Seance Photo Sur Un Parking... À Plusieurs !
Blanche et moi nous connaissons depuis longtemps. Nous avons une histoire assez chahutée, faite de crises, de retrouvailles, mais surtout de folies
Cest avec elle je crois que jai vécu les moments les plus fous et débridés de ma vie sexuelle
Elle et moi avons parfois exploré et découvert des aspects rarement avoués de nos personnalités respectives, en particulier sur le plan de lexhibitionnisme.
Nous avions pris cette mauvaise (et pourtant si bonne) habitude de flirter avec le danger. Parfois, lorsque le soleil chauffait lair et surtout nos sens, nous nous retrouvions sur un petit parking, non loin de notre travail. Le parking était désert la plupart du temps, à larrière dune grande surface assez peu fréquentée. Il était entouré dune végétation plus ou moins abandonnée, qui masquait en grande partie ce qui sy passait. Pourtant, quelques rares maisons et appartements le surplombaient
Des employés de la grande surface sy garaient parfois, et plus rarement encore des personnes en quête de solitude, souvent des hommes, venaient y prendre leur repas dans leur voiture. Nous y avons croisé une seule fois un couple, qui je crois y venait pour des raisons proches des nôtres. La scène se déroulait finalement assez souvent de façon identique.. Nous nous garions en plein soleil, vitres et portières ouvertes, et laissions libre court à nos fantaisies sexuelles, dabord dans la voiture, puis lorsque lexcitation était à son comble, dehors, nus en plein soleil, debout ou sur le capot de la voiture. Dautres voitures passaient à une cinquantaine de mètres, trop vite pour nous voir entre les buissons. Une fois, un homme était garé un peu plus loin, derrière une rangée de végétation. Nous nous étions placés dans son champ de vision, pour être certains de leffet. Du fait de la pente du terrain, il avait une vue plongeante sur nos ébats. Lorsque nous étions sortis, Blanche sétait allongée sur le capot, ouverte. Pendant que je la pénétrais de plus en plus puissamment, lhomme était sorti de son véhicule, et nous avait observés.
Ces retrouvailles répétées sur ce parking nous apprirent que la plupart des gens qui assistent à ce genre de scènes sont en fait très timides. Une fois assumé ce désir de se montrer à des inconnus, la culpabilité fait place à une excitation qui efface tout le reste. La culpabilité et la gène finissent dans le camp des voyeurs. Leur réactions sont variées, mais la plupart font comme sils navaient rien vu, tout en essayant bien sur de capter la plus grande partie de la scène. Dautres fuient simplement, non sans se rincer lil. Rares sont ceux qui observent ouvertement, voire se proposent. Extrêmement rares sont ceux et celles qui sindignent
ce qui en fait ne nous est jamais arrivé.
Forts de cette expérience, nous avions le désir daller plus loin, et attendions le moment propice.
Ce midi-là, nous étions, comme de nombreuses fois, très excités par la légèreté de lair et de nos discussions. Naturellement, sans nous interroger plus, nous prîmes la direction du parking. Un homme y était garé, seul, dans une BMW noire. Il mangeait un sandwich en écoutant la radio. Il avait une petite quarantaine dannées, les cheveux bruns, courts. Habillé avec une certaine classe, cétait probablement un VRP qui prenait sa pause du midi, avant de reprendre le tour des entreprises du coin. Je regardait Blanche, et lui demandai si elle avait pris son appareil photo.
Nous avions déjà discuté de ce fantasme, sans le déflorer trop. Mais nous étions sur la même longueur dondes : lorsque jévoquai lappareil photo, ses yeux se mirent à briller, et un sourire coquin apparut sur ses lèvres.
Nous nous sommes arrêtés en face de la voiture, et je suis descendu tout de suite, lappareil photo à la main. Blanche ma suivi. Je suis allé voir lhomme.
« - Bonjour. Excusez-moi de vous déranger
- Bonjour ?
- Voila, mon amie et moi voudrions faire une séance photo, et... Je ne sais pas comment
Bon, vous avez une très belle voiture, et nous aurions bien aimé lutiliser comme décor
Enfin, si vous nous permettez
- Ah ? Eh bien écoutez je ne sais pas
Cest que je nai pas beaucoup de temps, et puis
Et puis je ne vous
Mais cest pour quel genre de photos ? »
Malgré sa réticence visible, la dernière question, associée à un coup dil à Blanche, marquait tout de même un début dintérêt
Je décidai de jouer carte sur table.
« - Ce sont des photos coquines. Mais rassurez-vous, on les garde pour nous
»
Il marqua un temps de réflexion. La chose éveillait bien sur son imagination, mais
Pouvait-il nous faire confiance ? Avions nous lintention de lui voler sa voiture ? Et comment expliquer ensuite comment on la lui aurait volée ? Et si ensuite on voulait le faire chanter, ou je ne sais quoi ? Dun autre côté, cette petite nana
Elle avait une de ces poitrines
Blanche prit la parole.
« - Ne vous inquiétez pas, vous ne risquez rien
Vous pouvez même rester au volant...
- Ah non, je ne veux pas être sur les photos !
- Alors vous enlevez les clés, et
Vous pouvez assister à la séance photo. ».
Elle dit cette dernière phrase avec un grand sourire, empli de sous-entendus
Cest manifestement cela qui emporta la décision
Il lui sourit, lança un « Bon », et descendit de la voiture avec ses clés et le reste de son sandwich. Il partit un peu plus loin, à lombre dun arbre, sans quitter Banche des yeux.
Blanche commença à prendre des poses sages, dabord appuyée sur la portière, faisant attention à se cambrer, ressortir sa poitrine
profiter de la jolie ligne que lui faisaient les talons hauts.
Il était temps daller plus loin : « Assieds toi sur le capot.. Voila.. Pose un pied aussi sur le cote. Oui, voila, sur le capot aussi ». Cétait un moment sensible. Les talons allaient rayer un petit peu la peinture, mais
La vue qui soffrait à linconnu lempêcherait probablement dy penser plus dune seconde. Il ne dit rien. Une des jambes de Blanche était posée au sol, tandis quelle avait replié lautre sur le côté. Sa jupe portefeuille était ouverte sur un joli string noir. Je pris la photo. Puis : « Tu devrait peut-être lenlever, non ?». Blanche sourit largement. Et sexécuta. Pendant que le string descendait, elle échangea un nouveau regard avec lhomme. Il venait davaler le dernier morceau de son sandwich, et se mit à tousser. Blanche lui demanda si ca allait. « Oui oui, merci, très bien. Très très bien ». Elle reprit la même pose, toujours avec un grand sourire. Sa jolie petite chatte était ouverte, luisante au dessus du capot noir. « Ouh, ca chauffe », dit-elle en posant ses fesses nues. « Oh oui », jai répondu.
Progressivement, le débardeur et le soutien-gorge, la jupe portefeuille virent rejoindre le string. Blanche continuait cette séance photo mémorable, vêtue seulement de ses escarpins à talons. Elle essaya le siège conducteur, mais aussi des photos de dos, de profil, ou la tête en arrière pour faire ressortir ses seins. Elle était de plus en plus excitée, et moi aussi. Sous mon jean, je bandais terriblement
Et je ne doute pas que lhomme dont les yeux étaient rivés sur elle était dans le même état.
« - Ca ne vous dérange pas de prendre les photos ?
- Euh.. Oui
Non, enfin, non, ca ne me
»
Je lui tendis lappareil, me dirigeai vers Blanche, et lembrassai à pleine bouche. Dabord interdit, lhomme recommença à prendre les photos. Avec une rapidité dexperte, Blanche ouvrit mon jean et le baissa sur mes talons. Elle saccroupit, et commença à me sucer. Jenlevai mon T-shirt. La bouche de Blanche montait et descendait sur ma bite que je sentais dure comme de la pierre. Lappareil crépitait toujours, et jentendais lhomme se rapprocher. Il prenait la fellation en gros plan. Elle jeta un il à lappareil, sourit, mon sexe au bord de ses lèvres, une main le tenant fermement. Puis elle reprit sa délicieuse activité, avec des gémissements qui en disaient long sur son désir dêtre prise. Ces dernières minutes avaient transformé sa chatte en un bijou ruisselant.
Lhomme était maintenant si près que je me demandais sil voyait encore quelque chose dans lobjectif. Tout en me jetant un regard, elle tendit la main vers sa braguette et caressa la bosse qui voulait faire éclater son pantalon. Jentendis un râle sortir de la gorge du VRP, et lui repris lappareil des mains. Pendant que Blanche continuait ses allers-retours sur mon membre prêt à lexplosion, je vis sa main dézipper le pantalon, puis sengouffrer.. Et ressortir avec un beau sexe, bien gonflé, large, aux veines très saillantes. Javais presque envie de le sucer moi-même. Mais Blanche était déjà au travail
Elle me repoussa pour me présenter ses fesses. Je ne me fis pas prier, et mengouffrai dans son antre. Il était comme je lespérais. Tellement trempé que ses cuisses ruisselaient, ce qui rendait la sensation de glisse merveilleusement douce. Jentrai chaque fois plus à fond, et lorsque je butai, je voyais le soubresaut de sa tête, de sa bouche autour de la bite quelle léchait goulument. Je posai lappareil. Je ne pouvais plus me concentrer suffisamment pour prendre des photos et ne pas jouir. Pendant ce temps, je sentis la main de Blanche qui avait repris mon membre. Je savais ce quelle voulait. Elle voulait le guider vers cet autre trou quelle aimait sentir comblé. Jentrai avec précaution, sachant comme ce moment et la douleur qui pouvait laccompagner risquait de minterdire cet accès. Mais jétais si trempé de son vagin, elle était si excitée, que cela se fit tout en douceur. Pendant que je la sodomisais, elle se releva, et embrassa le mec, tout en me demandant de lattendre. Elle avait une idée en tête : « Continue, assieds-toi sur le capot ». Lentreprise était périlleuse. Il fallait que je reste en elle, que je massoie, que je massure quelle ne tombe pas.. Et que la concentration qui était nécessaire à tout ceci ne me fasse pas débander ! Mais lhomme avait compris la manuvre, et nous aida : la position fut vite stabilisée : jétais assis sur le capot brulant, mon sexe profondément enfoncé dans le cul de Blanche. Elle sadossait à moi et écartait les jambes le plus possible pour soffrir au mec. Il entra en elle. Fort. Je sentis à la fois la secousse comme une vague de plaisir sur mon membre, mais aussi la bite du mec à travers la paroi fine qui nous séparait. Jentendis Blanche qui haletait. Je ne pouvais pas bouger, mais chaque aller-retour du mec me faisait vibrer. Je sentais ses couilles contre les miennes, et la sensation me faisait monter encore plus. Blanche, quant à elle, était déjà partie, elle nétait plus que souffles, contractions, gémissements. Il poussa une dernière fois, alors quun son à la fois profond et in sortit de ses poumons. Je jouis, moi-même, avec limpression de libérer un ruisseau de sperme. Léjaculation nen finissait pas, et je sentais mes testicules se contracter presque douloureusement.
Nos respirations se calmèrent, et nous restâmes ainsi plusieurs dizaines de secondes, fondus les uns dans les autres.. Jusquà ce que la position paraisse incongrue, presque gênante. Blanche et moi éclatâmes alors de rire, bientôt suivis par Fabrice.
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