Les Tribulations De Madame
Madame voulait sortir, en bon employé, je lui demandais où cette dernière voulait se rendre... Son idée était plutôt vague, mais la lueur de lubricité dans son regard en disait long...
Je m'enquerrais de monsieur pour lui indiquer notre départ imminent... Celui-ci me décocha un clin d'il m'indiquant qu'il comprenait à demi mot les intentions de madame et ma compréhension de son envie.
Madame monte dans la voiture, vêtue dune robe noire, moulante, relativement courte, décolletée sans être vulgaire
Un collant ? Des bas ? Je ne saurais le dire, mais je doute quaillant opté pour des talons si haut elle eussent choisi de porter un de ces affreux collants
Nous roulons depuis quelques minutes, je nai de cesse de lorgner dans le rétroviseur pour tenter de savoir ce que porte madame sous cette robe, tout en essayant de suivre la conversation que nous entretenons
« Vous savez jeune homme, je vois clair dans votre jeu
»
- Madame ?
- Vous brûlez de savoir ce que je porte sous ma robe, ai-je tort ?
Rougissant : « Non madame, je lavoue
»
Plus un mot de sa part.
Nous arrivons enfin à destination : un de ces bois où les promeneurs ne déambulent pas pour observer la nature
Quelques voitures sur le parking, hommes seuls, couples, femmes ? Même si ces dernières y sont rares, sait-on jamais
Madame descend de la voiture, fière, bourgeoise, sûre delle
« Jeune homme, offrez moi votre bras
» Jobtempère lui offrant mes services
Nous avançons sous le couvert des arbres
Quelques mètres plus tard, nous croisons nos premiers comparses, jeunes, vieux, timides, aux regards insistants, aux gestes lubriques ou au simple sourire
Nous continuons notre ballade, entendons des ahanements dans les fourrés
Madame poussée par la curiosité sengouffre dans le bosquet pour y trouver deux hommes
Lun est jeune, la vingtaine, pantalon aux chevilles, se tenant au tronc dun arbre, cambrant son fessier, fessier pris par un homme dâge mur qui le pistonne vigoureusement
Les claques sur les fesses pleuvent et madame de me demander : « Pourriez-vous me tenir ceci jeune homme ? » Elle me tend alors son sac à main, remonte sa robe, me dévoilant enfin ses bas tenus par des jarretelles noires, sa culotte tout aussi noir mais dune transparence affolante
Madame passa alors sa main dans sa culotte, et, dans un bruit humide délicieusement indécent, fit sortir les boules de geisha qui remplissaient son vagin
Se retournant vers moi, elle moffrit un spectacle de toute beauté en léchant les boules avant de les mettre dans son sac
Le couple gay nous a vu, a vu que nous les observions, et que madame sortait ses boules chinoises de ce vagin tout humide.
Les effets de la bouche experte de madame, associée à la sodomie subie, firent éjaculer rapidement ce jeune homme. Lautre homme excité par la lubricité de ces deux protagonistes, sorti son sexe épais de lanus du jeune homme et le présenta à la bouche de madame.
Tout en sussions et caresses, malaxant ses testicules, madame avalait encore et encore ce sexe avec pour but de le faire aussi jouir sur sa langue
Le résultat ne se fit pas attendre, et bientôt je vis madame déglutir une grosse quantité de semence.
Sans crier gare, madame se leva, mindiquant son envie de reprendre notre ballade.
Quelques pas et déjà nous sommes suivi par 3 hommes
Madame se tourne vers eux, leur souri, et senfonce à nouveau dans un bosquet
Ces hommes nous suivent sans un mot mais avec cette lueur de prédateur dans leurs yeux
Face à un arbre, madame se penche en avant, prenant la même position que ce jeune homme tout à lheure, et, de me dire : « Jeune homme, pourriez-vous tirer sur lanneau de mon chapelet anal ? »
Baissant la culotte de madame, je commençais à tirer doucement sur lanneau, faisant sortir une à une les boules de lanus fripé de madame
Que de gémissements de sa part, laveu dun orgasme foudroyant, sa chatte dégoulinant de mouille
Extase de sortir enfin toutes les billes de cet anus tant convoité.
« Invitez les » me lance-t-elle, « traitez moi comme une chienne ». Jinvite alors ces messieurs à nous rejoindre, rapidement, leurs sexes sont dévoilés, du plus fin très long à celui dune épaisseur rare.
Madame voulait jouer aux chiennes, jallais lui faire se plaisir. Chef dorchestre, jindiquais tantôt à lun de se mettre à porter de sa bouche vorace, à lautre de pénétrer sa chatte trempée
La bouche pleine dune queue longue et fine, le cul cambré prise en levrette, madame gémissait déjà alors que le troisième larron enfonçait des doigts dans son anus en malaxant sa poitrine
Les coups de butoir volaient, les claques sur ses fesses aussi, le tout dans un brouhaha de gémissements, dinsultes, de corps claquant, se frottant, de termes de plus en plus crus, de bruits humides, de bruits de sussions indécents mais si excitants.
Celui qui soccupait de lanus de madame demande à celui qui la prenait de sallonger au sol, ce quil fit alors que lautre poussait sur les épaules de madame pour la faire sempaler sur son méat. Nattendant plus, lautre cracha sur la petite rondelle ouverte, puis plaça son énorme gland dessus. Un grand coup de rein, un cri déchirant le calme de la forêt, madame venait de prendre dun coup toute la longueur de son sexe dans son anus. Des mouvements virils, de grands coups de butoir, des cris, des hurlements de plaisir, madame se faisait copieusement pilonner devant et derrière alors quelle léchait les testicules de notre troisième protagoniste et que ce dernier se masturbait au-dessus de son visage.
Il nen fallut pas plus pour que madame hurle sa jouissance, alors que le branleur se répandait sur son visage et que les deux autres se vidaient en elle
Repue, madame me fit signe de leur demander de partir. Lui claquant chacun une fesse, ils nous abandonnèrent là dans ce bosquet
La chose était entendue, je remis les billes dans lanus de madame et introduisit les boules de geisha dans son vagin avant de lui remettre sa culotte. Culotte trempée de ses excès, de mouille, de foutre, de perversité.
Arrivés à la voiture, madame minterrogea sur mon érection, et sans plus attendre ouvrit mon pantalon pour sortir mon sexe tendu
Quel ne fut pas mon plaisir de sentir cette bouche experte sucer mon gland, lécher ma tige, sucer mes testicules
Madame me fit rapidement jouir et avala tout mon sperme
Sessuyant la commissure des lèvres, elle mindiqua que ce soir elle voulait monsieur, et moi pour lavilir et lhumilier
Pour son plus grand plaisir.
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