Le Médecin De Famille Et L'Adolescente (Suite)
Une suite bien imprévue. La débauche dune adolescente
Cette histoire de médecin de famille pervers me laissait comme un goût de « pas fini ». Le fait de la publier sur HDS na fait que raviver ce sentiment. Surtout que je mimaginais toujours les deux versions de cette histoire (voir lhistoire sur HDS) et Chantal, la garce, a toujours refusé de maider à trancher, souriant dune façon coquine à chaque fois. Elle semblait me cacher quelque chose et sen amusait en ménervant.
Un jour pourtant jai voulu savoir et après de nombreuses discussions et négociations elle ma accordé la vérité. Nous étions au lit, tendrement enlacés. Lentement, Chantal me caressait le sexe.
Elle est bien retournée le voir.
En sortant du cabinet médical, elle se sentait salie. Car elle me confirme une version différente des miennes. La vérité se trouve cependant plus près de la première version où le médecin sest contenté de la regarder et lui toucher simplement les seins et un peu le sexe avant quelle lui demander de sarrêter et senfuir.
Elle saperçut vite que cette visite lavait profondément troublée. Elle narrivait pas à sortir les images de sa tête. La nuit qui suivit, elle rêva de cet homme. De son ascendant quil avait pris sur elle. Elle se sentait comme hypnotisée, sous influence. A à peine dix sept ans passés, elle était en plein éveil de sa sexualité, bridée par une éducation religieuse stricte. Soudain cet homme sans la toucher vraiment, lui avait fait découvrir le plaisir des sens. Il avait abusé delle, mais pourtant elle se rendait compte quelle avait accédé à ses demandes sans vraiment résister, ni se défendre.
« Au matin je me suis réveillée tout en sueur, hors de ses draps. Entre mes cuisses, jétais toute mouillée. Je me souvins alors de mon rêve érotique où je me soumettais aux ordres du médecin de famille. Jai pris peur et me mis à trembler ».
Toute la journée elle ne put se détacher des images de son rêve, et les jours qui suivirent également.
Un après-midi, en rentrant du lycée, il était là, en train de parler avec maman.
« Je nai pas tout de suite compris de quoi ils parlaient. Jétais tellement paniquée de le voir là, je me suis enfuie dans ma chambre. Jai bien entendu cependant quils parlaient de moi. Un deal, un échange. Aujourdhui, je me demande encore si je nai pas rêvé cette complicité entre notre médecin et ma maman. Cest vrai que nous étions très liés.
- «
elle saura être gentille, je vais lui parler
». Mais cest tout. Il est vite parti.
A lheure du dîner, je suis descendue dans la salle à manger. Maman était seule, papa rentrait plus tard.
- « Le docteur veut te revoir pour dautres examens. Il ta trouvée fatiguée lautre jour et il veut te donner des vitamines. Passe le voir un soir vers 20 heures, quand il a terminé sa consultation. Sois agréable avec lui, tu sais Chantal, il nous aime bien et nous a rendus dénormes services. Laisse-toi faire, il ne veut que ton bien. »
Jai eu du mal à contenir le tremblement dans ma voix pour lui répondre :
- « Daccord maman, jirais quand je pourrais »
- « Tu peux y aller maintenant, si tu veux, quand tu as fini de dîner. Il ma dit quil finissait tard et quil pourrait te recevoir vite.
- « Je me suis déshabillée pour travailler. Je ne peux sortir en jogging. Jirai demain.
- « Tu peux sortir comme cela, tu es très bien.»
- « Daccord, mais je suis nue dessous, il faut au moins que je remette un soutien gorge et une culotte et jy vais. »
- « Vas-y comme cela. Cest une visite chez le médecin tu sais, et il te connait depuis toute petite, il ta vue naître ».
- « Si tu veux. Jai du boulot mais je le ferai en revenant ».
Je ne sais pas si elle sen est aperçue mais je devais être toute rouge tant la chaleur avait envahit tout mon corps.
Quand jentre dans le salon dattente, il est vide. Le médecin est avec son dernier malade. Je massois et prends une revue pour me donner une contenance. Jai peur, je prends conscience soudain que je suis nue dans mon survêtement ! Je sens que mes tétons se dressent et jai limpression que cela doit se voir, tellement je suis excitée.
Je lentends raccompagner son malade. Il retourne à son bureau, je le suis au bruit de ses pas. Silence, je panique. Sait-il que je suis là ? Il ne ma pas vue. Des pas se rapprochent, la porte du salon souvre :
- « Bonjour Chantal, je tattendais, vient ».
Il me fait entrer dans son cabinet de consultation. Sassoit derrière son bureau et sort une fiche.
- « Assied-toi, sil te plait. Comment vas-tu depuis lautre jour ?».
- « Bien, merci ».
- « Je vais finir de tausculter, lève-toi et allons dans ma salle dexamens ».
Il me prend par les épaules et me pose au milieu de la pièce avant daller sasseoir sur un tabouret, à distance. Je reste droite sur mes jambes face à lui. Il mobserve, son regard va des pieds à ma tête. Je me sens à poil devant ses yeux, jai chaud.
- « Tourne-toi que je te vois le dos. Enlève tes baskets, je veux contrôler ta colonne vertébrale. Tu portes souvent des chaussures à talons ? Tu nas pas besoin de te grandir pourtant ».
Je suis incapable de lui répondre, je suis comme hypnotisée par cette voix qui me commande. Je ne me sens pas la force de lui résister et cest comme un automate que je mexécute soumise à ses ordres. Je le vois suivre le moindre de mes gestes de mes mouvements.
- « Marche lentement vers le mur.
Pendant tout ce temps, jai limpression quil me déshabille, me scrute. Jai la chair de poule. Je sens que je mouille et que cette exhibition « médicale », mexcite.
- « Enlève ta culotte de survêt maintenant. Tu as mis des sous vêtements ?
Cette fois je trouve la force de lui répondre :
- « Non, maman ma dit que ce nétait pas la peine ».
- « Très bien, tant pis, enlève-la quand même ».
« Et tu las enlevée ? Sans rien dire ? ». Je mentends lui dire. Je suis au bord déjaculer dans sa main tellement son récit mexcite. Cétait un vieux monsieur pourtant, rien de bien excitant ! ». - « Justement cest ça qui mexcitait, il était plus vieux que mon père, mais jétais subjuguée par cet homme ». - « Continue, mais arrête de me caresser, je veux attendre la suite ».
Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis retournée pour baisser ma culotte de survêt. Ma veste ne recouvrait à peine que la moitié de mes fesses mais je nai rien fait pour me cacher.
- « Marche vers le mur, lentement que je vois ton déhanchement.
Cette situation était très excitante pour moi et en même temps humiliante. Je me déhanchais cul nu devant un vieux pervers qui ne cherchait quà mater mes fesses ! Avec la bénédiction de ma mère ! Le contact du carrelage froid sur la peau de mes pieds ne mempêchait davoir chaud dans tout le corps.
- « Revient vers moi maintenant et marche lentement. Tu as de jolies jambes Chantal, avec des cuisses bien dessinées. Tu as de la chance ».
Bien sûr, il regardait mes jambes mais javais bien conscience de la vue quil devait avoir sur mes poils pubiens déjà bien marqués.
- « Retourne encore vers le mur et reviens. Bon, maintenant, comme tout à lheure, tourne toi de dos et penche toi en avant les jambes droites, sans plier les genoux ».
Visiblement il voulait voir mes fesses et ma raie et au milieu, mon intimité. Mais jétais prête à tout lui montrer tellement ce jeu de voyeur mexcitait.
- « Tu peux enlever ton haut maintenant et marcher comme tout à lheure ».
Je lai fait lentement, découvrant mes seins à sa vue. Je prenais plaisir à ce jeu pervers.
Et je me suis mise à marcher, complètement nue cette fois, lentement pour le laisser me regarder.
Javais plaisir à mexhiber, à lexciter. Quand je me suis retournée, il avait porté une main à sa braguette et se caressait sans se cacher, par dessus son pantalon de toile. Il avait alors compris que je serais « obéissante » comme lui avait laissé entendre ma maman. Il était devenu tout rouge, sur son front des gouttes de sueurs perlaient. Moi, javais les jambes de coton et en même temps, je ressentais comme une certaine fierté devant leffet produit par mon corps nu. Je me suis penchée en avant pour lui montrer mes fesses et même je nai pas complètement, cette fois, resserré mes jambes pour mieux mexposer. Je voulais quil voie que je mouillais moi aussi.
- « Tu vas remettre ton bas de survêt et marcher à nouveau. Arrête-toi devant, face à moi. Penche-toi en avant. Lève la tête.
Là, jai compris son plaisir de voyeur. Un corps nu est très excitant, mais quand il est en partie caché, il laisse un peu de secret, dattente den voir plus. Cest pourquoi il ne voulait être accaparé que par une seule partie de corps à la fois. Pour moi également cétait plus humiliant de me montrer en partie dévêtue. Il voulait me mater à loisir, moi une jeune adolescente, soumise, obéissante et qui ne se plaindrait pas. Là, il voulait voir mes jeunes seins pendre sous moi. Ils étaient fermes et plantés larges et hauts sur ma poitrine. Il respirait de plus en plus fort, les yeux braqués sur mes seins.
- « Remue tes épaules pour faire balloter tes jeunes seins Chantal, cest pour apprécier leur mobilité ».
Je nétais pas dupe bien sûr mais je le fis et même plus que demandé. Je me redressais et portait ma tête en arrière pour faire jaillir à ses yeux pervers ma jeune poitrine. Il avait bien compris maintenant que je jouais le jeu dun examen « médical » spécial. Il avait baissé son pantalon et sa verge toute droite pointait entre ses jambes. Je nen avais jamais vu aussi nettement auparavant. Elle semblait prête à éclater. Dès lors je ne pouvais plus détacher mon regard de son sexe, gonflé de sang et de désir.
- « Approche toi Chantal, regarde combien il te désire ».
Comme jétais presque à le toucher il a commencé à décalotter le bout, violet et tout mouillé. Puis il a entamé de lents va et vient faisant surgir ou cacher son énorme bout. Il respirait de plus en plus vite. Cette fois il me regardait dans les yeux. Ce qui lexcitait cétait de se caresser devant moi, que jassiste à sa branlette.
- « Approche-toi encore, mets-toi à genoux devant moi. Assois-toi sur tes chevilles et mets tes mains dans le dos que je vois bien tes nichons ! ».
« Nichons ! » Ce mot la dun seul coup excité. Il a soudain accéléré son rythme en fixant ma poitrine et, en soufflant comme un buf, il sest écrié :
- « Regarde, regarde petite fille regarde, il va cracher sa liqueur en ton honneur ».
Ses narines se sont crispées, il a serré sa queue fort entre ses doigts et une première longue giclée de sperme sest échappée de son bout. Elle a atterrie sur mon visage, une longue giclée, chaude visqueuse. Jai pris peur et jai fermé les yeux, dégoûtée. Il a commencé à crier des mots orduriers.
- « Regarde salope, tu sens mon foutre sur toi, petite cochonne, tu laimes hein mon foutre
».
Jétais soudain horrifiée de la transformation de cet homme qui était si doux, il y a seulement quelques instants. Cétait devenu une bête qui ne se contrôlait plus. Il a éjaculé une quantité énorme de foutre sur les seins, mon ventre après, au fur et à mesure que ses jets sépuisaient. Il nen finissait pas de jouir.
A la fin, il sest un peu relevé, les yeux rouges et exorbités et il est venu essuyer son sexe sur mes seins. Il a étalé consciencieusement le sperme liquide visqueux, blanchâtre, sentant le pipi sur tout le devant de ma poitrine et mon ventre, souillant le moindre millimètre de peau. Puis, son sexe sest rabougri. Il a fermé les yeux quelques secondes avant de les rouvrir et me sourire. Alors quil reprenait ses esprits, il ma regardée avec un regard coupable voulant demander pardon. Moi javais envie de vomir devant tant de salissures.
- « Tu es très belle Chantal. Jai pris beaucoup de plaisir à te regarder nue, et je pense que toi aussi non ?
Les mots ne sortaient pas de ma bouche tellement la scène mavait subjuguée, choquée. Je balançais entre excitation et dégoût. Je mouillais, cest sûr et ma respiration sétait accélérée mais je navais été que passive, me contentant de répondre à ses injonctions et regarder son sexe énorme gonflé, libérer cette quantité de foutre.
- « Reviens demain soir, que je finisse ma consultation et mes examens. Vient habillée comme maintenant ».
Jai rapidement remis le haut de mon survêtement sans même prendre le soin de messuyer, et quand il ma demandé si je voulais bien revenir demain soir, jai juste eu la force de lui souffler un « oui » timide.
Rentrée, ma maman mattendait. Javais les jambes qui tremblaient. Elle sen est sûrement aperçue mais nen a rien dit !
- « Alors, cela sest bien passé, tu as été gentille avec le docteur ? ».
- « Oui maman, mais il veut que jy retourne demain soir ».
- « Cest très bien. Je suis sûre quil a bien fait son travail, si tu as été sage avec lui ».
Cette fois javais la certitude que ma mère et le toubib étaient de connivence pour profiter de ma jeunesse et de mon innocence. Mais aujourdhui, je crois quelle était loin de penser à ce que son bon « docteur » venait de faire subir à sa fille. Et ce nétait que le commencement de léducation dune adolescente encore naïve. Une fois seule dans ma chambre, je me suis mise nue, jai senti le sperme sur ma peau et je me suis donnée du plaisir en me touchant, là où javais déjà découvert une source de plaisir ».
A ces mots, jai sauté sur Chantal et nous avons fait mamour comme des fous. Comme jai éjaculé une première fois en elle très vite, jai pu prendre mon temps pour lui donner du plaisir sans oublier de lui souffler des détails avec son médecin de famille.
Arsène
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