La Cravache

Je vous attends pour notre séance. Je me suis dépêchée, je ne sais pas à quelle heure vous allez arriver. J’ai tout préparé ce que vous m’aviez demandé : la glace, l’alcool, le déshabillé proche, les chandelles et l’exposition de tous mes jouets et de tout ce qui pourrait être sexuel, selon moi. Je passe mon temps à regarder dehors. Lorsque je vais faire quelque chose dans l’appart, je ne reste pas éloigné plus de 30 sec. de la fenêtre. Et je reviens en courant pour être sûre que vous n’êtes pas déjà là.

Je reçois un message texte au cellulaire : Fais mon drink et place-le sur la table.
Oufff, je pars en courant pour le préparer, je ne sais pas si vous êtes au coin ou à quelques minutes. Je fais votre verre et le met sur la table. Je veux changer la bouteille de vodka dans le présentoir (carrousel), mais avant je pars voir si vous êtes arrivé, si j’ai le temps. Vous êtes là, merde, j’ai pas le temps. Je me mets en position, celle que vous m’avez ordonné d’être à votre arrivée : dos à l’escalier, tête penchée. Je ne voulais pas être debout (trop grande) et pas non plus assise. Alors je me mets à genoux (position de circonstance selon moi) et je mets mes mains (bras) dans mon dos.

Vous arrivez et montez les escaliers. Vous vous mettez à votre aise, prenez votre verre et me regardez, du moins je le crois. Vous faites le tour de moi, sans un mot. Je vous demande la permission de vous dire quelque chose. Je reçois une gifle au visage.

- Est-ce que je t’ai donné la permission de parler?

Je ne dis plus rien. J’ai juste peur que vous voyez qu’il manque Votre sorte alcool, mais j’attends. J’entends un bruit sec dans mon oreille. Je sursaute. Du dock tape. Vous m’attachez les bras où ils sont. Merde, c’était quoi l’idée de me placer de même et de vous faciliter la vie.
Vous continuez à boire et recommencez votre manège de me faire sursauter avec le tape. Vous faites la même chose pour mes chevilles.

Puis vous descendez mes jeans et me les coller aussi en bas des genoux avec le tape. Vous me tournez vers le salon. Et m’enlevez ma camisole.

Puis vous me penchez et je tombe la tête la première sur le sol. Je ne peux pas me retenir autrement. Genoux et tête me retiennent. Je la vois. Non, non pas ça. Une foutue cravache. Zut de zut. Mais elle a l’air assez large donc je sais que ça fera moins mal qu’une mince. Du moins en théorie, car je sais aussi que vous mettez assez de force dans vos coups. Une mince aurait peut-être traversée la peau. Vous me dites que j’ai dit votre nom quelques fois et que mes erreurs diverses s’élèvent à 6, mais que 6 ce n’est pas assez, donc ce sera 6 sur chaque fesse. Vous donnez les deux premiers coups. Je ne dis rien. Erreur.

- Je ne t’ai pas entendu compter, alors on recommence. Et tu me diras aussi merci.

Vous recommencez vos coups, je compte et je dis merci à chaque coup. Vous prenez votre temps. Vous me tournez autour, buvez votre verre. Tout pour ne pas calmer mes nerfs, tout pour ne pas savoir quand viendra le prochain coup. Je vous jette un regard (je ne vois que vos jambes). Et là, je vois… non mais, je rêve… une érection au travers du pantalon, et vous qui la tenez. Espèce de sadique. Moi j’ai mal, et vous vous trippez. GRRRR.

- Il reste combien de coups?
- Heuuu, 3 ou 4 sur chaque fesse Monsieur. Non, 3 (cette idée de penser à autre chose et d’oublier le compte).
- C’est pour toi, on peut en donner plus si tu veux
- Non, non, Monsieur. C’est 3
- Tu es chanceuse que ce soit 3

Ça continue et ça fait toujours plus mal. Vous me demandez il en reste combien. Une, juste une. Je sais que ce sera la pire, que vous allez vous donnez pour celle là. Je la déteste déjà à l’avance. AIE, OK, ok, je dois me calmer, c’est fini.

Vous me relevez par les cheveux. Puis, vous allez chercher quelque chose dans ma chambre et revenez avec mon dildo. Vous commencez à me le faire sucer.
Comme je n’ai pas beaucoup de salive, vous me crachez dans la bouche. Premier réflexe puisque je ne m’y attends pas : Yeurk, et en plus c’était beaucoup de bave et épaisse, et je fulmine un peu. Vous me dites que je ne dois rien avaler, ni fermer la bouche. Vous me faites sucer le dildo, ou plutôt me l’enfoncez dans la bouche. Je ferme la bouche, et vous me crachez au visage. J’en ai plein l’œil. Je sais, je sais je ne dois plus fermer la bouche. Vous remettez le dildo en moi et continuer votre manège. Vous voulez de la bave, vous la faites couler sur ma poitrine. Vous allez même jusqu’à la prendre dans ma bouche pour la faire couler. Ça coule sur mon ventre. Je m’écœure moi-même, il y en a trop. Vous insérez vos doigts profondément dans ma bouche et vous les laissez là jusqu’à ce que j’aie des hauts le cœur et que la bave coule. Je penche la tête, et je reçois une autre gifle pour avoir avalé, selon vous. Mais je n’ai pas avalé, c’est juste un spasme de ma gorge. Je suis fâché de recevoir une gifle pour ça, quand je n’ai rien fait, mais ce n’est pas le temps de vous le dire. Je n’en veux pas une autre.

Puis, vous me prenez et m’amenez sur le divan : la tête et la poitrine qui dépasse de l’accoudoir du divan. Vous me prenez la bouche avec votre queue. Vous me la mettez au fond et m’empêchez de reculer la tête. Je reste plusieurs secondes avec votre queue dans la gorge, et ce, plusieurs fois. Puis, vous me prenez par les cheveux et me tournez la tête sur le coté. Vous éjaculer sur mon visage, j’en reçois sur le coin de l’œil, j’en ai partout. Je crois que c’est la première fois qu’on m’éjacule autant et partout dans le visage, surtout de cette manière.

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