3 - L'Amant De Ma Femme Est Dans Mon Lit ...
L'amant de ma femme est dans mon lit.
Au moment où ils rentrèrent dans la chambre, je ne pus m'empêcher de sursauter. Maria s'était débrouillée pour activer la fonction surveillance sur le combiné téléphonique de notre chambre. Mon épouse, cyniquement et à l'insu de son amant, voulait que je vive tous leurs ébats en direct live ; elle me forçait à être auditeur de sa débauche.
Je pus donc l'entendre dire :
- Fais comme moi, mon chéri, déshabille-toi complètement.
Et un instant plus tard :
- Viens me rejoindre au lit, mon chéri, tout contre moi.
- Moi aussi j'aime tes caresses.
- Ne t'inquiète pas, je vais te caresser aussi, surtout le gros paquet entre tes jambes si tu vois ce que je veux dire. Ça te fait plaisir que je t'amène dans mon lit ?
- Je préfère rester seul à seul avec toi que devant ton mari. Mais ça me fait tout drôle de coucher avec sa femme et dans le lit conjugal.
- Je fais bien les choses, il tinvite à sa table, et moi je tinvite dans son lit, on reçoit bien les amis, non ?
- Je ne suis pas sûr quil apprécie autant que moi ton sens de lhospitalité.
- Il sait maintenant que je suis hospitalière de la cuisse quand je veux, et il la constaté de ses yeux.
- Çà, je crois quil aurait préféré ne pas le voir.
- Tant pis pour lui, je suis contente quil mait vu baiser avec toi. Jespère que tu as apprécié la séance toi aussi.
- Je dois dire que je n'en demandais pas tant. Rappelle-toi ce qui s'est passé quand ton mari est sorti et que tu as voulu danser avec moi. Tu as commencé par te coller tellement contre moi que j'ai bandé tout de suite et ça n'avait pas l'air de te déplaire, au contraire. Si tu lavais fais exprès, tu ne pouvais pas faire mieux pour mexciter. En plus, tu avais dit à table que tu allais tromper ton mari.
- Je lai dit mais jai aussi précisé que ce nétait pas prévu pour maintenant.
- Tu en as trop fait, avoue-le, tu cherchais le loup.
- Pas vraiment. Tu trouves que je tai cherché ?
- Plutôt, oui, à chaque fois que je te parlais ou que je te regardais, tu faisais en sorte de mexciter.
- Comment ça ?
- Tu dis que tu cherches un mec pour tromper ton mari, à table, tu racontes comment tu baises, comment tu suces, après tu me montres tes cuisses et ta culotte, et quand on danse ensemble, tu colles ta moule contre moi comme sur un rocher en te frottant sur ma trique. Ne me dis pas que tu ne tes pas aperçue que je bandais, avoue que tu voulais me faire bander.
- Cest vrai, quand je danse contre un garçon, jaime bien quil ait une érection, je nen demande pas plus, cest juste que j'aime bien sentir que je fais de l'effet. Ce nest pas la première fois, ce qui est nouveau par contre, cest que je me retrouve au lit avec toi.
- Et comment ça aurait du finir ?
- Normalement, Zorro mon mari aurait du arriver, me retirer dentre tes pattes et sauver ma vertu. Les autres fois, ça sest passé comme ça, et cest lui aussi le pompier qui éteint le feu.
- Avec sa lance et son foutre ! Tu lui racontes quand tu fais bander dautres mecs ?
- Bien sur.
- Tu es sure quil a compris ce quils voulaient ?
- Tu parles, je sais très bien que les mecs ne cherchent quune chose, me sauter. Et lui aussi.
- Et ça ne gêne pas ton mari ?
- Non, ça lui plait de savoir que je fais bander dautres mecs et aussi de me voir me frotter. Il sait que je mexcite à mort. Cest un jeu entre nous, une sorte de défi coquin où les limites ne sont pas vraiment définies, je joue avec le feu, mais il sait surtout quil décide du moment où ça finit, cest lui et personne dautre qui profite de la petite cochonne.
- Tant que ça ?
- Tu ne peux pas savoir. Par deux fois, jaurais pu facilement trompé mon mari. Un jour, on était chez des amis en Ardèche, on a bien mangé et surtout bien bu, après nos amis ont mis de la musique pour danser, moi jai dansé avec un copain qui ma carrément draguée sous les yeux de mon mari, je veux dire quil a commencé avec des petits bisous dans le cou et un pelotage en douce, puis on sest chauffés et quand mon mari nous a un peu oubliés, on a continué avec langue fourrée, tripotage de nichons, main dans la culotte et tout et tout.
- Et ton mari ne disait rien ?
- En fait, jai compris quil y avait un complot, un complice faisait tout pour distraire lattention du mari pour que son copain puisse soccuper de la femme.
- Et jusquoù a été le jeu ?
- Assez loin, javais les seins à lair, la jupe relevée sur mon minou, je navais plus de culotte, et les doigts qui me fouillaient me rendaient folle, javais très envie dautre chose que des doigts dans mon sexe et je commençais à caresser celui du copain.
- Je vois ça, tu étais à point.
- Quoiquen pense mon mari, je ne suis pas une allumeuse, jétais prête à aller jusquau bout, je navais plus de culotte mais mon mari ne sest pas saoulé comme ils lauraient voulu, et il ne ma pas laissée seule assez longtemps. Si limbécile qui soccupait de moi avait été plus malin, il maurait emmenée dans un petit coin tranquille et il maurait sautée. Mon mari pense que je naurais jamais été jusquau bout mais franchement, sil ne sétait pas manifesté, jaurais baisé ce mec tellement jétais en feu. Au retour, jai donné à mon mari la culotte que le mec mavait enlevée et je lui ai montré ma minette trempée, Bernard ma traité de petite pute, et quand jai vu quil bandait comme un fou, je lui ai dit en le caressant quil était marié avec une salope. Jétais tellement excitée que jai demandé à mon mari de sarrêter sur une aire de repos, je ne me suis pas posée de question, sil y avait du monde ou pas, je me suis complètement déshabillée, je lui ai sorti la queue pour quil me prenne dans la voiture. Je ne te raconte pas ce quil ma mis.
- Et la deuxième fois ?
- La deuxième fois, cétait dans le train en revenant de chez ma maman. À un moment, je me suis retrouvée seule dans le compartiment avec un garçon charmant. On a fait connaissance, puis il ma draguée gentiment. Je savais que je nallais pas faire grand-chose avec lui, javais juste envie de faire joujou, on a commencé à sembrasser et à se caresser.
- Mais aujourdhui, Zorro est arrivé trop tard.
- Tu as raison, il nest pas revenu à temps pour sauver ma vertu. Et jétais trop saoule pour résister à tes avances.
- Ça, je l'ai compris et je me suis dit que je naurais jamais de meilleure occasion de te sauter.
- Ce n'est pas bien, ça ! Mais tu as eu raison de tenter ta chance, la preuve.
- C'est vrai que ce n'est pas bien de convoiter la femme d'un ami, mais jen avais trop envie. Finalement, ça na pas si difficile.
- Cest vrai que jai cédé facilement, ça métonne moi-même. Tu as su ty prendre avec moi.
- Je tai mis la pression et tu mas laissé faire ce que je voulais. Après la main au cul, les baisers fourrés, le déballage des nichons, le cul à l'air et le tripotage de chatte, tu en voulais encore plus.
- Au début, ce nétait quun jeu, un flirt, cétait très agréable et je voulais que mon mari soit jaloux en me voyant flirter avec toi.
- Tu voulais te servir de moi et me laisser en plan avec ma trique ? Allumeuse, va !
- Oui, cest vrai, je navais pas vraiment lintention daller jusquau bout en trompant mon mari, mais tu as eu de la chance, et pas lui. À croire que le voisin est ton complice.
- Il faudra que je pense à le remercier, celui-là.
- Oh ! Cest fait je crois que nous lavons remercier tous les deux, il a eu droit à un joli spectacle.
- Oui, tu as raison, et même, après ce quil a vu, ce serait plutôt à lui de me remercier.
- Il a juste occupé mon mari le temps quil fallait, le moins quon puisse dire, cest que tu as su en tirer le meilleur parti.
- Je nen reviens toujours pas, tu as été réticente, cest vrai, mais tu nas jamais vraiment résisté.
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Tu avais très envie de sexe, mais ta moralité tempêchait de te laisser aller à ton désir, du moins au début.
- Cest vrai, jai essayé de lutter.
- Cest simple, je voulais te rouler une pelle, tu tournais la tête la première fois, et tu me donnais la bouche à la deuxième ; jai commencé à te caresser les seins, tu tes plaquée contre moi pour coincer ma main jusquà ce que je lenlève, à la deuxième tentative, jai déboutonné ton chemisier, je lai ouvert, jai sorti tes nichons pour les caresser et sucer les bouts. Même chose avec le bas, tu as repoussé ma main quand jai peloté tes fesses, et tu mas laissé plonger dans ta culotte pour caresser ton minou, tu as même écarté les jambes pour que je puisse te doigter plus facilement.
- Jai craqué.
- Et jai été ravi de faire craquer le vernis.
- Tu es doué, tu sais. Au début, je voulais juste provoquer mon mari et le rendre jaloux en faisant joujou avec toi, mais je ne sais pas comment tu ty es pris, tu mas mise en ébullition. Je ne sais pas trop à partir de quel moment jai perdu le contrôle.
- Au début, je me disais quun baiser sur la bouche était déjà une petite récompense, après, jai considéré les caresses, les attouchements, la main dans la culotte comme des bonus. Quand jai doigté ton minou, je me suis dis quà partir de là rien ne serait plus pareil entre nous. Jai su que javais gagné le gros lot quand je tai enlevé la culotte et que tu ten es débarrassée.
- Cest peut être à ce moment que jai renoncé à toute résistance. Après, je savais ce qui allait arriver, mais je men fichais et même, je voulais que ça arrive.
- Je me suis régalé depuis le début, mais le meilleur, cétait sur le canapé. Si je navais pas baisé sa femme, jen aurais presque voulu à ton mari davoir précipité ta fuite.
- Réfléchis, sil ny avait pas eu fuite, il ny aurait pas eu de retrouvailles, et tu naurais pas eu droit à la suite.
- Comment ça ?
- Sil était rentré quelques minutes après, tu aurais pu tranquillement finir de me sauter, mon mari aurait juste constaté ladultère, je me serais rhabillée, tu serais parti, et on serait resté là, moi avec ta semence dans le ventre, mon mari avec ses cornes, et toi avec la satisfaction davoir sauté la femme de ton pote et davoir passé une bonne journée. Aussi inopportune quelle soit, cette intrusion a changé le cours des choses.
- Vu sous cet angle, tu as raison.
- Bien sur que jai raison, tu mas sautée une première fois, et maintenant tu me baises dans le lit de mon mari. Tu te rends compte de tout ce que tu mas fait depuis que mon mari est descendu à la cave ?
- Je ne sais si cest à cause de lalcool, mais tu ne demandais que ça.
- C'est vrai que j'étais complètement saoule. Je ne m'étais même pas aperçue que tu m'avais sorti les seins à l'air et enlevé ma petite culotte, alors tu penses, tu as pu r de moi sans que je résiste beaucoup. D'ailleurs, aussi incroyable que ça puisse paraître, j'avais plus envie de me faire sauter que de résister. Bien sur, je savais ce que tu me faisais, mais jétais dans un état second, jen ai vraiment pris conscience que quand mon mari est rentré. Quand je me rappelle sa tête en nous voyant baiser sur le canapé ! Tu te rends compte, cest la première fois qu'il trouve un homme entre les cuisses de sa petite femme chérie !
- Nempêche, je voulais te donner le compte avant quil revienne.
- Tu as été frustré, alors ?
- Plus que ça ! Tu parles dune déconfiture, perdre du même coup la maîtresse à peine fourrée et lamitié de son mari, cest dur après leuphorie. Je navais plus quà essayer de me faire oublier quand tu es revenue. Je croyais que tu allais m'en vouloir à mort et coup de théâtre, tu as renversé la vapeur pour t'en prendre à ton mari.
- Celui-là, il na eu que ce quil méritait. Ce matin, il faisait le fanfaron en disant que je ne serais pas capable de le tromper, maintenant il sait que je suis capable de tout.
- Il ne peut pas avoir le moindre doute là-dessus, je peux en témoigner.
- Il disait même quil allait se masturber en regardant le spectacle.
- Je crois quil nen avait plus beaucoup envie.
- Jespère quil a apprécié ma prestation comme on dit. Et toi, tu as apprécié ?
- Moi oui, mais ton mari moins. Déjà quand il a vu sa jolie petite femme quitter sa culotte devant un étranger au milieu du salon, il a dû se sentir mal. Ensuite, cétait encore pire, tu as été jusqu'au bout de ton rôle de garce.
- Je t'ai fait une bonne surprise alors ?
- Je n'en reviens toujours pas, c'était du délire. Je me serais même contenté de ta pipe tellement elle était bonne.
- Cest la première fois que je suce un autre homme que mon mari.
- A voir comment tu ty prends, ce ne sera pas la dernière, crois-moi !
- Pourtant, je nai pas beaucoup dexpérience.
- Alors, cest que tu es douée.
- Merci, jai aimé le faire. A dire vrai, cest la première fois que je mexcite à ce point en suçant une queue.
- En plus j'ai eu droit à ton exhibition. Tu m'as tellement excité en montrant ton cul ouvert et ta chatte en chaleur après m'avoir sucé que j'ai failli me lever pour te prendre comme une chienne sur le carrelage. Et pour finir en apothéose, tu es venue tenfiler ma queue sous le nez de ton cocu.
- C'était bon ?
- Le grand pied ! Voir lépouse modèle se transformer subitement en femelle en chaleur complètement lubrique et me faire pratiquement violer devant son mari, ce n'est vraiment pas banal.
- Tu parles d'un viol ! Tu bandais comme un bouc. Et ce n'est pas parce que je suis passée avec Bernard devant Monsieur le Curé que j'aurais pu sauver ma vertu cet après-midi.
- Bien au contraire ! Tous les hommes en maraude éprouvent la même frustration en voyant qu'un joli petit lot comme toi se réserve seulement pour la jouissance d'un seul homme. Tous aimeraient bien goûter au fruit défendu et partager tes trésors avec le propriétaire. Alors tu deviens un phantasme. Tu peux imaginer facilement à quoi pensent tous les mecs qui lorgnent sur tes belles cuisses. Rien que de voir ta culotte ou un bout de nichon, cest déjà une victoire. Et à la moindre occasion, si le mari a le dos tourné, tous les moyens sont bons pour arriver à lui niquer sa gentille petite femme.
- En fait, ce qui texcite, c'est de te taper les femmes des autres, non ?
- C'est vrai que ça me plaît. En fait, toutes les femmes sont bonnes à prendre, mais moi je préfère les femmes à partir dun certain âge, elles ont beaucoup plus dexpérience. Alors, il y a des femmes divorcées, bien sûr, ce sont les plus faciles, et puis les femmes mariées. Moi, les femmes à alliance, ce sont mes préférées, la fine fleur de la femme à baiser. Quand je peux emmener une femme mariée dans un lit, cest le summum du bonheur sexuel. Je sais que vous êtes de très bons coups au lit, un régal pour la queue, mais il ny a pas que ça ; le coté ''chasse gardée, défense d'entrer'' m'inspire, surtout quand c'est une femme sérieuse et fidèle que j'arrive à séduire.
- Et tu en as perverti beaucoup d'autres, des femmes mariées comme moi ?
- Si tu veux tout savoir, tu es ma troisième. Encore qu'il y en ait eu une autre mais qui était déjà pervertie par son mari avant de me connaître.
- Tu ne crois pas qu'il est temps de toccuper de ta troisième victime ? Tu m'as excitée avec tes histoires de cul et j'ai encore envie de sentir ta grosse bite dans ma chatte.
- Ne t'inquiète pas, ma cochonne, je vais te la fourrer, ta belle chatte. A ton avis, pourquoi suis-je venu au pieu avec toi ?
- Tu veux profiter de moi, non ?
- Depuis le temps que j'avais envie de te la mettre au fond, tu ne crois pas que je vais laisser la place à un autre, non ?
- Une seconde, attends avant de me posséder !
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