Le Fils De Joachim Et Ses Potes
- Bonjour Madame Chantal.
- Oh, Bonjour, heu ?
- Armando, Madame.
- Bien, tu fais aussi ton marché ? Ton papa nest pas avec toi ?
- Non, je suis avec des copains, on est en train de boire un coup au café, au bout du marché. Vous voulez que je vous aide à porter votre sac, il a lair bien lourd ?
- Non, merci mais jai fini mes courses je vais rentrer maintenant.
- Vous ne voulez pas venir boire un petit café avec moi maintenant ?
- Oh, non ! Il va être midi et je dois rentrer faire le déjeuner. Mon mari mattend.
- Papa ma dit que vous seriez contente de venir, si je vous le demandais !
-
?
- Je suis avec deux copains, je leur ai beaucoup parlé de vous, depuis lautre jour avec papa.
- Quoi ? Tu leur as dit quoi, petit voyou ?
- Ben, ce qui sest passé, que vous étiez jolie, très jolie et même que
- Tais-toi petit salaud, tu nas pas honte à ton âge ? Ce que jai fait, cest que ton papa my a obligée ! Je ne veux plus entendre parler de ça, tu entends ? Plus jamais ! Laisse-moi maintenant, je suis pressée.
- Oh, non Madame Chantal ! Soyez gentille, juste un moment. Mes amis vous attendent, je leur ai dit que je venais vous chercher quand je vous ai vue. Allez, venez, pas longtemps
- Jai dit non, cest non !
- Mais
- Et après ce que tu leur as dit, tu te rends compte de la honte ? Tu es un petit vicieux comme ton papa, voilà ce que tu es !
- Bon, je dirais à mon père que vous ne voulez pas me faire plaisir, il sera fâché, je le connais.
- Quoi ! mais cest du chantage maintenant !
- Rien que le temps dun café, Madame Chantal
-
- Allez, venez, mes potes sont sympas !
- Tu leur as dit tout, de lautre jour ?
- Ben oui, cétait tellement gentil et excitant ! Jy ai pensé plusieurs fois après et je me suis donné du plaisir tout seul en me rappelant.
- Oh, non, ce nest pas possible ! Tu es pire que ton père.
- Alors, vous venez ?
-
- Allez
- Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Je vais leur dire quoi à tes potes ?
- Rien, juste quils seront contents de vous voir en vrai.
- Non, Armando, je ne peux pas, jai trop honte.
- Mais non, je prends votre panier à provision.
- Daccord, mais tu me jures de ne pas parler de lautre jour, hein ?
- Daccord, promis, mais juste une chose Madame Chantal, dites moi.
- Quoi ?
- Vous navez pas de soutien gorge ?
- Tu mas promis et déjà tu trahis !
- Mais non, simplement, je voudrais que vous déboutonniez encore un bouton du haut et du bas de votre robe, pour être plus sexy encore et épater mes potes.
- Mais tu es fou ! Jamais, tu entends, jamais ! Rends-moi mon panier à provisions !
- Un seul Madame ! Vous dites toujours, non au début et à la fin, vous faites et vous êtes contente. Cest papa qui me la dit !
- Petits salauds, cest vraiment pervers de me faire chanter.
- Voilà ! Tu es content ? Et si je rencontre un voisin ? Quest-ce quon va lui dire ?
- Vous avez de jolies jambes Chantal, vous voulez bien que je vous appelle Chantal ? Je sens bien que vous maimez bien, malgré tout !
- Si tu veux petit cochon, et arrête de regarder dans mon décolleté, tu nous fais remarquer. Je pourrais presque être ta mère, petit vicieux.
- Il fait chaud, cest normal dêtre un peu déshabillée non ? Et puis vous êtes si jolie. Regardez mon short et leffet que cela me fait dapercevoir les pointes de vos seins en marchant !
- Arrête, tu veux ! Je tinterdis de parler comme cela ! Tes insolent et tu profites de la situation. Ce nest pas très sympathique !
- Dites-moi, vous êtes troublée hein ? Vous aimez bien quon vous regarde ?
- Ca suffit, Armando, je ne ferais pas un pas de plus. Je rentre !
- Pardon, je serai sage, maintenant, on arrive, mes potes nous ont aperçus.
- Tu me jures de ne pas recommencer hein ?
- Venez, je jure, mais soyez agréable avec mes potes, daccord ?
-
Les deux jeunes assis à la terrasse du café ne sont guère plus âgés quArmando. Lun des deux semble même encore gamin. Ils ne se lèvent pas pour saluer Chantal, qui remarque tout de suite que leurs yeux ne perdent pas de temps pour plonger dans son décolleté ou mater ses jambes. Chantal sent bien quelle a le feu aux joues et que cela doit se voir. Elle a beau se répéter que ce sont des mômes, elle ne peut oublier ce quils savent delle et de sa conduite passée. Ils la détaillent, la déshabille du regard sans vergogne. On lui propose une chaise dégagée de la table, comme pour mieux lobserver, lui mater les cuisses. Elle est vraiment mal à laise.
- Bonjour, disent-ils en cur, un sourire déjà moqueur et irrespectueux.
- Bonjour les jeunes, dit Chantal, avec un ton qui se veut jeune et enjoué.
- Chantal, tu ne portes pas de culotte aujourdhui ?
- Armando ! Tu mavais promis !
- Je sais mais mes copains ils ne veulent pas croire ce que je leur ai raconté, on a fait un pari et je ne veux pas le perdre.
- Petit salaud, et tu me tutoies en plus !
- Alors, dis nous sil te plait.
- Oui, jen porte une et je vais men aller maintenant, vous êtes des petits voyous !
- Non, Chantal, pas avant de nous avoir montré.
- Armando, quest-ce que tu fais, enlève tes mains de là, je ten supplie. Tout le monde nous regarde !
- Juste leur montrer tes seins, un petit peu. Laisse moi faire. Alors les mecs, elle a de beaux nichons, pas vrai, la patronne de mon père !
- Arrête, enlève tes mains, ou je crie ! Lâche-moi petit salaud, lâche mes mains.
- Mais non pas ici Chantal, sinon on va bien rigoler de toi.
- Mais tu es fou, laisse ma robe en place.
- Cest vrai, elle a un string bleu, vous avez vu ?
- Encore une fois, montre nous encore une fois.
- Ouai ! Terrible, et elle a des poils à la chatte, ils dépassent de chaque côté.
- Alors, cest bon, ça vous suffit ? Non pas de photo, arrêtez ! Pas de photos !
- Laissez-moi tranquille maintenant. Vous êtes contents.
- Non Chantal on va te laisser partir mais avant tu vas aller aux toilettes, enlever ton string et ouvrir complètement ta robe et attendre assise sur la lunette des chiottes. Tu vas aller chez les hommes et laisser la porte ouverte. Allez, sinon, je suis sûr que tu ne voudrais pas que ces photos se retrouvent sur notre blog !
- Espèces de petites crapules, vous mavez tendu un piège ! Et si quelquun entre ?
- Tu lui feras un sourire et il pourra profiter du spectacle. Avoue que tu aimes cela quon te mate hein ? Dis le maintenant que tu es piégée. Tu ne peux plus reculer, détends-toi.
- Pas du tout, mais pas du tout. Je suis obligée, cest tout !
- Bon, tu y vas sinon le déjeuner va attendre.
- Je me vengerai cest sûr !
-
- Ca y est, les gars, je vous lavais dit, il faut la déverrouiller et la machine sexe se met en branle. Allez, on y va, on va voir si elle a obéi.
-
- Parfait, tu es une bonne salope hein ? Donne-moi ton string, tu ne vas plus en avoir besoin. Tu vas commencer par me sucer le jonc.
- Petit salaud !
- Reste assise sur les toilettes et écarte bien les cuisses quon te voie la chatte. Elle mouille les gars, avant même quon la touche. Tiens, prends ma queue, elle bande pour toi, Madame !
- Mon dieu comment suis-je tombée si bas ?
- Allez, suce, aspire, prend mes couilles dans tes mains et joue avec, comme lautre fois avec papa. Ahhhh, je viens, je vais juter, tiens prend ça ma salope, et avale le tout
Nettoie bien ma queue maintenant, je ne veux pas salir mon slip. A toi Serge.
- Lève toi salope, tu ne dis plus rien hein ? Tu aimes te faire baiser ! Dis-le tout haut bourgeoise de merde, dis tout haut que tu as envie de ma queue.
- Tait-toi salaud, prends moi et finissons-en.
- Non, je veux que tu me demandes de te baiser, là maintenant, je veux te soumettre à ma bite, femelle en chaleur.
- Oui, oui, prend moi salopard, baise-moi, enfile-moi, défonce-moi
Venez me toucher les nichons, vite, vite.
- Oh lala, je nen demandais pas tant. Tourne-toi et cambre ton cul de salope. Tiens la voilà ma bite et je vais faire rougir, te brûler tes chairs de pute. Tu la sens hein, je te ramone bien pour un petit jeune. Ton con de mari ne doit pas te faire reluire souvent. Elle mouille, cest une vraie fontaine cette gonzesse les mecs. Ma bite glisse toute seule. Je vais jouir, tu va sentir mon foutre te remplir le ventre comme jamais, salope. Mais tu jouis là, tu respires de plus en plus vite, il va te faire crier le beau Serge. Ca y est je décharge ma camelote, les mecs, elle est chaude cette connasse. Lâche-toi, lâche-toi
je viens je viens !
-
- A moi maintenant quelle est bien chaude. Moi, je vais lenculer les gars. Lève bien ton cul. Demande-moi aussi de tenculer, je veux tentendre.
- Salaud, tu mobliges, tu me violes. Oui, encule-moi, enfile-moi ta grosse queue dans mon cul, encule-moi, souille-moi. Je suis ta chienne.
- Elle est étroite, elle ne doit pas donner souvent son petit trou. Pousse ma belle, ouvre-toi bien pour recevoir mon gland. Ca y est il entre, je menfonce.
- Doucement, tu me fais mal, doucement, ouiiii, vas-y pousse, encore, jai mal mais je vais jouir, allez enfonce-toi, défonce-moi salaud.
- Tiens salope, la voilà ma queue, tu la sens bien au fond de ton petit cul hein. Remue ton fion maintenant, joue avec mon bâton, il va bientôt cracher, oui, je viens, cest bon, prend mon foutre salope, je viensssss.
-
- Quest-ce qui se passe ici ? Quest-ce que vous faites bande de cons
- Cest une salope de bourgeoise qui se fait ramoner le cul patron. Elle est daccord, écoute comment elle gémit cette salope. Tu veux la baiser ? Elle ne demande que cela.
- Non, non arrêtez, jai mal, je veux rentrer, mon mari mattend
- Ta gueule, tu vas dabord y passer. Cest vrai quelle a un bien joli cul. Et en plus vous filmez la scène ? Vous êtes vraiment des salauds. Je vais aussi me la faire mais pas de photos avec moi daccord. Vous lavez baisée sans capotes ?
- Cest une femme mariée, elle est clean.
- Alors pousse toi, à moi maintenant.
- Jen peux plus, laissez moi partir sil vous plait.
- Sûrement pas, je vais profiter moi aussi de tes nichons et de ton cul ma salope. Putain quels nichons, ils sont bien fermes et ils pointent durs les gars! Elle est en chaleur cette chienne. Je vais aussi lui prendre le cul. Allez pouffiasse, tend ton cul tes reins, tes fesses. Elle est toute dilatée ta rondelle, tu me las bien préparée, jentre comme dans une chatte. Je vais lui prendre aussi le con dailleurs. Elle est bonne les gars merci de laubaine. Allez faignasse, remue ton cul sur ma bite, je sens que je vais jouir, finir de te remplir le ventre. Je jouiiiii. Allez remue, remue, que cest bon. ! Tu jouis salope hein, je le sens bien. Dis le, dis le moi.
- Oui, cest bon, je vous sens bien, allez bien au fond, éclabousse-moi de ton foutre, jen veux encore, encore, je viens, je viens
Mon dieu je suis devenue folle. Bourre-moi, jen veux encore.
- Tiens salope !
-
-- Allez salope, on te laisse retrouver ton cocu de mari et reviens quand tu veux, tu auras toujours une bite pour défoncer ton joli cul.
- Je vous raccompagne Chantal ?
- Non, je veux oublier tout cela. Tu es un vrai pervers.
- Votre panier à provision
Effrontée
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