La Parisiennne
La parisienne.
La vie dans ma province est beaucoup plus calme et je suis toujours surprise quand je me rends Paris ; jadore ce monde grouillant et je prends généralement le métro pour me déplacer, par facilité et parfois par plaisir. Le trajet aujourdhui sera long car je dois me rendre au terminus de la ligne et cela signifie au moins 20 mn et jai mal choisi mon heure ; conclusion cest une véritable boite à sardine ; poussée dès le début, situation peu agréable car je me retrouve très vite coincée, écrasée même contre les autres voyageurs. Très vite jai la sensation dune main sur mes fesses ; impossible de me retourner et je nose par faire de remarque de peur dune réaction hostile ; mon manque de réaction doit encourager lindividu , car sa main devient de plus en plus inquisitrice et elle ne tarde pas à remonter ma jupe, courte il est vrai, et à venir caresser le sillon qui soffre à sa portée ; pour moi deux solutions, me détourner et gifler lindividu ou ignorer et par la même occasion, profiter de la situation car une douce chaleur commence à mirradier le ventre. Personne ne semble voir ce qui se passe et je décide de profiter de la situation, dautant plus quil a trouvé le chemin de ma chatte en écartant le bord de mon string et deux doigts se faufilent entre mes lèvres. Le bougre sy prend vraiment bien et rapidement ma cyprine vient lui maculer les doigts. Il me faut beaucoup deffort pour ne pas gémir, car maintenant il me fouille activement et me cambrant, je moffre un peu plus , lui permettant ainsi daller plus profond ; je dois me mordre les lèvres pour cacher mon plaisir, mais cela ne doit pas suffire car soudain une main me caresse le pubis ; cest un homme de 50 ans environ qui me fait face et dans son regard, je vois quil a compris ce qui se passe ; sécartant légèrement, il ferme le triangle , évitant ainsi que leur manège ne se voit ; cest maintenant deux mains qui me branlent et la première saventure le long de mon sillon et titille mon anneau ; jessaie de me dégager car je ne vais pas résister à cette double caresse , mais à chaque montée , je suis un peu plus plaquée contre les deux hommes.
Assise sur le banc, je récupère et jen profite pour dévisager les deux hommes ; le plus vieux, environ 50 ans est grand, les temples grisonnantes, le visage souriant, le corps svelte ; le deuxième nettement plus jeune (pas plus de 30 ans) est plus rondouillard, les cheveux dégarnis, le regard beaucoup plus vicieux ; dailleurs ses yeux ne me quittent pas et il semble me déshabiller du regard. Jai soudain envie de partir, honteuse de ma facilité dans le wagon, mais pour eux, je ne suis pas encore remise et ils mentrainent vers la surface ; le grand air me fait du bien et je veux prendre congés de ces deux compagnons ; mais le plus jeune ne lentend ainsi et me prenant par le bras, il me dit :
« Pas question, tu as pris ton plaisir, à toi de faire de même pour nous ! » mon refus ne semble pas le gêner et se tournant vers le plus vieux :
« Quen penses-tu ? Un beau morceau comme cela, il ne faut pas le perdre ! « Cest vrai, et en plus, je suis sur quelle ne va pas trop se faire prier » le pire cest quil a raison ; passé lenvie de fuir, jai maintenant envie de me faire prendre. La petite séance dans la rame ma mis le feu au ventre et maintenant il men faut plus et brutalement jai envie de les provoquer :
« Belles paroles, mais encore faut-il le prouver ! » piqué au vif, le plus jeune regarde autour de lui et découvrant un hôtel, il nous entraine ; cest loin dêtre un palace et le réceptionnsite ne semble par choqué par la présence des deux hommes ; létage est vite monté et la porte est vite refermée ; soudain une image me gagne : je suis livrée à deux inconnus, mais loin de me faire peur, lidée me stimule et ma chatte devient à nouveau vite humide ; de plus il faut dire quils ne perdent pas de temps ; à peine entrée je suis plaquée sur le lit et ma jupe est enlevée, mon string arraché ; comme je ne porte pas de soutien gorge, je suis exposée, nue et offerte ; provocante, jécarte les cuisses, ma main saventurant sur ma toison finement taillée « lèche-moi » cest le plus vieux le plus rapide et sa bouche vient se plaquer sur la chatte et sa langue sinsinue entre mes lèvres quil écarte afin de mieux senfoncer.
« putain , elle est bonne , elle est pleine de mouille » ses doigts ont remplacés sa langue et il me fouille profondément, avec trois puis lensemble de sa main ; écartant au maximum mes cuisses, il la tourne dans tous les sens et bientôt, il réussit la faire pénétrer en entier, me titillant le fond de mon con ; jadore que lon me fiste et je ne peux retenir mes plaintes de plaisirs ; je jouis à nen plus finir, alors que lautre vient me fourrer sa queue entre les lèvres ; surprise , je manque dair car si sa queue nest pas très longue ( 15 cm environ , elle est par contre très épaisse et jai du mal à lengloutir ; pour lui, pas de finesse et me prenant la tête, il se branle littéralement entre mes lèvres ; il me faut le faire jouir rapidement car il me baise brutalement ; lui attrapant les couilles, lourdes et épaisses, je les tire en arrière, et je lui plante un doigt dans le cul ; la réaction est immédiate et sa queue enfle ; jai jute le temps de me retirer et ses jets sécrasent sur mon visage.
« La garce, elle ma fait jouir : tes vraiment une vraie salope, tas pas fini den prendre »
Lautre a retiré sa main et sa queue a vite pris la place ; ma chatte petit à petit se rétracte et je serre mes lèvres sur le sexe, long et sec ; ce nest pas le même style ; avec douceur il me baise, sa bouche me mordillant les tétons, lentement, mais surement il me fait grimper, mais jai envie quil me défonce et je lui dis :
« Baise moi, je suis à toi, défonce moi, remplit moi de ton sperme » mes paroles le stimulent, mais il reste cependant soft ; jen veux plus, je me retire brutalement et lui tournant le dos je me mets à genoux, mécartant les lèvres et à nouveau je le provoque le défiant du regard,
« enfile moi, baise moi comme une pute, défonce moi la chatte » cette fois le résultats est garanti et magrippant les hanches , il sengouffre violement dans ma cramouille , engluée de cyprine ; cette fois il me défonce et jai du mal à rester en place ; ses couilles frappent à chaque fois contre mes lèvres et je ne maitrise plus rien, je jouis, encore et encore, les yeux fermés, greulent mon plaisir ; son doigt senroule sur mon anneau, le dilatant , offrant sans aucun doute loffrande dune enculade ; celle-ci ne tarde pas et quittant ma chatte, le vit plein de jute vient buter contre le résistance et dune violente poussée, il mencule ; jai beau être ouverte, je ne peux retenir un cri de douleur
« Tu voulais que je te baise, tu es servie ; en effet cette fois ce nest plus la douceur, mais une violente enculade, sa queue senfonçant à chaque fois au plus profond ; à ce régime, il ne résiste pas longtemps et ses jets brulants me remplissent les entrailles ; je ne suis plus que jouissance, lanneau en feu et quand il se retire, sa semence sécoule le long de mes cuisses.
« Tes une vraie pute et tu pourras dire à ton mari que tu tes faite baiser comme une salope ; je vais te bourrer jusquà lépuisement » en effet il semble infatigable et il me défonce longuement ; je ne sais plus ou je suis ; je jouis, et je ne sais si cest de douleur, de plaisir ou dhumiliation ; sans doute les trois à la fois ; dans mon ventre la queue fait des ravages, je coule littéralement et jen veux encore :
« Putain cest bon
tu me déchires
Encore
.. » Puis soudain dun grand coup de rein, il se cambre et éjecte sa semence, me remplissant les entrailles de ses jets puissants et chauds.
Entre mes cuisses un mélange de sécrétions sécoule ; je suis une loque, épuisée ; soudain je réalise quils sont partis, me laissant affalée, le ventre en feu.. Soudain le port souvre, cest le patron ; je nai pas le temps de réagir, ouvrant sa braguette, il sort un vit, le gland rougeâtre et turgescent et me plaquant suer le lit, il me baise « tes copains mont dit que tu aimais te faire baiser et que je pouvais en profiter ». Il ne lui faut pas longtemps pour se vider et se rajustant, il se retire en rajoutant « tes vraiment une salope, mais tes bonne »
Réalisant soudain la situation ; je me suis faite sauter par deux inconnus et jai pris un pied monstre, et il va falloir que javoue cela à jean ; sa femme est une vraie salope qui ne sait pas dire non.
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