Les Esclaves Du Plaisir

Depuis quelques jours je suis en émoi, je vais revoir ma nièce. Disons que dans les familles recomposées ma nièce n’est pas la fille de mon frère ou ma sœur, et puis c’est trop compliqué !!!! Elle vient avec sa mère qui n’est que la femme de son père. Ouf, si vous avez compris tant mieux. Reste Monique, que cette fille de 18 ans à peine a un tempérament relevé. L’an dernier nous avons vécu des jours chauds, très chauds avec cette presque femme. Il ne se passait pas un après midi à la piscine où ne jouions pas ensemble. Jouer pour elle n’est pas le terme qui convient. Entrons dans son jeu, jouer quand on est dans l’eau a une signification bien précise :
- 1° pas de maillot, c’est gênant.
- 2° pas de honte à se promener toute nue !
- 3° Obéir à ses instincts.
Muni de cette bible le reste est facile à comprendre. Il suffit de faire ce qu’on veut. Ainsi un après midi, en allant me baigner dans la piscine je l’ai vue nager nue, une naïade dans l’eau devant moi qui aime les filles, c’est aller à la catastrophe. Je m’étais assise les fesses sur la margelle, les pieds dans l’eau, juste à l’ombre d’un saule pleureur. Je la regardais en me disant :
- Si elle le voulait je lui ferais tout ce qu’il faut pour son bien.
Elle a du lire dans mes pensées puisqu’elle est venue vers moi pour réciter son catéchisme. Il ne me déplaisait pas alors j’ai ôté mon bikini. Elle m’a regardé, examinée comme une bête curieuse.
- Tu me plais bien, comme femme, tu es bien fichue pour ton âge.
A croire que je venais de passer le siècle alors que mes admirateurs, pas si nombreux finalement, ne me donnaient que 30 ans (ils étaient proche de la réalité puisque j’en ai 35)
- Tu es bien jeune encore tu verras plus tard quand tes seins tomberons que ta peau se ridera qu’aucun homme ne se retournera sur toi et……..
J’avais l’air de pisser dans un violon, pour elle seul l’instant présent compte. Maintenant j’étais nue, les pieds dans l’eau la regardant.

C’est vrai qu’elle était drôlement belle et excitante, surtout en repartant nager, avec les mouvements des jambes je pouvais voir sa pastille. Enfin un moment de tranquillité quand elle vient près de moi, faire comme moi. La voila partie dans le récit de sa vie amoureuse. Elle me raconte tout ce qu’elle a déjà fait. Il y en a plein depuis ses masturbations, son dépucelage (qui doit prendre presque une heure, pas le dépucelage, le récit) de devant et celui de derrière, s’en suis les récit de ses fellations des différents goûts de sperme et de cyprine.
Je me demande si seulement le quart de ce qu’elle me dit est vrai. Quand sa bouche se pose sur la mienne, je suis déjà excitée. Je réponds à son baiser. Elle embrasse bien la garce. Je la tiens pas la taille, elle se penche un peu plus pour gober mes seins. Je commence à la croire. J’ai envie d’elle brusquement alors que j’avais envie de jouir tout à l’heure seule sur mon lit ou dans l’eau.
Elle se lève, prend ma main, m’entraine je ne sais où. Comme nous sommes seules dans la maison, direction sa chambre. A peine essuyées nous sommes sur le lit.
- Faisons l’amour.
C’est toute sa demande. Ces lèvres reviennent sur les miennes. Je prend sa bouche et sans m’en rendre compte je fais avec elle comme je fais avec celle que j’aime depuis longtemps. Je caresse ses seins qui durcissent vite, trop vite à mon gré, je les tête un peu pendant que ma main droit va se nicher entre ses jambes où je trouve son trésor caché. Je la masturbe lentement un moment quand elle accompagne ma main pour que j’aille plus vite. Je vois son ventre se creuser juste avant de presque crier quand elle jouit.
J’ai besoin moi aussi de jouir. Je ne demande rien à Monique, ma main peut me fait jouir. Je suis quand même surprise de recevoir sa bouche sur ma chatte. Elle ne mentait pas au bord de la piscine.

ooOoo

Ma tante arrive tout à l’heure avec Monique. Ma chère Tante Nicole.
Avec elle pas de problème nous avons presque le même âge, les même plaisirs, Elle connait bien sur tout sur Monique. Je suppose qu’elles doivent « s’amuser » souvent ensemble.
Sur le quai de la gare j’aperçois de loin mes parentes. Un grand signe de la main, les voilà qui arrivent. Nous nous faisons les baisers règlementaires, embarquons les bagages et direction la maison. Elles déposent leur bagages dans leur chambre et se préparent pour la piscine. La première prête est Monique : nue déjà pour la durée de son séjour c’est certain. Je suis comme elle. Nous faisons un petit bisou sur les lèvres quand Nicole sort avec un maillot de sa chambre. Dès qu’elle nous voit elle retourne enlever le maillot; à son retour elle a droit aussi à son bisou.. Je les prends par les bras, me met entre les deux. Direction le bain. Bien sur nous rions comme des imbéciles alors que nous savons bien ce que nous allons faire toutes les trois. Mes mains sont sur leur tailles. Je les lève même jusqu’à leur poitrine. Je ne me gêne pas pour les peloter. Au passage. Je peux faire la comparaison entre les deux poitrines. La plus dure reste celle de ma nièce. Je pince légèrement les tétons qui commencent à durcir.
Heureusement que noua arrivons. Nous trouvons le petit paquet que j’ai posé ce matin. Il contient les objets utiles et nécessaires à trois folles de sexe. Bien sur notre nudité est agrémenté dès nôtres arrivée sur les bords de l’eau par nos baisers de plus en plus débridés, surtout à trois langues dehors que se chatouillent et se lèchent. C’est à la fois dégoutant et excitant, surtout maintenant que les mains cherche les intimités. Je me retrouve avec la main de ma nièce sur la chatte et celle de ma tante sur les fesses. Je ne sais trop à qu’elle main je vais céder. Pourquoi pas au deux. Elles sont aussi fureteuses l’une que l’autre. Je commence à sentir le plaisir monter dans mon ventre quand les deux mains s’insinuent l’une après l’autre dans mon ventre, par des endroits très différent; Je sens surtout les doigts de ma tante qui pas comme les autres de façons d’entrer dans l’anus avec douceur.
Elle a une façon de me masturber l’anus qui n’appartient qu’à elle. Mon clitoris est mignoté par ma nièce à qui cette caresse ne déplait pas. Je ne les oublie pas du tout: j’ai commencé par branler Monique et continue avec l’autre main sur Nicole. Elles me font jouir trop vite?….. Je peux ouvrir le paquet: elles sont folles de joies en voyant trois godes rabbit, trois branleurs de clitoris et surtout ce que nous allons porté toutes les journées suivantes, les boules de geisha. Nicole se fait du soucis pour l’avenir de Monique.
- Tu te rends compte de ce que nous faisons vivre à une fille de 18 ans, nous l’initions à des jeux actifs pour la faire jouir, jouir d’elle. Quand elle rencontrera son mec, comment il prendra la chose.
Monique répond tranquillement
- Ne t ‘en fais pas, mon mec est au courant, il est bien content quand je lui raconte ce que je fais et quand j’applique sur lui les caresses que vous me faites. Vous broyez qu’il n’aime pas que je lui entre un gode dans le cul pendant qu’il me baise, qu’il m’encule, qu’il me lime comme il dit avant que je jouisse autour de sa bite.
Nous nous couchons au pied de l’arbre, écartons nos jambes. Toujours au milieux mes cuisses sont posées sur celles de deux autres. Les rabbits ont cet avantage de pénétrer, de branler, de tourner autour des points sensible féminins, et fin du fin de caresser le clitoris. Nous nous branlons, chacune de notre coté en regardant le gode de la voisine. Ce n’est pas excitant, c’est super excitant.
Nicole a une envie avec moi. Elle voudrai que je continue à me masturber avec le gode, me lécher le cul, que j’ai une sorte de double pénétration. Je refuse, ou c’est tout ou rien, elle cède je me branle par devant, elle me met le gode dans le cul. Alors là, c’est autre chose, c’est le super délice, le paradis de l’amour, les orgasmes sans cesse un bon moment, une bonne idée soufflée par Eros lui-même.
Je suis exténuée, je ne sert plus à rien sinon à aider les autres à jouir encore.

Je possède mon gode et m’en sert dans le cul qui se présente pendant leur 69. Je trouve qu’un couple de filles pendant un 69 est joli à regarder. Je comprends la hommes qui sont capable de tous en regardant ça.
Je suis obligée de les arrêter pour finir dans la maison. La nuit est tombée depuis longtemps. En plus je voudrais maintenant participer aussi à la débauche. Avant de partir nous installons nos boules dans le ventre. Si au début c’est gênant, le temps pour elles de prendre bien leur places, c’est le délice doux qui commence. Maintenant nous sommes punies, nous ne pourrons plus baiser. Nous devrons nous contenter de nous masturber.
Je suis fière de mon choix, les deux femmes se plient volontiers à cette contrainte si sensuelle. D’ailleurs dès l’arrivée dans la cuisine, ma nièce n’y tient plus, elle est appuyée à la table, ses mains dans sa chatte, sans honte aucune, elle se masturbe plusieurs fois de suite. J’ai pitié d’elle je la remplace par mes main, je caresse son clito plusieurs fois pendant que la tante elle aussi se branle.
Nous devenons des esclaves du plaisir.

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