicieux !

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