Ce Fut, Sans Doute,Le Moment Le Plus Érotique Et Le Plus Apeurant Du Mois
Je me présente, je suis Alizée, une femme de 40 ans, mère de deux s. Je suis mariée et assez épanouie avec mon époux. Comme dans chaque couple, nous avons nos moments de crise mais ceux-ci passent généralement assez vite. Nous navons plus la même fougue ni le même appétit sexuel quà nos débuts mais nous entretenons des relations intimes assez régulièrement. Ne croyez pas que ces moments soient pénibles, au contraire, nous nous rapprochons et essayons de parler de nos désirs, de nos projets, de notre vie...
Jai une fille et un garçon, adolescents, sans problèmes apparents. Je veux dire, ils ne fument pas, ne boivent pas (ou alors, très modérement), ne se droguent pas et sortent sans excès. Aujourdhui, je vais vous parler dune sortie en famille, enfin plus ou moins, à un match de léquipe de rugby où joue mon fils, Jonathan. Mon mari ma prévenu quil ne pourrait pas y assister, retenu à son travail par un dossier, et ma fille est retenue, pour sa part, par son copain. Mon fils est sur le terrain, évidemment, avec ses coéquipiers. Léquipe de rugby est étrangement constituée : ici, tous les âges sont mélangés. Il ny pas des s de cinq ans, cest sûr, ni de vieillards mais mon fils a 18 ans et son plus vieux « collègue » en a 28. Si vous vivez dans la même ville que moi, vous comprendrez. Si ce nest pas le cas, vous effecez des recherches sur internet qui, je crois, savéreront vaines. Cest en quelque sorte une équipe associative où tout le monde peut jouer, dans la limite du réglement. Je suis donc assise sur un banc en bois, collée à dautres gens qui bougent beaucoup, crient assez fort...Un bonheur ! Je regarde léquipe de mon fils entrer sur le terrain puis celle adverse. Je reconnais Jonathan parmi les autres hommes. Certains ressemblent à de vrais sportifs, assez baraqués, les jambes bien musclées, dautres un peu moins. Ok, je suis mariée mais femme avant tout et je mautorise le droit dadmirer ces silhouettes. Il mest arrivé (une seule fois.
Léquipe de mon fils a perdu. Tant pis ! Les deux équipes se saluent et rejoignent les vestiaires. La foule sécarte et bientôt je reste seule sur les bancs. Un peu paumée, je décide de rejoindre la voiture. Au moment où je me lève, mon portable tombe de ma poche et tombe entre les planches de bois qui servent de sol. Après avoir crié un gros « merde ! », je nai pas dautres choix que daller le récupérer. Je vais donc sous lestrade et le retrouve, « démembré ». La batterie dun côté, le cache de lautre... Après un deuxième « merde ! », je me dirige vers la sortie. Surprise, une grande pancarte indique « fermé ». Je tente douvrir mais la grille est bien close. Perdue, je décide de me diriger vers les vestiaires pour attendre mon fils là-bas. Jentends des cris, des rires... Au moins, ils prennent la défaite plutôt bien. La porte souvre et là, plusieurs hommes sortent sans me prêter attention. Ils croient que je suis la femme de ménage, peut-être. Je les fixe mais nen reconnaît aucun. La porte est restée entrouverte à cause dune serviette par terre. Je nose pas bouger et continue dattendre. 18h 15. Le match est fini depuis 10 minutes. Cest long pour prendre une douche ! 18h 25. Mon portable vibre. Un message saffiche de mon fils, je louvre mais mon téléphone séteint immédiatement. Je nai eu le temps de lire que « Je ren». Ok, ça veut dire quoi ? Plus de batterie ou alors pété à cause de la chute ! Je relève la tête et avec le décalage entre la porte et le mur, japerçois des hommes nus.
- Madame !
Quelquun ma vu ! Cette personne va me prendre pour une vicieuse !
- Non, je...mon fils est...
- Je sais, je sais.
Je reconnais lentraîneur de mon fils. Un bel homme, les yeux bleus, légèrement barbu.
- Bonsoir, vous allez bien ? me demande t-il.
- Oui. Cétait un beau match. Dommage que léquipe nait pas gagné. Mais, cest le jeu.
- Oui, tout à fait. Vous attendiez Jonathan ?
- Attendiez ? Il nest plus ici ?
- Non, il ne vous a pas trouvé et il est parti avec un ami. Il vous a envoyé un texto, il ma dit.
- Oui, je nai pas pu le lire, mon portable est tombé, il est soit cassé soit il na plus de batterie, en tout cas, il sest éteint.
- Vous êtes ici depuis longtemps ?
Il me demande ça en regardant la porte entrouverte. Je mempresse de répondre :
- Non. Je croyais que cétait son vestiaire.
- Pas du tout, le sien est au bout du couloir, à droite.
- Je pouvais attendre longtemps encore !
- Je vous raccompagne jusquà votre voiture ?
- Il est déjà tard, je ne vais pas vous retenir. Je peux appeler ?
- Il y a un téléphone dans le bureau, là-bas.
Il mindique une petite pièce vitrée.
- Merci et à bientôt.
Je méloigne vers le bureau et compose le numéro de mon fils. Je tombe sur sa boîte et laisse un message bref. De loin, je vois lentraîneur séloigner. Je jette un coup doeil vers le vestiaire doù filtre une lumière jaune, de la vapeur sort. Je raccroche et poussée par un désir inconnu, je me dirige vers le vestiaire dont la porte est toujours entrouverte. Je colle mon visage et voit un homme nu sortir des vapeurs de la douche.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!