La Cravache (Suite)
Puis, vous coupez mes liens au niveau des genoux et des chevilles. Vous me mettez debout et mamenez penchée, par les cheveux à la salle de bain. Jai peur je ne veux pas. Je mimagine que vous allez me faire laver la face dans la toilette. Vous mapprochez de la toilette. Et me prenez la tête pour la mettre de côté juste en haut du bol.
- Ça cest pour le « j » minuscule. Je crois quaprès ça, tu vas ten souvenir.
Et vous vous mettez à me pisser sur le coin du visage, jen reçois même dans loreille. Ça me coule sur les lèvres. Je ne veux rien avaler, je ferme les lèvres plus fort. Yeurk. Jen reviens pas, je me fais pisser dessus.
- Tu vas prendre une douche, mais tu bouges pas de là, tant que jai pas fermé la porte. Tu sortiras quand tu seras présentable.
Vous amenez mon déshabillé, vous fermez la lumière et la porte. Je me lève, ouvre la lumière et me regarde dans le miroir. Jai lair dune trainée. Cest vrai, je ne suis pas très présentable. Le visage mouillé, collé, de sperme et durine. Les cheveux collés dans le visage. Jai pu lair de rien. Je saute dans la douche. Jessaie de tout enlever rapidement. Jai même du sperme dans la narine.
Je me dépêche à sortir, je ne veux pas vous faire attendre, je sors avec mon déshabillé bleu pâle. Je vais vous rejoindre au salon (à vos pieds). Nous prenons un verre. Je vous embrasse le genou, je suis bien à vos pieds. Puis je vous prépare à souper. Je minstalle à genou près de vous pendant votre repas. Puis, nous retournons au salon. Vous me caressez la tête. Puis, vous me donnez un cadeau. Je me doute de ce quil contient. Jouvre, cest un collier. Mon collier. Je suis aux anges. Vous me lattachez au cou. Puis je fini douvrir mon cadeau et je trouve la laisse que vous accrochez ensuite au collier. On continue à parler un peu. Je pense à plein dimages. Je voudrais être rebelle, mais je me dis que pour le moment ce nest pas le temps.
Vous allez à la chambre et pendant ce temps, je ne fais que penser au fait que jai enfin un collier, un vrai, juste pour moi. Vous revenez ensuite, prenez ma laisse et me trainez à quatre pattes jusque sur mon lit. Là, vous mattachez les bras et les jambes avec mes menottes (sous le lit). Et vous passez une sangle sur mon cou pour mempêcher de relever la tête. Vous me mettez aussi un masque et un gag ball. Puis, tout deviens un peu vague, du moins en souvenir.
Je me souviens de vos doigts, de vibration intense, je crois même avoir senti une bouteille à lentrée du vagin. Jai aussi senti un couteau piquer mon clitoris. Je me doutais que cétait un couteau, mais javais presque limpression que cétait une aiguille. Je me voulais plus bouger, plus me débattre, je ne voulais pas que ça finisse par me couper. Vous avez aussi passé la lame sur ma chatte, jai retenue mon souffle. Je savais que ce nétait pas le coté coupant, mais je nétais pas totalement certaine, alors je ne bougeais pas.
Puis, avec le vibro pour le clitoris et vos doigts, vous mavez transporté loin. Jétais toute crispée comme dhabitude, à vouloir me débattre. Puis, tout à coup, tout cest relâché. Je suis devenue molle, et il sest passé quelque chose de nouveau dans mon ventre. Je vous ai ensuite demandé si vous aviez senti quelque chose de différent. Vous mavez dit quil y avait eu des genres de vagues à lintérieur et que ça devait être ça. Donc voila, pour la première fois, ou du moins la première fois consciente, jai joui. À 27 ans, jai joui pour la première fois. Vous mavez laissé un moment pour me calmer. On en a parlé plus tard, et vous trouviez ça drôle.
- Monsieur, cétait vraiment bizarre
- Cest pas supposé être bizarre, cest supposé être bon
- Je sais bien, mais à 27 ans, cest bizarre
Puis, vous mavez pris.
Le lendemain, chaque fois que je bougeais je vous réveillais. Et je me suis mise à parler un peu.
- Monsieur, si vous voulez pu que je bouge, dites moi le.
- Quand je voudrai pu que tu bouges, je tattacherai
- Dites moi, si vous voulez pu que je parle.
- Quand je voudrai pu tentendre je te remplirai la bouche.
Puis, plus tard, vous mavez pris la bouche, vous êtes venu en elle.
On a été déjeuner, puis avant de partir vous mavez pris sur le congélateur. Ouff, cétait quelque chose. Cétait bestial. Vous mavez donné deux bonnes claques sur une fesse. Mais deux claques qui sont resté imprégné des heures durant. Je nen pouvais plus. Il ny avait pas de retiens de votre part dans ces claques. Juste une force brut, une force animale qui prend et donne ce quelle veut. Sans considération pour moi. Vous avez aussi beaucoup tiré sur mon collier, au point ou jen avais de la difficulté à respirer. Vous avez éjaculé sur mon dos. Je nai pas pu me relever sur le coup. Mes jambes auraient lâché. Jétais dans ma bulle.
Puis, vous mavez dit de rester comme ça jusquà votre départ. Et vous êtes parti
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